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Le contexte sécuritaire profite aux pro-armes en France, extrême droite & Contrepoints


Astha

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Bon, même si ce n'est pas mon truc:

 

Le contexte sécuritaire profite aux pro-armes en France

 

Dans un pays où la culture des armes est quasi inexistante, il existe des gens pour promouvoir le port d'arme citoyen. Un combat qui prend une nouvelle dimension après les attentats, mais se cantonne encore essentiellement aux sphères confidentielles de l'extrême droite.

 

Des guns en veux-tu en voilà. Bienvenue sur la page Facebook de l’Arpac, l’association pour le rétablissement du port d’arme citoyen, et bon vent aux âmes sensibles. «Si vous avez la phobie des armes, merci de ne pas me prendre pour un psy ou bien alors payez-moi», avertit d’emblée une inscription sur la photo de couverture de la page, un gros plan sur un revolver qui dépasse d’un jean.

 

Créée en 2015, l’association se décrit comme «une équipe de citoyens bénévoles, détenteurs d’armes». «On s’est rencontrés dans un groupe de discussion sur le port d’arme. Nous sommes une dizaine de personnes très actives», explique Pierre, un membre de l’Arpac. Leur objectif : voir le port d’arme autorisé, soit permettre aux citoyens qui le souhaitent de se balader avec un petit calibre dans la poche.

 

Aujourd’hui, le port d’arme est réservé aux seuls fonctionnaires de police ou des douanes et aux agents de surveillance. Les personnes exposées à des risques d’atteinte à leur vie peuvent aussi «exceptionnellement, sous conditions et sur demande, être autorisées par le ministre de l’Intérieur à porter une arme de poing». «Il faut bien distinguer la détention et le port d’arme, explique Laurent-Franck Lienard, avocat spécialisé dans le droit des armes à feu. Détenir une arme, c’est assez facile alors que le port ne concerne qu’une cinquantaine de personnes en dehors des forces de l’ordre.»

 

Avec l’Arpac, fini ce cercle restreint. Attention toutefois, le droit au port d’arme citoyen doit obéir, selon l’Association, à quelques conditions : être volontaire, de nationalité française, majeur, sans antécédents judiciaires ni psychiatriques. Voilà pour les pré-requis. Le candidat à l’armement devrait ensuite satisfaire une enquête de moralité par la police, s’entraîner régulièrement dans un stand de tir, obtenir un certificat médical d’aptitude, passer un permis de port d’arme théorique et pratique – une formation égale à celle des forces de l’ordre, précise l’association, et porter son arme de poing de façon discrète. Le dernier critère est essentiel. Il permettrait d'«[instaurer] une paranoïa dans le cerveau de l’agresseur potentiel et d’[inverser] complètement le rapport de forces» en lui laissant supposer que n’importe quelle personne en face de lui peut être armée, et qu’il ne le saura pas, puisque l’arme est susceptible d’être cachée.

 

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen pour argumentaire

L’Arpac et sa dizaine de membres ne sont pas les seuls à militer pour le grand réarmement de la France. Edouard (qui n’a pas souhaité donner son nom de famille) a créé le groupe Facebook Droit de porter des armes il y a deux ans. «C’est parti d’un intérêt intellectuel. Plus je me renseignais, notamment sur les cas des Etats-Unis, plus je comprenais que l’idée avait de la valeur et qu’elle n’était pas du tout exposée au public français», raconte-il.

 

Point central de son argumentaire, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et cette phrase, issue du comité qui l’a rédigée et qui ne figure pas dans le texte final : «Aucun pays n’est plus paisible et n’offre une meilleure police que ceux où la nation est armée.» «Le droit au port d’arme a failli être inscrit dans la Déclaration des droits de l’homme mais à l’époque on a jugé que c’était inutile de l’inscrire car trop évident», assure Edouard, qui aime visiblement faire appel à l’histoire. «Le système est devenu très restrictif au XXe mais avant, on pouvait porter des armes, ça a été oublié. On entend souvent dire qu’en France nous n’avons pas cette culture-là, c’est faux ! Pendant la Révolution, les Français ont pris les armes.»

