Une Propriétaire à La Rue

[Coldstar]

Article disponible sur LCI.fr

Nicole, 64 ans, propriétaire et SDF

Reportage - Depuis lundi, cette infirmière à la retraite a entamé une grève de la faim pour récupérer son appartement dans le XVIIe arrondissement de Paris. Sa locataire refuse de partir et ne paye plus le loyer.

Créé le 31 août 2006

Mis à jour le 31 août 2006 à 12h47

Une chaise pliante, une table en bois, un livre et de l'eau citronnée disposés au pied d'un l'immeuble de la rue Legendre, dans le XVIIe à Paris. Depuis lundi, Nicole Pelletier, 64 ans, passe ses journées devant la porte cochère. Depuis lundi, cette infirmière à la retraite du rectorat est en grève de la faim pour récupérer son logement situé au deuxième étage du bâtiment. La locataire refuse d'en partir.

Son appart est un deux pièces meublé de 45 mètres carré. En 2003, parce qu'elle partait fréquemment en mission humanitaire plus de 6 mois à l'étranger et passait le reste de son temps dans un cabanon à Saint-Raphaël, elle décide de le louer. Il y a 8 mois, victime d'un accident vasculaire cérébral, Nicole souhaite le récupérer. Pour se reposer, pour se rapprocher de ses deux fils et ses petits enfants. Par le biais d'un huissier, elle prévient en décembre 2005, sa locataire de son intention. Pas de réponse. Le 26 août, avec ses bagages, Nicole sonne chez elle. "La locataire m'avait dit par téléphone qu'elle ne partirait pas". Abasourdie, la sexagénaire passera trois heures allongée sur le palier.

Le comble du locataire

La locataire est une célibataire de 42 ans. En 2003, elle vivait seule et travaillait comme attachée commerciale. "Ses fiches de paie attestaient d'un salaire de 2700 euros, se souvient, amère, Nicole en montrant les papiers. Aujourd'hui, la femme vit avec son fils de 18 ans et sa sœur handicapée. Cela fait huit mois qu'elle ne verse plus de loyer. "Je partirai quand j'aurais trouvé un autre logement. Mais quand on est en fin de droit aux Assedic et qu'on héberge une sœur handicapée, ce n'est pas facile", a déclaré la locataire au Parisien. Elle ne conteste pas les faits mais se dit dépressive. Le 19 octobre, elle est assignée au tribunal d'instance pour non paiement.

La situation semble bloquée. Un adjoint au maire du XVIIe est passé lundi signaler à Nicole qu'il ne pouvait pas reloger sa locataire. En raison de la trêve hivernale le 1er novembre, Nicole risque de ne pas pouvoir récupérer son bien avant le printemps prochain. "Devant cette impuissance, faire la grève a été instinctif, explique Nicole, pleine de pep malgré sa détresse. Je suis contre l'exclusion mais je ne peux pas continuer à loger gracieusement cette femme. J'ai une retraite de 1300 euros et je dois continuer à payer les charges d'un appartement que je n'habite pas ! J'ai même proposé à ma locataire femme de faire une colocation dans mon appartement, c'est un comble tout de même !" En ce moment, la sexagénaire est hébergée par des amis.

Une dame passe puis s'arrête pour lire la pancarte où Nicole a résumé sa situation. "Oh mais c'est scandaleux ! Comment peut on aider ?". Ils sont nombreux a s'enquérir de la situation de Nicole. Des passants, des voisins. "C'est extraordinaire la solidarité qu'il y a dans cette rue", se réjouit Nicole, sidérée par cette "chaleur humaine". "Il y a les commerçant qui m'apportent un café, les jeunes qui viennent discuter avec moi. Ca fait du bien", dit elle, un roman de Guillaume Musso dans les mains. Le titre de l'ouvrage : Et après…

J'entends déjà Martine Aubry énoncer sa solution miracle: il faut complètement nationaliser l'immobilier!

[Harald]

Il y a pire: l'occupant sans titre dont le statut est reconnu. D'ailleurs il existe un petit guide en ligne expliquant toutes les ficelles "du métier". J'ai eu à traiter une affaire de ce genre il y a une dizaine d'années. Les occupants légaux du logement ont mis des mois pour pouvoir à nouveau habiter leur appartement. Entre temps ils avaient dû demander la permission de pénétrer dans ce qui avait été autrefois leur domicile pour y récupérer des affaires.

