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King Kong Théorie


LaFéeC

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sauf que tous tes interlocuteurs ici le savent tres bien et jouent aux cons expres pour vous faire chier.

Je note aussi que ce sont des hommes, c'est toujours facile de railler une experience qu'on n'a pas.

le fait que le feminisme soit un collectivisme est sur ce thread un piteux prexte argumentatoire bien pratique pour faire stopper une discussion qu'on n'a pas envie d'avoir, et surtout qu'on n'a pas envie que d'autre aient.

:icon_up: Parce que ça c'est pas un message pour faire stopper une discussion que tu n'as pas envie d'avoir, tiens? On pourrait aussi limiter le droit d'écriture sur le fil aux femmes tant qu'on y est puisque ce sont justement celles qui ont eu cette expérience…

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Est-il exact qu'en France dans les années 60, une femme mariée ne pouvait ouvrir un compte en banque sans l'accord de son époux ou est-ce de la propagande féministe?

Apparemment c'est une loi de 1943 qui a abrogé cette necessité, mais ce n'est qu'en 1965 que c'est rentré dans les faits, pour une raison que j'ignore.

Par exemple, ce genre de trucs, c'est mal, un libéral ne peut QUE dire que c'est mal.

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Le style de l'auteur est déjà gerbant. Passer de "chatte", de "gode", de "baiser" et j'en passe à travers tout le livre est un manque de respect profond à l'égard du lecteur.

Quid des forumeurs qui passent leur temps, dans des débats sur la prostition, à parler de "putes"? :icon_up:

En plus, cette femme, c'est un écrivain, pas un philosophe, elle a un style littéraire quoi.

Sur le reste, j'ai bien l'impression par tes écrits que c'est bien plus les dérives du féminisme que le féminisme lui-même que tu crains, non?

Genre, la dette perpétuelle des hommes envers les femmes, etc….

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sauf que tous tes interlocuteurs ici le savent tres bien et jouent aux cons expres pour vous faire chier.

Je note aussi que ce sont des hommes, c'est toujours facile de railler une experience qu'on n'a pas.

Ben non, je ne sais pas. Je n'ai jamais battu une femme et je ne crois pas être une exception.

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En plus, cette femme, c'est un écrivain, pas un philosophe, elle a un style littéraire quoi.

Tu ferais mieux de lire le livre pour découvrir son style.

Sur le reste, j'ai bien l'impression par tes écrits que c'est bien plus les dérives du féminisme que le féminisme lui-même que tu crains, non?

Non, je n'aime pas le féminisme en général.

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Ce que tu décris comme l'oppression masculine, cette "infériorisation des femmes" par les hommes tient du fantasme. Si j'étais vraiment de mauvaise foi, je pourrais retourner le propos et affirmer que les hommes ont toujours mis les femmes sur un piedestal (en témoignent l'"amour courtois" et les règles de galanterie par exemple) et que ce sont les femmes qui ont toujours dominé les hommes.[..]

Combien de femmes meurent à la guerre?

OK, c'est vrai.

Combien sont en prison ou SDF? Combien de femmes meurent prématurément, de maladies cardiovasculaires ou autres? Dans toutes ces catégories, les hommes sont surreprésentés.

Par contre là c'est de la mauvaise foi.

Cette prétendue "oppression masculine" n'est en fait que la répartition naturelle des tâches entre les hommes et les femmes que, consciemment ou pas, les hommes et les femmes acceptent voire recherchent. [..]

On s'en fout de ça, on parle d'égalité en droit mon bonhomme, de droit de vote, de droit d'ouvrir un compte en banque, etc…

En tout cas, le féminisme veut accélérer cette évolution, par le biais d'une nouvelle forme d'oppression étatique, avec ses lois sur l'égalité, anti-discrimination, etc… J'ai entendu une phrase absolûment horrible de Gisèle Halimi, au sujet de la garde des enfants de divorcés: "les pères pourront obtenir la garde de leurs enfants lorsqu'il y aura une parfaite répartition des tâches ménagères entre les hommes et les femmes, lorsque les hommes et les femmes seront parfaitement interchangeables." Voilà le vrai dessein du féminisme: l'uniformisation des hommes et des femmes, le col Mao pour tout le monde.

