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Google menace de quitter la Chine


Esperluette

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Google, victime de hackers, menace de quitter la Chine

"Google a menacé le 12 janvier de cesser de coopérer avec la censure chinoise sur Internet et éventuellement de cesser ses activités dans le pays, invoquant des attaques de hackers contre ses serveurs et les tentatives de Pékin pour 'limiter la liberté d'expression sur le web'", relate le quotidien new-yorkais. Si la société californienne passait à l'acte, il s'agirait d'une "rebuffade d'une ampleur inhabituelle pour une entreprise qui lorgnait depuis des années sur les 300 millions d'internautes chinois", poursuit le journal.

Courrier international

* pop-corn *

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Google explique pourquoi: http://googleblog.blogspot.com/2010/01/new…h-to-china.html

La raison n'est pas que google a ete victime de hacker, ca ne serait pas tres grave, c'est surtout que ce sont les comptes gmail d'activistes chinois qui ont ete cibles. Ils suspectent dont evidement le gouvernement chinois, et ajoute d'ailleurs a leur grief la censure faite par celui ci. Ca ne serait pas etonnant, le gouvernement chinois est connu pour employer des hackers indirectement.

Je ne sais pas si c'est pour des raisons marketings ou autres que google a pris cette decision, mais je trouve tres bien et courageux en tout cas.

C'est baidu qui va etre content …

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C'est pas google qui collaborait sur le filtrage du web chinois ?

Oui justement: depuis qu'ils ont pris le gouvernement la main dans le sac en train d'essayer d'acceder aux account gmail, ils ne veulent plus collaborer sur le filtrage. Quitte a se faire ejecter de chine, enfin on verra la suite.

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Si cette décision est vraiment guidée par des impératifs éthiques (je reste sceptique mais je ne vois pas quel autre intérêt ils auraient à se priver d'un tel marché), c'est vraiment impressionnant de la part d'une firme de cette importance.

Faut peut-être le voir comme un coup de coude à la taxe Zelnic : "Faites gaffe, si vous nous cherchez on est cap' de se barrer hein" ^^

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Ca fait beaucoup d'emmerdements pour si peu de recettes. Google a raison de se tirer.

C'est combien les recettes de google en chine ? C'est vraiment si petit que ca ?

Le dernier trimestre de baidu c'est quand meme 72M$ de benefice, c'est pas rien. Ca ne fait que progresser, et c'est loin d'etre fini.

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* se ressert du pop-corn *

http://www.20minutes.fr/article/376168/Hig…le-de-Chine.php

L'occident face à la cyber muraille de Chine (l'Occident tout entier, rien que ça !)

INTERNET - Dilemme pour Google et les autres: se plier aux exigences gouvernementales ou renoncer à un marché en plein boum…

De notre correspondant à Los Angeles

Coup de poker ou coup de com? Google a annoncé mardi «ne plus avoir l'intention de continuer à censurer les résultats des recherches sur Google.cn», suite à des attaques «sophistiquées» qui auraient visé des militants de défense des Droits de l'homme. L'entreprise va «discuter avec le gouvernement chinois» pour voir s'il est possible de proposer une version non censurée de son moteur tout en respectant la loi. En cas de réponse négative? «Cela pourrait signifier la fermeture de Google.cn et potentiellement de nos bureaux en Chine», menace le géant.

Yahoo! solidaire

L'annonce est largement saluée sur le net et par Reporter sans frontières. Le siège de l'entreprise à Pékin a même été couvert de fleurs en signe de soutien, même si certains s'interrogent sur les motivations et le timing de Google. Mercredi, Yahoo!, qui a vendu sa division chinoise au local Alibaba, s'est dit «solidaire» de son voisin de la Silicon Valley. Yahoo! n'accuse pas directement le gouvernement chinois mais, comme Google, affirme que les attaques «venaient bien de Chine». L'entreprise a refusé de préciser si elle comptait vendre ses 39% d'Alibaba si le gouvernement chinois refusait que Google propose une version non censurée de son moteur. Adobe a également été victime d'attaques, mais ne sait pas encore si elles sont connectées.

