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Paul Ryan du Wisconsin, candidat à la vice-présidence


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Fiscalement conservateur, veut s'attaquer aux dépenses. Probablement un des moins mauvais choix.

Au moins, ça mettra beaucoup de Républicains devant leurs paradoxes : on coupe les dépenses, OK, mais on commence où ?

Ceci dit, Ryan est catholique, de mémoire. Ca veut dire que personne n'est protestant dans le ticket du GOP.

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La presse le présente comme un jeune faucon disciple de Rand. Voilà qui devrait assurer la réélection d'Obama.

http://www.letemps.c…0ba65bae9dd%7C1

http://washington.bl…s-et-malus.html

-Ce ticket Romney-Ryan ouvre un boulevard aux démocrates pour faire porter le débat sur les inégalités sociales et la défense d’un minimum de protection sociale, plutôt que sur le chômage et l’état pas très reluisant encore de l’économie. Pour un certain nombre d’indépendants, ou tous ceux qui se préoccupent de leur couverture santé, le zèle libéral de Paul Ryan pourrait être aussi un peu too much. Par le passé, Ryan se voulait même disciple d’Ayn Rand, l’une des principales théoriciennes du libertarianisme. Il a dû déjà prendre un peu de distance en précisant n’être pas un « libertarien pur et dur » et ne pas partager notamment l’athéïsme radical d’Ayn Rand.

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Pourquoi tout le monde tombe là-dedans? C'est ridicule.

Depuis janvier, tous les analystes politiques un peu impartiaux clament que les républicains ne peuvent pas gagner sans les supporters de Ron Paul:

http://www.youtube.com/watch?v=_P4TwYmQ1oA

Ils essaient donc de se racheter une image auprès de ces supporters qui sont encore révoltés des nombreux cas de fraude durant cette campagne. Ils récupèrent Rand Paul qui se fait alors descendre par les supporters de son père.

Ici, ils sortent un Paul Ryan de nulle part qu'ils présentent comme un paleo-conservateur randien alors que ce type possède un voting records comparable à celui d'Obama ou de Romney. On peut rajouter à ça que le VP est un homme dont le boulot consiste à assurer la présidence en cas de problème mais, autrement, n'est qu'un homme de discours. Paul Ryan n'est qu'une parfaite marionnette opportuniste.

Encore que les analystes politiques démocrates prétendent que Romney ne pourra pas finir la campagne et que c'est son VP qui, in fine, se retrouvera élu à cause des histoires de montages fiscaux de Romney. Mais j'en doute, pour ma part. Ce sera sûrement étouffé.

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Ils essaient donc de se racheter une image auprès de ces supporters qui sont encore révoltés des nombreux cas de fraude durant cette campagne. Ils récupèrent Rand Paul qui se fait alors descendre par les supporters de son père.

Ryan est dans les petits papiers du Tea Party, il est là pour capter l'électorat droitier et libertarien, qui juge Romney trop tiède et centriste. Je ne vois pas la difficulté sur ce plan. Sauf que l'équation sera la même que pour Sarko à la présidentielle française, quasi insoluble, car la pression droitière et son intransigeance sur le conservatisme fiscal ouvre un boulevard aux démocrates.

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C'est faux, Ayn Rand est surtout la théoricienne de l'objectivisme (http://fr.wikipedia….isme_(Ayn_Rand)) et a un rôle marginal, très marginal dans le libertarianisme, qui est essentiellement théorisé par Molinari, Mises, Rothbard, et Cie.

Ce n'est pas à moi qu'il faut le dire, mais aux journaleux de Libé qui ont pondu l'article. Au demeurant Rand est bien un des piliers historiques de la droite libertarienne américaine. Dire qu'elle a joué un rôle marginal c'est faux, bien que médiocre philosophe son influence a été considérable aux travers de ses romans, beaucoup plus qu'un Rothbard, ou un Mises, sans parler du confidentiel Molinari.