Quel est le rapport entre ce que dit cette Gisèle Halimi et le discours des féministes libéraux?

En réalité, l'"oppression masculine", c'est juste de la novlangue pour "différence entre les sexes" et le féminisme, une nouvelle forme de socialisme à l'adresse des femmes, une redistribution des droits envers elles, le tout pour réduire des inégalités fantasmatiques.

Arrête, SCM, on parle d'égalité en droit.

:icon_up: Parce que ça c'est pas un message pour faire stopper une discussion que tu n'as pas envie d'avoir, tiens?

Cet argument générique n'a aucune valeur.

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Tu ferais mieux de lire le livre pour découvrir son style.

Le film "baise moi" suffit à connaître son "style".

Je crois que personne ne nie qu'une branche du féminisme est de supprimer les genres, parce que ces imbéciles croient, à cause de Beauvoir, que "on ne nait pas femme, on le devient", elle avait tort, elle aura toujours tort.

Oui, il y a des hystériques qui voudraient couper leurs coucougnettes aux petits garçons de peur qu'ils ne fassent de mal aux petites filles (principe de précaution). Mais Despentes, désolée, n'est pas de celles-là.

Et ce qui m'étonne, c'est que personne n'a parlé de "traits génétiques", de cerveau (organisation etc) et d'hormones…

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Bon, j'ai envie de faire la liste des arguments anti-féminisme que j'ai lu sur ce fil (dites-moi si je me trompe) :

- d'accord, les femmes sont oppressées, mais les charges de la guerre, etc… sont de gros désagréments imposés aux hommes seulement

- dans de nombreuses civilisations, la femme est mise sur un piedéstal dans les faits, même si des droits ne leur sont pas accordés (propriété, etc….)

- une femme au foyer, et d'une façon générale une femme en société, a une place naturelle que beaucoup de féministe assimilent à de l'oppression masculine, à tort. Une différence n'implique pas une inégalité. D'ailleurs, la forme actuelle de la vie des femmes, obligées de travailler, n'est-elle pas due au fait que les foyers s'appauvrissent du fait de la ponction étatique en augmentation?

- parler de féminisme risque tôt ou tard de réveiller des pulsions socialistes, et réclamer réparation pour une dette perpetuelle que les hommes auraient contracté auprès des femmes (affirmative action)

Ca me paraît fidèle et synthétique, non? Qu'en pensez-vous?

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Cet argument générique n'a aucune valeur.

Tu as tout à fait raison: c'est exactement celui employé par Jim16, que tu qualifias ensuite de Maître.

En plus, cette femme, c'est un écrivain, pas un philosophe, elle a un style littéraire quoi.

Despentes n'a pas de style. Ceci dit, tu as raison: si on appelles une pute une pute, on doit pas avoir peur d'appeler une bite une bite. Mais Roniberal n'était pas de ceux-là, je crois.

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Je vois que ce vieux Perry Como est une fois de plus à l'honneur sur ce fil:

570223_Perry_Como_Round_And_Round_x.jpg

Ca doit lui faire plaisir, là où il est, de voir que les libéraux entretiennent son souvenir avec une telle passion.

Plus sérieusement, y a-t-il eu oppression des femmes à des degrés et selon des modes divers tout au long de l'histoire? Oui.

Faut-il lutter contre? Oui, encore une fois.