«La grande cyber muraille de Chine»

Depuis 1998, Pékin aurait investi plus de 800 millions de dollars pour mettre en place son «Golden shield project», également surnommé «The great firewall of China» en référence à la muraille de Chine. Grâce à des moyens de contrôle standards du matériel réseau –notamment fourni par l'Occident comme l'Américain Cisco– et des dizaines de milliers d'agents gouvernementaux, Pékin «purifie» l'Internet.

La censure intervient à plusieurs niveaux. Des sites sites comme Youtube, Facebook, Twitter et de nombreux médias étrangers peuvent être complètement bloqués, temporairement ou de manière permanente. Mais, de plus en plus, Pékin opère au cas par cas, bloquant des pages ou des mails contenant des mots interdits (du Dalaï Lama au massacre de Tian'anmen, en passant par des critiques des dissidents contre le gouvernement).

«Do no evil»

La décision de Google de lancer google.cn en 2006 en se pliant à la censure chinoise avait fait l'effet d'une bombe. Selon le Financial Times, de nombreux cadres de l'entreprise y étaient défavorables, y compris le cofondateur Sergey Brin, dont la famille a souffert du communisme dans l'ex-URSS. Le célèbre slogan de l'entreprise, «do no evil» («ne fais pas de mal / ne sois pas maléfique»; en avait pris un sacré coup.

Plier ou être bloqué: Google n'est pas le seul avec ce dilemme. Yahoo est poursuivi en justice par un dissident chinois condamné à 10 ans de prison qui accuse l'entreprise américaine d'avoir fourni ses mails aux autorités chinoises. Yahoo avait déclaré ne faire que se plier à la loi. Microsoft fait de même avec Windows Live Spaces. D'autres, en revanche, avaient catégoriquement refusé la censure, comme Altavista. Le moteur avait préféré expliquer aux internautes comment contourner le firewall grâce à des proxies ou des réseaux privés virtuels (VPN).

Beaucoup relèvent que la cyber-muraille n'est pas vraiment hermétique. Mais les 40 euros annuels que coûte un VNP représentent une semaine de salaire d'un ouvrier chinois, rappelle James Fallow, de The Atlantic. Selon lui, un Internet complètement verrouillé n'est d'ailleurs pas le but des autorités. Il s'agit simplement de rendre les mesures de contournement assez pénibles pour que la majorité y renonce. Ou mieux, que la situation incite tout le monde à s'autocensurer.

350 millions d'internautes

«Presque toutes les entreprises acceptent les conditions chinoises», expliquait Reporter sans frontières à 20minutes.fr. Si elles marchent sur une fine ligne grise, c'est que le marché chinois est en plein boum. En dix ans, le nombre d'internautes a été multiplié par dix, pour atteindre 350 millions fin 2009.

Certes, Google n'a qu'un tiers du marché, loin derrière le leader local Baïdu.cn. Selon le FT.com, la Chine pèse pour moins de 1% dans le chiffre d'affaires de Google (200 millions de dollars sur plus de 20 milliards). Certains estiment donc que si Google se retirait effectivement de Chine, le sacrifice ne serait que mineur. A court terme, effectivement. Mais menacer de renoncer à 30% d'un marché en pleine croissance est un sacré coup de poker. Reste à savoir de quelle main Google dispose dans ses négociations avec le gouvernement.

Philippe Berry

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La rigolade continue.

***

La Chine à Google: La loi, c'est la loi

CENSURE - Pékin ne semble pas vouloir faire une exception pour le géant américain. Qui pourrait donc bien faire ses valises…

De notre correspondant à Los Angeles

Dans le bras de fer qui s'est engagé entre Google et le gouvernement chinois autour de la censure, Pékin ne semble pas disposé à bouger d'un pouce. «Le gouvernement administre Internet en accord avec la loi, et nous avons des règles explicites sur ce qui peut s'y propager», a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Jiang Yu. Il a expliqué que les entreprises étrangères respectant ces principes étaient les bienvenues.

