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Mise à part des tensions sur les matiéres premiéres en ce moment je ne vois pas de krach bouriser à l'horizon , la bourse récupere de sa purge des start ups et sauf événement imprévisible , il n'y aura pas de krach

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Mise à part des tensions sur les matiéres premiéres en ce moment je ne vois pas de krach bouriser à l'horizon , la bourse récupere de sa purge des start ups et sauf événement imprévisible , il n'y aura pas de krach

Moi aussi je viens de prendre un PEA alors il ne faut pas que tout s'écroule (miam ma plus value sur Total :icon_up:)

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Si je me fie à mes intuitions, tout ira bien et en 2008 ce sera une année faste. Maintenant… Certains ont parlé d'un krach sur le forum et en page de couverture des Echos, j'avais vu " demain, le krach ? "

Ca me fout les chocottes… Je vais peut-être attendre un peu :icon_up:

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Il pourrait y avoir un krach boursier suite à la bulle financière américaine. Pour absorber le krach boursier de 2000-2001 et la crise économique consécutive au 11 septembre, Greenspan a utilisé la planche à billets. Beaucoup d'économistes, en particulier ceux de l'école autrichienne craignent l'explosion de la bulle immobilière. Cela causerait une crise économique. En outre, afin d'assurer leurs hypothèques, les Américains se mettraient à vendre leurs actions.

Quand? Bientôt. Sans doute en 2006. Voir les articles de Bill Bonner sur www.lewrockwell.com

Cela dit, l'impact sur le marché boursier français, s'il ne serait sans doute pas inexistant, est difficile à évaluer.

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J'ai tendance à penser que c'est de là que ça va venir. En plus, il me semble qu'un krach boursier prend en moyenne 18 mois à résorber, là où un krach immobilier prend plusieurs années (6 il me semble, mais je peux me tromper). Ce qui voudrait dire qu'il serait plus sévère.

Y'a plus qu'une issue : faut acheter des actions dans les fonds spéculatifs sur le vice (alcool, cigarette, sexe, armes, casinos, …) :icon_up:

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Concernant l'immobilier , j'ai fait une petite étude vite fait pour mon stage grace aux ressources du crédit foncier ici vous trouverez l'analyse du marché français plus les perspectives pour 2005 et les suivantes je cite

Un certain essoufflement qui ne présage néanmoins aucun krach à court terme

A - un léger essoufflement et quelques signes d’inquiétude…

Un petit effritement de l’activité a pu être constaté dans certaines régions (Nord-Ouest ; Nord et Est ainsi qu’en Ile-de-France - hors Paris).

Dans l’ancien, le volume global de transactions a diminué de 1,8 % en 2003 et de 1,3% en 2004.

Dans le neuf, le nombre de logements commercialisés a augmenté de 2,6% au 3ème trimestre 2004 par rapport à la même période de l’année précédente, ceci correspondant à une forte baisse de la croissance (+ 16% au 2ème trimestre 2004).

Les signes d’inquiétude

• La hausse des prix a été très significative depuis 1998 à + 80% dans le logement ancien (+ 94% à Paris) alors que, dans le même temps, le revenu disponible brut des ménages, en euros courants, ne progressait que de 27% environ.

• La dégradation de la solvabilité des ménages s’inscrit désormais à un niveau comparable à celui prévalant début 1996.

• La hausse du niveau d’endettement a été soutenue et a eu pour effet d’inscrire le taux d’endettement à un niveau historiquement élevé.

Compte tenu de ces éléments, les inquiétudes se cristallisent plus particulièrement sur les conséquences d’une remontée des taux d’intérêt.

B - …qui ne permettent pas toutefois d’anticiper un retournement brutal du marché à court terme

Le marché immobilier résidentiel bénéficie de plusieurs facteurs favorables qui permettent de différencier sa situation présente de celle qui le caractérisait au début des années 1990.

1. La mutation de l’environnement macro-économique

Les douze dernières années furent celles de la désinflation et de la convergence financière et monétaire.

La volatilité de l’inflation a significativement diminué concomitamment à la décélération de la hausse des prix au sein de l’ensemble des pays développés.