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Ce n'est pas à moi qu'il faut le dire, mais aux journaleux de Libé qui ont pondu l'article. Au demeurant Rand est bien un des piliers historiques de la droite libertarienne américaine. Dire qu'elle a joué un rôle marginal c'est faux, bien que médiocre philosophe son influence a été considérable aux travers de ses romans, beaucoup plus qu'un Rothbard, ou un Mises, sans parler du confidentiel Molinari.

J'ai juste une question concernant la droite libertarienne : Rand a joué un rôle comme celui de Malraux pour le gaullisme (compagnon de route sans réel impact impact idéologique) ou comme Marx pour le socialisme (socle idéologique le plus important)?

J'ai l'impression qu'il s'agit plus de la première option que de la seconde.

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Si tu veux trouver un point de comparaison, par son influence et celle de sa secte, ce serait plutôt Jean-Paul Sartre.

Pour revenir à Ryan, je découvre une vidéo conspirationniste sur youtube qui le soupçonne d'être un reptilien :icon_biggrin:

PAUL RYAN THE REPTILIAN

IT SHOULD BE: 'MEET THE REPTILIANS' - NOT 'MEET THE PRESS'! NOTICE HOW MESSED UP HIS EYES ARE!

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Obama aura beau jeu de faire campagne en dénonçant le "darwinisme social" du ticket républicain et sa dérive vers l'extrême droite. L'élection US risque fort de ressembler à la présidentielle française.

Aux Etats-Unis, le candidat Mitt Romney muscle sa droite

12 août 2012

Par LORRAINE MILLOT Correspondante à Washington

Un «pari incroyablement audacieux», «un coup»ou bien un «suicide» ? Quarante-huit heures encore après la présentation samedi du jeune Paul Ryan comme colistier de Mitt Romney pour la course à la Maison Blanche, les analystes américains peinent encore à prendre la mesure de ce «séisme politique».

«Extrême droite». De l’ennuyeux Romney, enfermé dans son image de «modéré sans convictions», on n’avait vu jusqu’à présent qu’une campagne sans grande substance, cramponnée aux basques d’Obama, accusé de «faire échouer l’Amérique». Et voilà que Romney sort de son chapeau son exacte antithèse : un jeune loup libéral, auteur des propositions les plus radicales du Parti républicain pour démanteler ce qui reste de l’Etat-providence américain. Du haut de ses 42 ans, Paul Ryan (lire ci-contre) a déjà proposé rien de moins que de privatiser les retraites, remplacer l’assurance maladie des seniors par des vouchers (des bons) pour s’acheter des polices privées, supprimer l’assurance-maladie des plus pauvres ou encore réduire l’impôt des plus riches pour accroître celui des revenus modestes…Du «darwinisme social à peine voilé», avait résumé Obama en avril, sans imaginer alors que les républicains oseraient lui opposer l’auteur de ces provocations. Même le conservateur Newt Gingrich avait à l’époque aussi accusé Ryan de jouer au «Meccano social d’extrême droite», avant de devoir s’excuser pour ce propos.

Le choix de Paul Ryan signifie un violent coup de barre à droite pour les républicains, ou plutôt vient confirmer une dérive déjà largement engagée ces dernières années. Aux élections de novembre 2010, le parti a fait déjà campagne contre «l’Etat socialiste», prétendument incarné par Obama, et réussi à reconquérir ainsi la Chambre des représentants.

Cette victoire n’a fait qu’enhardir l’aile la plus extrémiste du parti, qui anime le mouvement Tea Party et voudrait bien rééditer l’exploit cette année, en prenant cette fois le contrôle de la Maison Blanche. Si extrémistes soient-elles, les propositions de Paul Ryan pour passer l’Etat-providence américain à la moulinette ont été approuvées ces deux dernières années par la quasi-totalité des élus républicains à la Chambre. «Il y a deux ans encore, les sondeurs et les stratèges républicains conseillaient à leurs candidats de prendre leurs distances avec les propositions de Ryan, rappelait en juillet Stephen F. Hayes, dans les colonnes du magazine conservateur Weekly Standard. Et le voilà maintenant leader intellectuel du parti.»

