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Caillassages et petits problèmes


Messages recommandés

Ce sont des exemples où des voyoux armés ont réussi à prendre le dessus sur le droit et la légitimité.

Je connais ton opinion sur le sujet, mais ce n'est pas le sujet du fil. Si tu veux on prend les chinois, comme illégitimes on fait pas mieux. Ce que je constate, c'est que d'un pur point de vue wertfrei, la force permet de faire régner l'ordre. Savoir si ce sont les bons ou les méchants qui tiennent le haut du pavé, c'est une autre histoire, je pense qu'on peut simplement agree to disagree.

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Un jeune témoigne : l'intervention de la police l'a « choqué ».

Le député-maire de Grenoble, Michel Destot, a lancé cet été comme l'an dernier une opération de communication en centre-ville pour sensibiliser les jeunes aux dangers de l'alcool, de la drogue, du sexe non protégé, etc. et faire la promotion du mieux vivre ensemble.

Et dans le Loir-et-Cher, la situation n'est pas meilleure. Cependant, même si l'élément déclencheur semble le même, je pense que les motivations réelles sont différentes et qu'il ne s'agit pas d'une lutte culturelle ou raciale.

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Une fois de plus, tu m'attribues des propos qui ne sont pas les miens. Je ne dis pas que l'état est la cause de la criminalité. En revanche, j'essaie d'établir les limites à l'action de l'état. Ceci m'amène à vous mettre en garde : si vous pensez que l'état peut faire mieux que ce que nous voyons aujourd'hui dans la lutte contre le crime sans diminuer ses gaspillages et sans réduire son périmètre, hé bien vous vous trompez.

J'oppose à ton raisonnement (qui identifie l'incurie de l'Etat comme cause du boom criminel) le cas suédois, où une sévère réforme libérale de l'Etat fut menée depuis les années 90 pour palier l'échec du modèle social-démocrate. Ce qui n'a pas empêché une épidémie récente de violences et d'émeutes similaire à celle que nous connaissons en France, bien que d'ampleur et d'intensité moindre, avec voitures brûlées, quartiers vandalisés etc.

Suède: deuxième nuit d'émeutes dans une banlieue défavorisée de Stockholm

09/06/10 - AFP

Près d'une centaine de jeunes ont attaqué un commissariat de police et provoqué des incendies, lors d'une deuxième nuit consécutive d'émeutes à Rinkeby, une banlieue défavorisée et à forte population immigrée de Stockholm, a rapporté mercredi la police suédoise.

"Ils ont mis le feu à un bâtiment scolaire (…) Ils ont essayé d'incendier le commissariat, d'autres bâtiments ainsi que des voitures, mais essentiellement ils ont jeté des pierres et des briques sur la police et les pompiers", a déclaré à l'AFP Mats Eriksson, porte-parole de la police de l'ouest de la capitale suédoise. Personne n'a été blessé, a-t-il précisé.

Trois ministres suédois dont la ministre de l'Intégration Nyamko Sabuni se sont rendus sur place mercredi. Le Premier ministre suédois Fredrik Reinfeldt a réclamé qu'il soit rapidement mis un terme aux émeutes. "Les conséquences risquent de devenir très graves et (cela) pourrait affecter les habitants de Rinkeby", a-t-il dit, cité par l'agence TT.

Les violences de Rinkeby, une banlieue connue pour avoir une des plus grandes communautés d'immigrés de première ou de deuxième génération de Suède, avaient éclaté lundi soir. "Tout a débuté parce qu'un groupe de jeunes adultes s'est vu interdire de pénétrer dans une fête dans un collège. Ils se sont énervés et ont commencé à jeter des pierres à travers les vitres de l'école", a raconté M. Eriksson.

© AFP - Fredrik PerssonLes jeunes, jusqu'à une centaine selon la police, s'en sont ensuite pris au commissariat de police où ils ont brisé des vitres et mis le feu à une voiture. Trois personnes ont été arrêtées avant d'être relâchées mardi.

Mardi soir, "je dirais que les choses se sont aggravées", selon le porte-parole de la police, avec l'incendie du bâtiment scolaire et de quatre à cinq voitures.

"C'est une situation extrêmement grave et qui doit cesser au plus tôt, sinon cela va continuer à empirer", a averti M. Eriksson.

http://www.lesechos.fr/depeches/monde/afp_00258759.htm

Mais si. Vous demandez que l'état soit plus efficace. Comment obtiendrez-vous cela sans éliminer les gaspillages ?

Les nécessaires réformes policières et judiciaires sont connues dans les grandes lignes. Etat modeste, fin de l'assistanat et de la subvention de l'immigration massive, arrêt des plans Banlieue et de tout financement des associations militantes participant au lobby de l'excuse, développement de la sécurité privée et de forces locales indépendantes du ministère.