 

Un argument repris par beaucoup de militants pro-armes. Sur le site Contrepoints, un certain Marius Joseph Marchetti assure ainsi que «réclamer le port d’arme, c’est renouer avec l’esprit de la Révolution française». «En effet, le port d’arme n’est devenu illégal qu’en 1939, confirme Laurent Franck Lienard, avocat. Les Français étaient armés, il y avait même ce qu’on appelait des pistolets de dames mais on ne peut pas s’appuyer sur cela et sur la Déclaration des droits de l’homme. Il faut prendre en compte la situation actuelle, la société est beaucoup moins criminogène.»

 

L’armement citoyen au nom de l’égalité homme-femme

Peu importe les faits, dans la galaxie des partisans du port d’arme citoyen, on tente de convaincre à coup de grands principes. Ainsi, selon l’Arpac, le droit de se défendre est «le premier droit élémentaire de tout être vivant». D’où une rupture d’égalité. «Ceux qui interdisent le port d’arme aux "sans-dents" ont tous des gardes du corps armés», assure l’association. A tort, puisqu'à l'exception des présidents de l’Assemblée et du Sénat, les parlementaires ne disposent pas d’une protection de haut niveau. L’Arpac explique aussi militer «au nom de l’égalité homme-femme», le port d’arme offrant au sexe faible une façon de rétablir une inégalité physique naturelle, quand le groupe français Firearms United plaide pour «la préférence pour le citoyen respectueux des lois par rapport aux besoins des criminels». Ces derniers parvenant aujourd’hui à se procurer des armes illégalement.

 

Autre argument largement relayé par les groupes de promotion du port d’arme : l’Etat ne peut assurer en permanence, partout, la sécurité de tous. Un fait que viennent prouver, selon eux, les attentats qui ont eu lieu en France. La menace terroriste a ainsi totalement imprégné leur rhétorique. Plus question de se contenter de faire la promotion de l’«exemple israélien» ou de louer les vertus du système américain en relayant des articles intitulés «Ce citoyen armé a sauvé la vie d’un policier agressé» ou encore «Aux Etats-Unis, le féminisme au bout du fusil». Plus question non plus de se limiter aux faits divers anxiogènes, les attaques terroristes démontrant selon eux à chaque fois un peu plus la nécessité du port d’arme.

 

Le jour de l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray, l’information est ainsi relayée sur le groupe Facebook de l’Arpac avec cette mention : «Grâce au port d’arme citoyen, des morts peuvent être évités». «Combien de temps permettra-t-on cette ineptie, ce désarmement criminel des civils français qui sont en première ligne face au terrorisme ?», s’interroge l’association. Sur presque tous les groupes, on écrit cette phrase : «Nous ne serons jamais protégés par des bonnes paroles larmoyantes, des tweets, des bougies et des fleurs.»  Les partisans de l’armement ne rechignent pas non plus à instrumentaliser l’exemple de Charb, rédacteur en chef de Charlie Hebdo qui, tireur sportif, s’était vu refuser une autorisation de port d’arme. Sous-entendu : les choses auraient pu se passer autrement.

 

Le contexte terroriste donne ainsi un nouveau souffle au combat des pro-armes, dans un pays où, quoi que dise la Déclaration des droits de l’homme, la culture des armes est quasi inexistante et la revendication du port quasi jamais portée. «Le changement le plus radical a eu lieu après le 13 novembre, explique Edouard. Il y a eu une explosion du nombre de personnes intéressées par ces idées-là. Beaucoup de gens me demandent comment ils peuvent s’armer.» En un peu moins d’un mois, en juillet, la page Facebook de l’Arpac est ainsi passée d’un moins de 6 000 «likes» à 10 000. Si l’acte qui consiste à «liker» représente un engagement bien limité, il témoigne d’un intérêt nouveau. «On est persuadés que les élus vont s’emparer de la question», explique Pierre, membre de l’association.  

 

 

http://www.liberation.fr/france/2016/08/25/le-contexte-securitaire-profite-aux-pro-armes-en-france_1474029

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article a charge destine a 

-faire croire qu'il n'y a pas de culture des armes en france, un message que seuls les cretins lecteurs de libe (et encore meme pas tous )vont avaler, d'ailleurs la conne en charge l'ecrit deux fois.

-descendre l'Arpac

-la faire passer pour un groupuscule

-d'etreme droite, parce qu'en france l'autodefense c'est obligatoirement extreme et de droite

 

le diagramme armes vs terrorisme est d'un ridicule acheve.

