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Le traitement de l'affaire DSK


AsTeR

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Je vais redire ce qu'a dit neuneu2k : un homme bandera pour 90% des femmes ayant entre 20 et 35 ans (je suis politiquement correct là hein, je me suis arrêté à 20 ans :devil:) si elle prend une attitude sexuelle. Ce n'est pas pour autant qu'il aura envie de faire quelque chose avec. En bref, c'est pas parce que je salive instinctivement en sentant une odeur de bouffe que je vais bouffer ce qui se révèle être du chien.

Quand tu commences à embrasser une fille, c'est bien qu'il y a un truc, le fait que tu bandes ou non à la vue d'une attitude (très subjectif, au passage) ne change pas grand chose, on parlait des relations. Passé un certain âge, si j'embrasse un mec c'est pas pour rien.

Tout comme si tu es devant une assiette avec une fourchette, c'est pas pour juste regarder le plat.

Et pour nuancer, je rappelle que si les hommes bandaient aussi facilement, le Viagra n'existerait pas (ça fait un carton) et les femmes ne connaitraient pas le petit air tout penaud du mec qui voulait bien faire mais qui n'a pas pu.

Enfin, on est en train de chipoter sur 0.00001% des cas. Je suis certaine qu'en cherchant à peine on trouvera le verso de la pièce : tous ces pauvres hommes accusés -justement- à tort de viol.

Bon j'arrête, je suis HS

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En 2004, j'avais fait un billet sur un site mensongefeministe.ca, site qui n'existe malheureusement plus

Est-ce de ces articles-là dont tu parles?

Mon lienhttp://web.archive.org/web/20050219053004/http://www.mensongefeministe.ca/jjmf.html

Mon lienhttp://web.archive.org/web/20050226115856/http://www.mensongefeministe.ca/abusfem.html

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oaow comment tu fais ça ?!

J'avais linké http://www.mensongefeministe.ca/aavc.html je suppose que c'était une page de stats. Mais en cherchant sur google (et google.ca) on trouve ces fameuses stats.

En fait, j'ai écrit ça en 2003 :

Je conseille particulièrement cette page, vous y trouverez le résultats d'autres enquêtes que celle de l'ENVEFF, à mon avis bien plus sérieuses et complètes puisqu'elles prennent en compte les réponses de femmes hétéros ou homos, mais aussi celles des hommes (toujours hétéros ou homos) bref, à l'étranger, quand on fait une enquête sur les violences conjugales, on interroge les individus qui sont en couples, et pas seulement les femmes…
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L'idéal pour limiter tous ces risques reste de ne pas partir avec un inconnu, d'apprendre à dire non etc.

Oui il y a de longues listes pour la prévention.

J'y ajouterais une discipline de combat.

Je suis sûre qu'un tas de femmes y gagneraient en assurance, y compris mentale, qu'il s'agisse de dire oui ou non.

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Invité jabial

Le seul inconvénient des vraies techniques de combat, c'est celui de leur avantage : on se fait mal. Et souvent le nez prend. Je dis ça parce que je connais quelqu'un qui en a fait.

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@LaFéeC: depuis que je traîne dans des dojos, j'ai vu une nette augmentation des femmes qui viennent faire du jiu-jitsu. Je participe maintenant à beaucoup de cours où il y a plus de femmes que d'hommes (c'est très bien, ça incite à changer sa technique, car oui, les combats peuvent être mixtes, et non, ce n'est pas toujours l'homme qui gagne).

Les femmes de 15-25 ans viennent pour apprendre à se défendre dans la rue (même sur quelqu'un plus petit que soi, un agresseur va toujours chercher quelqu'un qui a une démarche pas assurée face à quelqu'un qui a une démarche assurée), et les femmes de 45 ans et plus viennent pour lutter contre les rondeurs ou la ménopause.

A tout âge, il y a quelque chose à prendre ! :) (et c'est plus facile à trouver qu'un cours de Krav en province - même si cette discipline est très bien. Quand il y a un dojo de judo, alors c'est en même temps un dojo de jujit, c'est la même license, et souvent les même profs pour les deux cours…)

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Pour en revenir au sujet du fait que certains violeurs ne se voient pas en tant que tels.

Je pense qu'il faut bien voir que dans une bonne partie de la population il y a une dichotomie très forte entre les "mères" et les "putains".

Le terme de viol, ne pouvant s'appliquer, que pour les premières.

Des phrases comme "Ben oui, évidemment, si elle se trimballe en mini jupe, elle va pas se plaindre."

Quand je vois les affaires de tournantes, on voit que très régulièrement, c'est la copine d'un des violeurs. Celui-ci décide d'en faire profiter ses copains. Copains qui pensent que comme la fille couche/embrasse, est une fille facile et donc c'est normal qu'elle leur fasse plaisir.

Une histoire parmi d'autres:

http://lci.tf1.fr/france/2001-04/viols-sur-ado-tournante-aux-assises-paris-4857890.html

Suis certain que les types en question, n'avaient pas l'impression de violer à ce moment là.

