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Science-fiction et transhumanisme


Flashy

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C'est quoi le debat sur le transhumanisme? il y a un debat ?  genre "moi les cyborgs j'aime pas ca !  :calimero: "

Ca va arriver pis c'est tout.

Ceux qui ne sont pas d'accord peuvent se faire cuire une douzaine d'oeufs.

280px-NobelP2.png

 

Neal Asher? Greg Egan? ils sont pas mal hardcore dans le genre

neal asher j'ai essayé de lire voyageurs, et j'ai trouvé ça vraiment mauvais et absolument illisible.

 

le concept est excitant, et le debat est lamentable.

Cela revient au meme que de bitcher sur les robots ou de confondre les vehicules multi-rotor telecommandes avec de reels drones.

oui

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C'est quoi le debat sur le transhumanisme? il y a un debat ?  genre "moi les cyborgs j'aime pas ca !  :calimero: "

Ca va arriver pis c'est tout.

Ceux qui ne sont pas d'accord peuvent se faire cuire une douzaine d'oeufs.

280px-NobelP2.png

 

Neal Asher? Greg Egan? ils sont pas mal hardcore dans le genre

neal asher j'ai essayé de lire voyageurs, et j'ai trouvé ça vraiment mauvais et absolument illisible.

 

le concept est excitant, et le debat est lamentable.

Cela revient au meme que de bitcher sur les robots ou de confondre les vehicules multi-rotor telecommandes avec de reels drones.

oui

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Oui, les anticapitalistes écologisant sont contre parce qu'ils y voient une occasion de profits pour les multinationales et une source d'accroissements des inégalités entre individus. Et puis c'est lié à la technique, donc Gaïa est contre: http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=735

 

Il y a aussi et surtout les religions qui aiment pas trop.

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  • 1 month later...

J'ai lu le Neuromancien, de William Gibson.

 

 

C'est un ouvrage écrit en 1984, fondateur du Cyberpunk, lauréat des prix Hugo, Nebula et P.K. Dick, rien que ça.

 

Je suis déçu, profondément déçu.

Je l'ai acheté (et lu) car il s'agissait d'un classique du genre. L'histoire, en bref : Case est un hacker de génie, un maestro de la Matrice (univers virtuel sur lequel on peut se connecter directement grâce à une interface neuronale). Un jour, il double son employeur ; ce dernier se venge cruellement en lui endommageant le système nerveux, le privant de tout accès à la Matrice. Voilà donc que Case erre dans un ghetto japonais, noyant son amertume dans un bar miteux, dans la drogue et dans les combines sordides.

 

Quand soudain, tout bascule : on le trouve pour un job à haut vol (et à haut risques) qui lui permettra de retrouver un système nerveux (et un foie) intact, un accès à la Matrice et une chance de se tirer du trou dans lequel il végète depuis trop longtemps. Je ne vais pas en dévoiler plus, mais vous avez saisi l'idée.

Dans ce roman, on y trouve des augmentations cybernétiques, des intelligences artificielles, de la chirurgie de pointe, des virus super-évolués, des répliques de personnalité etc...

Et pourtant, pourtant, ce roman sombre dans deux écueils :

 

1/ Il a mal vieilli. Sans doute très novateur à l'époque (très sombre, violent, dans un futur plus proche, avec pour protagoniste principal un junkie que je trouve un peu con sur les bords), il ne l'est plus de nos jours. On ne retrouve pas l'émerveillement devant des idées très originales : ces idées ont été surexploitées ces trente dernières années, et pour certaines sont devenues notre réalité.

 

2/ le style est incompréhensible, l'action confuse, les personnages ne sont pas assez approfondis à mon goût (il est impossible de s'y attacher ou de comprendre les mécanismes de leur psyché). Les choses vont en s'améliorant vers la fin, mais le début est difficile, quasiment indigeste (où est-on? Pourquoi ce personnage agit-il comme cela? Que fait-il? Que se passe-t-il?...).

 

Je suis le seul de cet avis?
 

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Tant qu'on est entre nerds, quelqu'un aurait le nom du roman SF où certains des personnages sont des morts dont la mémoire a été transférée dans un ordinateur. Et qui donc "vivent" dans environnement digital qu'ils ont pu se payer. Ceusses qui ont de la thune se sont payés une map d'enfer limite infinie à la définition nickel chrome. D'autres, avec petit budget, doivent se contenter de quelques pièces. Et gaffe de pas tourner trop vite sur soi-même : le serveur pourrave sur lequel on les a mis ne calcule pas assez vite pour maintenir toute la 3D en même temps.