Wang Chen, le directeur de l'information du gouvernement, est allé plus loin. Il a fait l'apologie de la censure, expliquant qu'il était nécessaire de «guider» l'opinion pour «assurer la stabilité nationale». Et pas question de faire une exception pour Google. Cela créerait «un dangereux précédent» pour le gouvernement, explique l'expert Huang Jing à Bloomberg.

Rester ou partir

Ces déclarations semblent enterrer les espoirs de Google. L'entrprise avait annoncé mardi qu'il discuterait avec le gouvernement afin de voir si une solution pouvait être trouvée pour proposer une version non censurée de son Google.cn. Suite à des «cyber-attaques très sophistiquées» visant des militants des droits de l'homme dont Google, Yahoo ou encore Adobe disent avoir été victimes, le leader de la recherche a annoncé qu'il ne comptait plus se plier aux exigences de Pékin.

Menaces dans le vide? Pas vraiment. Google se dit prêt à se retirer du marcher chinois et à fermer ses bureaux, en cas de refus de Pékin. Tout ça sur le refrain «les droits de l'homme avant le business». Ce dernier n' a pas complètement été chanté à l'unisson: selon le Wall Street Journal, le cofondateur Sergey Brin est pour, le CEO Erich Schmidt, contre.

Les salariés chinois de Google en congés forcés?

Google seul n'a clairement pas le poids suffisant. Mais Yahoo s'est dit «solidaire», et surtout, le département d'Etat américain a indiqué qu'il «se penchait sur le problème». De là à voir un Obama faire pression sur Pékin pour ouvrir davantage Internet, il y a un grand pas. Pas sûr que le président américain soit trop vocal, alors que les Etats-Unis ont besoin de la Chine pour acheteur de bons du Trésor et financer les plans de relance.

Dans l'immédiat, TechCrunch et Bloomberg rapportent que les salariés chinois de Google auraient été en congés forcés mercredi. Officiellement, «afin de procéder à une opération de maintenance» et de s'assurer que les serveurs étaient sécurisés après l'attaque.

Google doit-il partir de Chine? Ou laisser un peu plus le monopole au local Baidu –plus enclin à pratiquer la censure– revient-il à abandonner les internautes chinois? Dites-le nous dans les commentaires ci-dessous.

http://www.20minutes.fr/article/376452/Hig…-est-la-loi.php

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En tout cas, la chine a une puissance de frappe hallucinante :

Depuis hier :

" Si vous cherchez sur tous les moteurs de recherche chinois (hormis Google.cn) l’adresse suivante : http://googleblog.blogspot.com/, vous ne pourrez plus faire aucune recherche, peu importe le mot recherché, et peu importe si vous vivez en Chine ou non.

Que l’on cherche sur Baidu.cn, Yahoo.cn, Sogou.com, Youdao.com, ou encore Soso.com, le fonctionnement est le même. Cherchez liberaux.org, cela fonctionnera. Cherchez Google, cela fonctionnera. Cherchez Googleblog.blogspot.com, et vous ne pourrez plus faire aucune recherche avant plusieurs minutes. "

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En tout cas, la chine a une puissance de frappe hallucinante :

Depuis hier :

" Si vous cherchez sur tous les moteurs de recherche chinois (hormis Google.cn) l’adresse suivante : http://googleblog.blogspot.com/, vous ne pourrez plus faire aucune recherche, peu importe le mot recherché, et peu importe si vous vivez en Chine ou non.

Que l’on cherche sur Baidu.cn, Yahoo.cn, Sogou.com, Youdao.com, ou encore Soso.com, le fonctionnement est le même. Cherchez liberaux.org, cela fonctionnera. Cherchez Google, cela fonctionnera. Cherchez Googleblog.blogspot.com, et vous ne pourrez plus faire aucune recherche avant plusieurs minutes. "

J'ai testé sur Baidu, et…. c'est vrai.J'ai cherché n'importe quoi, puis j'ai tapé http://googleblog.blogspot.com/ et là, "connexion interrompue-La connexion avec le serveur a été réinitialisée pendant le chargement de la page."

