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"c'est Trop Tard Pour La Terre"


John Loque

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La planète est perdue pour nos enfants, Il faut interdire les OGM, c'est la fin du pétrole … : les inquiétudes concernant l'avenir de la planète donnent lieu à de nombreuses idées reçues.

Le réchauffement, la pollution, l'épuisement des ressources, la déforestation, la perte de biodiversité hantent les esprits. Ils seraient les symptômes d'une civilisation qui court à sa perte. L'alarmisme environnemental alimente les propositions des politiques qui surfent avec enthousiasme et démagogie sur la vague écolo. Sauf que les remèdes proposés sont souvent construits autour de mythes. Loin de résoudre les préoccupations des individus, ils risquent plutôt de nous engager sur une fausse route… nuisible à la qualité de notre environnement. Sachons donc démêler le vrai du faux dans la multitude de propositions qui circulent.

Chaque chapitre reprend une idée reçue rappelée entre guillemets. Chaque tête de chapitre commence par « Le chiffre qui tue », ou par « La question qu'on oublie de se poser ». A chaque fois, l'argumentation commence par un sondage ou un chiffre sur l'idée reçue traitée.

Le livre se termine par « La réponse à…Nicolas Hulot ». Avec un rappel objectif et non polémique de ses thèses et une réponse inspirée d'idées nouvelles et de faits précis. A la fin de l'ouvrage, on trouvera une bibliographie précise et commentée, pour aller plus loin.

Cécile Philippe, 32 ans, est docteur en économie de l'université de Paris Dauphine. Elle a créé en 2003, l'Institut économique Molinari, qui analyse les politiques publiques en France et au niveau européen. Dans ce cadre, elle écrit pour la presse francophone et européenne (Les Echos, La Revue des anciens de l'Ena, L'Agefi Suisse, Le Temps, The European Voice, etc.) et organise des événement sur des thèmes variés comme l'environnement, la santé, la fiscalité.

Code ISBN / EAN : 9782709629195 / Hachette : 4539136

Prix Public : 10,00 €

Format : 180 mm x 120 mm

176 pages

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  • 2 weeks later...
Elle m'en avait parlé le mois dernier.

Je suis sûr que, comme tout ce qu'elle fait, ce livre sera un succès; je vais probablement l'acheter.

Petite question: c'est qui ce Woland?

http://woland.blogmilitant.com/index.php/2…cecile-philippe

Qui suis-je? Vaste question… Disons que je me considere comme un anarcap. Je bloggue depuis mai 2005. Globalement mes positions sont les suivantes: l'etat n'a pas a intervenir en general et dans la vie privee en particulier. Je suis de culture chretienne meme si je ne suis pas croyant. Je respecte les traditions a titre personnel mais je ne tiens pas a ce que mes idees soient imposees aux autres car je ne veux pas que les autres m'imposent leurs valeurs… du moins jusqu'a ce que je prenne le pouvoir. En l'etat actuel des choses je suis contre le suffrage universel car selon moi la majorite n'a pas l'education necessaire pour decider en conscience. Vous voila un peu plus renseigne sur mon compte.

ps: desole pour les fautes mais je tape sur un ordinateur a clavier qwerty donc sans accent.

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En l'etat actuel des choses je suis contre le suffrage universel car selon moi la majorite n'a pas l'education necessaire pour decider en conscience.

En quoi le suffrage universel serait-il meilleur si la majorite avait l'education necessaire pour decider? Le choix d'un voteur peut-etre tres rationnel et criminel, par exemple taxer son voisin pour recevoir une subvention.

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En quoi le suffrage universel serait-il meilleur si la majorite avait l'education necessaire pour decider? Le choix d'un voteur peut-etre tres rationnel et criminel, par exemple taxer son voisin pour recevoir une subvention.

je repondrais bien mais comme ce n'est pas le sujet je me contenterais de dire qu'il faut acheter le dernier livre de Cecile Philippe. Mais je vous invite a continuer le debat sur mon blog.