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Tant qu'on est entre nerds, quelqu'un aurait le nom du roman SF où certains des personnages sont des morts dont la mémoire a été transférée dans un ordinateur. Et qui donc "vivent" dans environnement digital qu'ils ont pu se payer. Ceusses qui ont de la thune se sont payés une map d'enfer limite infinie à la définition nickel chrome. D'autres, avec petit budget, doivent se contenter de quelques pièces. Et gaffe de pas tourner trop vite sur soi-même : le serveur pourrave sur lequel on les a mis ne calcule pas assez vite pour maintenir toute la 3D en même temps.

 

ça me rappelle un peu la Cité des Permutants (Permutation City) de Greg Egan...

 

2/ C'est fait pour. C'est pas un scénario de jeu de role.

 

Un roman est conçu pour avoir des personnages auxquels on ne peut s'attacher, une action confuse et une intrigue entortillée?

J'entends bien le parti-pris pour l'intrigue ; elle est plutôt sympathique, une fois qu'on a bien avancé et qu'on y voit plus clair.

Par contre, je ne comprends pas la démarche de créer des personnages qui laissent indifférents et de décrire des actions de telle façon qu'on ne peut pas se les représenter.

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... ces idées ont été surexploitées ces trente dernières années, et pour certaines sont devenues notre réalité.

...

Je suis le seul de cet avis?

Pas d'avis sur le roman en question, because pas lu.

Mais que plein de bouquins de SF soient devenus obsolètes parce qu'ils ont, en partie, anticipé notre quotidien. C'est une évidence.

... et on n'a effectivement plus envie de les relire.

 

De là à les qualifier de pas bons ...

 

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Pas d'avis sur le roman en question, because pas lu.

Mais que plein de bouquins de SF soient devenus obsolètes parce qu'ils ont, en partie, anticipé notre quotidien. C'est une évidence.

... et on n'a effectivement plus envie de les relire.

 

De là à les qualifier de pas bons ...

 

Je n'ai pas dit qu'il n'était pas bon, ou mauvais, j'ai dit qu'il était décevant : c'est très différent !

Je m'attendais à une grosse claque ; je ne l'ai pas eu. Je l'ai lu 30 ans trop tard, je pense.

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Par contre, je ne comprends pas la démarche de créer des personnages qui laissent indifférents et de décrire des actions de telle façon qu'on ne peut pas se les représenter.

 

Disons qu'une partie de la littérature ne s'interesse à l'empathie envers les personnages, c'est un parti-pris esthétique, tout comme la confusion.

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Disons qu'une partie de la littérature ne s'interesse à l'empathie envers les personnages, c'est un parti-pris esthétique, tout comme la confusion.

Je ne sais pas.

Pourquoi Riviera accepte-t-il de suivre le groupe? Pourquoi les trahit-il? Pourquoi Molly se confie-t-elle tout à coup à Case? Où est passé 8Jean? Que branle la police de Turing après la mort de trois agents? Pourquoi Wintermute veut fusionner, exactement? Pourquoi la société japonaise (il me semble) a copié Dixie? Et comment? Pourquoi Molly disparaît à la fin, exactement?

 

Faute d'avoir approfondi la psychologie des personnages, ou parce que je n'ai pas suivi, je suis incapable d'apporter une piste à ces questions.

 

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Faute d'avoir approfondi la psychologie des personnages, ou parce que je n'ai pas suivi, je suis incapable d'apporter une piste à ces questions.

C'est aussi un truc de certains auteurs,

d'avoir un foisonnement de possibilités accrochées aux personnages, figurant/laissées dans le texte,

et d'avancer dans l'histoire en piochant 1 possibilité dans le (grand) choix créé

... tout en en laissant plein de coté, non développées.

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J'ai lu le Neuromancien, de William Gibson.

En français ? :icon_surpris:

 

Sans doute très novateur à l'époque (très sombre, violent, dans un futur plus proche, avec pour protagoniste principal un junkie que je trouve un peu con sur les bords), il ne l'est plus de nos jours. On ne retrouve pas l'émerveillement devant des idées très originales : ces idées ont été surexploitées ces trente dernières années, et pour certaines sont devenues notre réalité.

http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/Main/SeinfeldIsUnfunny

Il y a bien Snow Crash qui est une déconstruction (et reconstruction) du genre, mais j'ai peur que lui aussi ait vieilli de la même manière.

Faute d'avoir approfondi la psychologie des personnages, ou parce que je n'ai pas suivi, je suis incapable d'apporter une piste à ces questions.

C'est une technique aussi utilisée dans Cowboy Bebop par exemple. Les personnages ont tous une longue histoire et une raison précise d'agir comme ils le font... sauf qu'elles ne pas expliquées au spectateur qui reste avec des vagues indices et des conjectures.

