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After Obama, a new hope?


Messages recommandés

Syndicats et sympathisants.

Il en est assez fier d'ailleurs de ne pas avoir à plier de genou devant les grands lobbies classiques, c'est ce qui fait sa popularité d'ailleurs.

Ce que les gens ne voient pas, c'est que les syndicats sont des lobbies comme les autres ; si ce n'est pire.

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Vous pensez quoi de Carly Fiorina ? Elle a l'air d'être la seule candidate décente dans le peloton de tête républicain. J'arrive pas trop à la situer sur pas mal de sujet (faut dire que son site est pas trop explicite). Vous pensez qu'elle a une chance dans la primaire ou contre Hillary ?

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 Bah justement, je demande^^

 

Il me semble que la Suisse se porte encore bien non ? La nouvelle-Zélande aussi non ? Et je pose la question pour le Canada et l'Australie. 

 

 L'Angleterre est pas trop mal placé sur l'indice de "Liberté Humaine" - mélange des libertés économiques et civiques. 

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Certains sont trop proches de l'arrivée pour faire demi-tours, mais d'autres pas, c'est ceux-là qui m'intéressent^^

Le demi tour est toujours possible cf tous les ex-pays communistes.

Sinon ça dépend de ce qui compte pour toi.

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Tramp, apprend qu'il existe des nuances (et des libertés que les USA n'ont plus alors qu'elles existent encore en Allemagne, manifestement assez nombreuses pour compenser l'absence de liberté de non-scolarisation).

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Non je ne découvre pas. Tout est question de ce qu'on juge plus important entre pouvoir se prostituer à peu près librement ou contrôler l'éducation de ses enfants ou avoir des armes à feu ou consommer du cannabis pour le fun.

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The Republicans’ Incompetence Caucus

 

 

The House Republican caucus is close to ungovernable these days. How did this situation come about?

 
This was not just the work of the Freedom Caucus or Ted Cruz or one month’s activity. The Republican Party’s capacity for effective self-governance degraded slowly, over the course of a long chain of rhetorical excesses, mental corruptions and philosophical betrayals. Basically, the party abandoned traditional conservatism for right-wing radicalism. Republicans came to see themselves as insurgents and revolutionaries, and every revolution tends toward anarchy and ends up devouring its own.
 
By traditional definitions, conservatism stands for intellectual humility, a belief in steady, incremental change, a preference for reform rather than revolution, a respect for hierarchy, precedence, balance and order, and a tone of voice that is prudent, measured and responsible. Conservatives of this disposition can be dull, but they know how to nurture and run institutions. They also see the nation as one organic whole. Citizens may fall into different classes and political factions, but they are still joined by chains of affection that command ultimate loyalty and love.
 
All of this has been overturned in dangerous parts of the Republican Party. Over the past 30 years, or at least since Rush Limbaugh came on the scene, the Republican rhetorical tone has grown ever more bombastic, hyperbolic and imbalanced. Public figures are prisoners of their own prose styles, and Republicans from Newt Gingrich through Ben Carson have become addicted to a crisis mentality. Civilization was always on the brink of collapse. Every setback, like the passage of Obamacare, became the ruination of the republic. Comparisons to Nazi Germany became a staple.
 
This produced a radical mind-set. Conservatives started talking about the Reagan “revolution,” the Gingrich “revolution.” Among people too ill educated to understand the different spheres, political practitioners adopted the mental habits of the entrepreneur. Everything had to be transformational and disruptive. Hierarchy and authority were equated with injustice. Self-expression became more valued than self-restraint and coalition building. A contempt for politics infested the Republican mind.
 
Politics is the process of making decisions amid diverse opinions. It involves conversation, calm deliberation, self-discipline, the capacity to listen to other points of view and balance valid but competing ideas and interests.
 
But this new Republican faction regards the messy business of politics as soiled and impure. Compromise is corruption. Inconvenient facts are ignored. Countrymen with different views are regarded as aliens. Political identity became a sort of ethnic identity, and any compromise was regarded as a blood betrayal.
 