 

Bref, rien de neuf sous le soleil du journalisme.En revanche, vu qu'un journaliste ca dit des conneries, ca ment de bonne et de mauvaise foi, on peut legitimement soupconner que l'Arpac a de plus en plus de fans, de moins en moins de droite, et que le piteux journal de propagande fait la description d'une situation deja obsolete.

  • Yea 4
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Ils ont beau jeu de parler de sous entendus car tout l'article lance des piques sous entendues :

 

- il n'y a pas de culture des armes en France donc (c'est ce qui est sous entendu) pas de fondement à la revendication.

- pas de nécessité car contexte pas criminogène

- revendication "portée par" une peur, donc ridicule, irrationnelle...

- appuyée sur des "faits divers" et évènements rares mais marquants (terrorisme... en fait si on veut le faire à la Taleb, le terrorisme est l'exemple typique de fat tails pour le meurtre, mais c'est un débat pour plus tard).

 

L'angle mort visible de l'article est évidemment la question du féminisme armé, point sur lequel libération n'a pas de piques à lancer. D'ailleurs heureusement puisque je ne suis pas sûr qu'ils trouveraient les revendication féministe ridicules à cause soit 1) du manque de culture d'égalité des sexes en France, 2) d'un appel à la tendance : les agressions contre les femmes sont en baisse donc on s'en fout ? 3) de la revendication portée par la peur, je vais pas vous faire un dessin... 4) de la référence à un évènement rare mais marquant.

 

Bref, c'est un procès d'intention que je fais à libé mais il ne me semble pas très très tiré par les cheveux.

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eheh, je relance d'un ChaNgeMeNt cLimAtiQue

 

Oui en plus, mais surtout la peur c'est l'exemple typique de psychologisation à double tranchant, notamment dans les cas où on a peur pour de bonnes raisons.

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L'angle mort visible de l'article est évidemment la question du féminisme armé, point sur lequel libération n'a pas de piques à lancer. D'ailleurs heureusement puisque je suis sûr qu'ils trouveraient les revendication féministe ridicules à cause soit 1) du manque de culture d'égalité des sexes en France, 2) d'un appel à la tendance : les agressions contre les femmes sont en baisse donc on s'en fout ? 3) de la revendication portée par la peur, je vais pas vous faire un dessin... 4) de la référence à un évènement rare mais marquant.

 

Il y a une pique à lancer.

La presse de gauche américaine utilise des stats d'après lesquelles les femmes habitant un logement armé ont plus de risque de mourir par arme à feu dans le cadre d'une dispute conjugale.

 

http://smartgunlaws.org/law-center-and-americans-for-responsible-solutions-release-second-commonsense-solutions-toolkit-on-guns-and-domestic-violence/

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Il y a une pique à lancer.

La presse de gauche américaine utilise des stats d'après lesquelles les femmes habitant un logement armé ont plus de risque de mourir par arme à feu dans le cadre d'une dispute conjugale.

 

http://smartgunlaws.org/law-center-and-americans-for-responsible-solutions-release-second-commonsense-solutions-toolkit-on-guns-and-domestic-violence/

 

Mais est-ce qu'elles ont un risque plus élevé de mourir dans une dispute conjugale ? Si oui je suis d'accord, ça fait un point féministe contre les armes à feu (que vaut-il face aux droits fondamentaux c'est une autre question).

 

(Sinon désolé j'avais oublié un "ne pas" dans le passage que tu cite mais il se trouve qu'à cause de l'ironie le sens ne change pas -je crois).

 

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Il y a une pique à lancer.

La presse de gauche américaine utilise des stats d'après lesquelles les femmes habitant un logement armé ont plus de risque de mourir par arme à feu dans le cadre d'une dispute conjugale.

http://smartgunlaws.org/law-center-and-americans-for-responsible-solutions-release-second-commonsense-solutions-toolkit-on-guns-and-domestic-violence/

J'ai lu en diagonale mais l'article dit que ça craint plus pour les femmes si un agresseur est armé, ça fait un peu captain obvious.

(pas lu s'il se passait quelque chose si madame est armée)

  • Yea 1
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Mais est-ce qu'elles ont un risque plus élevé de mourir dans une dispute conjugale ? Si oui je suis d'accord, ça fait un point féministe contre les armes à feu (que vaut-il face aux droits fondamentaux c'est une autre question).