Cela nécessite-t-il un corpus doctrinal spécifique? Non. Le féminisme est inutile pour les raisons très bien décrites par Melodius (eh oui, ça nous arrive d'être d'accord…)

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Ben non, je ne sais pas. Je n'ai jamais battu une femme et je ne crois pas être une exception.

je parle de l'experience d'etre une femme - ou un noir, c'est beaucoup moins facile d'etre tolerant quand les remarques machistes ou racistes viennent tous les jours -

mais je suis d'accord avec la remarque de roniberal:

- ensuite, j'en ai marre de ces féministes qui veulent faire culpabiliser TOUS les hommes pour quelques phrases machistes qu'elles se sont prises dans la gueule. Despentes a beau jeu de jouer au caliméro, "ouin, ouin, tel homme m'a dit ça…", mais elle ferait mieux d'observer sa propre attitude et la manière outrancière dont elle-même instrumentalise ces quelques phrases machistes pour en tirer des conclusions sur TOUT le sexe masculin

c'est vrai qu'il ne faut pas abuser dans l'autre sens.

Neammoins on peut en avoir conscience et respecter l'experience des personnes concernees.

:icon_up: Parce que ça c'est pas un message pour faire stopper une discussion que tu n'as pas envie d'avoir, tiens? On pourrait aussi limiter le droit d'écriture sur le fil aux femmes tant qu'on y est puisque ce sont justement celles qui ont eu cette expérience…

je ne dis pas qu'on ne peut pas en parler, je dis qu'en tant qu'homme, on ne peut ignorer le fait qu'on n'a pas necessairement une experience bien concrete de ce que c'est au quotidien; seulement cette experience concrete joue beaucoup dans la legitimite qu'on a a aborder le debat de facon ouverte ou celle qu'on n'a pas, a le flusher dans la categorie 'feminisme a 2 balles'.

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ah non alors je m'insurge contre cette impression que tu as et que je te donne involontairement car au fond je suis d'accord avec toi pour etre ni l'un ni l'autre.

mmmh en fait ca vient peut-etre de la frequence de certaines positions de certaines personnes qui pourraient tendre a faire penser que…

mais ce serait mal! :icon_up:

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Feminism comprises a number of social, cultural and political movements, theories and moral philosophies concerned with gender inequalities and equal rights for women.

Il semble évident selon cette définition qu'il y a un féminisme "libéralement correct". Que reprocher à une femme qui se bat pour l'égalité des droits quand celle-ci n'est pas en vigueur? Un peu comme un type qui paye un max d'impôts risque de se retrouver dans les associations de défense des contribuables…

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Il semble évident selon cette définition qu'il y a un féminisme "libéralement correct". Que reprocher à une femme qui se bat pour l'égalité des droits quand celle-ci n'est pas en vigueur? Un peu comme un type qui paye un max d'impôts risque de se retrouver dans les associations de défense des contribuables…

ixactement

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[…] je ne dis pas qu'on ne peut pas en parler, je dis qu'en tant qu'homme, on ne peut ignorer le fait qu'on n'a pas necessairement une experience bien concrete de ce que c'est au quotidien; seulement cette experience concrete joue beaucoup dans la legitimite qu'on a a aborder le debat de facon ouverte ou celle qu'on n'a pas, a le flusher dans la categorie 'feminisme a 2 balles'.

Et qu'est-ce que tu veux qu'on y fasse? On ne va tout de même changer de sexe juste pour te faire plaisir, espèce de petit coquin.

Il semble évident selon cette définition qu'il y a un féminisme "libéralement correct". Que reprocher à une femme qui se bat pour l'égalité des droits quand celle-ci n'est pas en vigueur? Un peu comme un type qui paye un max d'impôts risque de se retrouver dans les associations de défense des contribuables…

Ca depend de quels "droits" on parle. J'ai bien peur qu'il sagisse du droit de vote, du droit d'avoir le même salaire que les hommes, du droit au congé de (m)(p)aternité, etc…

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Ca depend de quels "droits" on parle. J'ai bien peur qu'il sagisse du droit de vote, du droit d'avoir le même salaire que les hommes, du droit au congé de (m)(p)aternité, etc…

Euh, le droit de vote c'est tout de même un peu plus fondamental que celui à un salaire égal ou au congé parental.