Par ailleurs, la diminution de l’amplitude et de la fréquence des cycles économiques ainsi que de l’incertitude quant à l’évolution de l’inflation future, a permis de réduire la prime de risque immobilier d’équilibre. Les accédants voient le risque de moins-value en cas de revente s’amenuiser et les investisseurs profitent de l’affaiblissement du risque de défaut de paiement.

Enfin, la maîtrise des risques d’ordre financier semble mieux assurée :

> Les taux d’intérêt devraient rester à un niveau assez bas.

• Le risque d’une nouvelle forte hausse des taux obligataires américains – et donc mondiaux - est relativement limité, ce qui atténue le risque de dégradation approfondie de la solvabilité de la demande en France (80% des financements sont effectués à taux fixe).

• La hausse de l'euro et son maintien à un niveau élevé devraient inciter la Banque Centrale Européenne à laisser inchangés ou à peu modifier les taux directeurs, qui conditionnent l’évolution des taux courts. D’ailleurs, une baisse des taux ne peut être exclue si la croissance économique se rétracte un peu en 2005, si la hausse des prix demeure maîtrisée et si le taux de chômage demeure à des niveaux élevés.

> La bonne situation actuelle du système bancaire rend fort peu probable un rationnement brutal du crédit.

2. Un positionnement encore acceptable dans le cycle

Le marché français ne figure pas parmi ceux qui sont les plus en avance dans le cycle immobilier.

Les pays dont la croissance des prix s’est avérée plus raisonnable, bénéficient en effet d’une prolongation du phénomène inflationniste (France ; Australie ; Espagne ; Italie).

3. Des forces d’entraînement dynamiques

Le marché immobilier bénéficie encore de solides moteurs de croissance, et dans la mesure où le cycle économique s’inscrit dans une phase de reprise, il est difficile d’envisager un krach immobilier sur la base des paramètres fondamentaux tant extrinsèques qu’intrinsèques du marché.

Les inquiétudes portant sur les niveaux de solvabilité et d’endettement des ménages sont à relativiser :

• la capacité d’achat est supérieure à celle qui prévalait au début des années 90.

• la diminution des taux d’intérêt et l’allongement de la durée des emprunts ont allégé significativement la charge financière.

• les crédits à la consommation ont contribué fortement à l’augmentation du taux général d’endettement des ménages. Or, l’arrivée à échéance de ces emprunts court terme est susceptible de libérer de nouvelles capacités de financement.

• le taux d’endettement des ménages français s’avère inférieur à celui observé dans la plupart des pays européens, Italie exceptée.

• la progression globale de l’endettement est supportée par un nombre de ménages plus restreint.

Les effets démographiques et des mesures fiscales prises devraient perdurer.

• Les effets démographiques : l’augmentation de la population, l’arrivée à la retraite des générations d’après guerre et progressivement de celles du baby-boom ainsi que l’accroissement de l’espérance de vie contribueront à renforcer le nombre de ménages.

• Les effets fiscaux : à l’instar des mesures fiscales qui ont été prises en faveur de l’immobilier depuis 1996, les dispositifs de défiscalisation du type « Robien » et la TVA réduite sur les travaux d’entretien-amélioration continueront d’avoir une incidence favorable sur la demande immobilière.

Un retournement du marché de l’immobilier résidentiel apparaît d’autant moins probable à court terme que le déséquilibre offre/ demande va perdurer.

En premier lieu, la demande en logements devrait rester soutenue même si l’INSEE table sur un tassement des besoins à brève échéance.

En second lieu, si l’offre neuve s’accroît progressivement, le retard accumulé est tel qu’un risque de surproduction n’est pas actuellement envisageable et qu’il faudra un certain temps avant que les besoins exprimés ne soient assouvis.

Ainsi, les conditions qui régissent actuellement le fonctionnement du marché de l’immobilier résidentiel, ne permettent pas de formuler des anticipations réellement négatives quant à son évolution à court terme.

L’apaisement des tensions inflationnistes qui le caractérisent, apparaît toutefois inéluctable, les résistances à son expansion prenant de plus en plus d’ampleur. Cette situation ne concernera pas l’ensemble des régions, certaines d’entre elles, par exemple l’Ile-de-France où le nombre de logements mis en chantier demeure trop faible, continuant de subir de fortes contraintes.