Ils sont très forts, ces chinois :icon_up:

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Cyber-attaques contre Google: des experts accusent les autorités chinoises

SECURITE - Selon leurs premières observations, l'attaque est trop sophistiquée pour être due à un simple pirate…

De notre correspndant à Los Angeles

Un célèbre adage diplomatique américain dit «Parle doucement mais porte un gros bâton». Depuis mardi, tout le monde marche sur des œufs suite à la révélation par Google des cyber-attaques dont il a été victime avec une vingtaine d'autres compagnies en Chine.

Certes Google a expliqué que l'attaque semblait avoir visé des comptes Gmail de militants des droits de l'homme. Oui, il en a profité pour menacer de se retirer de Chine si les autorités n'assouplissaient pas leur politique de censure. De son côté, Washington a également indiqué vendredi qu'il allait demander «dans les prochains jours» des explications à Pékin pour savoir si les autorités comptaient «enquêter et engager des poursuites». Mais toute le monde s'est bien gardé d'accuser le gouvernement chinois directement.

D'autres ont moins de réserve. Carlos Carillo est un consultant pour Mandiant, un groupe spécialiste en cyber-sécurité. Google a fait appel à lui et d'autres pour enquêter sur l'attaque. Il livre ses premières conclusions à Computer World. «La qualité du code pointe-t-elle vers un support des autorités chinoises?» «Je dirais que oui», répond-il. Selon lui, le malware utilisé lors de l'attaque «est unique», l'un des «plus sophistiqués» qu'il a vus depuis des années.

Des attaques courantes

Contacté par 20minutes.fr, Mandiant s'en tient à ce premier diagnostique. L'entreprise précise que «l'attaque est du niveau habituellement visant les Etats, pas les entreprises». Même son de cloche chez McAfee, qui précise qu'une faille jusqu'ici non connue dans Internet Explorer aurait été exploitée –d'autres vecteurs semblent également avoir été utilisés.

Un point est troublant dans l'histoire. Google dit avoir contacté d'autres entreprises touchées, et personne n'a semblé vouloir parler publiquement de l'affaire. De telles attaques arrivent régulièrement mais sont gardées sous silence, explique à 20minutes.fr un expert en sécurité qui souhaite rester anonyme. Contre des entreprises, mais aussi des pays. Les Etats-Unis, la France, et Chine ou la Russie: tout le monde dispose de cyber-espions, selon lui.

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Pour avoir vécu pendant un certain temps derrière le pare-feu, j'ai toujours trouvé ça méchamment énervant de ne pas pouvoir ouvrir ma propre boite mail.

Néanmoins, le but chinois est strictement planiste : Ce que veulent les autorités, ce n'est pas une muraille de filtration, c'est une séparation totale du Web sinophone du reste d'internet : un internet local, contrôlable, filtrable. Pour l'anecdote, même si Libéraux.org n'est pas accessible depuis la Chine, le québécois libre l'était encore il y a peu de temps, je l'ai d'ailleurs découvert lorsque j'y était domicilié.

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  • 1 month later...

Le roman-feuilleton se poursuit.

INTERNET - Le moteur de recherche prêt à abandonner ses opérations en Chine…

La Chine a de nouveau appelé Google à respecter ses lois mardi et ne pas cesser de filtrer les résultats de recherches en ligne, comme le groupe américain a menacé de le faire après des cyberattaques.

«Nous avons une politique de longue date d'ouverture aux investissements étrangers. Mais la condition préalable est qu'ils respectent les lois chinoises», a déclaré le porte-parole du ministère du Commerce Yao Jian à la presse. «Nous espérons que Google respectera la loi, qu'il choisisse ou non de poursuivre ses activités en Chine ou de faire d'autres choix», a dit Yao Jian.

Ce serait «inamical et irresponsable»

Depuis janvier, Google qui réfléchit à la suite de ses opérations en Chine, affirme être prêt à cesser l'auto-censure dans ce pays qui compte la plus grande population d'internautes au monde (384 millions de personnes).