Quasiment tous les corps de fonctionnaires doivent subir une cure drastique d'amaigrissement, mais je ne pense pas que ce soit le cas de la police, en tout cas tant qu'elle sera un second best. Toutefois, ses règles d’engagement doivent changer : la priorité doit être rendue à la sûreté des biens et des personnes, à la sécurisation des rues, au lieu du racket actuel des contribuables pour un Etat corrompu en faillite financière et morale.

Quant aux réformes pénales, je souscris grosso modo aux propositions de Jabial, mais j'y ajouterais le retour de la double peine (ou du moins ce qui est couramment nommé ainsi), c'est-à-dire des peines de bannissement.

Si rien n'est entrepris il faudra créer des ligues d'auto-défense citoyennes et s'organiser de façon plus informelle, pour éviter la balkanisation du pays.

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Personnellement ça me dérange que la peine varie en fonction de facteurs extérieurs à la responsabilité du coupable.

Je ne vois pas pourquoi un étranger devrait être puni plus qu'un français.

Et de toute façon, on sait bien que ça ne résoudrait pas le problème, puisque dans la majorité des cas, il sont français de naissance et ont grandi dans nos banlieues.

Et puis une expulsion n'est pas une punition. Ça ne fait pas peur, et le type c'est déjà un criminel, donc la loi il s'en fout, il revient en fraude et c'est tout.

Je pense qu'il faut des châtiments terrifiants, et égaux pour tout le monde.

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Il y a aussi les deux intérprétations suivantes: ces violences sont conséquences à tout ce qui a été évoqué jusqu'içi (assistanat, impunité, immigration) et une deuxième, elles sont dues à l'action qui est mené et qui dérange des cités, laissés jusque-là tranquiles-avec leur police de proximité pour plus de sensibilité(d'ou est tiré l'expression cité sensible). Il est clair que la violence augmentera suite à l'action et qu'elle descendera une fois les foyer de criminalité éteints.

Pour le lieu du ban de Grenoble, si j'ai bien compris, il s'agit des HLM de 15000 personnes (?) mochement construits, les comportements étaient largement prévisibles. L' urbanisme, cette science confuse, que toute mairie s'efforce de s'illusionner sur son efficacité, est içi pour quelque chose.

La France a cela aussi de particulier:ses villes sont très restreintes en surface( Londres est 6 fois plus vaste que Paris), elles sont ceinturés donc non ouvertes vers la périphérie et les centres villes sont des lieu d'habitation au lieu de travail…il semble que cette caractéristique est en train de s'émousser-voir l'état des vieilles habitations.

On peut cependant rester optimistes, malgré la faible probabilité que cet événement se reproduise, car une fois dans un HLM parisien un écrivain chinois a reçu le prix Nobel de la littérature. Bravo les services communaux de la région parisienne qui a pléthore de maires!

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Pour le lieu du ban de Grenoble, si j'ai bien compris, il s'agit des HLM de 15000 personnes (?) mochement construits, les comportements étaient largement prévisibles.

Je te conseille d'aller faire un tour sur le site du quartier en question : http://anonym.to/?http://parc.villeneuve.free.fr/

Espaces verts entretenus, terrains de loisir, piscine, école, services sociaux, transports & tram au pied des immeubles, myriade d'associations culturelles et sportives avec leurs animateurs, ça n'a rien à voir avec l'imaginaire du ghetto délaissé véhiculé par le prêt-à-penser journaleux.

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Par conséquent l'explication par l'urbanisme difficile et le poncif du quartier délaissé ne tient pas la route, à ranger parmi les mythes du déterminisme social réfutés par l'expérience.

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Je te conseille d'aller faire un tour sur le site du quartier en question : http://anonym.to/?http://parc.villeneuve.free.fr/

Espaces verts entretenus, terrains de loisir, piscine, école, services sociaux, transports & tram au pied des immeubles, myriade d'associations culturelles et sportives avec leurs animateurs, ça n'a rien à voir avec l'imaginaire du ghetto délaissé véhiculé par le prêt-à-penser journaleux.

Par conséquent l'explication par l'urbanisme difficile et le poncif du quartier délaissé ne tient pas la route, à ranger parmi les mythes du déterminisme social réfutés par l'expérience.

Humm pour y avoir trainé mes guêtres je peux te dire que ce sont des photos de propagande municipale dignes de l'URSS :icon_up: Cela dit je ne tiens pas l'urbanisation pourrie pour une quelconque excuse voire explication. C'est quand même bien pourri Villeneuve et l'Arlequin.

J'ai un collègue qui a acheté là bas je lui avais dit qu'il allait racheter son appart pas cher en voiture brûlée.. Je n'étais pas loin de la vérité malheureusement.

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Par conséquent l'explication par l'urbanisme difficile et le poncif du quartier délaissé ne tient pas la route, à ranger parmi les mythes du déterminisme social réfutés par l'expérience.