Aprés moi aussi j'ai vu les echos avec marqué le krack mais pff c'est un marronier n'oublions pas que nous sommes au mois de septembre : l'express va nous sortir sa une avec la vérité qu'on savait pas sur les francs-maçons et les salaires des cadres :icon_up:

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B - …qui ne permettent pas toutefois d’anticiper un retournement brutal du marché à court terme

Je vois mal le crédit foncier déclarer :

"B - … qui permettent d'envisager avec effroi un violent retournement du marché à moyen terme"

et continuer, avec un cynisme d'airain, à vendre du crédit…

En pratique, je ne sais pas s'il va y avoir un krach. Mais le marché semble tendu comme un slip, la capacité d'endettement des ménages n'est pas infinie, les durées de prêt ne sont pas extensibles, les bénéfices ne peuvent monter jusqu'au ciel.

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[…]

En pratique, je ne sais pas s'il va y avoir un krach. Mais le marché semble tendu comme un slip, la capacité d'endettement des ménages n'est pas infinie, les durées de prêt ne sont pas extensibles, les bénéfices ne peuvent monter jusqu'au ciel.

Pour l'Europe, je vois tout de même plutôt un atterrissage en douceur. Aux Etats-Unis, par contre, le slip commence nettement à craquer, révélant bientôt…

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hé hé

ça me ferait bien rire d'entendre a la radio ou a la télé

"aujourd'hui le marché boursier est tendu comme un string brésilien un plein mois d'aout tandis que le marché immobilier est chaud comme une baraque à frite en pleine braderie de lille ":icon_up:

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En termes clairs et non ambigus: je déconseille à quiconque de mettre plus en bourse que ce qu'il est prêt à perdre (dans certaines proportions, importantes, pas forcément en totalité). Je parle surtout des marchés action.

A moins de choisir un panier de valeurs restreints, diversifié, et que l'on suit régulièrement.

Le coup d'Alcatel qui perd plus de 30% de sa valeur en une journée, et qui met trois ans à s'en remettre, ça fait mal au cul, quand même.

Pour ceux qui ont les couilles bien accrochées, je conseille par exemple Alternext, qui est moins volatil que l'ancien Marché Libre, qui était vraiment, mais alors vraiment le far west.

EDIT: 5 à 10% de son épargne en actions, c'est le maximum à conseiller, sauf cas particulier de débilité mentale ou de professionalisme.

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En termes clairs et non ambigus: je déconseille à quiconque de mettre plus en bourse que ce qu'il est prêt à perdre (dans certaines proportions, importantes, pas forcément en totalité). Je parle surtout des marchés action.

A moins de choisir un panier de valeurs restreints, diversifié, et que l'on suit régulièrement.

Le coup d'Alcatel qui perd plus de 30% de sa valeur en une journée, et qui met trois ans à s'en remettre, ça fait mal au cul, quand même.

Pour ceux qui ont les couilles bien accrochées, je conseille par exemple Alternext, qui est moins volatil que l'ancien Marché Libre, qui était vraiment, mais alors vraiment le far west.

EDIT: 5 à 10% de son épargne en actions, c'est le maximum à conseiller, sauf cas particulier de débilité mentale ou de professionalisme.

Il faut investir bien plus en actions si on est jeune et qu'on peut immobiliser les fonds pendant 10-15 ans.

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Je vois mal le crédit foncier déclarer :

"B - … qui permettent d'envisager avec effroi un violent retournement du marché à moyen terme"

et continuer, avec un cynisme d'airain, à vendre du crédit…

En pratique, je ne sais pas s'il va y avoir un krach. Mais le marché semble tendu comme un slip, la capacité d'endettement des ménages n'est pas infinie, les durées de prêt ne sont pas extensibles, les bénéfices ne peuvent monter jusqu'au ciel.

En effet, personne n'ose prendre le risque de parler franchement du crack à venir, faudrait surtout pas l'amorcer ou précipiter les choses :icon_up:

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Bonjour !

ça fait bien longtemps que je n'avais pas posté ici.

Si vous le voulez bien, et très rapidement, l'explication de l'envolée du cac40 depuis le début de l'année, et le pourquoi d'un essouflement hypothétique annoncé.