Les autorités l'ont mis en garde contre les «conséquences» s'il arrêtait de filtrer les résultats de la recherche en ligne par son site chinois Google.cn. Ce serait «inamical et irresponsable et (Google) serait vraiment responsable des conséquences», a dit vendredi le ministre de l'Industrie et des Technologies de l'information Li Yizhong.

A «99,9%» certain d'abandonner google.cn

Les autorités chinoises contrôlent étroitement les médias et exigent des moteurs qu'ils filtrent les résultats des recherches pour ignorer les liens conduisant à des contenus sensibles pour Pékin - politiques ou pornographiques.

Google pour sa part a menacé de cesser ses opérations en Chine après avoir été victime d'attaques visant son code source et des comptes de sa messagerie gmail appartenant à des militants des droits de l'Homme en Chine. Le Financial Times, citant une source anonyme, a indiqué le week-end dernier que Google était à «99,9%» certain d'aller vers l'abandon de google.cn, son site en chinois.

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Invité jabial
Il se peut bien qu'on en arrive à être moins libre que des pays comme la Chine ou la Russie.

La surveillance je m'en fous, jairienacacher © ® :icon_up: même si sémal. Après tout chacun ses priorités : on paie déjà moins d'impôts en Chine.

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La surveillance je m'en fous, jairienacacher © ® :icon_up: même si sémal. Après tout chacun ses priorités : on paie déjà moins d'impôts en Chine.

Au moins c'est clair : qu'importe la liberté pourvu que je puisse garder mes sous. :doigt:

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Au moins c'est clair : qu'importe la liberté pourvu que je puisse garder mes sous. :icon_up:

Depenser ses sous comme on l'entend, c'est une liberte fondamentale.

Sinon pour ceux qui doutent encore que certains gouvernements emploient des equipes de hackers professionels pour infiltrer les serveurs a l'etranger, Mr Aree du ministere de la communication thailandais vient de declarer que si il avait les moyens il le ferait:

"(…) There has been talk of hiring professionals who can hack into the system to help track down the illegal content but due to the limited budget the bureau cannot afford to hire professionals," Aree said.

http://www.bangkokpost.com/tech/technews/3…cracy-in-action

La chine par contre a largement les moyens, d'autant qu'elle peut recruter des chinois.

La thailande elle fait a l'economie, les 20 000 cyber-censeurs qu'elle veut employer l'annee prochaine pour filtrer le web seront des volontaires.

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Sinon pour ceux qui doutent encore que certains gouvernements emploient des equipes de hackers professionels pour infiltrer les serveurs a l'etranger, Mr Aree du ministere de la communication thailandais vient de declarer que si il avait les moyens il le ferait:

Il y aurait mêmes des gouvernements qui paieraient des voleurs ayant piraté des bases de données d'entreprises privées, des banques par exemple.

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pas seulement les banques apparament : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20…-gendarmes-.php

Entre ca et la cas des banques suisses, il semble que la police francaise ne soit pas tenu de respecter les lois des pays etrangers. Dans le fond ce n'est pas tres different de la chine qui se donne le droit d'infiltrer les serveurs googles, et eux au moins n'avouent pas officielement l'avoir fait.

Que se passerai t il si la societe detecteursradars.com portait plainte contre la gendarmerie francaise ?

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Ca ne serait pas etonnant, le gouvernement chinois est connu pour employer des hackers indirectement.

Tu crois vraiment que ce sont les seuls ? La France fait pareil pour repérer et sanctionner les acheteurs de détecteurs de radars et ce n'est évidement que la partie émergente de l'iceberg. Déjà avec le téléphone ils le faisaient pour écouter des personnes dont on se demande encore ce qu'ils pouvaient craindre d'elles comme par exemple Carole Bouquet.

Entre ca et la cas des banques suisses, il semble que la police francaise ne soit pas tenu de respecter les lois des pays etrangers. Dans le fond ce n'est pas tres different de la chine qui se donne le droit d'infiltrer les serveurs googles, et eux au moins n'avouent pas officielement l'avoir fait.

Que se passerai t il si la societe detecteursradars.com portait plainte contre la gendarmerie francaise ?

S'ils livrent du matériel illégale sur le territoire français, ça passera pour de l'auto défense.

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