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  • 3 weeks later...
Je l'ai commandé à mon libraire voilà 2 semaines déjà.. je l'attends toujours et je suis impatiente de le lire..

Je l'ai commandé, reçu et lu en moins de 10 jours :icon_up: … je le conseille à tous, il est très bien documenté, très concis et très clair. Il nous en faudrait un comme ça sur chaque sujet d'actualité !

J'en ferai sans doute ma référence pour y piocher des arguments…

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Je l'ai commandé, reçu et lu en moins de 10 jours :icon_up: … je le conseille à tous, il est très bien documenté, très concis et très clair. Il nous en faudrait un comme ça sur chaque sujet d'actualité !

J'en ferai sans doute ma référence pour y piocher des arguments…

Je l'attends avec impatience parce qu'il faut que je le prete d'urgence à ma tante, persuadée que la planète est en danger, que cela empire, qu'il faut vite arreter de surconsommer etc…

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Je l'attends avec impatience parce qu'il faut que je le prete d'urgence à ma tante, persuadée que la planète est en danger, que cela empire, qu'il faut vite arreter de surconsommer etc…

Tiens, on a la même ?

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Tiens, on a la même ?

J'ai pas osé lui dire qu'elle vivait seule dans une maison de 150 m², qu'elle avait un fixe, un mobile (tel et pc), 200 bouquins, autant de CD, une voiture 5 places, qu'elle fait au moins 2 voyages par an et qu'elle adore achter des trucs chez Ikéa…

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J'aurais sans doute l'occasion de lui en parler, mais je voudrais votre avis sur cette citation répétée dans ce livre impeccable :

Keynes:

Les idées, justes ou fausses, mènent le monde"

Je suis pas vraiment fan : je l'entends trop souvent comme argument en faveur d'une sorte d'intellectualisme libéral. Je ne crois pas même à la primauté des idées … l'action est première dans certaines situations d'incertitude non ?

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Je suis pas vraiment fan : je l'entends trop souvent comme argument en faveur d'une sorte d'intellectualisme libéral. Je ne crois pas même à la primauté des idées … l'action est première dans certaines situations d'incertitude non ?

On va laisser monologuer Keynes pour te répondre :icon_up: :

keynes

Les hommes d'action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d'ordinaire les esclaves de quelques économistes passés

edit: mince, en fait c'est la suite de ta citation, j'imagine que tu l'as donc déja vu dans le bouquin.

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On va laisser monologuer Keynes pour te répondre :icon_up: :

edit: mince, en fait c'est la suite de ta citation, j'imagine que tu l'as donc déja vu dans le bouquin.

:doigt: en fait non, ya pas cette partie là… un délice.

Il avait l'idée fixe Keynes… je ne connais personne qui soit né avec la science infuse… pas non plus le premier économiste.

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Je suis pas vraiment fan : je l'entends trop souvent comme argument en faveur d'une sorte d'intellectualisme libéral. Je ne crois pas même à la primauté des idées … l'action est première dans certaines situations d'incertitude non ?

Pour marcher, il vaut mieux avoir une jambe gauche et une jambe droite. En plus, il faut les coordonner. Ben l'activisme libéral, c'est pareil. :icon_up:

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Pour marcher, il vaut mieux avoir une jambe gauche et une jambe droite. En plus, il faut les coordonner. Ben l'activisme libéral, c'est pareil. :icon_up:

Avec ton avatar, cette phrase me fait tout de suite penser à du Aron (en fait à Desproges :doigt: )

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Pour ceux que ça intéresse:

L'interdiction des OGM nous prive de technologies aux bénéfices bien réels

L'invitée.