2 paramètres sont à prendre en considération pour apprécier les performances des actions du cac :

- le cours de l'eur/usd

- le prix du baril

En effet, la baisse de l'euro depuis fin décembre 04 dope les exportations françaises au profit des States (et inversement, c'est la raison pour laquelle l'euro fort, donc le dollars faible, ennuyait la zone euro et arrangeait les States).

L'envolée du baril, quant à elle, favorise (pour le moment) les majors pétrolières, et Total, + grande capitalisation boursière soit dit en passant, est aussi l'action la plus pondérée au sein de l'indice.

Or, depuis qques temps, l'eur/usd range, et il se peut qu'on assiste à une sortie de la tendance baissière. La zone euro craint donc actuellement pour son commerce extérieur.

Quant au prix du baril, et bien tous les experts attendent une correction, voire une régresion temporaire des cours.

Dans les faits, le cac a pris dans les 17% en 2005.

Il est donc raisonnable de supposer (et les gestionnaires s'y accordent), que celui-ci a atteint un sommet pour cette année. Ajoutez l'incertitude (court terme), sur l'euro et le baril, et ce sommet parait bien réel.

Par conséquent, pour qui veut investir en valeurs françaises (freeman ?), il est conseillé d'attendre une meilleure visibilité sur l'euro (attendre qu'une tendance se dégage), et d'observer les cours du pétrole après cette "bulle" qui ne durera pas.

Nous l'avons déjà mentionné, le cac risquant de ne plus être intéressant jusqu'à la fin de l'année, patientons donc jusqu'à fin 2005- début 2006 pour prendre de nouvelles positions.

(trop tôt freeman !!! :icon_up: )

On peut mettre bien plus de 10% en SICAV actions. En combinant avec du monétaire et de l'obligataire, on doit pouvoir choisir un rapport rendement / risque intéressant, non ?

Complètement. Mais ce type de fonds proposés par les banques sont tellement répandus et adaptés au profil d'investisseur "prudent" que tu ne devras pas t'attendre à des performances exceptionnelles….. (en pratique pas mieux que les taux réglementés).

Une autre piste intéressante : le secteur de l'énergie et des matières premières. Par exemple, le fond Carmignac commodities a réalisé + de 35% depuis début 2005.

Mais dans tous les cas, visez les "grandes" sociétés de gestion : Tocqueville finance, Richelieu finance, Amiral gestion, Carmignac gestion, Pastel&Associés, Fidelity, etc…

Leurs FCP, tous aussi accessibles que ceux des banques sont clairement un cran au-dessus.

Mais bien sur, les performances passées n'engagent pas pour l'avenir.

@+

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Le marché immobilier s'essoufle mais n'est pas pret de chuter, on enregistre une baisse du nb de transactions et une augmentation des négociations (on négocie plus les prix aujourd'hui qu'hier). Les organismes de crédit allongent les durées de remboursement, on emprunte facilement sur 20/25 ans aujourd'hui.

Les locations : tjrs autant de demandes mais chez nous des candidats qui ne correspondent pas à "nos" critères, sachant que la loi de 89 se durcit de jours en jours (merci Borloo) et qu'il va etre de plus en plus difficile (c'était déjà très dur, cela va devenir impossible) d'expulser un mauvais locataire.. L'investissement locatif est hyper instable (législation).

M'enfin, c ce que je vois dans le secteur où je bosse.

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Le marché immobilier s'essoufle mais n'est pas pret de chuter, on enregistre une baisse du nb de transactions et une augmentation des négociations (on négocie plus les prix aujourd'hui qu'hier). Les organismes de crédit allongent les durées de remboursement, on emprunte facilement sur 20/25 ans aujourd'hui.

Ces éléments peuvent conforter le sentiment que le marché commence à se saturer, non ?

Les locations : tjrs autant de demandes mais chez nous des candidats qui ne correspondent pas à "nos" critères, sachant que la loi de 89 se durcit de jours en jours (merci Borloo) et qu'il va etre de plus en plus difficile (c'était déjà très dur, cela va devenir impossible) d'expulser un mauvais locataire.. L'investissement locatif est hyper instable (législation).

