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Je raconte ma life 7 - doigts vélos et pétales de lol


Brock

Messages recommandés

Que fait-on quand on a un master de philo et qu'on veut pas forcément devenir prof de philo ?

 

Une thèse et une carrière post-doctorale/professorale/de recherche ?

 

Sinon, on poursuit sur un autre master de sciences humaines/appliquées ou plus dures mais accessibles vu ton bagage perso. Quand j'étais en licence de philo je me suis rendu compte que le master de philo allait me diriger trop vite vers la voie de l'agreg et je n'en avais aucune envie alors je suis parti en master de sciences cognitives, spécialité philo. Ensuite c'est pas forcément fini, moi j'ai continué par un autre master scientifique, mais ça ne me donne pas le niveau pour poursuivre en thèse dans le domaine, qui est très compétitif, donc je continue par une thèse en philo. Par contre l'avantage avec la philo c'est que tu peux aussi faire une thèse qui déborde bien sur un champ scientifique quel qu'il soit. C'est ce qui s'annonce dans mon cas.

 

Sinon, il paraît que les diplômés de philo ont les débouchés les plus variés, c'est à dire que même si l'agrégation reste une voie privilégié en France, les philosophes qui font autre chose font des choses plus diversifiées. Pa ailleurs, quand je lis des présentations de cursus philosophiques sur des sites de fac US ça donne l'impression que la finance est un domaine privilégié pour les majeures philo... Cela m'étonne un peu tout de même.

 

On se marie à quelqu'un de très riche.

 

non.

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Que fait-on quand on a un master de philo et qu'on veut pas forcément devenir prof de philo ?

"On" veut devenir quoi ? On peut toujours faire le concours de l'ENA, ou un bon MBA.

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il parait que la philo est dans les meilleures réorientations

 

C'est ce qu'il me semble. En plus c'est une très bonne première formation si tu as le temps et l'argent de faire beaucoup d'études. Je crois sérieusement que ça te permet ensuite de mieux comprendre les enjeux des autres disciplines, et donc trouver de la motivation et pas être abruti par les aspects techniques, ce qui est un risque dans beaucoup de domaines.

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Que fait-on quand on a un master de philo et qu'on veut pas forcément devenir prof de philo ?

il parait que la philo est dans les meilleures réorientations

 

Consultation en entreprise, pour tout ce qui est bichonnage des cadres stressés.

 

Sinon, ben, écrire des trucs. Des livres, esssais, manuels pour l'ednat/le supérieur, des corrigés de concours, des articles pour les journaux ...

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Tout ça me conforte dans l'idée que l'art est un mauvais véhicule d'investissement.

 

Pour quelles raisons? C'est un marché où la demande ne cesse d'augmenter (merci les nouveaux millionnaires), bien plus que l'offre (du moins en ancien c'est le cas, vu que le total d’œuvres produites ne bouge que peu). Il n'y a qu'à voir les indices de référence sur les ventes, avec des plus-values coquettes. Qui plus est, c'est du solide, facilement transportable (pour les toiles... il est sur que si tu aimes les sculptures de marbre ou les meubles anciens, le problème est autre) , peu sensible aux crises... Sans parler des dispositifs incitatifs qui existent, et pas qu'en France. Tu peux même régler certaines taxes avec (principe de la dation).

 

Que fait-on quand on a un master de philo et qu'on veut pas forcément devenir prof de philo ?

 

Coach spirituel? Gourou? Philosophe pour médias?

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Ça ne génère pas de cash, l'effet de mode a l'air important et en plus les gens trichent. C'est très spéculatif.

 

Moui. Après je comprends ton avis même si ce n'est pas le mien. Oui l'effet de mode existe, mais bien moins que sur d'autres produits. L'art se vend depuis l'antiquité et se vendra dans le futur, pour peu qu'effectivement on sache y investir correctement (c'est un peu mon travail de conseil). Mais contrairement à des actions, où lorsque l'entreprise est liquidée pour mauvaise gestion, il ne reste aux actionnaires que les yeux pour pleurer (ce qui fait partie du risque d'investissement), en art il te restera toujours quelque chose.