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Feminism is both an intellectual commitment and a political movement that seeks justice for women and the end of sexism in all forms. However, there are many different kinds of feminism. Feminists disagree about what sexism consists in, and what exactly ought to be done about it; they disagree about what it means to be a woman or a man and what social and political implications gender has or should have. Nonetheless, motivated by the quest for social justice, feminist inquiry provides a wide range of perspectives on social, cultural, and political phenomena.

http://plato.stanford.edu/entries/feminism-topics/

Si tu veux. Pour moi, c'est un droit à peu près aussi fondamental que le droit de poster une lettre.

Faudra m'expliquer alors pourquoi la plupart des régimes totalitaires suppriment l'un plutôt que l'autre… :icon_up:

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Un extrait:

Although most feminists would probably agree that there is some sense of "rights" on which achieving equal rights for women is a necessary condition for feminism to succeed, most would also argue that this would not be sufficient. This is because women's oppression under male domination rarely if ever consists solely in depriving women of political and legal "rights", but also extends into the structure of our society and the content of our culture, and permeates our consciousness (e.g., Bartky 1990).

On voit bien que le féminisme n'est pas libéral. Il s'agit aussi de modifier la "culture" et les "consciences".

Faudra m'expliquer alors pourquoi la plupart des régimes totalitaires suppriment l'un plutôt que l'autre… :icon_up:

Dans ce cas, il faudra m'expliquer pourquoi les régimes totalitaires sont aussi ceux où l'égalité hommes-femmes était la plus forte, par exemple en URSS ou en chine maoïste. En fait, les régimes totalitaires ne suppriment pas le droit de vote, ils suppriment les candidats…

Ma boutade est inspirée par une constatation: le droit de vote des femmes n'a apparemment pas changé grand-chose, du moins à en croire les féministes.

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Le féminisme auquel on fait surtout référence, c'est celui qui est devenu fort en tant que mouvement à partir des USA dans les années '60, en même temps que toutes les cutltural studies, avec les gender studies, colonial studies, le post-marxisme, le néo-marxisme, le post-structuralisme, etc. Tout cet aspect est évidemment négatif. Pourtant, ce n'est pas parce que les "colonial studies" sont des repères à tarés gauchistes, relativistes et nihilistes que l'anti-colonialisme est à jeter au bac. C'est, à mon sens, la même chose pour le féminisme, quoique la vision gauchiste du féminisme est nettement plus majoritaire qu'elle ne l'est dans l'opposition au colonialisme. Ce n'est pas comme ça qu'il faut juste se contenter de féminisme = caca, point barre.

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Le féminisme auquel on fait surtout référence, c'est celui qui est devenu fort en tant que mouvement à partir des USA dans les années '60, en même temps que toutes les cutltural studies, avec les gender studies, colonial studies, le post-marxisme, le néo-marxisme, le post-structuralisme, etc. Tout cet aspect est évidemment négatif. Pourtant, ce n'est pas parce que les "colonial studies" sont des repères à tarés gauchistes, relativistes et nihilistes que l'anti-colonialisme est à jeter au bac. C'est, à mon sens, la même chose pour le féminisme, quoique la vision gauchiste du féminisme est nettement plus majoritaire qu'elle ne l'est dans l'opposition au colonialisme. Ce n'est pas comme ça qu'il faut juste se contenter de féminisme = caca, point barre.

Certes. Mais la question fondamentale est la pertinence du concept: a-t-on besoin du féminisme pour se soucier des droits des femmes?

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Si je comprends correctement ce qui se dit dans ce fil, le "féminisme libéral" prône l'égalité en droit. Il doit donc avoir totalement disparu aujourd'hui dans les pays occidentaux. D'ailleurs, ce qu'on appelle communément féminisme date en gros des années 1960, période où les dernières inégalités en droit semblent avoir disparu. Je suppose que ce n'est pas une coïncidence, encore que je n'ai pas de grande théorie explicative. En tout cas une conséquence simple qui me parait claire est qu'il s'est agi dès le départ de lutter pour obtenir des faux-droits et que ce féminisme-là n'a jamais rien pu avoir de libéral.