En tout cas, qu'il y a une vraie différence pour eux entre violer une fille facile et une femme "honorable". Le premier n'étant pas une chose réprimendable.

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De bon matin, ça me donne la gerbe, un ciseau et je coupe tout ce qui dépasse chez ses sauvages.

Je me souviens d'un des procès, une histoire de saucissonnage, assorti de viol pour l'un des prévenus. Il niait le viol, disait qu'elle n'avait pas dit "non" (une femme de 45 ans, 35 kg tt mouillée, dépressive, et réveillée par 3 colosses à 2h du mat').

Le psy nous expliquait que dans sa culture (un maghrébin musulman), le viol était très mal considéré, qu'aller en prison pour un cambriolage, passe encore, mais pour viol, impossible pour lui de l'admettre.

Peut-être que les auteurs de tournantes ont le même "profil" si j'ose dire. Je n'en sais rien, c'est une interrogation.

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Sabrina vient de souffler ses 14 bougies. Elle habite un appartement de la cité des Eiders, dans le 19ème ardt de Paris. La jeune adolescente a un petit copain, Osmane, de cinq ans son aîné. Un soir, le 3 octobre exactement, Sabrina se rend avec son ami dans une des caves de la cité. Elle est d'accord pour avoir un rapport sexuel avec lui. Mais très vite, l'affaire tourne au cauchemar.

Darwin Award et toussa.

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Darwin Award et toussa.

Tu illustre parfaitement mon propos.

Cette phrase implique que c'est de la faute de la victime ce qui dédouanne les auteurs de la notion de viol.

ce qui pour toi est, je l'espère, une plaisanterie est un vrai mode de fonctionnement pour d'autres.

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Non, ça implique que les connes de compétion morflent salement. Qu'elles peuvent y laisser leur peau.

Accepter d'avoir un rapport sexuel avec son copain dans un endroit discret (à cet âge là l'appart est impossible et l'hôtel hors de moyen), fait de toi une conne de compétition?

Intéressant.

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En outre, dire que c'est une conne (ce qui est vrai) n'enlève absolument rien à la culpabilité des autres ; à la limite, ça l'empire même.

Oui bon… mais quelle idée aussi d'habiter une cité ! Conne et sans goût…

Accepter d'avoir un rapport sexuel avec son copain dans un endroit discret…

À 14 ans. Avec un adulte. Dans une cave.

Une conne, oui. Très.

Et fille de cons.

Tiens, on en parle de la responsabilité de ces cons de parents ?

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À 14 ans. Avec un adulte. Dans une cave.

Une conne, oui. Très.

Et fille de cons.

Tiens, on en parle de la responsabilité de ces cons de parents ?

Je vais passer pour une horrible personne, mais je suis d'accord avec ça. (même si je couperais qd même les attributs des sauvages mâles qui font ça).

Surtout que dans les cités, si les "tournantes" sont, non pas courantes, mais existent, les filles doivent être au courant.

A cet âge tous les mecs baratinent pour coucher (tu es la femme de ma vie…), les parents doivent apprendre ça à leurs filles.

Je dis ça, mais je ne me souviens pas avoir eu une éducation sexuelle de la part de ma mère, à part la fois où vers 15 ans elle m'a montré un préservatif en me disant que c'était indispensable, j'étais rouge comme une tomate, et déçue, parce que je me trouvais moi même trop jeune pour ce genre de choses…

Bref, si l'éducation est indispensable, le caractère de l'individu joue aussi. J'avoue que je ne sais comment aborder les thèmes divers (toutes arnaques, criminelles ou non, parce qu'une tournante, c'est une énorme arnaque à la base, enfin, qqpart quoi) dès qu'il s'agit de personnes particulièrement vulnérables (pas les attardés, je pense aux très crédules, naïfs, cons…).

(bon, je suis pas claire, j'arrive pas à formaliser ça correctement, pas plus ici que dans mon esprit d'ailleurs, pardon d'avance)

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Je me souviens d'un des procès, une histoire de saucissonnage, assorti de viol pour l'un des prévenus. Il niait le viol, disait qu'elle n'avait pas dit "non" (une femme de 45 ans, 35 kg tt mouillée, dépressive, et réveillée par 3 colosses à 2h du mat').

Le psy nous expliquait que dans sa culture (un maghrébin musulman), le viol était très mal considéré, qu'aller en prison pour un cambriolage, passe encore, mais pour viol, impossible pour lui de l'admettre.

Peut-être que les auteurs de tournantes ont le même "profil" si j'ose dire. Je n'en sais rien, c'est une interrogation.