A weird contradictory mentality replaced traditional conservatism. Republican radicals have contempt for politics, but they still believe that transformational political change can rescue the nation. Republicans developed a contempt for Washington and government, but they elected leaders who made the most lavish promises imaginable. Government would be reduced by a quarter! Shutdowns would happen! The nation would be saved by transformational change! As Steven Bilakovics writes in his book “Democracy Without Politics,” “even as we expect ever less of democracy we apparently expect ever more from democracy.”
 
This anti-political political ethos produced elected leaders of jaw-dropping incompetence. Running a government is a craft, like carpentry. But the new Republican officials did not believe in government and so did not respect its traditions, its disciplines and its craftsmanship. They do not accept the hierarchical structures of authority inherent in political activity.
 
In his masterwork, “Politics as a Vocation,” Max Weber argues that the pre-eminent qualities for a politician are passion, a feeling of responsibility and a sense of proportion. A politician needs warm passion to impel action but a cool sense of responsibility and proportion to make careful decisions in a complex landscape.
 
If a politician lacks the quality of detachment — the ability to let the difficult facts of reality work their way into the mind — then, Weber argues, the politician ends up striving for the “boastful but entirely empty gesture.” His work “leads nowhere and is senseless.”
 
Welcome to Ted Cruz, Donald Trump and the Freedom Caucus.
 
Really, have we ever seen bumbling on this scale, people at once so cynical and so naïve, so willfully ignorant in using levers of power to produce some tangible if incremental good? These insurgents can’t even acknowledge democracy’s legitimacy — if you can’t persuade a majority of your colleagues, maybe you should accept their position. You might be wrong!
 
People who don’t accept democracy will be bad at conversation. They won’t respect tradition, institutions or precedent. These figures are masters at destruction but incompetent at construction.
 
These insurgents are incompetent at governing and unwilling to be governed. But they are not a spontaneous growth. It took a thousand small betrayals of conservatism to get to the dysfunction we see all around.
 

 

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Meh. Reddit aussi. Rien que les sources : Huffpost, NBC...

Sanders n'est qu'un faire-valoir pour Clinton : Il ne l'attaque pas assez comme le ferait un vrai opposant à la primaire (et prend même sa défense assez souvent), et a plus de dix points de retard pour la nomination démocrate.

Pour la general ça se serre en ce moment : Clinton vs. Trump à égalité selon le PPP (biais dem) et Trump à +5 selon CNN (biais rep).

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Les démocrates ont 221 grands électeurs surs, il en faut 270 :

 

Derniers sondages dans les swings states (paru depuis le 1er octobre):

Floride : Clinton +5

Pennsylvanie : Clinton +2

Virginie : Clinton +6

Ohio : Clinton +2 

Wisconsin : Clinton +14

 

Pour gagner, il suffit à Clinton de gagner Wisconsin + Floride + Virginie.

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A bien y réfléchir, 8 ans de Clinton ne me dérangent pas plus que ça. Elle n'a absolument aucune conviction politique, elle se débrouillera juste pour se faire une place au chaud en ménageant Wall Street et la majorité du parti démocrate. Les US s'enfonceront un peu plus dans la social-démocratie molle, mais rien de bien grave. Et ça forcera peut-être (enfin) les Républicains à se remettre en question.

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Et ça forcera peut-être (enfin) les Républicains à se remettre en question.

La réponse est évidemment non. Les Républicains ne se remettront jamais en question en raison d'un évènement extérieur, mais en raison d'entrepreneurs d'idées en leur sein (ou à leur périphérie). La seule influence que peut avoir l'extérieur sur eux, c'est de les recentrer sur le plan économique (ce qui n'est pas souhaitable).
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A bien y réfléchir, 8 ans de Clinton ne me dérangent pas plus que ça. Elle n'a absolument aucune conviction politique, elle se débrouillera juste pour se faire une place au chaud en ménageant Wall Street et la majorité du parti démocrate. Les US s'enfonceront un peu plus dans la social-démocratie molle, mais rien de bien grave. Et ça forcera peut-être (enfin) les Républicains à se remettre en question.

La droite US est comme toutes les droites du monde. Elle suit le courant à rebours, pas pour rien qu'ils sont conservateurs. Donc encore plus de social-démocratie chez les démocrates signifiera encore plus de social-démocratie (et il y en a déjà pas mal) chez les républicains d'ici quelques temps. Aucune révolution culturelle durable n'est possible à droite nulle part.

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