Cécile Philippe, Directrice générale, Institut économique Molinari, auteure d'un livre portant sur ces questions: «C'est trop tard pour la terre», Editions Lattès, 2007

Vendredi 13 avril 2007

Alors que la France vient de transposer, avec cinq ans de retard, la directive européenne portant sur la dissémination des Organismes génétiquement modifiés (OGM), selon un sondage de TNS-Sofrès, 66% des Français continuent de penser qu'il faut interdire la culture des OGM en plein champ. C'est à eux que la candidate socialiste aux élections présidentielles, Ségolène Royal, s'est récemment adressée en proposant un moratoire immédiat sur leur dissémination. L'interdiction et, dans une moindre mesure, la demande d'autorisation relative à leur dissémination que consacrent les deux nouveaux décrets publiés le 20 mars 2007 ont un coût important. En effet, ces dispositions nous privent ou ne nous laissent bénéficier qu'au compte-gouttes de technologies porteuses de bénéfices réels au nom de risques hypothétiques.

A cet égard, il faut reconnaître que la dissémination d'OGM après un lourd processus administratif (comprenant aussi une obligation d'étiquetage) présente plus de souplesse et moins de dangers que leur interdiction pure et simple. Il est cependant important de rappeler que les procédures d'autorisation par les autorités publiques non seulement retardent et rendent plus coûteuse la commercialisation de nouvelles technologies, mais elles présentent aussi le danger de ne privilégier que les projets les plus conservateurs. Elles risquent de commettre l'erreur de croire qu'un OGM inoffensif est dangereux et donc de ne pas l'autoriser.

Pourquoi? Parce que les décideurs en matière d'autorisation sont des hommes comme les autres. Comme dans tout autre domaine, ils sont au service de leurs concitoyens dans la mesure où cela sert aussi leur intérêt personnel. Or, celui-ci dépend des budgets que leur agence obtient des hommes politiques, qui eux sont affectés par les scandales médiatiques. De ce point de vue, il est beaucoup moins risqué d'interdire un OGM plutôt que de l'autoriser dans la mesure où les victimes d'un produit non autorisé ne sont pas identifiables.

Il y a donc fort à craindre que cet assouplissement dans la réglementation ne soit qu'un pis-aller à leur interdiction. Contrairement aux idées reçues, il est approprié de parler de craintes et de dangers lorsqu'on envisage d'interdire ou de retarder la dissémination des OGM car on se prive, par ces mesures, de leurs nombreux bénéfices. Sans eux, on risque d'exposer davantage les populations aux aléas de la nature et limiter leurs moyens de réagir et de s'adapter.

Certains OGM semblent d'ores et déjà apporter des bénéfices réels. Le riz doré, par exemple, aurait l'avantage de produire du bêta-carotène, précurseur de la vitamine A et pourrait contribuer à résoudre les problèmes de cécité et de malnutrition dans le monde.

De même des scientifiques américains ont récemment réussi à créer un moustique transgénique qui ne peut pas transmettre le paludisme aux souris. Dans le cadre d'une expérience, les chercheurs ont pu démontrer que ce moustique avait une espérance de vie supérieure et une meilleure fécondité que les moustiques conventionnels, deux caractéristiques qui ont pu leur permettre de remplacer progressivement ces derniers. Lorsque l'on sait que 1 à 2,5 millions de personnes meurent chaque année du paludisme, on comprend les bénéfices immenses que pourrait apporter un tel moustique génétiquement modifié incapable de transmettre la maladie aux hommes. Encore hypothétiques, ils pourraient le rester si des bureaucrates décidaient de ne pas l'autoriser.

Au-delà de leurs apports alimentaires, les OGM pourraient offrir une solution à un défi important dans les prochaines années: celui de nourrir 10 milliards d'être humains sur Terre. En effet, les OGM auraient le potentiel d'augmenter la productivité des superficies cultivées. Or, il faut bien réaliser que c'est l'agriculture intensive, par ses gains de productivité, qui a permis de nourrir une population toujours plus importante sans pour autant y consacrer des surfaces de culture proportionnellement plus grandes. Il semble que si nous avions encore à ce jour le niveau de productivité atteint en 1950, nous aurions dû cultiver 24 millions de km2 de forêts et de terres sauvages en plus.