Il n'y a pas qu'une explication, mais peut etre des milliers de causes plus ou moins determinantes. Bref, le determinisme social c'est mal d'accord, mais tout n'est pas a exclure de ce cote non plus.

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Humm pour y avoir trainé mes guêtres je peux te dire que ce sont des photos de propagande municipale dignes de l'URSS :icon_up:

Pas besoin d'y avoir ete pour voir que les photos ont ete choisies, on y vois pas une seule habitation de pres (sans meme parler d'un interieur). L'URSS etait plus subtile.

Ceci dit avec d'autre populations des grandes tours avec beaucoup d'habitants ne pose pas de problemes particulier. Les pire HLM francais feront toujours maison de campagne compares a ca:

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Humm pour y avoir trainé mes guêtres je peux te dire que ce sont des photos de propagande municipale dignes de l'URSS :mrgreen: Cela dit je ne tiens pas l'urbanisation pourrie pour une quelconque excuse voire explication. C'est quand même bien pourri Villeneuve et l'Arlequin.

J'ai un collègue qui a acheté là bas je lui avais dit qu'il allait racheter son appart pas cher en voiture brûlée.. Je n'étais pas loin de la vérité malheureusement.

Il y a donc un accès à la propriété et le tram circule dans le quartier (quand il n'est pas pris d'assaut), on est loin de l'imaginaire du ghetto enclavé, même si la présentation supra provient évidemment d'un site de propagande municipale.

J'ai consulté le site du député-maire socialo qui a proposé un Grenelle de la Sécurité Durable et du Vivre-Ensemble citoyen, c'est vrai qu'il a l'air d'en tenir une couche en matière de démagogie abrutissante.

Vivre et agir ensemble à Teisseire

Construit entre 1958 et 1960, le quartier Teisseire, premier "grand ensemble" grenoblois de près de 1300 logements, constitua pour de nombreux habitants et bon nombre de familles d'ouvriers l'accès au confort moderne. Teisseire marqua aussi l'histoire sociale de Grenoble avec l'une des premières unions de quartier de la ville, qui comprenait alors aussi le quartier Malherbe.

La solidarité ouvrière, très présente dans le quartier, s'est fortement exprimée avec la célèbre "grève des loyers", coordonnée par Henri Lesage et qui permis une modification dans la gérance de l'OPHLM d'alors qui ouvra sa présidence à un élu de la Ville de Grenoble.

Aujourd'hui, par la réalisation de la place Salvador Allende, le parc Ouagadougou, la bibiliothèque, Teisseire a renoué ses liens avec son voisin naturel : Malherbe, mais aussi avec Jouhaux, les nouveaux habitants de la ZAC, 1er projet engagé par notre municipalité en 1995. Teisseire a gagné en qualité de vie et a développé de nouvelles solidarités de voisinage, notamment avec les unités résidentielles.

Bon aniversaire à Teisseire !

Michel Destot communique suite à la demande faite par le Ministre de l’Intérieur au Préfet de l’Isère d’organiser une réunion à l’échelle locale sur la sécurité urbaineMichel DESTOT communique à la suite des événements survenus ces derniers jours à la Villeneuve et du renforcement des moyens de la Police nationale et de la gendarmerie dans le quartier.

Mon interview en direct au journal de 13h de France 2Visite à la Villeneuve avec Brice HortefeuxPlus dans GrenobleRéaction de Michel Destot suite à l’événement dramatique de cette nuitCoeur de villeMon interview sur RMC info ce matinFestivités du 14 juillet

Tags Accessibilité Avenir Collectivités Concertation Coopération Culture Démocratie Développement durable Economie Education Egalité Emotion Emploi Environnement Europe Familles FCG GF38 Grenoble Innovation Institutions International Inventer à gauche Jeunes en montagne Le Fait urbain Liberté Logement Mémoire Métropole Montagne Musique Politique Politique de la Ville Projet Quartier Recherche Sécurité Santé Services publics Solidarité Sport Tourisme Université Ville Vivre ensemble

Des associations dynamiques

J'ai profité de ce week-end particulièrement riche en animations pour rencontrer et saluer les responsables d'associations sportives, culturelles, humanitaires qui, tout au long de l'année donnent de leur temps et de leur énergie pour faire vivre bénévolement un réseau associatif extrêmement riche dans notre ville.

:icon_up:

Ainsi samedi matin, je me suis rendu à Villeneuve dans le cadre du 11ème festival Quartiers Libres pour assister au concert de la Chorale des enfants composée de près de 500 jeunes et visiter les stands des associations partenaires. Après un passage à la bibliothèque du centre ville pour inaugurer la création d'un "potager hors sol", c'est dans les locaux de l'association soleil rouge que je me suis rendu. Cette dernière organisait une vente de tableaux réalisés par l'atelier Clara Berger au profit des enfants en soin au service pédiatrie du CHU de Grenoble.

