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Vous Avez Toujours Voulu être Un Gauchiste?


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En revanche la loi se doit de punir les cautionnaires de ce type de texte, ne serait-ce que par des peines symboliques, afin de montrer que la societe rejette ce type de pensee.

Ca fait un peu beaucoup de crimes non direct, non ?

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Tu ne vois pas comment un texte peut violer des droits ou tu ne voit pas comment ce texte viole des droits ? Si c'est la première possibilité alors c'est grave.

Un texte n'est pas un acte. Ce qu'il décrit peut être une violation de droit, mais le fait de l'écrire n'en est pas une, à mon avis

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Invité Arn0
Un texte n'est pas un acte. Ce qu'il décrit peut être une violation de droit, mais le fait de l'écrire n'en est pas une, à mon avis
Donc Kim Jong-il, qui n'a probablement jamais tué personne par lui même et qui a simplement donné des ordres écrits ou oraux, est innocent ? Si non et bien un texte peut donc bien être contraire au droit.
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Donc Kim Jong-il, qui n'a probablement jamais tué personne par lui même et qui a simplement donné des ordres écrits ou oraux, est innocent ? Si non et bien un texte peut donc bien être contraire au droit.

Kim Jong-il n'est pas innocent, car il a participé au meutre d'innocent. Le texte de la missive en lui même n'est pas contraire au droit. Il pourrait par exemple un jour être exhibé dans un livre d'histoire. Le texte n'est pas contraire au droit, c'est lacte de Kim Jong-il qui l'est. D'ailleurs si j'ecris un texte similaire a une missive de KJI, pour blaguer, mon texte n'est pas "contraire au droit".

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Invité Arn0
Kim Jong-il n'est pas innocent, car il a participé au meutre d'innocent. Le texte de la missive en lui même n'est pas contraire au droit. Il pourrait par exemple un jour être exhibé dans un livre d'histoire. Le texte n'est pas contraire au droit, c'est lacte de Kim Jong-il qui l'est. D'ailleurs si j'ecris un texte similaire a une missive de KJI, pour blaguer, mon texte n'est pas "contraire au droit".
Pour ts69 "le fait d'écrire" un texte ne peut pas être une violation du droit, je lui montre le contraire. Dans certaines circonstance c'est évident que si. Tout ce que tu racontes ici c'est du chipotage stupide et cela n'a absolument aucun intérêt, comme d'habitude d'ailleurs.
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Pour ts69 "le fait d'écrire" un texte ne peut pas être une violation du droit, je lui montre le contraire.

ts69 a raison, "le fait d'écrire" un texte ne peut pas être une violation du droit, le fait de le transmettre a quelqu'un peut faire partie d'une violation de droit.

Dans certaines circonstance c'est évident que si. Tout ce que tu racontes ici c'est du chipotage stupide

Le chipotage c'est de dire que dans un meutre commandité le crime est dans l'écriture du texte. C'est idiot et c'est faux.

et cela n'a absolument aucun intérêt, comme d'habitude d'ailleurs.

si tu juges mes contributions sans interêt, je t'invite à les ignorer

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Invité Arn0
ts69 a raison, "le fait d'écrire" un texte ne peut pas être une violation du droit, le fait de le transmettre a quelqu'un peut faire partie d'une violation de droit.
Un peu de chipotage idiot pour changer. :icon_up:
Le chipotage c'est de dire que dans un meutre commandité le crime est dans l'écriture du texte. C'est idiot et c'est faux.
C'est ce que tu as lu, pas ce que j'ai écrit. Un texte se comprend par son contexte.
si tu juges mes contributions sans interêt, je t'invite à les ignorer
Pour une fois que tu dis quelque chose d'intelligent.
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Un appel au meurtre transmis à d'autres démontre que l'auteur a en toute conscience décidé de tuer, par l'intermédiaire de volontaires qui liront son texte et seront convaincus d'agir ainsi.

Si il n'y a pas transmission, la chaîne casse. Tous les fans de bricolage de motocyclette vous le diront :icon_up:

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Les deux. On écrit: "dont acte" et "agacer". De plus, on écrit: "ceci a le don (et non "le dont") de m'agacer".

"Don't act" est donc tout a fait correct, pour peu qu'on accepte l'usage de l'anglais et du francais ensemble bien sur :icon_up:

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Kim Jong-il n'est pas innocent, car il a participé au meutre d'innocent. Le texte de la missive en lui même n'est pas contraire au droit. Il pourrait par exemple un jour être exhibé dans un livre d'histoire. Le texte n'est pas contraire au droit, c'est lacte de Kim Jong-il qui l'est. D'ailleurs si j'ecris un texte similaire a une missive de KJI, pour blaguer, mon texte n'est pas "contraire au droit".

