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Interdiction du porno sur internet


DiabloSwing

Messages recommandés

Non mais attends. Les Romains étaient de gros pervers. On va pas me faire croire qu'il n'y a rien eu entre eux et les aventures de Valmont et Merteuil puis les œuvres de Sade...

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Ah c'était mieux l'époque où seul les nobles et les dignitaires de l'Eglise y avaient accès. Le porno était réservé à l'Elite et le petit peuple était protégé.

C'était tellement underground que les rues de Pompei étaient pavées de pénis. Et que personne n'avait entendu parler de Sodome ou de Gomorrhe.

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Historiquement, c'est plutôt les progs qui sont devenus conservateurs au cours des dernières décennies.

 

 

Les vrais libéraux sont toujours restés progs... :)

 

Il paraît même qu'on peut reconnaître les hommes qui ont "appris" le sexe avec le porno de ceux qui ont appris seuls (je n'ose dire sur le tas). Les premiers déboîtent clairement quand ils changent de position, tandis que les autres cherchent à rester emboîtés ou au moins le plus collés possible.

 

 

Awww... Comme c'est mignon :wub: :wub: :wub:

 

Pas aussi développé et facile d'accès. On est passé du phénomène restreint et underground à quelque chose de public et mainstream. 

 

PAB, ce hipster... ;)

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Source ?

Une ex.

2) Je crains que la vision des relations homme/femme dans ce genre de cinéma soit assez éloignée de la réalité.

Dans le reste de la production cinématographique aussi... Juste différemment.
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Dans le reste de la production cinématographique aussi... Juste différemment.

 

Je disais cela à propos de ceux qui considère que le porno a un côté éducatif. Récréatif peut être, mais éducatif je dubite. 

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1) On a fait sans durant des siècles et l'on s'en est pas trop mal sorti.

 

2) Je crains que la vision des relations homme/femme dans ce genre de cinéma soit assez éloignée de la réalité. 

 

1.on a fait AVEC.Il y a plethore de documentation sur le porno des siecles passes, de la peinture classique etc.

 

2.le porno est une distraction, une fiction qui n'a rigoureusement AUCUN besoin de representer quoi que ce soit de realiste.C'est typiquement un discours de socialiste et de sjw de vouloir avoir des medias qui font une "representation educative" du reel.

C'est terrible pour les jeunes qui s'imaginent apprendre quelque chose mais devinez quoi, ils ne sont pas le public cible.Ca revient a critiquer les films de pompiers qui ne montrent pas le metier comme il est, et les camions de pompier en plastique qui donnent une image deformee de ce qu'on doit faire pour eteindre un feu...

 

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Pas aussi développé et facile d'accès. On est passé du phénomène restreint et underground à quelque chose de public et mainstream. 

 

ni public ni mainstream, c'est toujours tabou des qu'on sort de l'univers des etudiants et des ados.Not Safe For Work.

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C'est très instructif d'un point de vue psychologique le porn. Ne serait-ce que la diversité dans le fétichisme.

Mais tu ne peux pas tout voir, et eeew quoi, mieux vaut passer par des métadonnées. D'ailleurs gros merci pour avoir parlé de one billion wicked thoughts l'année dernière, très bonne lecture.

C'est intéressant de mettre en parallèle la diversité du pron avec la littérature érotique qui suit toujours les mêmes schémas.

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D'ailleurs je redonne la référence :

De bonnes analyses sur un sujet négligé, mais ce n'est qu'un début qui demanderait à être complété. Faudra que j'aille voir ce qu'ils ont publié depuis, tiens.

  • Yea 1
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J'ai toujours vu le porn comme une industrie comme une autre dont le premier but est de faire de l'argent.

C'est l'industrie qui souffre le plus du streaming car le cinéma traditionnel et la musique ont su trouver d'autres sources de revenus comme le live, la 3D, la VOD, l’amélioration des salles de ciné, ect qui marchent pas mal. Mais le porn pour le moment n'a pas réussi sa mutation et cherche des revenus. Une loi pour le censurer encore plus, c'est du grand nawak vu sa situation financière.

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Ils placent pas mal d'espoirs sur l'Oculus Rift.

 

Je ne connaissais pas. J'ai un pote qui avait financé le premier film 3D français porn et ça avait plutôt bien marché niveau financier donc ça peut être une piste à terme pour générer des revenus. C'était un financement en crowdfunding. Au final, il avait eu une très bonne rentabilité.

 

 

La 3D sauvera-t-elle l’industrie du X?

Plus de 90% des films pour adultes sont piratés par les internautes. Leader européen, Marc Dorcel mise sur la 3D pour fidéliser ses clients. Aux Etats-Unis, les plaintes contre les sites illégaux se multiplient

 

«Elle vous regarde dans les yeux, ses gestes sont tous dirigés vers vous pour faciliter l’immersion dans le film…» Regard aguicheur et mouvements suggestifs, Black Angelika se dévêtit lascivement sur un sofa blanc. La scène se déroule sur un immense écran 3D. A mes côtés, lui aussi équipé de lunettes spéciales, Ghislain Faribeault, directeur «Nouveaux médias» au sein de la société Marc Dorcel, poursuit ses commentaires. «L’actrice est en permanence en contact avec le téléspectateur. Observez ses gestes.» Les mains tendues de Black Angelika, puis ses pieds, semblent en effet très proches avec la 3D.

Fini de minauder, un acteur entre dans le salon. L’accouplement peut débuter. En professionnelle, Black Angelika n’aura de cesse de nous regarder. Les effets réalistes sont réussis, avec l’impression de se trouver nous aussi dans ce vaste salon.