En soirée, après avoir accueilli l'assemblée générale de l'ANACR dans les salons de l'Hôtel de Ville, j'ai rejoint la parc Ouagadougou dans le quartier de Teisseire pour assister au premier concert classique gratuit de l'été.

Enfin, dimanche, c'est au parc Paul Mistral dans le cadre de la fête des sports organisée par l'OMS que je me suis rendu pour partager un moment sportif et convivial avec de nombreux jeunes venus découvrir et pratiquer les activités proposées par les clubs grenoblois.

Coeur de Ville

Avec la réhabilitation de la Villeneuve, "Cœur de ville, cœur d'agglo" est l'un des projets prioritaires du mandat. En effet, au-delà du besoin d'agrandir le centre-ville et de l'étendre en créant un lien cohérent entre les quartiers qui le composent, le sentiment que ce dernier appartient à tous fait que son embellissement et son amélioration sont des attentes fortes de tous les Grenoblois.

Mardi dernier, accompagné de l'architecte en chef Alexandre Chemetoff (qui a notamment mené l'extension du parc Paul Mistral) et en présence de nombreux élus et directeurs généraux de la Ville, j'ai consacré une grande partie de la journée à faire un point sur ce dossier dont les réalisations sont à venir.

Au terme de la réunion de travail qui présentait le plan guide et le programme d'intervention sur les espaces, nous avons longuement déambulé dans le centre ville et notamment aux endroits stratégiques afin de veiller à ce que l'articulation des projets d'aménagement que nous menons (les Quais, les rues piétonnes, la future ligne E, etc.) se fasse dans le plus grande cohérence.

Enfin, dans le cadre d'actions complémentaires d'éducation artistique, nous avons profité de la présence à Grenoble de l'artiste Alain Kirilli pour évoquer l'installation prochaine d'une de ses œuvres au cœur du parc Paul Mistral. :doigt:

Il n'y a pas qu'une explication, mais peut etre des milliers de causes plus ou moins determinantes. Bref, le determinisme social c'est mal d'accord, mais tout n'est pas a exclure de ce cote non plus.

J'ai vu la façon dont les socialistes ont ravagé ma propre ville, mais le lien de causalité n'est pas direct. Il n'y a pas d'implication architecture -> criminalité, mais une relation logement social-> clientélisme -> population de substitution -> zone de non droit -> impunité -> violence & vandalisme

De même l'explication par la prétendue pauvreté est aussi un mythe.

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Mon point de vue est le suivant:la propagande anti-capitaliste a fait que au lieu de se trouver avec un marché de l'immobilier ouvert, les mairies se sont érigé en entrepreneurs, en bienfaiteurs de la classe ouvrière ce qui d'un côté a faussé le marché-voir l'état lamentable de l'immobilier ancien et l'exiguité des propriétés qui ne vaudraient pas grand chose dans un marché libre-et d'un autre côté leur a permis d'augmenter artificiellement leur population sans croissance économique et sans création de valeur.

L'on sent encore le soviètisme collectivisant.

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Et dans le Loir-et-Cher, la situation n'est pas meilleure. Cependant, même si l'élément déclencheur semble le même, je pense que les motivations réelles sont différentes et qu'il ne s'agit pas d'une lutte culturelle ou raciale.

Mais de quelle lutte culturelle ou raciale parles tu ?

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Je te conseille d'aller faire un tour sur le site du quartier en question : http://anonym.to/?http://parc.villeneuve.free.fr/

Espaces verts entretenus, terrains de loisir, piscine, école, services sociaux, transports & tram au pied des immeubles, myriade d'associations culturelles et sportives avec leurs animateurs, ça n'a rien à voir avec l'imaginaire du ghetto délaissé véhiculé par le prêt-à-penser journaleux.

Par conséquent l'explication par l'urbanisme difficile et le poncif du quartier délaissé ne tient pas la route, à ranger parmi les mythes du déterminisme social réfutés par l'expérience.

Humm pour y avoir trainé mes guêtres je peux te dire que ce sont des photos de propagande municipale dignes de l'URSS :icon_up: Cela dit je ne tiens pas l'urbanisation pourrie pour une quelconque excuse voire explication. C'est quand même bien pourri Villeneuve et l'Arlequin.

J'ai un collègue qui a acheté là bas je lui avais dit qu'il allait racheter son appart pas cher en voiture brûlée.. Je n'étais pas loin de la vérité malheureusement.