Professeur à l’université du Minnesota et auteur du blog Smart Politics, Eric Ostermeier nuance toutefois cette impression de tournant à droite : «Le candidat à la présidence reste Mitt Romney, qui n’est certainement pas un héros du Tea Party. Il faut rappeler aussi que Paul Ryan est élu d’une circonscription du sud du Wisconsin où l’électorat n’est ni républicain ni démocrate, mais plutôt modéré. Il a su s’y présenter comme un homme politique à la fois brillant et raisonnable.» Le choix de Paul Ryan «n’est certainement pas le moins risqué, résume cet observateur, mais il attire l’attention sur la campagne de Romney» et lui apporte de la substance : «Les démocrates accusent les républicains de n’être qu’un parti du non, sans propositions. Avec Ryan, ils peuvent rétorquer qu’ils ont bien un programme. Les voilà maintenant avec deux candidats très versés en économie, très studieux et très brillants, qui peuvent dire qu’ils vont remettre l’économie en ordre.» Paul Ryan va «donner de l’ampleur» à la campagne républicaine, expliquent les conseillers de Romney.

Avec un choix aussi hardi, Mitt Romney ne pourra surtout plus être si facilement traité de «girouette», ou même de «mauviette», comme l’a osé Newsweek il y a deux semaines. La présence du fringuant Ryan à ses côtés devrait aussi remobiliser les forces du Tea Party, qui n’étaient pas très empressées de mouiller leur chemise pour Romney. C’est un «coup», reconnaissent les stratèges républicains, mais pas aussi risqué tout de même que le choix de Sarah Palin en 2008 comme colistière de John McCain. Contrairement à Palin, incapable de dire quels journaux elle lisait, Paul Ryan a déjà une longue expérience de la politique nationale et devrait savoir éviter les gaffes, espère-t-on.

«Cadeau». Les démocrates se réjouissent pourtant du choix de Paul Ryan. Jusqu’à la Maison Blanche, on s’est avoué surpris, ce week-end, de cette nomination : la campagne démocrate s’efforçait jusqu’à présent de faire justement porter le débat sur les cruautés sociales prônées par Ryan et ne s’attendait visiblement pas à un tel «cadeau». «Il est justement celui qui pouvait plomber le ticket», s’est félicité Bill Burton, un des principaux stratèges de la campagne d’Obama. Ni Ryan ni Romney n’ont la moindre expérience de politique étrangère, peuvent aussi faire valoir les démocrates, même si le sujet ne joue encore pratiquement aucun rôle dans la campagne.

Quelques heures à peine après la présentation de Ryan, les démocrates ont d’ailleurs mis en ligne une première vidéo dénonçant son «programme budgétaire extrémiste» qui «s’attaque aux seniors, à la classe moyenne et aux étudiants». Les sondages donnent a priori raison aux démocrates : interrogés point par point sur les mesures proposées par Paul Ryan, comme la privatisation de l’assurance maladie ou des retraites, la plupart des Américains y sont généralement opposés. Il y va «à la faux» là où ses concitoyens préféreraient un «scalpel», a résumé Frank Bruni, du New York Times. Mais rares aussi sont les électeurs qui décortiquent le détail des mesures proposées. Bien présenté par le souriant Ryan, promettant de libérer l’Amérique de son «addiction à la dette», le programme républicain peut aussi séduire. En avril 2011, un sondage Gallup montrait que 43% soutenaient les solutions budgétaires de Paul Ryan, contre 44% celles d’Obama.