[Marchange]

Consternant…

Il y a pire: l'occupant sans titre dont le statut est reconnu. D'ailleurs il existe un petit guide en ligne expliquant toutes les ficelles "du métier". J'ai eu à traiter une affaire de ce genre il y a une dizaine d'années. Les occupants légaux du logement ont mis des mois pour pouvoir à nouveau habiter leur appartement. Entre temps ils avaient dû demander la permission de pénétrer dans ce qui avait été autrefois leur domicile pour y récupérer des affaires.

Que se passe-t-il si je trouve le moyen de rentrer chez moi (cassage de la porte ou rentrage par la fenêtre), que je m'installe voire que je les vire violemment - sans les blesser - à l'aide d'amis videurs de boite?

Ils peuvent porter plainte? La police peut me virer à mon tour pour leur rendre l'appart?

[Fredo]

C'est là que parfois je me dis qu'il peut être utile de connaître des bikers bien gros et bien tatoués…

PS: EDIT (posté en même temps que Marchange).

Oui, et ensuite que peut-il se passer ?

[Harald]

Consternant…

Que se passe-t-il si je trouve le moyen de rentrer chez moi (cassage de la porte ou rentrage par la fenêtre), que je m'installe voire que je les vire violemment - sans les blesser - à l'aide d'amis videurs de boite?

Ils peuvent porter plainte? La police peut me virer à mon tour pour leur rendre l'appart?

Dès lors qu'ils occupent les lieux depuis plus de deux jours (plus facile à prouver qu'on ne l'imagine), qu'ils ont fait montre de la volonté de payer un loyer (par simple courrier, peu importe qu'il y ait paiement ou non), ils sont considérés comme occupants sans titre. C'est à dire un statut quasi légal. Pour peu qu'il y ait effraction et je n'ose même pas aborder le chapitre des violences, ils peuvent porter plainte.

[Coldstar]

Si ça arrive à quelqu'un du forum (peu probable), nul doute qu'on pourra aisément rameuter assez de monde pour une opération commando, sans faire trop de casse inutile (SAUF si on croise du militant DAL bien sûr ).

[Invité jabial]

Je me demande s'il ne vaut pas mieux récupérer son logement et avoir une plainte contre soi que le contraire.

[miniTAX]

C'est là que parfois je me dis qu'il peut être utile de connaître des bikers bien gros et bien tatoués…

C'est ce qu'on faisait quand on était jeune, en bande (quartier de la Petite France, à Strasbourg, pour ceux qui connaissent). Certains junkies qui ont poignardé un de nos copains et qui se retrouvent libres quelques jours après malgré une garde à vue n'ont plus retrouvé toute l'agilité de leurs mains après un passage vengeur de notre bande. Ils ont été cons de revenir à l'endroit meme de leur forfait pour vendre et consommer leur dope et de tomber sur nous… par hasard.

On n'a jamais été inquiété par la police. Il suffit de frapper fort et de disparaitre vite.

Cette pt1 de loi a toujours protégé les plus forts ou/et les plus gueulards, ça n'a pas changé.

[Coldstar]

Je me demande s'il ne vaut pas mieux récupérer son logement et avoir une plainte contre soi que le contraire.

Moi j'hésite pas, quitte à me prendre un outrage à magistrat si on me fait la morale.

[Invité jabial]

C'est ce qu'on faisait quand on était jeune, en bande (quartier de la Petite France, à Strasbourg, pour ceux qui connaissent). Certains junkies qui ont poignardé un de nos copains et qui se retrouvent libres quelques jours après malgré une garde à vue n'ont plus retrouvé toute l'agilité de leurs mains après un passage vengeur de notre bande. Ils ont été cons de revenir à l'endroit meme de leur forfait pour vendre et consommer leur dope et de tomber sur nous… par hasard.

On n'a jamais été inquiété par la police. Il suffit de frapper fort et de disparaitre vite.