D'aucuns diraient que c'est plus fidèle à la réalité, où les gens prennent rarement la peine d'expliquer en détail leurs motivations.

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snow crash a très bien vieilli, sauf pour le début qui est un peu chaotique et technologiquement dépassé. Mais pas pour le reste.

 

j'ajoute que c'est un chef d'oeuvre aussi dépaysant que peu l'être révolte sur la lune, avec des idées aussi révolutionnaires et aussi intéressantes sur le plan de la prospective et de la description d'une société libertarienne non idéalisée (avec un gros biais hoppesien: micro-états discriminatoires et racistes).

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En français ? :icon_surpris:

 

C'est un cadeau d'anniversaire, je reçois mes livres en français (mes parents l'ont acheté à la FNAC et ont commandé Câblé Plus et "Vision Aveugle" (Blindsight) en français.

Ceci dit, je pensais que le problème pouvait venir de la traduction. Toutefois, après vérification, le style de l'auteur semble aussi être ardu pour les anglophones, la même critique revenant souvent.

 

 

http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/Main/SeinfeldIsUnfunny

Il y a bien Snow Crash qui est une déconstruction (et reconstruction) du genre, mais j'ai peur que lui aussi ait vieilli de la même manière.

 

Snow Crash, ce n'est pas l'oeuvre qui aurait "enterré" le cyberpunk d'après certains? En tout cas, il est sur ma liste :mrgreen:

 

 

C'est une technique aussi utilisée dans Cowboy Bebop par exemple. Les personnages ont tous une longue histoire et une raison précise d'agir comme ils le font... sauf qu'elles ne pas expliquées au spectateur qui reste avec des vagues indices et des conjectures.

D'aucuns diraient que c'est plus fidèle à la réalité, où les gens prennent rarement la peine d'expliquer en détail leurs motivations.

 

Mmmmm...J'entends bien, j'essaierai de lire d'autres oeuvres de Gibson pour voir. Ou de relire le Neuromancer (je passe en VO rien que pour toi :mrgreen: ) plus tard. C'est peut-être un livre qui se rumine, qui se digère lentement, et qu'il faut y revenir souvent pour y (re)découvrir de nouveaux aspects.

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  • 4 months later...

10 Must-Read Dystopian Novels

 

We, by Yevgeny Zamyatin
Dahlgren, by Samuel R. Delany
The Road, by Cormac McCarthy
Market Forces, by Richard K. Morgan
Never Let Me Go, by Kazuo Ishiguro
A Canticle for Leibowitz, by Walter M. Miller Jr.
In the Country of Last Things, by Paul Auster
The Iron Heel, by Jack London
The Gate to Women’s Country, by Sherri S. Tepper
This Perfect Day, by Ira Levin

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Dahlgren, ça vaut le détour, c'est une oeuvre majeure quoique teintée beatnik. Je soupçonne que les fans de SF en seront fort désorientés, pour ne pas dire déçu 

oh et mieux vaut savoir que c'est partiellement pédophile, 15 ans pour être précis 

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CAD? Un ado de 15 ans à des relations/le début d'une vie sexuelle?

D'un pur point de vue bio et psychologique ce qui serait anormal c'est qu'à 15 ans une bonne partie de son cerveau ne gravite pas autour du sujet. :D

  • Yea 1
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Il y a 4 heures, José a dit :

10 Must-Read Dystopian Novels

 

We, by Yevgeny Zamyatin
Dahlgren, by Samuel R. Delany
The Road, by Cormac McCarthy
Market Forces, by Richard K. Morgan
Never Let Me Go, by Kazuo Ishiguro
A Canticle for Leibowitz, by Walter M. Miller Jr.
In the Country of Last Things, by Paul Auster
The Iron Heel, by Jack London
The Gate to Women’s Country, by Sherri S. Tepper
This Perfect Day, by Ira Levin

"Un cantique pour Leibowitz" j'en avais lu des nouvelles dans cet univers quand j'étais môme. Très bon truc.

Les autres titres (à par la route de mccarthy dont j'ai vu l'adaptation ciné, comme tout le monde) ne me disent rien. Je vais y jeter un coup d’œil.

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This Perfect Day, en VF Un Bonheur insoutenable, d'Ira Levin, c'est très, très bien (en plus d'être compatible libéral/individualiste), mangez-en.

 

De même qu'on m'a dit le plus grand bien pour les mêmes raisons de We, en VF Nous autres, de Zamyatine (mais que je n'ai pas encore lu).

  • Yea 1
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The Road est très bien (déprimant à souhait) mais je ne le considèrerais pas comme une dystopie en l'absence de gouvernement totalitaire (et de dimension politique en général). C'est plutôt du post-apocalyptique comme The Stand ou I Am Legend.