Plutôt que sur le chômage et l’économie, les démocrates disent justement vouloir faire porter cette campagne sur deux visions de la société : la défense d’un minimum d’équité sociale ou le creusement d’inégalités toujours plus criantes. Avec Ryan sur le ticket républicain, ils ne pouvaient espérer meilleure chance d’offrir ce débat, et ce choix, à l’Amérique.

http://anonym.to/?ht…a-droite_839427

Paul Ryan, libertarien et homme de réseaux

12 août 2012

PORTRAIT Dès 19 ans, le colistier faisait un stage au Congrès.

Il pêche le poisson-chat à mains nues, chasse le daim à l’arc, écoute du hard rock et débute ses journées dans la salle de gym du Congrès en suivant la méthode P90X (un enchaînement d’exercice de musculation, cardio et étirements). Le nouveau héros du Parti républicain, choisi samedi comme candidat à la vice-présidence, semble appliquer ses principes d’austérité et de brutalité à lui-même. «Bosseur».

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400 économistes soutiennent Romney (dont les néoclassiques attendus : Greg Mankiw, Gary Becker, Robert Lucas, Robert Mundell, Edward Prescott, Myron Scholes, Arthur Laffer, Anne Krueger, John Taylor, Robert J. Barro, John Cochrane, Martin Feldstein, etc.) http://economistsforromney.com/

Le programme n'est pas trop absurde : http://economistsforromney.com/2012/08/12/the-romney-program-for-economic-recovery-growth-and-jobs/

Il souligne que l'incertitude (uncertainty) est un frein important à la croissance.

Le projet Romney c'est :

- "Reduce federal spending to 20% of GDP" (on croit ou pas ce genre de promesse…)

- Reduce marginal income tax rate et broaden the tax base, en étant revenue-neutral (on se rapproche de la flat tax).

- Réduire Medicare et Medicaid pour les personnes âgées les moins pauvres.

Modifié par Filibert
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Bon apparemment le choix de Paul Ryan ne ravit pas grand monde ici. Pourtant au sein du parti republicain, c'est l'un des plus conservateurs au niveau fiscal et des depenses, il a fait ses preuves au Wisconsin dans un Etat modéré et ses propositions collent plutôt bien à nos idees sur le terrain économique et social. La seule chose que l'on pourrait lui reprocher c'est sa communication qui effraie mais de quoi nous plaignons-nous, cela faisait longtemps que les republicains ne présentaient pas quelqu'un aussi proche de nos idees.

Bref beaucoup font la mou facilement par ici. Et que Daniel Hannan lui donne son soutien c'est un gage de confiance.

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Bon apparemment le choix de Paul Ryan ne ravit pas grand monde ici. Pourtant au sein du parti republicain, c'est l'un des plus conservateurs au niveau fiscal et des depenses, il a fait ses preuves au Wisconsin dans un Etat modéré et ses propositions collent plutôt bien à nos idees sur le terrain économique et social. La seule chose que l'on pourrait lui reprocher c'est sa communication qui effraie mais de quoi nous plaignons-nous, cela faisait longtemps que les republicains ne présentaient pas quelqu'un aussi proche de nos idees.

Bref beaucoup font la mou facilement par ici. Et que Daniel Hannan lui donne son soutien c'est un gage de confiance.

Un mec qui a voté pour le Patriot Act n'est pas, et ne pourra jamais, être proche de mes idées. De toute façon, on s'en tape un peu de lui car comme écrit plus haut, le VP ne sert à rien, sauf en cas de décès ou de démission du Président. Qui a entendu Joe Biden ces dernières années ? Il pourrait être mort que l'on ne serait pas au courant.

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Un mec qui a voté pour le Patriot Act n'est pas, et ne pourra jamais, être proche de mes idées.

Je ne connais pas bien la problématique du Patriot Act et les abus que cette législation a pu occasionner, mais sur le principe c'est un point qui m'éloigne des libéraux idéologiques : le slogan "ceux qui sont prêts à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne méritent ni l'une, ni l'autre" ne doit pas être interprété comme une sourate ; il est évident que dans le cas d'une menace terroriste avérée et sérieuse, il faut donner aux autorités les moyens légaux d'assurer la protection des citoyens.

j'apprécie beaucoup Ron Paul, mais dans cette vidéo je ne le trouve pas très convaincant. Il fait figure d'idéologue en répétant "liberty, liberty, liberty" quand on lui rappelle que dans le monde réel la menace terroriste existe.