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Le féminisme auquel on fait surtout référence, c'est celui qui est devenu fort en tant que mouvement à partir des USA dans les années '60, en même temps que toutes les cutltural studies, avec les gender studies, colonial studies, le post-marxisme, le néo-marxisme, le post-structuralisme, etc. Tout cet aspect est évidemment négatif. Pourtant, ce n'est pas parce que les "colonial studies" sont des repères à tarés gauchistes, relativistes et nihilistes que l'anti-colonialisme est à jeter au bac. C'est, à mon sens, la même chose pour le féminisme, quoique la vision gauchiste du féminisme est nettement plus majoritaire qu'elle ne l'est dans l'opposition au colonialisme. Ce n'est pas comme ça qu'il faut juste se contenter de féminisme = caca, point barre.

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Invité Arn0
Si je comprends correctement ce qui se dit dans ce fil, le "féminisme libéral" prône l'égalité en droit. Il doit donc avoir totalement disparu aujourd'hui dans les pays occidentaux.
Même sur le plan du droit on peut développer un point de vue libéral sur les thèmes habituels du féminisme (prostitution par exemple). On peut aussi vouloir "changer la situation de la femme dans la société" sans changer les lois (quoi que ce serait du féminisme plus apolitique que libéral).
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Si je comprends correctement ce qui se dit dans ce fil, le "féminisme libéral" prône l'égalité en droit. Il doit donc avoir totalement disparu aujourd'hui dans les pays occidentaux.

Il se fait rare, mais ce n'est pas une raison pour le disqualifier par le même type de généralisation abusive auquel se livrent sans vergogne les hystériques du féminisme despotique contre la gente masculine. Il ne s'agit pas non plus de nier la réalité des agressions dont sont victimes nombre de femmes, légitimant un juste combat pour la légitime défense. Disons que le féminisme libéral est une forme de l'individualisme bien compris, comme l'expliquait Melodius. Minoritaire, il se situe à un niveau moral et praxéologique. Le féminisme historique dominant est essentiellement idéologique et destructeur - a fortiori couplé avec la matrice à faux droits de la social-démocratie qui transforme l'égalité des droits en droit à la différence, droit à la jouissance et autres joyeusetés festives.

En tout cas une conséquence simple qui me parait claire est qu'il s'est agi dès le départ de lutter pour obtenir des faux-droits et que ce féminisme-là n'a jamais rien pu avoir de libéral.

Ce qui est sûr, c'est qu'à aucune époque le sexe "faible" n'a été traité avec autant de considération et de reconnaissance sociale que de nos jours. Pour reprendre une analyse de Tocqueville, cela va de pair avec l'extension démocratique, avec le penchant foncier pour la démocratie, de façon concomitante avec le manque de respect pour les vieillards. Faut-il s'étonner que les femmes, saisissant cette occasion pour exercer le pouvoir politique, abusent de cette considération tout en se posant en victimes? Ce féminisme politisé et revendicateur en veut toujours davantage, il est insatiable et le combat pour la conquête de nouveaux droits se transforme en soif de domination, comme on l'a constaté avec la Ségolâtrie pendant la dernière campagne, dernier avatar de la social-démocratie maternante et anesthésiante. N'est-ce pas là ce que les conservateurs nomment à juste titre décadence?

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Dans ce cas, il faudra m'expliquer pourquoi les régimes totalitaires sont aussi ceux où l'égalité hommes-femmes était la plus forte, par exemple en URSS ou en chine maoïste.

Parce que pour rendre deux personnes égales, le plus simple est de les rendre pauvres tous les deux - ou mieux encore : morts. Pratique courante chez les cocos.

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