Les mecs qui partent prison ne veulent pas avoir l'étiquette de "pointeur" (c'est un mec condamné pour pédophilie ou viol). Parce que dans les cellules à côté, il y a des criminels qui ont des soeurs, des mères, des filles et des fils, à qui ils ne veulent rien voir arriver, et pour lesquels ils sont encore plus enclin à éliminer la menace parce qu'ils sont dans la cabane, et pas dehors à défendre eux même leurs proches. Un pointeur, ça passe toute sa peine isolé dans sa cellule, dans la hantise qu'un gardien (qui ont aussi leur famille) fasse passer le mot du pourquoi le mec est incarcéré…

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Parce que dans les cellules à côté, il y a des criminels qui ont des soeurs, des mères, des filles et des fils, à qui ils ne veulent rien voir arriver,

Ca c'est valable pour tous les crimes et délits.

C'est une question que j'aurai voulu poser lors du procès à un des saucissonneurs, pas à l'auteur du viol, à celui dont la compagne faisait la belle dans la salle (mais le juge ne pouvait pas) "et si on faisait ça à votre compagne, une nuit ?" (sous entendu CONNARD !).

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Les mecs qui partent prison ne veulent pas avoir l'étiquette de "pointeur" (c'est un mec condamné pour pédophilie ou viol). Parce que dans les cellules à côté, il y a des criminels qui ont des soeurs, des mères, des filles et des fils, à qui ils ne veulent rien voir arriver, et pour lesquels ils sont encore plus enclin à éliminer la menace parce qu'ils sont dans la cabane, et pas dehors à défendre eux même leurs proches. Un pointeur, ça passe toute sa peine isolé dans sa cellule, dans la hantise qu'un gardien (qui ont aussi leur famille) fasse passer le mot du pourquoi le mec est incarcéré…

Et cette situation, je m'en réjouis. Qu'ils en chient bien ces bâtards. Evidemment, ce n'est pas du tout glorieux ce que je viens d'écrire, mais disons que je ne ressens pas de peine.

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Un Védasien de 62 ans embastillé depuis un an déjà pour une affaire de viol, requalifiée entre-temps en agression sexuelle sous la menace d’une arme. Laquelle avait été perpétré par le sexagénaire dans l’un des parkings souterrains du Polygone où il avait, en voiture, conduit sa victime. Là, il l’avait caressé tout en se masturbant avant de lui imposer une pénétration digitale. Avant de tout arrêter précipitamment en voyant un véhicule venir se garer à côté de sa Peugeot 407.

Cette auto avec laquelle il avait abordé, quarante minutes plus tôt, une étudiante qui attendait un bus pour rentrer de Palavas. Avec la suite que l’on sait. Puis l’enquête de la brigade des mœurs de la sûreté départementale, l’instruction ayant suivi et ce placement en détention provisoire.

Mais hier sur l’audience et comme il l’avait fait depuis le début, le sexagénaire a farouchement nié toute agression. Se bornant à concéder "avoir charmé" puis avoir essayé "de la draguer". Mais lui imposer le reste, non ! Idem pour l’arme (un couteau) avec lequel il aurait menacé cette étudiante bucco-rhodanienne de 21 ans. Une arme jamais retrouvée du reste. Idem pour ce qui est de la séquestration, de la jeune femme, via la fermeture centralisée de son auto.

Lui, a pris 6 ans fermes, assortis d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans de rang et une obligation de soins.

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Et cette situation, je m'en réjouis. Qu'ils en chient bien ces bâtards. Evidemment, ce n'est pas du tout glorieux ce que je viens d'écrire, mais disons que je ne ressens pas de peine.

Les meurtriers, ceux qui torturent leurs victimes lors de cambriolage, etc. eux par contre non ?

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Et cette situation, je m'en réjouis. Qu'ils en chient bien ces bâtards. Evidemment, ce n'est pas du tout glorieux ce que je viens d'écrire, mais disons que je ne ressens pas de peine.

C'est étrange. Moi non plus.

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Quand je vois les affaires de tournantes, on voit que très régulièrement, c'est la copine d'un des violeurs. Celui-ci décide d'en faire profiter ses copains. …

Attention sur ces affaires de tournantes. Une fille avec 5 cinq mecs dont un qui filme c'est pas forcément une tournante. Ca peut être aussi tout simplement neuneu2K assisté d'un notaire, d'un avocat et de deux huissiers de justices qui s'entoure de toutes les garanties pour s'assurer et attester du consentement de sa partenaire (avec laquelle il est par ailleurs mariée depuis plusieurs années).

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Les meurtriers, ceux qui torturent leurs victimes lors de cambriolage, etc. eux par contre non ?

J'imagine qu'ils doivent morfler en taule, si la victime est "innocente", j'entends par là n'est pas une professionnelle du risque comme un flic ou un convoyeur de fonds (et encore). J'imagine qu'il doit y avoir une sorte de code de conduite dans les prisons, qui doit inclure les cas dont tu parles…

Attention sur ces affaires de tournantes. Une fille avec 5 cinq mecs dont un qui filme c'est pas forcément une tournante. Ca peut être aussi tout simplement neuneu2K assisté d'un notaire, d'un avocat et de deux huissiers de justices qui s'entoure de toutes les garanties pour s'assurer et attester du consentement de sa partenaire (avec laquelle il est par ailleurs mariée depuis plusieurs années).

:lol:

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