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Je ne connais pas bien la problématique du Patriot Act et les abus que cette législation a pu occasionner, mais sur le principe c'est un point qui m'éloigne des libéraux idéologiques : le slogan "ceux qui sont prêts à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne méritent ni l'une, ni l'autre" ne doit pas être interprété comme une sourate ; il est évident que dans le cas d'une menace terroriste avérée et sérieuse, il faut donner aux autorités les moyens légaux d'assurer la protection des citoyens.

j'apprécie beaucoup Ron Paul, mais dans cette vidéo je ne le trouve pas très convaincant. Il fait figure d'idéologue en répétant "liberty, liberty, liberty" quand on lui rappelle que dans le monde réel la menace terroriste existe.

http://lmgtfy.com/?q=patriot+act

Voilà, maintenant, tu pourras peut-être dire quelque chose avec un avis informé, à défaut de dire quelque chose d'intelligent.

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j'apprécie beaucoup Ron Paul, mais dans cette vidéo je ne le trouve pas très convaincant. Il fait figure d'idéologue en répétant "liberty, liberty, liberty" quand on lui rappelle que dans le monde réel la menace terroriste existe.

Lis ce que Ron Paul a écrit sur la théorie du blowback avant de sortir des énormités pareilles.

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Lis ce que Ron Paul a écrit sur la théorie du blowback avant de sortir des énormités pareilles.

je suis en gros d'accord avec sa théorie, mais ça n'a rien avoir avec le sujet. Je parle du principe selon lequel en cas de menace terroriste élevée, toutes choses égales par ailleurs, il faut donner aux agents de l'Etat les moyens d'assurer la sécurité intérieure de manière pragmatique et proportionnée.

la question de la politique étrangère, et de ses éventuelles conséquences négatives en termes d'incitation au terrorisme, est un tout autre sujet.

http://mises.org/daily/2588/

@ Lucilio : pas terrible ce dessin. Statistiquement, quel était la probabilité de mourir d'une guerre nucléaire à l'époque de la guerre froide ? très difficile à dire. Ce genre de statistiques ne repose pas sur grand-chose.

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C'est pour cela qu'il est nécessaire de matraquer les fumeurs.

Edit :

Puisqu'on parle d'élection américain, je citerais un des présidents :

You and I know and do not believe that life is so dear and peace so sweet as to be purchased at the price of chains and slavery. If nothing in life is worth dying for, when did this begin—just in the face of this enemy? Or should Moses have told the children of Israel to live in slavery under the pharaohs? Should Christ have refused the cross? Should the patriots atConcord Bridge have thrown down their guns and refused to fire the shot heard 'round the world? The martyrs of history were not fools, and our honored dead who gave their lives to stop the advance of the Nazis didn't die in vain.
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je suis en gros d'accord avec sa théorie, mais ça n'a rien avoir avec le sujet. Je parle du principe selon lequel en cas de menace terroriste élevée, toutes choses égales par ailleurs, il faut donner aux agents de l'Etat les moyens d'assurer la sécurité intérieure de manière pragmatique et proportionnée.

La TSA et le Patriot Act sont des mesures totalement disproportionnées à la menace terroriste. C'est une évidence telle que même Moore est d'accord avec les libertariens, c'est pour dire.

la question de la politique étrangère, et de ses éventuelles conséquences négatives en termes d'incitation au terrorisme, est un tout autre sujet.

Non, l'un est la cause de l'autre.

Rockwell écrit exactement ce que je t'explique : la meilleure solution pour faire face au terrorisme, c'est de repenser la politique extérieure. Du coup, l'Etat dépensera moins pour le budget de l'armée ET de la défense intérieure.

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