Cette pt1 de loi a toujours protégé les plus forts ou/et les plus gueulards, ça n'a pas changé.

et

[Taranne]

Un film prémonitoire:

C'est ce qu'on faisait quand on était jeune, en bande (quartier de la Petite France, à Strasbourg, pour ceux qui connaissent). Certains junkies qui ont poignardé un de nos copains et qui se retrouvent libres quelques jours après malgré une garde à vue n'ont plus retrouvé toute l'agilité de leurs mains après un passage vengeur de notre bande. Ils ont été cons de revenir à l'endroit meme de leur forfait pour vendre et consommer leur dope et de tomber sur nous… par hasard.

On n'a jamais été inquiété par la police. Il suffit de frapper fort et de disparaitre vite.

Cette pt1 de loi a toujours protégé les plus forts ou/et les plus gueulards, ça n'a pas changé.

Je n'ai pas l'impression que ce genre de discours fera beaucoup pour la bonne réputation du forum, sans parler des possibles conséquences légales (apologie et incitation à la violence, ça va chercher dans les combien?)

[Marchange]

Dès lors qu'ils occupent les lieux depuis plus de deux jours (plus facile à prouver qu'on ne l'imagine), qu'ils ont fait montre de la volonté de payer un loyer (par simple courrier, peu importe qu'il y ait paiement ou non), ils sont considérés comme occupants sans titre. C'est à dire un statut quasi légal. Pour peu qu'il y ait effraction et je n'ose même pas aborder le chapitre des violences, ils peuvent porter plainte.

Si ça arrive à quelqu'un du forum (peu probable), nul doute qu'on pourra aisément rameuter assez de monde pour une opération commando, sans faire trop de casse inutile (SAUF si on croise du militant DAL bien sûr ).

Je me demande s'il ne vaut pas mieux récupérer son logement et avoir une plainte contre soi que le contraire.

Moi j'hésite pas, quitte à me prendre un outrage à magistrat si on me fait la morale.

Je pense être d'un naturel peu agressif mais si je me retrouve dans ce genre de situation je me demande vraiment quelle sera ma réaction.

Et à force de côtoyer des salops de défendeur de la propriété privée, je pense que je ne me laisserai pas faire.

[Punu]

Oui ! J'y pensais justement. Un film qui fait froid dans le dos.

Par ailleurs, je me souviens d'un article dans un Echo des Savanes du milieu des années 90 où ils expliquaient comment rester un peu plus de 2 ans dans une habitation sans payer de loyer.

[Invité jabial]

Je n'ai pas l'impression que ce genre de discours fera beaucoup pour la bonne réputation du forum, sans parler des possibles conséquences légales (apologie et incitation à la violence, ça va chercher dans les combien?)

Je pense qu'il y a des cas où un procès nous ferait plus de bien que de mal. Je doute que cette dame attire la symathie de beaucoup de gens.

[miniTAX]

Je n'ai pas l'impression que ce genre de discours fera beaucoup pour la bonne réputation du forum, sans parler des possibles conséquences légales (apologie et incitation à la violence, ça va chercher dans les combien?)

Il fallait lire en filligrane "quand j'étais jeune" et comprendre que je déplore qu'on n'ait pas plus évolué de nos jours face à l'arbitraire des lois, malgré un Etat qui se veut toujours plus omniprésent.

Mais effectivement, tu as raison de dénoncer la violence que j'estime, avec le recul, en aucun cas justifiable.

Si le modo veut bien effacer mon message, no problemo

[David Boring]

Je constate en tous cas que la grève de la faim semble se banaliser comme moyen de règlement des conflits. Formidable, la civilisation progresse …

[ibinico]

Et après ce genre d'histoire ces mêmes hommes d'Etat pleureront le "manque de logement à louer", en montrant du doigt ceux qui préfèrent laisser les leur vides.

En même temps, que faire pour la squatteuse ?

[John Loque]

Je pense qu'il y a des cas où un procès nous ferait plus de bien que de mal. Je doute que cette dame attire la symathie de beaucoup de gens.

LC et AL doivent faire de la récup' sur ce genre d'affaires. Entre parenthèses, quelle pourriture capitaliste cette Nicole !!

[Invité Arn0]

Consternant…

Que se passe-t-il si je trouve le moyen de rentrer chez moi (cassage de la porte ou rentrage par la fenêtre), que je m'installe voire que je les vire violemment - sans les blesser - à l'aide d'amis videurs de boite?