  • Yea 1
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  • 1 month later...
Le 08/05/2017 à 15:08, Rincevent a dit :

This Perfect Day, en VF Un Bonheur insoutenable, d'Ira Levin, c'est très, très bien (en plus d'être compatible libéral/individualiste), mangez-en.

 

Il est dans ma pile ! Là, je termine "Accelerando" de Charles Stross.

 

Le 08/05/2017 à 15:08, Rincevent a dit :

De même qu'on m'a dit le plus grand bien pour les mêmes raisons de We, en VF Nous autres, de Zamyatine (mais que je n'ai pas encore lu).

 

Je l'ai lu en français. Un bon livre, qu'on apprécie encore davantage quand on connaît un peu Zamyatine et qu'on sait que ce livre a été publié en 1920 (avec un contexte historique particulier en Russie).

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Le 22/12/2016 à 10:16, Flashy a dit :

je pensais que le problème pouvait venir de la traduction.

 

Ah, ce serait donc ça ? J'ai commencé deux fois à lire Neuromancien, et j'ai arrêté, je n'arrive pas à rentrer dedans. Les motivations des personnages, la nature des objets techniques avec lesquels ils inter-agissent, rien n'est très clair. Il faudrait que je ré-essaye.

 

Sinon je n'inciterais pas forcément à lire Nous autres. J'en avais lu une bonne moitié à une époque ; hé bien je ne me souviens de presque rien. Il y a une espèce d'atmosphère oppressante à la Orwell (qui s'en est inspiré), qui n'est pas très agréable et qui rend les chapitres assez homogènes, l'action lente, etc. Alors je n'imprime pas.

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il y a 1 minute, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Ah, ce serait donc ça ? J'ai commencé deux fois à lire Neuromancien, et j'ai arrêté, je n'arrive pas à rentrer dedans. Les motivations des personnages, la nature des objets techniques avec lesquels ils inter-agissent, rien n'est très clair. Il faudrait que je ré-essaye.

 

Apparemment c'est la même chose en VO.

Ce n'est pas rare. Ainsi, dans Vision Aveugle de Peter Watts, on a le même procédé, au demeurant assez logique (comme le pointait Lancelot) : le narrateur ne juge pas utile d'expliquer ce qui, pour lui, relève de l'évidence.

Par contre, dans le Neuromancien (oui, j'utilise le nom français, je suis un sagouin), la chose m'a paru particulièrement marquée au point de pouvoir présenter un aspect presque rebutant, chose que je n'ai pas ressenti dans Vision Aveugle ou d'autres ouvrages.

 

il y a 1 minute, Johnathan R. Razorback a dit :

Sinon je n'inciterais pas forcément à lire Nous autres. J'en avais lu une bonne moitié à une époque ; hé bien je ne me souviens de presque rien. Il y a une espèce d'atmosphère oppressante à la Orwell (qui s'en est inspiré), qui n'est pas très agréable et qui rend les chapitres assez homogènes, l'action lente, etc. Alors je n'imprime pas.

 

Je l'ai lu il y a un an, à peu près. Assez rapide à lire. C'est un roman "d'atmosphère" : il n'y a pas de personnage mémorable, de scénario surprenant ou haletant. Par contre, oui, tout l'objet du livre est de dépeindre une atmosphère, celle d'un monde qui se prétend parfait, transparent, pur de toute souillure, un monde qui a dépassé l'individualisme, les passions individuelles, où chacun connaît sa place dans les rouages de l'Etat et se conforme avec sérénité à ce qu'on attend de lui.

Par petites touches, on voit cette mécanique se gripper.

Le malaise persiste un peu, même lorsqu'on a refermé le livre.

A titre personnel, je lui préfère 1984. Mais ça n'en reste pas moins une dystopie intéressante, surtout lorsqu'on la remet dans le contexte de l'époque.

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  • 2 weeks later...
Le 04/07/2017 à 12:29, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Ah, ce serait donc ça ? J'ai commencé deux fois à lire Neuromancien, et j'ai arrêté, je n'arrive pas à rentrer dedans. Les motivations des personnages, la nature des objets techniques avec lesquels ils inter-agissent, rien n'est très clair. Il faudrait que je ré-essaye.

 

Sinon je n'inciterais pas forcément à lire Nous autres. J'en avais lu une bonne moitié à une époque ; hé bien je ne me souviens de presque rien. Il y a une espèce d'atmosphère oppressante à la Orwell (qui s'en est inspiré), qui n'est pas très agréable et qui rend les chapitres assez homogènes, l'action lente, etc. Alors je n'imprime pas.

 

Bon bah j'ai écrit une micro-critique sur mon blog de Nous Autres, par ta faute !

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