 

Une œuvre d'art répond à un besoin. Comme une voiture de sport dans un pays où la limitation de vitesse est à 130.

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Mais contrairement à des actions, où lorsque l'entreprise est liquidée pour mauvaise gestion, il ne reste aux actionnaires que les yeux pour pleurer (ce qui fait partie du risque d'investissement), en art il te restera toujours quelque chose.

Il reste le relicat et le cash que tu as pu sortir avant (et ca c'est si tu n'as pas diversifié).

En art, si la valeur de ton investissement s'effondre, tu peux très bien te retrouver avec une carte postale finalement. C'est quasi-0.

Si tu prends des assurances pour tes œuvres, non seulement elles ne génèrent pas de cash mais en plus elle t'en coûte. Tu peux donc te retrouver tout autant avec 0 au final (voir même moins).

Si tu es spécialiste ça change pas mal la donne mais ca exclut plein de gens du marché.

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Il reste le relicat et le cash que tu as pu sortir avant (et ca c'est si tu n'as pas diversifié).

En art, si la valeur de ton investissement s'effondre, tu peux très bien te retrouver avec une carte postale finalement. C'est quasi-0.

Si tu prends des assurances pour tes œuvres, non seulement elles ne génèrent pas de cash mais en plus elle t'en coûte. Tu peux donc te retrouver tout autant avec 0 au final (voir même moins).

Si tu es spécialiste ça change pas mal la donne mais ca exclut plein de gens du marché.

 

Comme dans tout domaine. Je serais incapable d'investir en bourse, je suis la première à le reconnaitre et je fais donc appel à un conseiller. Mon travail c'est cela: je conseille mes clients et je leur trouve les bons objets pour que cela correspondent à leurs gouts (côté plaisir, qui fait partie de l'argent qu'on mise. Je suis sure que, si un jour par miracle, je trouvais un manuscrit annoté d'un célèbre libéral, comme Bastiat, j'aurai des clients ici... et pourtant ce n'est que du papier d'un point de vue valeur matérielle) et qu'ils ne perdent pas dans l'investissement.

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En soit, la bourse c'est pas très compliqué. C'est de l'épargne pour le grand public. Il n'y a même pas besoin de connaitre le nom des entreprises dans lequel on investit pour bien le faire : il suffit de diversifier pour avoir des retours tout sauf dégueulasse, même au hasard complet.

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Qu'est-ce que ça me saoule ces grands débats en Franchouillie pendant les repas sur combien de verres tu as bu, et arrête toi parce que tu conduis dans 4 heures et bla bla bla!

Les français sont devenus lol avec l'alcool.

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En soit, la bourse c'est pas très compliqué. C'est de l'épargne pour le grand public. Il n'y a même pas besoin de connaitre le nom des entreprises dans lequel on investit pour bien le faire : il suffit de diversifier pour avoir des retours tout sauf dégueulasse, même au hasard complet.

 

Moui. Au moins mon œuvre d'art, elle est au mur, elle prend de la valeur et elle ne compte pas dans mon patrimoine pour l'ISF... Après question de point de vue, mais je n'ai pas l'envie de me livrer à des calculs ou des lectures économiques trop pointues en investissant en bourse...

 

Simple question de choix, être libéral, c'est aussi garder sa liberté d'investir sur ce qui nous tente (même sur les millionnaires nigérians qui ont besoin d'un virement pour sortir une fortune de leur pays).

 

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Helas les gendarmes ont le contrôle d'alcoolémie facile. En plus il paraît que mon permis 2 grammes n'est pas valide.

Et ça donne une bonne raison aux nanas d'exercer un contrôle sur les hommes.

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