Ils peuvent porter plainte? La police peut me virer à mon tour pour leur rendre l'appart?

Fait le cagoulé. Après pour prouver que c'est toi qui les as viré c'est dur (surtout si ils ne sont pas blessé). Tu peux faire croire qu'il sont partis de leur plein gré et qu'ils ont changé d'avis.

[Invité wavix]

Ou tout simplement leur donner envie à partir…..

Par ex, c chiant ces gens qui sonnent à l'interphone à tout heure ………

Ces gamins qui font les boites aux lettres , et hop plus de courrier …… ou alors un petit NPAI sur chaque enveloppe…..

Tjrs les memes gamins qui defèquent ds un papier journal et qui l'emballe et hop devant la porte …

Si cette charmante locataire possede une voiture ……. selon la marque de pneus, c'est bien connu, faut aller les gonfler tous les jours et les 4 en plus !!!!!

Mais c'est vrai qu'une bande de biker ça peut aider…..

Le plus navrant c'est quand meme d'en arriver à ce genre de situation !

[Invité jabial]

Bon, la mort dans l'âme, un certain nombre de messages ont été rendus invisibles. J'ai pas peur de me faire arrêter et ça me ferait même bien rigoler, mais par contre ça me ferait vraiment chier que le site s'arrête.

On verra quand il sera hébergé ailleurs.

[Patrick Smets]

un certain nombre de messages ont été rendus invisibles

??? gnié ? Du public ou des forumeurs ?

[melodius]

Prudence en effet.

Ceci étant, j'ai déjà pu constater dans ma pratique professionnelle que le coup des bikers correspond à la réalité (à Bruxelles on préfère les Albanais ceci étant: moins chers, plus efficaces…)

Procédure de résolution de bail et d'expulsion, J'obtiens un jugement après seulement six mois, confirmé en appel (entre-temps je ne vous dis pas le temps perdu…)

Il ne s'agit plus que d'expulser le locataire, un tox particulièrement peu ragoûtant et EVIDEMMENT insolvable, et là les flics me disent qu'il faut attendre trois mois de plus, rapport à l'agenda chargé de ces messieurs. Le client pète les plombs, et lorsque je lui téléphone cinq jours plus tard pour discuter de ce qu'on peut faire (négocier avec l'autre gus), il m'explique que le gars est parti suite à une "intervention" d' "amis", moyennant modeste rémunération.

Je n'ai pas eu le coeur de lui expliquer que c'était très mal. Comme le bonhomme n'a pas été endommagé et que les flics savent très bien eux aussi quel est le problème, je doute qu'une plainte éventuelle ait été traitée autrement que par classement vertical.

Mais bon, on prend des risques, si ça foire, j'ose à peine imaginer le ramdam. Ca ne vaut réellement pas la peine, croyez-moi.

[Marchange]

Prudence en effet.

Ceci étant, j'ai déjà pu constater dans ma pratique professionnelle que le coup des bikers correspond à la réalité (à Bruxelles on préfère les Albanais ceci étant: moins chers, plus efficaces…)

Procédure de résolution de bail et d'expulsion, J'obtiens un jugement après seulement six mois, confirmé en appel (entre-temps je ne vous dis pas le temps perdu…)

Il ne s'agit plus que d'expulser le locataire, un tox particulièrement peu ragoûtant et EVIDEMMENT insolvable, et là les flics me disent qu'il faut attendre trois mois de plus, rapport à l'agenda chargé de ces messieurs. Le client pète les plombs, et lorsque je lui téléphone cinq jours plus tard pour discuter de ce qu'on peut faire (négocier avec l'autre gus), il m'explique que le gars est parti suite à une "intervention" d' "amis", moyennant modeste rémunération.

Je n'ai pas eu le coeur de lui expliquer que c'était très mal. Comme le bonhomme n'a pas été endommagé et que les flics savent très bien eux aussi quel est le problème, je doute qu'une plainte éventuelle ait été traitée autrement que par classement vertical.

Mais bon, on prend des risques, si ça foire, j'ose à peine imaginer le ramdam. Ca ne vaut réellement pas la peine, croyez-moi.