Ces photos ont été clairement choisies, pas prises au hasard. Il n'en demeure pas moins que toute la zone sud de Grenoble est très bien aménagée avec transports et espaces verts importants. Il y a même un mobilier urbain abondant et bien entretenu malgré les dégradations incessantes, et un des plus grands centres commerciaux de l'agglomération grenobloise se trouve dans le secteur avec des magasins comme Carrefour, la Fnac, des restaurants, … Vous en connaissez beaucoup des cités HLM avec une Fnac ? Il y a même une ligne de tramway traversant toute l'agglomération, partant d'une ville de banlieue, traversant le centre-ville de Grenoble, le quartier de la Villeneuve et de l'Arlequin (même style), desservant le centre commercial et poursuivant jusqu'à une autre ville de banlieue. Les associations locales sont gavées d'argent public ; par exemple, lors de je ne sais plus quelle compétition de football, tous les clubs de ces quartiers s'étaient vu offrir des vidéo-projecteurs par la mairie pour permettre à leurs membres de suivre les matchs. Les appartements de ces tours, ont été construits sur le même modèle : ils sont vastes et lumineux. À côté de ça, le centre ville est couvert de grafitis, ses rues sont sales, ses routes sont mal entretenues, … Grenoble est une ville qui consacre l'essentiel des budgets d'aménagement et de subventions à ces quartiers "sensibles". Dire qu'ils sont laissés à l'abandon relève de la plaisanterie.

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Oui, enfin même si les photographies montrent évidemment le lieu sous son meilleur jour, tout de même, de l'avis des "riverains" de rue68, il y a beaucoup d'argent qui a été investi dans ce quartier. J'ai vu des commentaires de grenoblois sur un précédent article du même journal qui disaient que le quartier était plutôt un modèle du genre en termes d'urbanisme, un vieux rêve de baba cool.

D'ailleurs, le dernier article en date nous explique que quoi qu'on fasse ce n'est pas encore assez :

(badurl) http://www.rue89.com/2010/07/19/grenoble-investir-dans-lhumain-plutot-que-dans-la-pierre-159208 (badurl)

Au moins je les rejoins sur un point : toute les politiques de la ville sont un désastre et ne sont que du pognon claqué en pure perte.

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Il est clair que le quartier est un modèle d'urbanisme : de grands espaces verts, des équipements, on y circule bien et on y est à dix minutes du centre ville en tramway. Sans parler de la vue incroyable qu'offrent les grands espaces dégagés sur les montagnes environnantes. Le problème, ce n'est pas le quartier…

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Oui, enfin même si les photographies montrent évidemment le lieu sous son meilleur jour, tout de même, de l'avis des "riverains" de rue68, il y a beaucoup d'argent qui a été investi dans ce quartier. J'ai vu des commentaires de grenoblois sur un précédent article du même journal qui disaient que le quartier était plutôt un modèle du genre en termes d'urbanisme, un vieux rêve de baba cool.

D'ailleurs, le dernier article en date nous explique que quoi qu'on fasse ce n'est pas encore assez :

(badurl) http://www.rue89.com/2010/07/19/grenoble-investir-dans-lhumain-plutot-que-dans-la-pierre-159208 (badurl)

Au moins je les rejoins sur un point : toute les politiques de la ville sont un désastre et ne sont que du pognon claqué en pure perte.

Encore une grande victoire de la mixité sociale.

Il faut ajouter que, contrairement à ce qu'avance la propagande socialiste, la paupérisation de ces quartiers n'est absolument pas une cause, mais bien une conséquence du fait que les droits de propriété n'y sont plus garantis lorsque les bandes imposent leur loi. Ergo c'est l'insécurité qui cause la relative pauvreté économique des zones de non droit et pas l'inverse. Je dis relative car sa mesure officielle ne prend pas en compte l'économie maffieuse.

Tribune de Raufer sur l'épidémie de criminalité : la fin de la liberté de circulation

Librement circuler en France

Le droit d’aller et venir à son gré ne va désormais plus de soi.

Par Xavier Raufer

Quel est le plus élémentaire des droits de l’homme ? Dès sa seconde leçon d’éducation civique, un enfant sait répondre : c’est la capacité d’aller et venir à son gré.

Un droit crucial pour l’activité économique et sociale : produire, vendre, éduquer, former, acheter – rien de cela ne peut se pratiquer dans des cloîtres ou dans des bunkers. L’être humain en société doit pouvoir circuler. Faute de quoi, la loi de la jungle l’emporte vite. Pour preuve, le fameux Brésil tant vanté par Davos-Goldman-Sachs, où les foules misérables croupissent dans des favelas ; où les riches sont retranchés dans leurs “communautés murées” (gated communities) ; le tout sans nuls échanges et où, pas vraiment par hasard, le taux de confiance interpersonnelle est l’un des plus bas du monde.

Les cités sensibles

Or dans certaines zones du territoire français – dans les grands centres urbains et notamment près des “cités sensibles” – ce droit d’aller et venir à son gré ne va désormais plus de soi.

Selon les dernières statistiques de l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP), publiées fin juin 2010, les agressions de voyageurs dans les transports urbains ont augmenté de quasiment 8 % en 2009 (exactement 7,9 %). Précisons que le syndicat professionnel qu’est l’UTP regroupe les 160 entreprises du secteur, hors SNCF et RATP, et a recensé 2, 25 milliards de voyages en 2009. Autre forte augmentation en 2009 : celle du vandalisme, sur du matériel roulant ou fixe, +6,2 %, “le plus haut niveau atteint depuis 13 ans”.