Sans oublier le fameux cousin de Kim Jong le légéndaire King Kong qui lui aussi est responsable d'un bon massacre dans les villes aux USA…contrairement à Kim les actes du King sont plus comprehensibles car il a fait cela pour l'amour d'une femme. Mias bon c'est sûr qu'il n'est pas innocent :icon_up: .

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Invité jabial
Donc Kim Jong-il, qui n'a probablement jamais tué personne par lui même et qui a simplement donné des ordres écrits ou oraux, est innocent ? Si non et bien un texte peut donc bien être contraire au droit.

Faut-il vraiment pousser la mauvaise foi à ce point? L'ordre de comettre un crime est une partie de ce crime. Par contre, la description de méthodes pour tuer des gens est une information. Censurer la connaissance n'est jamais acceptable, même et surtout si cette connaissance est dangereuse.

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On peut difficilement douter de manière raisonnable de la culpabilité de Kim Jong-Il dans la mort de ses concitoyens. Il a formellement déclaré à l'ONU qu'il voyait la mort par inanition d'environ le tiers de la population nord-coréenne comme une bonne chose, et on sait (témoignages et analyses à l'appui) que c'est lui qui prend les dispositions qui entraînent les morts de famine constatées à maintes reprises dans son pays.

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Donc Kim Jong-il, qui n'a probablement jamais tué personne par lui même et qui a simplement donné des ordres écrits ou oraux, est innocent ?

Il est coupable d'utiliser la coercition pour arriver à ses fins meurtrières, pas d'écrire des "ordres d'éxecution".

Un peu de chipotage idiot pour changer. :icon_up:

De la rigueur tu veux dire?

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Invité Arn0

J'avais écris un message que j'ai effacé parce qu'il n'était pas très correct. Plutôt que de répondre à mes interlocuteurs sur des points de détails sans le moindre intérêt (du genre : c'est pas le texte qui doit être condamné, c'est son auteur :icon_up: ) je vais juste exposer ma position.

Il est interdit d'être commanditaire ou complice d'un meurtre. De la même manière que je peut être condamné pour avoir commanditer un meurtre au moyen d'un texte (d'où l'exemple du dictateur), je peut être condamné pour m'être rendu complice d'un meurtre au moyen d'un texte (définit ici non seulement par son contenu, mais aussi par son auteur et par son contexte). C'est quoi être complice ? C'est fournir une aide volontaire à la réalisation d'un crime ou d'un délit. J'insiste sur le volontaire : si je prête une arme à quelqu'un je ne suis pas complice, si je lui prête en sachant qu'il va s'en servir pour tuer alors je suis complice de meurtre. Si je fournis des informations à une personne en sachant qu'il va s'en servir pour commettre un acte illégitime, ou dans le but qu'il le fasse, et bien je suis complice.

Tout cela me semble tellement évident et tellement peu original que je ne vois pas l'intérêt d'en débattre. L'application de ce principe général au texte posté par Harald se discute car il faudrait prouver un lien direct avec une action illégitime ou avec une menace caractérisée d'action illégitime, ce qui me semble difficile. (Et il va sans dire que cela n'interdirait pas de diffuser le texte dans un but de critique ou d'illustration d'un propos).

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Il est interdit d'être commanditaire ou complice d'un meurtre. De la même manière que je peut être condamné pour avoir commanditer un meurtre au moyen d'un texte (d'où l'exemple du dictateur), je peut être condamné pour m'être rendu complice d'un meurtre au moyen d'un texte (définit ici non seulement par son contenu, mais aussi par son auteur et par son contexte).

Oui. Remarque que le moyen ne compte pas tellement, ce qui compte c'est le fait de participer volontairement à un meurtre.

C'est quoi être complice ? C'est fournir une aide volontaire à la réalisation d'un crime ou d'un délit.

Je préfère parler de participation volontaire à un crime.

J'insiste sur le volontaire : si je prête une arme à quelqu'un je ne suis pas complice, si je lui prête en sachant qu'il va s'en servir pour tuer alors je suis complice de meurtre.

Tu parles avant d'aide volontaire alors qu'ici tu parles d'aide "informée", c'est différent. Le concept d'aide, informée ou volontaire ne me semble pas adapté.