Pour ma part, j'aurai tendance à penser que c'est encore un autre facteur aggravant ; d'autant que, effet de taquet psychologique oblige, les prochains ministres planchant sur le logement ne risquent pas d'assouplir ces lois non plus.

Parallèlement à ça, les SCII affichent des performances insolentes. Je me perds en conjecture…

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  • 2 weeks later...
il est conseillé d'attendre une meilleure visibilité sur l'euro (attendre qu'une tendance se dégage), et d'observer les cours du pétrole après cette "bulle" qui ne durera pas

Quels éléments de permettent de penser qu'il s'agit d'une bulle, et si c'est bien une « bulle » à quelle échéance peut on espérer qu'elle explose

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Pour savoir s'il y a bulle ou pas :

http://forums.lesechos.fr/index.php?site=echos, voir les sous-forums consacrés à l'immobilier.

Ou encore le très baissier http://www.bulle-immobiliere.org (aux limites de la mauvaise foi quand même)

Pour ma part je pense qu'on est dans une vraie bulle immobilière (due à plusieurs facteurs, psychologiques entre autres, et l'Etat est jamais très loin), mais le propre d'une bulle est de pouvoir prouver son existence une fois qu'elle a éclaté. Et puis http://le1214.france3.fr.

Il y a un an les médias n'osaient parler de la baisse. Le mot bulle était tabou. Il semble que l'on ait dépassé le cap et que les agences commencent à tirer la gueule…affaire à suivre !

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nous, ça fait un an qu'on annonce la baisse des prix, mais baisse ne veut pas dire dégringolade (au risque de me répéter).

On l'annonce et on conseille aux proprios de redescendre sur terre en proposant des prix plus réalistes.

Et on laisse les affiches avec les changements de prix, histoire de montrer que 80% des biens en vitrine ont baissé.

Maintenant, j'apprécie autant vendre plein de biens à petit prix plutot que de vendre un bien par mois avec une grosse commission. Nous avons meme une commerciale qui se sentait mal à l'aise de proposer les biens à des prix surfaits, la baisse l'enchante et elle recommence à bien bosser..

Bon, je bosse pas en ville, notre marché est différent.

N'empeche que le marché pourrait s'écrouler, restera la location qui baisse très peu, meme si elle est très risquée.

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Je crois qu'une précision s'impose: qu'entend-on par "krach" sur le marché immobilier? Je sais que sur les marchés actions, on parle de krach lorsque la bourse baisse de 30% en une journée, alors que sur l'immobilier, une baisse de 30% sur un an est considérée comme un gros krach, la liquidité des biens concernés étant ce qu'elle est.

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Il y a plusieurs éléments qui prouvent qu'on est dans une situation où l'on peut se poser des questions : les prix ont dépassé un certain niveau critique (celui de la bulle réelle de 1991 est dépassée, voir le tunnel de Friggit), et ils s'écartent de certains fondamentaux parait-il (l'écart loyer/prix par exemple), il y a aussi la solvabilité des clients (les primo accédants évincés du marché…ce n'est pas sain,…pas de sang neuf, on arrive à une situation ou seuls les propriétaires s'achètent se vendent entre eux des biens immo), les différentiels de prix entre quartier qui tendent à s'amenuiser, la construction à tire-larigots (les Robiens) malgré des exigences impossibles à honorer (vacances locatives) car ne tenant pas compte des salaires de la région, spéculation des particuliers (j'achète un 30m² très cher, et dans 5 ans je le revends, j'achète quelque chose de plus grand et je garde la plus -value)…bah c'est pas très sain tout ça, non ? Sans compter ceux qui ont acheté trop cher sans apport et qui risquent le divorce, les mutations, etc…

L'immobilier est cher car les gens y sont psychologiquement attachés, mais les arbres ne montent pas jusqu'au ciel…et les prix n'ont pas pour habitude de stagner historiquement…ils diminuent, ou augmentent…

Normalement ça devrait diminuer, mais plus ça tarde, plus le krach sera douloureux…

Enfin wait and see, si ça se trouve les fondamentaux du secteur ont changé, mais ça…comment le savoir ?

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Je crois qu'une précision s'impose: qu'entend-on par "krach" sur le marché immobilier? Je sais que sur les marchés actions, on parle de krach lorsque la bourse baisse de 30% en une journée, alors que sur l'immobilier, une baisse de 30% sur un an est considérée comme un gros krach, la liquidité des biens concernés étant ce qu'elle est.