En dépit de leurs très nombreux avantages, les OGM continuent de cristalliser de nombreuses craintes qui pourtant sont peu fondées car aucun effet indésirable n'a pu être identifié du fait de leur utilisation des OGM. Les Américains consomment des produits génétiquement modifiés depuis plus d'une dizaine d'années, sans qu'aucune crise alimentaire se soit produite. En 2003, Lester Crawford de la Food and Drug Administration (FDA) soulignait «qu'il n'y a pas eu une seule réaction négative à la nourriture biotechnologique» et d'ajouter «qu'entre-temps il y a eu des dizaines de milliers de réactions à l'alimentation traditionnelle».

En dépit de ce constat, les procédures administratives empilent les obligations à l'égard des producteurs et importateurs d'OGM, en particulier celui d'étiqueter les produits dès lors que les organismes génétiquement modifiés sont présents dans une proportion supérieure à 0,9%. Il semble a priori normal d'informer les consommateurs sur ce qu'ils ont dans leur assiette. On peut cependant se demander le pourquoi de cette obligation. En effet, si cette demande d'information des consommateurs est réelle, il est évident que les vendeurs de produits non-OGM auront intérêt à y répondre et à informer les consommateurs de leurs produits qu'ils sont exempts d'OGM. L'obligation, à l'image du principe de précaution dont elle s'inspire, inverse la charge de la preuve, et fait peser sur les OGM une suspicion qui relève davantage de peurs que de dangers avérés.

En jetant systématiquement le doute sur cette technologie qu'est le génie génétique, on nous prive des produits et innovations qui auraient vu le jour depuis longtemps et on nous fait courir des risques qu'il est dangereux d'ignorer.

http://www.letemps.ch/template/economie.as…1&quickbar=

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Matthieu Laine frappe un grand coup avec sa nouvelle collection "Idées Fausses / Vraies Réponses". De l'excellent travail d'information. Ca se trouve facilement en librairie, la présentation est colorée et c'est ultra court (j'ai lu les 2 en une soirée chacun). Reste à espérer que ça se vende bien et pas seulement parmi les lecteurs de Liberaux.org, conquis d'avance.

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Reste à espérer que ça se vende bien et pas seulement parmi les lecteurs de Liberaux.org, conquis d'avance.

J'ai prêté un exemplaire du bouquin de Cécile à un collègue qui croit cru comme fer au catastrophisme du réchauffement climatique mais est assez ouvert d'esprit et brillant pour étudier les autres thèses … je vous dirai s'il le considère de valeur…

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  • 3 weeks later...

J'ai lu et je ne recommande pas. La miss oppose la croissance économique à la préservation de l'environnement, elle se positionne clairement comme une productiviste. Pour elle, la préservation de l'environnement importe moins que la liberté de produire et d'ailleurs la liberté de produire engendre une meilleure préservation de l'environnement donc la question ne se pose pas, il faut défendre la liberté de produire. Autant ne pas écrire tout un bouquin sur la préservation de l'environnement dans ce cas. De plus, elle reste sur une approche macro-économique bien éloignée de la sensibilité et de la recherche concrète d'équilibre dans le vivant, des milieux écologistes radicaux.

Bref, ce livre donnera des arguments anti-écologistes aux productivistes qui en cherchent. Mais il ne convaincra pas des lecteurs inquiets des conséquences des activités humaines.

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Bref, ce livre donnera des arguments anti-écologistes aux productivistes qui en cherchent. Mais il ne convaincra pas des lecteurs inquiets des conséquences des activités humaines.

J'ai confiance dans les conséquences des libres activités humaines. Tu connais la courbe de Kuznets environnementale ?