Beaucoup de gens aident les criminels volontairement (ils n'y sont pas forcés) mais sans être informé (la personne qui vend l'arme, les munitions, ou les sous-vetements utilisés le jour du crime par exemple)

D'autres aident les criminels volontairement, en connaissance de cause mais sont-ils complices ?

La connaissance de cause est souvent bien trop vague pour qu'elle serve de base au droit… on peut se douter que la personne va commettre un crime, en être presque certain, on peut aussi se tromper, or le droit est déontologique, il se fonde sur nos actions volontaires.

Si Al Cap0ne, un criminel notoire mais pas encore condamné, entre dans mon magasin pour acheter un cache nez. Il est probable qu'il utilisera ce cache nez régulièrement, ce cache nez l'empechera de tomber malade, bref il lui servira dans son activité criminelle. J'aide, en connaissance de cause un criminel à commettre un crime. Si au lieu de cache nez je vends maintenant des mitraillettes… est-ce différent? Oui :

C'est pour moi la participation volontaire au crime qui compte. Quand je vends le cache nez, je ne veux pas particulierement participer a un crime, je suis innocent. En revanche si je vends une mitraillette à Al Cap0ne, il est clair que je cherche à participer à un crime.

Si je fournis des informations à une personne en sachant qu'il va s'en servir pour commettre un acte illégitime, ou dans le but qu'il le fasse, et bien je suis complice.

Uniquement "dans le but qu'il le fasse", c'est le principe de participation, il y a un but commun.

Tout cela me semble tellement évident et tellement peu original que je ne vois pas l'intérêt d'en débattre.

Au contraire la complicité est un probleme complexe.

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Si Al Cap0ne, un criminel notoire mais pas encore condamné, entre dans mon magasin pour acheter un cache nez. Il est probable qu'il utilisera ce cache nez régulièrement, ce cache nez l'empechera de tomber malade, bref il lui servira dans son activité criminelle. J'aide, en connaissance de cause un criminel à commettre un crime. Si au lieu de cache nez je vends maintenant des mitraillettes… est-ce différent?

Non.

Oui :

C'est pour moi la participation volontaire au crime qui compte. Quand je vends le cache nez, je ne veux pas particulierement participer a un crime, je suis innocent. En revanche si je vends une mitraillette à Al Cap0ne, il est clair que je cherche à participer à un crime.

Non. Vendre une mitraillette à Al Capone ne signifie pas vouloir participer à un crime.

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Non.

Non. Vendre une mitraillette à Al Capone ne signifie pas vouloir participer à un crime.

Pas forcément. Mais c'est à le justice de le montrer. Car un individu peut vendre une mitraillette à Al Capone, sachant très bien qui est le personnage mais n'ayant aucune connaissance de ses projets meurtriers, dans ce cas, le vendeur n'est nullement coupable aux yeux de la justice (en anarcapie). Par contre, le vendeur peut fournir l'arme à Capone dans le but que ce dernier exécute ses basses oeuvres; dans ce cas, il est clairement complice.

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Pas forcément. Mais c'est à le justice de le montrer. Car un individu peut vendre une mitraillette à Al Capone, sachant très bien qui est le personnage mais n'ayant aucune connaissance de ses projets meurtriers, dans ce cas, le vendeur n'est nullement coupable aux yeux de la justice (en anarcapie). Par contre, le vendeur peut fournir l'arme à Capone dans le but que ce dernier exécute ses basses oeuvres; dans ce cas, il est clairement complice.

Exactement.

Un exemple est la situation ou se trouve confronté un vendeur d'arme dans Lord Of War. Le massacre est imminent, et la vente d'arme à cet instant correspond belle et bien à de la complicité.

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Franchement là je ne te comprends pas. Tu as lu ce que Rothbard a écrit au sujet du type qui crie "au feu" ?

Que, tout comme le type qui parle pendant la pièce, il viole le droit de propriété du propriétaire du théâtre. Il n'y a la aucune contradiction dans les droits.

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:icon_up: Incorrigible.

Voyons, le spectateur est seulement locataire, le temps de la pièce, de l'air qu'il utilise pour respirer et papoter dans la salle. Je doute qu'il ait acheté, avec le ticket, le droit d'emm…der les autres spectateurs en le faisant vibrer d'un fort signal d'alarme contre un danger fictif :doigt:

Par contre, j'aurais tendance à soutenir qu'il y a contrat implicite l'autorisant à faire ainsi en cas de danger avéré :warez:

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