Je ne voudrai pas m'avancer sans être sûr ; j'ai lu (il y a quelques temps) qu'un krach immobilier représentait une baisse d'au moins 15% de la valeur en moins d'un mois. Je vais essayer de retrouver la référence.

Accessoirement, concernant l'atterrissage en douceur : http://lamalediction.over-blog.com/article-834894.html

Blog orienté, à prendre avec des pincettes, mais l'argument est intéressant.

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  • 1 month later...
On peut mettre bien plus de 10% en SICAV actions. En combinant avec du monétaire et de l'obligataire, on doit pouvoir choisir un rapport rendement / risque intéressant, non ?

Complètement. Mais ce type de fonds proposés par les banques sont tellement répandus et adaptés au profil d'investisseur "prudent" que tu ne devras pas t'attendre à des performances exceptionnelles….. (en pratique pas mieux que les taux réglementés).

Une autre piste intéressante : le secteur de l'énergie et des matières premières. Par exemple, le fond Carmignac commodities a réalisé + de 35% depuis début 2005.

Mais dans tous les cas, visez les "grandes" sociétés de gestion : Tocqueville finance, Richelieu finance, Amiral gestion, Carmignac gestion, Pastel&Associés, Fidelity, etc…

Leurs FCP, tous aussi accessibles que ceux des banques sont clairement un cran au-dessus.

Mais bien sur, les performances passées n'engagent pas pour l'avenir.

@+

«ce type de fonds (…) adaptés au profil d'investisseur "prudent" (…) tu ne devras pas t'attendre à des performances exceptionnelles»

Oui comme cela a déjà été dit le plus important est le timing. On n’investit pas à dix ans de la retraite comme à quarante ans de l’échéance.

Plus l’horizon d’investissement est éloigné plus l’on peut prendre de risque sachant qu’il sera rémunéré. Pour cette raison, je recommande le «Buy and Hold». Pour les amateurs néophytes, préférez l’utilisation de FCP des "grandes" sociétés de gestion (comme évoqué par Largo) et sur un objectif de dix ans minimum:

Plus votre horizon sera éloigné meilleur sera votre rendement annuel. Soyez modeste voyez grand: exemple, avec un rendement moyen de 15% par an (pays émergents), on double son capital en 5 ans.

Il est toujours bon d’équilibrer entre obligataire (assurance vie par ex à 5%/an) et action (par Fond interposé). A mesure que l’on approche de la retraite on amortit les variations en augmentant la part de l’obligataire ou de l’immobilier, voilà tout.

N’investir en Bourse que les sommes dont on a pas besoin. Se retrouver dans la nécessité de les retirer à contre temps peut se révéler catastrophique.

Pour l’immobilier je recommande aux propriétaires qui voudraient louer la location meublée.

Je l’ai pratiquée avec des cadres venus de l’étranger pour travailler en France sur des périodes de quelques mois. Comme le loyer demandé était correctement situé, j’avais un taux d’occupation de 11mois par ans. Ca demande un peu de suivi mais c’est tellement plus sécurisant pour le loueur…

Dans la rubrique: Faites ce que je dis pas forcément ce que je fais…

Je me suis constitué un portefeuille de FCP spécialisés pays émergents. Le rendement sur un an glissant est à faire pâlir d’envie mais je sais que je peux très bien me prendre une grosse claque du jour au lendemain. Toutefois, sur un horizon de 20 ans, je ne suis pas inquiet… je sais que des pays comme l’Inde par exemple (ma plus grosse ligne) me paierons ma retraite.

http://public.jpmorgan.com/portal/site/pub…7600a34408f59a/

Le Krach

Pour répondre à la question du fil… euh, j’ai paumé ma boule de cristal… :icon_up: toutefois la période n’est pas vraiment au surinvestissement en action. En même temps, encore une fois, tout dépend de l’horizon. Un bon moyen de lisser le résultat est d’entrer par petits montants tous les mois.

Espérant que vous saurez mettre à profit ces quelques pistes de réflexions, à bientôt.

(edit: les droits d'entrée sur les FCP sont négociables)

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