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Invité Arn0
J'ai lu et je ne recommande pas. D'abord la miss oppose la croissance économique à la préservation de l'environnement, elle se positionne clairement comme une productiviste. Pour elle, la préservation de l'environnement importe moins que la liberté de produire et d'ailleurs la liberté de produire enendre une meilleure préservation de l'environnement donc la question ne se pose pas, il faut défendre la liberté de produire. Autant ne pas écrire tout un bouquin sur la préservation de l'environnement dans ce cas. De plus, elle reste sur une approche macro-économique bien éloignée de la sensibilité et de la recherche concrète d'équilibre dans le vivant, des milieux écologistes radicaux.

Bref, ce livre donnera des arguments anti-écologistes aux productivistes qui en cherchent. Mais il ne convaincra pas des lecteurs inquiets des conséquences des activités humaines.

La cible ce n'est pas les écologistes radicaux, c'est monsieur et madame tout le monde intoxiqué par le discours écologiste.

Par exemple la question de l'épuisement des ressources fossiles, qui n'a rien à voir avec "l'équilibre dans le vivant" (le niveau des réserves de pétrole et de gaz dans le sous sol n'a aucune conséquence sur la faune et la flore) et qui est pourtant l'une des plus abordé par les écologistes (après le réchauffement climatique), est une question purement macro-économique. Vouloir l'aborder sous un autre angle c'est une vaste escroquerie.

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Par exemple la question de l'épuisement des ressources fossiles, qui n'a rien à voir avec "l'équilibre dans le vivant" (le niveau des réserves de pétrole et de gaz dans le sous sol n'a aucune conséquence sur la faune et la flore) et qui est pourtant l'une des plus abordé par les écologistes (après le réchauffement climatique), est une question purement macro-économique. Vouloir l'aborder sous un autre angle c'est une vaste escroquerie.

Mmmh, le rapport entre la fin du pétrole et l'écologie est, soit dans le réchauffement climatique lié à la consommation, soit dans certaines solutions à cette raréfaction à venir que proposent les décroissants : production relocalisée, etc. Les solutions décroissantes ne sont pas macro mais micro. Mais il y a aussi les écologistes productivistes, qui eux, c'est vrai, apprécient plus les statistiques.

A propos de la fin du pétrole, j'ai noté une incohérence dans le bouquin de Cécile : au chapitre 3 elle explique qu'il y a eu d'autres changements de sources d'énergie par le passé (bois, puis charbon, puis pétrole -j'aurais plutôt dit "esclavage puis pétrole" en ce qui me concerne-) et laisse ainsi entendre qu'on n'est pas à un changement près. Puis elle dit que les progrès technologiques font qu'on consomme de moins en moins de pétrole. Donc clairement, c'est pas un souci si le pétrole vient à se raréfier. Mais ensuite au chapitre 5 le protocole de Kyoto est une catastrophe parce qu'il augmente le coût de production du pétrole, et cette fois-ci le pétrole est partout, on ne peut pas s'en passer etc. Faudrait savoir.

J'ai aussi relevé une affirmation un peu, euh, discutable : "Si la rareté existe encore, c'est parce que nous n'avons pas été assez créatifs pour la surmonter". Tout s'explique…

Copeau n'est pas loin de l'affreuxthomas

J'adhère à ce que dit Copeau. :icon_up:

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
IMPOSE-TOI BORDEL ! :doigt:

Face à Allègre et Rosnay (qui se retient), c'est pas évident. Par contre, il y a un atout : les réchauffistes de ce débat sont laids à faire peur. :icon_up:

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Face à Allègre et Rosnay (qui se retient), c'est pas évident. Par contre, il y a un atout : les réchauffistes de ce débat sont laids à faire peur. :icon_up:

Je trouve ce débat nullisime, mais qu'attendre d'un débat avec 10 tocards (excepté Cécile évidemment) et surtout à la télé ?

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