Ainsi donc, fréquenter les transports en commun est plus périlleux que naguère.

Et la voie publique ? On sait que la plupart des violences physiques crapuleuses, autrement nommées “vols avec violence” adviennent dans la rue, entre piétons. Or ces vols violents augmentent chaque année, encore + 5,8 % en 2009.

Restent les routes et autoroutes, où aujourd’hui, les automobilistes vivent plus dangereusement, comme le démontre un récent drame.

Le 27 juin, un banal accrochage entre automobiles advient sur l’autoroute 13, près des Mureaux. Refus de constat, le ton monte : un protagoniste appelle des “renforts”. En cinq minutes, une meute surgit de deux véhicules, accourue de la toute proche et fort “sensible” cité des Musiciens.

Selon la famille de la victime, ce qui suit relève de la “boucherie” : aux cris de “on va le tuer”, Mohamed, 30 ans est lynché. Il décède à l’hôpital la nuit suivante. Arrêtés à proximité, deux des présumés acteurs du “massacre”, sont connus de la police pour violences répétées.

Immédiatement, des avocats présentent les interpellés comme autant d’Enfants de Marie. Dans leur cité, silence : une omerta pesante étouffe les habitants – ou les contraint à feindre l’étonnement.

Le lamento pathético-sociologique

Classiquement aussi, certains journaux y vont de la rituelle ritournelle du “fait de société”. “Une affaire qui en dit long sur l’époque”, glose l’un ; une “rixe” provoquée par “une bande de jeunes”, édulcore l’autre. Plus réalistes, les collègues de Mohamed parlent de “sauvages”. Tout aussi curieuse, la réaction d’enquêteurs un peu perdus ; pour la presse, ils n’ont “jamais vu ça”, ils “ne parviennent pas à s’expliquer ce déchaînement de violence”.

Conseillons-leur la fréquentation des criminologues, qui les aideront volontiers à replacer l’affaire dans son contexte et dans la durée – car hélas, pour notre pays, cet “acte de barbarie” (c’est la famille de la victime qui parle) est tout sauf une première.

Remontons au mois de mars 2002, voici huit ans déjà. Nous sommes à Evreux, devant la cité de la Madeleine qui, dit avec pudeur la presse, “n’a pas été épargnée par les violences urbaines”. Patrice, père de famille de 38 ans (réunionnais d’origine), vient s’expliquer avec un juvénile caïd qui rackette son fils. Le ton monte “dix, vingt, peut-être trente” voyous s’agglutinent, les coups partent, une brique atteint Patrice en pleine tête. “Le groupe de racketteurs, dit la presse, s’acharne en criant, en riant, à savater Patrice, gisant à terre.” Il meurt peu après.

Pour les policiers, la meute n’en est pas à son coup d’essai. Peu auparavant, les “créanciers” d’un toxicomane mauvais payeur de la Madeleine lui ont enfoncé “un bâton dans l’anus avant de le plonger dans une baignoire, où ils s’apprêtaient à l’électrocuter. Il n’a dû sa vie sauve qu’à un court-circuit”.

A l’époque, le lamento pathético-sociologique a bien sûr coulé à torrent : “gamin perdu (le meurtrier, bien sûr) … dérive… violence des cités… Un terrible gâchis ! Une société qui a trop longtemps refusé de se regarder en face”. Et le taux de chômage à la Madeleine, 18%, pensez donc.

Les meutes violentes

Deux semaines après, ce terrible drame “qui a terrorisé Evreux et, bien au-delà, la société entière” est rangé au rayon des vieilles lunes et, hormis la famille laissée à sa douleur, tout le monde a oublié.

Ainsi, de chocs médiatiques brutaux, mais vite occultés, en périodes de rémission durant lesquelles les officiels rêvent que le cauchemar est fini, la France vit depuis trente ans – les premières émeutes urbaines remontent à 1979, dans la banlieue lyonnaise – en somnambule, entre deux bouffées de violences urbaines.

Comme seul remède, et malgré des échecs abyssaux, la France officielle applique inlassablement le cataplasme sur une jambe de bois connu comme “politique de la ville”. Résultat : néant bien sûr. Au quotidien et dans les centaines de cités et quartiers “sensibles”, des meutes violentes se forment aujourd’hui sans nul obstacle, terrifient leur voisinage et se déchaînent à leur convenance contre quiconque leur manque de “respect”.

Leur ivresse d’impunité est d’autant plus forte que les instances de répression, polices, justice, etc., semblent peiner, d’abord à les identifier sous leurs capuches et cagoules ; ensuite à traduire en condamnations individuelles – même pour des homicides ou des tirs d’armes de guerre sur des forces de l’ordre – des crimes commis en bandes vite ameutées et aussi vite dispersées, comme des volées de moineaux (“j’étais là mais j’ai juste regardé”).

