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Un énarque écrit un livre libéral


Timur

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L'exemple neo-zelandais est effectivement cité depuis quelques années comme emblématique d'une vraie réforme de l'Etat.

En effet, un certain nombre de ministères ont purement et simplement disparu !

Le plus drôle est que ces changements profonds ont été réalisés par le Labour local …

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L'exemple neo-zelandais est effectivement cité depuis quelques années comme emblématique d'une vraie réforme de l'Etat.

En effet, un certain nombre de ministères ont purement et simplement disparu !

Le plus drôle est que ces changements profonds ont été réalisés par le Labour local …

Drôle? C'est assez souvent la règle.. De Bassanini à Richardson ou à Schröder, le Labour a fait plus avancer que la droite..

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Qu'est-ce qu'il ta fait pour l'insulter de la sorte ?

Il se prend pour un grand intellectuel alors qu'il est borné comme un mulet et qu'il manque manifestement des moyens intellectuels nécessaires à ses prétentions. Il est beaucoup, beaucoup trop à droite pour moi (le Club de l'Horloge, c'est lui), et profondément désagréable en face-à-face. J'en ajoute encore ?

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L'exemple neo-zelandais est effectivement cité depuis quelques années comme emblématique d'une vraie réforme de l'Etat.

En effet, un certain nombre de ministères ont purement et simplement disparu !

Le plus drôle est que ces changements profonds ont été réalisés par le Labour local …

http://www.independent.org/publications/ti…p;articleID=575

Although the New Zealand economy improved dramatically during the 1980s and 1990s, its modest growth in the past decade and relatively poor growth prospects for the years ahead have fueled a debate about the success of its reforms. Why didn’t New Zealand’s reforms generate a longer economic boom like those of the Asian tigers?
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Il se prend pour un grand intellectuel alors qu'il est borné comme un mulet et qu'il manque manifestement des moyens intellectuels nécessaires à ses prétentions. Il est beaucoup, beaucoup trop à droite pour moi (le Club de l'Horloge, c'est lui), et profondément désagréable en face-à-face. J'en ajoute encore ?

Oh que oui ! J'adore les ragots :icon_up:

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Drôle? C'est assez souvent la règle.. De Bassanini à Richardson ou à Schröder, le Labour a fait plus avancer que la droite..

J'avais écrit exprès mon commentaire pour que quelqu'un le relève :icon_up: .

Bien entendu, tu as raison.

Une certaine social-démocratie (dont on exceptera volontairement les PS français et wallon) peut mener à l'occasion une politique plus libérale que celle pronée par des formations de centre-droit.

Force est néanmoins de reconnaitre que toutes ne vont pas aussi loin qu'en Nouvelle Zélande, mais enfin les libéraux assumés ne doivent pas avoir le monopole des bonnes idées.

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Il se prend pour un grand intellectuel alors qu'il est borné comme un mulet et qu'il manque manifestement des moyens intellectuels nécessaires à ses prétentions. Il est beaucoup, beaucoup trop à droite pour moi (le Club de l'Horloge, c'est lui), et profondément désagréable en face-à-face. J'en ajoute encore ?

+ 1000 ; c'est le leader de l'opposition de la droite extrême à la mairie de Versailles, et longtemps chroniqueur à Radio Courtoisie.

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+ 1000 ; c'est le leader de l'opposition de la droite extrême à la mairie de Versailles, et longtemps chroniqueur à Radio Courtoisie.

Désormais, c'est le patron (suite à un putsch interne) de cette même radio, où il a organisé une certaine épuration idéologique.

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Le père est énarque lui aussi, du reste. Pour m'être paluché (pour des raisons professionnelles) il y a quelques temps des centaines de pages de compte-rendus des conseils municipaux de Versailles, je puis vous affirmer que pas l'ombre d'une différence ne le sépare de le Pen.

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Ces invités sont plutôt umpistes que frontistes d'autant que je me souvienne.

J'ai arrêté d'écouter définitivement cette radio à la mort de Beketch.

Idem. En tout cas le coté désagréable du personnage ressortait bien de ses interventions radophoniques.

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Ses invités sont plutôt umpistes que frontistes d'autant que je me souvienne.

De la frange très, très à droite d'une UMP très élargie. Beaucoup d'opinions du gars, elles, sont définitivement frontistes.

J'ai arrêté d'écouter définitivement cette radio à la mort de Beketch.

Laisse moi deviner… Ce ne doit pas être le chantre de la libre expression que tu dois regretter.

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Désormais, c'est le patron (suite à un putsch interne) de cette même radio, où il a organisé une certaine épuration idéologique.

Entreprise de pouvoir personnel néfaste, car cette radio a connu depuis lors une pénurie de cette liberté de ton (droitière) politiquement incorrecte qui faisait son charme et donc perdu de son intérêt. Dommage, car l'équilibre entre R.C et Fr. cul me procurait une certaine hygiène radiophonique.

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Dommage, car l'équilibre entre R.C et Fr. cul me procurait une certaine hygiène radiophonique.

+1. J'écoutais FrCul le matin, et RC la soirée. Maintenant, je n'écoute plus ni l'une, ni d'autre.

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Il se prend pour un grand intellectuel alors qu'il est borné comme un mulet et qu'il manque manifestement des moyens intellectuels nécessaires à ses prétentions. Il est beaucoup, beaucoup trop à droite pour moi (le Club de l'Horloge, c'est lui), et profondément désagréable en face-à-face. J'en ajoute encore ?

Enfin, rappelons que l'auteur du livre n'est pas responsable des idées de sa famille et cet ouvrage a l'air bien intéressant et accessible au grand public.

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Enfin, rappelons que l'auteur du livre n'est pas responsable des idées de sa famille et cet ouvrage a l'air bien intéressant et accessible au grand public.

Certes. Mais plus encore, j'ai même demandé si il était ou non de la famille (ce qui, pour l'instant, n'est pas certain).

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  • 2 months later...

J'ai fini de lire le livre. Comme le laissait supposer l'introduction, c'est très agréable à lire. Le livre est divisé en chapitres courts. Certains sont consacrés à l'origine historique des problèmes de la place de l'État en France. Xavier de Lesquen y fait souvent référence à L'Ancien Régime et la Révolution de Tocqueville. Les autres chapitres utilisent des exemples vécus pour décrire et analyser des aspects des réformes néo-zélandaises (par exemple, l'école pour ses enfants ou la création d'une structure juridique pour l'équipe française à la Coupe de l'America).

Sur le fond, le livre est intéressant tant pour l'aspect concret de ses descriptions de la vie en Nouvelle-Zélande que pour les analyses de la situation française. Sur la forme, je trouve qu'il en fait parfois un peu trop dans sa caricature des Français rétifs au changement. L'équilibre entre les faits (chiffres, lois) et la description subjective est bon même si j'aurais préféré un peu plus de théorie sur certains sujets.

En conclusion, c'est un livre qui n'apprendra pas énormément au libéraux convaincus mais donne des exemples et des chiffres réutilisables et est un bon livre à faire lire à un "libéral en devenir". A mon avis, un bon concurrent pour le prix Wikiberal 2009.

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