J'avais lu quelque part que la situation à Bruxelles était beaucoup plus simple pour les propriétaires.

La loi ne protégeait pas autant qu'en France le locataire, ce qui expliquait une bien meilleure situation de l'immobilier.

Je prends souvent Bruxelles comme exemple pour démontrer que plus on protège le locataire moins il y a d'appartements à louer. Ca me permet de dénoncer la situation à Paris car c'est aussi une capitale européenne.

Je raconte des bêtises en parlant de Bruxelles comme ça?

[Invité Arn0]

Prudence en effet.

Ceci étant, j'ai déjà pu constater dans ma pratique professionnelle que le coup des bikers correspond à la réalité (à Bruxelles on préfère les Albanais ceci étant: moins chers, plus efficaces…)

Procédure de résolution de bail et d'expulsion, J'obtiens un jugement après seulement six mois, confirmé en appel (entre-temps je ne vous dis pas le temps perdu…)

Il ne s'agit plus que d'expulser le locataire, un tox particulièrement peu ragoûtant et EVIDEMMENT insolvable, et là les flics me disent qu'il faut attendre trois mois de plus, rapport à l'agenda chargé de ces messieurs. Le client pète les plombs, et lorsque je lui téléphone cinq jours plus tard pour discuter de ce qu'on peut faire (négocier avec l'autre gus), il m'explique que le gars est parti suite à une "intervention" d' "amis", moyennant modeste rémunération.

Je n'ai pas eu le coeur de lui expliquer que c'était très mal. Comme le bonhomme n'a pas été endommagé et que les flics savent très bien eux aussi quel est le problème, je doute qu'une plainte éventuelle ait été traitée autrement que par classement vertical.

Mais bon, on prend des risques, si ça foire, j'ose à peine imaginer le ramdam. Ca ne vaut réellement pas la peine, croyez-moi.

HS : tu es avocat?

[Coldstar]

Mais bon, on prend des risques, si ça foire, j'ose à peine imaginer le ramdam. Ca ne vaut réellement pas la peine, croyez-moi.

Quoi? Lire ça du maître spirituel ès lourdage-ninja?

Quelle honte! Le gros matou aurait perdu le goût de taquiner la vermine ???

[melodius]

HS : tu es avocat?

Yes

Quoi? Lire ça du maître spirituel ès lourdage-ninja?

Quelle honte! Le gros matou aurait perdu le goût de taquiner la vermine ???

Musclé ne signifie pas nécessairement stupide.

Les serviteurs de l'état sont plus musclés que toi, du moins pour l'instant.

[Taranne]

Bon, la mort dans l'âme, un certain nombre de messages ont été rendus invisibles. J'ai pas peur de me faire arrêter et ça me ferait même bien rigoler, mais par contre ça me ferait vraiment chier que le site s'arrête.

On verra quand il sera hébergé ailleurs.

On pourrait pas réintroduire mon affiche de Fenêtre sur Pacifique au moins?

[Mobius]

Bon maintenant Melo peut avouer qu'il est en réalité Matt Murdock….

[miniTAX]

Prudence en effet.

Ceci étant, j'ai déjà pu constater dans ma pratique professionnelle que le coup des bikers correspond à la réalité (à Bruxelles on préfère les Albanais ceci étant: moins chers, plus efficaces…)

Procédure de résolution de bail et d'expulsion, J'obtiens un jugement après seulement six mois, confirmé en appel (entre-temps je ne vous dis pas le temps perdu…)

Il ne s'agit plus que d'expulser le locataire, un tox particulièrement peu ragoûtant et EVIDEMMENT insolvable, et là les flics me disent qu'il faut attendre trois mois de plus, rapport à l'agenda chargé de ces messieurs. Le client pète les plombs, et lorsque je lui téléphone cinq jours plus tard pour discuter de ce qu'on peut faire (négocier avec l'autre gus), il m'explique que le gars est parti suite à une "intervention" d' "amis", moyennant modeste rémunération.

Ca mérite aussi une cape d'invisibilité ce genre de message ça (surtout que les albanais, ils doivent avoir quelques instruments de dissuasion autrement moins raffinés).

Je sens que Jabial va avoir des cauchemars cette nuit avec sa spirale infernale de la censure