Ainsi donc, depuis près de dix ans, il semble que rien ne permette de prévenir de tels drames. Nous en avons évoqué deux – mais sans doute, à lire la presse locale, s’en produit-il chaque mois d’analogues.

Entre ces déchaînements de violence, les braquages de “proximité”, les agressions crapuleuses, les règlements de compte, un évident continuum existe : ce sont les mêmes qui agissent, aux mêmes endroits. Que sait-on sur eux ? Encore pas grand- chose. Seul un outil de renseignement criminel précis et offensif permettra de connaître ces meutes, puis de prévenir leurs actes. Sinon, des “actes de barbarie” se produiront encore. Jusqu’au jour où la population en aura assez.

http://www.lenouveleconomiste.fr/2010/07/1…uler-en-france/

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Il est clair que le quartier est un modèle d'urbanisme : de grands espaces verts, des équipements, on y circule bien et on y est à dix minutes du centre ville en tramway. Sans parler de la vue incroyable qu'offrent les grands espaces dégagés sur les montagnes environnantes. Le problème, ce n'est pas le quartier…

Franchement c'est immonde au niveau architectural (ce en quoi ça ne départ pas trop dans la ville :icon_up:). Sinon je crois que le fait que ce ne soit pas enclavé et lointain comme les banlieues parisiennes est aussi une explication du fait que Grenoble fait de plus en plus souvent la une question caillassage : d'une part ça se voit, d'autre part les réactions policières me semblent plus imposantes que dans le 9 3 ou je ne sais où (d'ailleurs le mec qui a fait le casse s'en souvient), en fait vu la géographie de la ville on ne peut pas trop se permettre de fermer les yeux et de faire comme si de rien n'était ce que je subodore dans les cités environnantes des grandes villes.

Cela dit je suis rentré chez moi samedi à 4h du mat sans croiser autre chose que les poivrots habituels et je n'entend pas non plus les tirs de ma fenêtre (ouverte pour arriver à dormir après 14 jours à plus de 35°).

Finalement les mecs qui ont fait le casse étaient d'une stupidité sans nom : plutôt quue de viser un casino (dont les caisses sont vidées toutes les 45 secondes et surveillé comme pas possible) ils auraient eu plus de succès à carrouf Meylan (au moins ils auraient pu faire le tour des caisses) ou à peu près n'importe où. Sans compter que quand on s'attaque au monde du jeu c'est le double effet kiss cool : si tu te fais pas prendre la police alors il y a d'autre moyens que les gérants de casino connaissent et peuvent utiliser…

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Invité rogermila

Pour bientôt, l'obligation à EDF de prendre des mesures techniques ( principe de précaution) pour faciliter le squatt des transformateurs dans les quartiers sensibles.

La mère d'un adolescent de 16 ans, grièvement blessé dans un transformateur électrique à 15.000 volts la semaine dernière à Lille, a porté plainte aujourd'hui contre le bailleur social et ERDF.

Dénonçant des "négligences" et citant des témoignages d'habitants, Me Le Monnier l'avocat de la famille de la "victime", affirme que la porte du local était ouverte depuis plusieurs mois et qu'elle ne comportait pas de pancarte signalant le danger.

Selon le directeur de la communication du bailleur Lille métropole habitat (LMH), le personnel prévient EDF dépannage lorsque la porte est ouverte. Selon lui, ce local géré par ERDF, est "régulièrement vandalisé", et utilisé par des jeunes gens pour des des "activités illicites".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/07/…-de-la-mere.php

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Franchement c'est immonde au niveau architectural (ce en quoi ça ne départ pas trop dans la ville :icon_up:).

Oui. Cependant, à côté d'autres "cités", ça reste très potable.

Sinon je crois que le fait que ce ne soit pas enclavé et lointain comme les banlieues parisiennes est aussi une explication du fait que Grenoble fait de plus en plus souvent la une question caillassage : d'une part ça se voit, d'autre part les réactions policières me semblent plus imposantes que dans le 9 3 ou je ne sais où (d'ailleurs le mec qui a fait le casse s'en souvient), en fait vu la géographie de la ville on ne peut pas trop se permettre de fermer les yeux et de faire comme si de rien n'était ce que je subodore dans les cités environnantes des grandes villes.

C'est aussi mon avis. D'autant plus que la Villeneuve, Teissere ou Arlequin ne sont pas des banlieues, mais bien des quartiers de la ville de Grenoble. La policière membre de l'équipe qui s'est fait tirer dessus et qui est passée dans les JT précisait bien que c'était la première fois que la police grenobloise essuyait des tirs d'arme à feu. Or c'est devenu quelque chose d'hélas habituel dans certains endroits de France.