 

L'article que j'avais lu : http://www.theatlantic.com/national/archive/2014/02/having-a-gun-in-the-house-doesnt-make-a-woman-safer/284022/

 

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l'argument conjugal existe precisement en surimposition des milieux  qui 

-utlisent des armes illegales

-n'ont aucune education de l'arme ET sont urbains ou de banlieue / zone defavorisee.

 

 

Ce sont les memes milieux dans lesquels il y a plein d'enfants victimes d'armes par negligence des parents.

En gros, des noirs.Ca tache un peu comme stat.

L'autre statistique qui tache ca va etre le fait que les femmes n'en ont rien a cirer des armes et ne vont pas s'y interesser, ni quitter un mari fou a lier qui menace sa famille avec son arme,et pour ca on les retrouve vraiment bien representees parmis les victimes, mais ca bonne chance pour le mettre dans un tableau.

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Indeed, the study found that women with access to firearms become homicide victims at significantly higher rates than men. It has long been recognized that higher rates of gun availability correlate with higher rates of female homicide.

 

Et même si la remarque de JIM16 (qu'il faut vérifier si c'est la seule présence d'arme qui compte le plus) est bonne :

 

This is true even after controlling for factors such as urbanization, alcohol use, education, poverty, and divorce rates.

 

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je conteste cette derniere citation sortie du cul du journaliste, on ne sait pas comment ils controlent, alors que c'est fondamentalement evident que les gens qui butent leur femme avec une arme chez eux appartiennent a une population particuliere, soit des dingues, soit des alcolos (donc dingues), soit des gens de faible education, pauvres ou rendus dingues par un divorce sans pitie.

Le reste de la stat revient a dire que meme avec une arme, les femmes ne sont pas douees pour se defendre et la je suis sur le cul, quelle surprise immense.

 

Et donc a cause de tout ca il faudrait empecher aux autres de se defendre.

 

Un truc interessant ca serait de voir comment sont les stats pour l'afrique du Sud ou l'auto-defense est un sujet vachement plus serieux en particulier pour les femmes blanches.

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je conteste cette derniere citation sortie du cul du journaliste, on ne sait pas comment ils controlent, alors que c'est fondamentalement evident que les gens qui butent leur femme avec une arme chez eux appartiennent a une population particuliere, soit des dingues, soit des alcolos (donc dingues), soit des gens de faible education, pauvres ou rendus dingues par un divorce sans pitie.

Contrôler au sens statistique ça veut dire qu'on regarde le facteur "présence d'arme" en gardant les autres variables constantes, je pense pas que le problème vienne de là. Par contre quand ils disent que l'effet est conservé, peut-être que l'effet qu'il reste est tout petit petit et que contrôler par chaque facteur n'enlève pas la même taille d'effet. C'est plutôt là que je regarderai, mais ça n'enlèvera pas le fait qu'à moins de manipulation des données dans la méta-analyse sur laquelle se base le journaliste, ils ont l'air d'avoir trouvé que la présence d'arme dans le ménage augmente le risque qu'une femme soit victime d'homicide.

 

Maintenant il faudrait vérifier qu'en disant ça ils regardent toujours bien les homicides de la femme commis par le mari avec l'arme de la femme, ce qui était le claim le plus fort, et pas avec une arme du ménage, ou d'ailleurs, et n'importe quels homicides pas seulement conjugaux, parce que là on peut imaginer des situations qui ne collent pas avec le cliché qu'ils essaient de faire passer. C'est aussi plutôt le type d'errements journalistiques que je soupçonnerais.

 

 

Et donc a cause de tout ca il faudrait empecher aux autres de se defendre.

On est d'accord sur ce point, je le faisais remarquer avant.

 

 

Un truc interessant ca serait de voir comment sont les stats pour l'afrique du Sud ou l'auto-defense est un sujet vachement plus serieux en particulier pour les femmes blanches.

Faudrait voir, à quoi tu t'attends?

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Maintenant il faudrait vérifier qu'en disant ça ils regardent toujours bien les homicides de la femme commis par le mari avec l'arme de la femme, ce qui était le claim le plus fort, et pas avec une arme du ménage, ou d'ailleurs, et n'importe quels homicides pas seulement conjugaux, parce que là on peut imaginer des situations qui ne collent pas avec le cliché qu'ils essaient de faire passer. C'est aussi plutôt le type d'errements journalistiques que je soupçonnerais.

En deux mots : Jacqueline Sauvage.

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Faudrait voir, à quoi tu t'attends?