Cela dit je suis rentré chez moi samedi à 4h du mat sans croiser autre chose que les poivrots habituels et je n'entend pas non plus les tirs de ma fenêtre (ouverte pour arriver à dormir après 14 jours à plus de 35°).

Tu ne vis pas non plus à la Villeneuve. En ville, ils en sont encore à l'arme blanche :doigt: .

Finalement les mecs qui ont fait le casse étaient d'une stupidité sans nom : plutôt quue de viser un casino (dont les caisses sont vidées toutes les 45 secondes et surveillé comme pas possible) ils auraient eu plus de succès à carrouf Meylan (au moins ils auraient pu faire le tour des caisses) ou à peu près n'importe où. Sans compter que quand on s'attaque au monde du jeu c'est le double effet kiss cool : si tu te fais pas prendre la police alors il y a d'autre moyens que les gérants de casino connaissent et peuvent utiliser…

Oui. Cependant, je pense que ce n'est pas de l'argent que les braqueurs cherchaient, mais plutôt la reconnaissance de leurs pairs. Comme tu le dis, il y a des tas d'endroits plus accessibles, plus rentables et moins risqués dans le coin. Mais braquer un casino, c'est quand même autre chose qu'une petite bijouterie de centre-ville. Mais peut-être ne s'attendaient-ils pas non plus à un butin aussi maigre (quarante mille euros, je crois).

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:icon_up: Incroyables les photos postées par free-jazz. Je n'avais encore jamais vu la Villeneuve ainsi. Il y a tout de même des photographes de talents : d'une merde, ils t'en font un joyau.

Et franchement Silhouette, tu exagères. A te lire on pourrait croire qu'il s'agit d'un quartier agréable à vivre alors que c'est vraiment immonde.

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Première partie du reportage : nouveaux tirs contre la police.

Deuxième partie : l'urbanisme, justement (non, ces bâtiments n'ont pas toujours été considérés comme hideux visiblement…).

Et franchement Silhouette, tu exagères. A te lire on pourrait croire qu'il s'agit d'un quartier agréable à vivre alors que c'est vraiment immonde.

Content de te revoir par ici. :icon_up:

C'est immonde parce que les habitants ne prennent aucun soin de leur quartier, pas parce que c'est "mal fait". Sauf l'architecture des bâtiments, naturellement.

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:icon_up: Incroyables les photos postées par free-jazz. Je n'avais encore jamais vu la Villeneuve ainsi. Il y a tout de même des photographes de talents : d'une merde, ils t'en font un joyau.

Et franchement Silhouette, tu exagères. A te lire on pourrait croire qu'il s'agit d'un quartier agréable à vivre alors que c'est vraiment immonde.

Tu rigoles, mais comparé à la plupart des cités du 93 de ma connaissance, c'est un joyau.

Si tu passes par Paris tu peux vérifier en allant te ballader dans de riantes cités alentours comme celles de Bobigny, La Courneuve, Drancy ou Stain. Et bien d'autres banlieues bucoliques dont certaines semblent sorties de laboratoires d'urbanistes fous diplômés en fabrique d'homme nouveau. En comparaison la Villeneuve ressemble en effet à un aimable village de baba cools, quelque soit le talent du photographe.

On peut citer quelques grands classiques, comme les 4000, la Cité des Poètes, dite Cité rose, à Pierrefite sur Haine, avec son architecture postmoderne orientalisante, ou celles de Bobigny, dans le plus pur style stalinien. Mais la liste serait trop longue.

tkmag49b932f858666.jpg

Blogs avec classement des pires cités :

http://anonym.to/?http://lespiresquartiersdidf.skyrock.com/

http://anonym.to/?http://toonis93.skyrock.com/

http://anonym.to/?http://aulnay-3000.skyrock.com/

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franchement ne voir la laideur architecturale que dans les banlieues sovietoides c'est assez reducteurs. En dehors des tours de bureau ( quand elles sont rassemblees en quartier d'affaire par posees comme des etroncs type montparnasse) et des musées, l'architecture moderne ne produit que des horreurs. C'est probablement la chose de la modernite que je deteste le plus: la destructions des villes européennes traditionnelles.

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franchement ne voir la laideur architecturale que dans les banlieues sovietoides c'est assez reducteurs. En dehors des tours de bureau ( quand elles sont rassemblees en quartier d'affaire par posees comme des etroncs type montparnasse) et des musées, l'architecture moderne ne produit que des horreurs.

L'architecture moderne a produit des merveilles. Mais je n'en dirais pas autant de l'architecture postmoderne et contemporaine, a fortiori dans leur version collectiviste.

Voir ce fil par exemple, si tu veux en discuter:

http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=40846

C'est probablement la chose de la modernite que je deteste le plus: la destructions des villes européennes traditionnelles.

La destruction de l'orthographe aussi, au vu de la lecture des blogs indiqués ci-dessus.

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