 

 

beh je m'attends a moins de femmes victimes de l'arme possedee a la maison, et beaucoup plus de femmes desarmees tuees par des invasions de propriete.

 

Maintenant il faudrait vérifier qu'en disant ça ils regardent toujours bien les homicides de la femme commis par le mari avec l'arme de la femme, ce qui était le claim le plus fort, et pas avec une arme du ménage, ou d'ailleurs, et n'importe quels homicides pas seulement conjugaux, parce que là on peut imaginer des situations qui ne collent pas avec le cliché qu'ils essaient de faire passer.

 

 

absolument, et ca ne m'etonnerais pas du tout que l'arme en question soit toujours l'arme de l'homme, et tres souvent une arme obtenue illegalement.

 

 

De toute facon l'argument de la femme est un grand classique particulierement pratique au Canada.Ca ressemble a un argument de la derniere chance une fois que tous les autres ont ete demontres difficiles a degager.Et c'est bien dans le style "je ne veux pas me defendre", je ne l'ai jamais vu avance par des femmes qui s'interessent a l'auto-defense, toujours par les autres: le but est de supprimer les armes de la vie civile peu importe si elle servent a la defense, la chasse ou au tir sportif, on n'en veut pas a la maison.C'est l'archetype de l'argument bloquant propose par des personnes bloquantes pour qui regler les problemes n'a aucune importance.Pour elles les seuls problemes qui existent sont d'ordre conjugal et le reste ne compte pas.Il est bien souvent sorti a des gens qui n'ont absolument pas le profil du mari abusif ni suffisamment fou pour tenter cet acte, mais peu importe, la femme est mal a l'aise avec une arme a la maison, et le probleme de la securite sera traite avec un psychologue une fois que la madame se sera fait agresser chez elle.La precaution domine la prevoyance.

  • Yea 1
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absolument, et ca ne m'etonnerais pas du tout que l'arme en question soit toujours l'arme de l'homme, et tres souvent une arme obtenue illegalement.

 

Ouais mais si ils ont fait l'erreur de simplement corréler mort par homicide et présence d'arme à feu il faut compter aussi celles dont le mari a une arme et qui ont été tuées par un inconnu avec un couteau. D'ailleurs dans un monde possible où tous les hommes ont une arme, toutes les femmes non célibataires assassinées tombent dans cette statistique. C'est plutôt le genre de journalisme auquel je m'attendais, tu vois.

 

Mais bon, je précise que je ne sais pas s'ils font cette erreur, simplement ils disent :

 

Indeed, the study found that women with access to firearms become homicide victims at significantly higher rates than men

 

Donc...

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oui oui je suis bien d'accord.

C'est toujours interessant ces statistiques qu'on avance pour decourager les gens de faire quoi que ce soit. Il faut decortiquer, alors que le bon sens de base est plutot clair a ce niveau.

-si on n'a pas d'arme on est dans la merde

-une arme regle vraiment bien la situation quand on s'en sert

-sortir une arme sans avoir l'intention de s'en servir ( un grand classique des femmes armees) est la garantie d'avoir de gros problemes

 

C'est aussi interessant dans la mesure ou les gauchiss et autres progs ramenent systematiquement l'instruction et l'education necessaires dans tous les domaines, mais pas dans celui la.

  • Yea 3
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les commentaires de l'article ( a part un ) sont largement moins idiots que l'article lui meme.Une fois de plus c'est difficile de ne pas noter le decalage entre un canard de gauche qui ressasse des idees sans contexte, et une population de lecteurs qui vit dans la realite avec tout ce que ca implique d'influence sur les idees.

 

Les journalistes sont des incultes feignants qui prennent leur cas pour une generalite.

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A propos :

http://www.lepoint.fr/insolite/le-top-5-des-destinations-ou-les-voyageuses-peuvent-sejourner-en-paix-25-08-2016-2063822_48.php#xtor=CS3-190

 

Plus importunées au quotidien que les hommes, les femmes ont désigné cinq pays à explorer sans crainte. Hélas, la France ne figure pas dans le classement.

Les États-Unis talonnent de près leur voisin. Quatrième du classement en dépit d'un nombre élevé d'homicides, le pays multiplie les campagnes contre la violence contre les femmes et les enfants. Les chercheurs attribuent étonnamment ce succès à l'autorisation du port d'armes, lequel dissuaderait les agresseurs d'attaquer ces dames.

 

 

 

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