Les lunettes enlevées, retour à la réalité. Nous voici dans la salle de conférence de la direction de la firme Marc Dorcel. Equipée d’immenses écrans, la pièce sert aussi de salle de démo. Au cœur de Paris, rien ne laisse présager de l’extérieur que nous nous trouvons au siège du numéro un européen du X. Aucune chance d’y croiser Black Angelika pour de vrai: il n’y a ici qu’ordinateurs, classeurs et, certes, quelques posters affichés aux murs. «Les tournages ont lieu dans des châteaux ou des maisons de maître», glisse Adeline Anfray, attachée de presse.

Marc Dorcel SA, dont Grégory a repris la direction des mains de son père, est l’un des premiers studios à s’être lancés dans la 3D. Toujours à mes côtés, Ghislain Faribeault aligne les chiffres. «Face au fléau du piratage, nous devons être à la pointe de la technologie. Nous savons que 90% de nos films sont piratés, nous vivons grâce aux 10% de téléspectateurs qui achètent nos productions. Et nous savons aussi que 30 à 40% du trafic mondial d’Internet est lié à la consommation de X. Dès 2010, nous avons débloqué 1,5 million d’euros pour tourner une centaine de films 3D d’une durée de 20 à 30 minutes chacun». Pourquoi si courts? «C’est vrai, nos productions classiques durent 90 minutes et comprennent en moyenne 6 scènes. Mais la 3D fatigue tout de même les yeux, nous préférons tourner des scènes courtes, mais dont les plans changent moins souvent».

Brèves pour les consommateurs, longues pour les acteurs. «Le tournage dure plus longtemps qu’en temps normal, car il faut vérifier en permanence que les prises de vue ont été parfaites en 3D, poursuit Ghislain Faribeault. Le temps total de production est quatre à cinq fois plus long que pour des films en 2D». Parlons technique. La double caméra équipée de deux objectifs séparés chacun de 6,5 cm de l’autre pèse plus de 80 kilos. «La technologie 3D utilisée est celle dite de «jaillissement» pour avoir l’impression que les acteurs sont à quelques centimètres de vous, affirme le responsable. A l’inverse, un film d’animation tel Avatar a opté pour une 3D dite «profondeur de champ». On a beau parler de «jaillissement», pas question d’avoir l’impression d’être aspergé de semence – «Ce ne serait sans doute pas du goût de la gent masculine», sourit Ghislain Faribeault.

Le responsable l’admet volontiers, la 3D n’en est qu’à ses débuts: «En 2010, seuls 200 000 téléviseurs 3D ont été vendus en France, mais cela progresse vite. Et dans les mois à venir, des téléviseurs n’exigeant pas d’acheter des lunettes spéciales devraient apparaître». Ces petits films en 3D, tel «Baisée sur la photocopieuse 3D» sont exclusivement loués ou vendus, depuis novembre 2010, via des services de vidéo à la demande pour ordinateur et téléviseur. Compter ainsi 8 à 10 euros pour une location de 3 heures. Un peu cher, non? «C’est un achat impulsif et les gens sont prêts à y mettre le prix, d’autant que nous ne produisons que des films à valeur ajoutée, style «porno chic»: rien de vulgaire, d’amateur ou de gonzo (ndlr: filmé caméra au poing)». En France, tous les opérateurs, de Free à SFR, proposent un canal de vidéo à la demande accessible sur téléviseur. En Suisse, si Naxoo (Genève) donne accès à la chaîne TV de Marc Dorcel, d’autres opérateurs pourraient commercialiser l’offre de vidéo à la demande.

Est-ce à dire que la vente de DVD va disparaître? «Elle représente encore 25% de notre chiffre d’affaires, contre 55% pour la vidéo à la demande, détaille Ghislain Faribeault. Mais personne ne fait de DVD Blu-Ray pour adultes, et encore moins en 3D: les coûts de fabrication sont énormes et les gens qui se rendent dans des vidéoclubs de moins en moins nombreux.» Du coup, autant atteindre directement le consommateur dans son salon. Dans les semaines à venir, Marc Dorcel ira encore plus loin en lançant des applications directement intégrées dans les téléviseurs connectés à Internet (smart TV).

Pour le numéro un européen du X, percer sur les téléphones mobiles s’annonce aussi comme un défi majeur. Car le hic, c’est que ni Apple ni Google n’autorisent la vente d’applications permettant de visionner du X. «Nous allons améliorer nos flux vidéo pour permettre la location de films directement dans le navigateur web des smartphones», assure Ghislain Faribeault. Un autre domaine porteur pourrait être celui du «X participatif». Ainsi, Marc Dorcel s’est lancé au printemps 2010 dans sa première opération de «crowdfunding»: les internautes financent le film et ont droit de cité pour le scénario. Ainsi, 85 000 euros ont été récoltés en 78 heures auprès de 900 personnes pour réaliser Mademoiselle de Paris. Certains ont pu diriger le tournage de certaines scènes, être figurant, prêter une maison ou une voiture.

Voilà la stratégie «360 degrés» défendue par Ghislain Faribeault: «Innover sans cesse et être présents sur tous les écrans.» Au fait, à quand un film X en 3D au cinéma de son quartier? «Sans doute jamais… Les cinémas spécialisés disparaissent petit à petit et je vois mal nos œuvres distribuées dans les multiplexes…» Quand au récent film 3D sex & zen: extreme ecstasy montré dans un cinéma de Hongkong, il ne donne aucune envie à Ghislain Faribeault: «Bon, c’était un film «softcore» et d’après ce que j’ai lu, le scénario n’était pas terrible…»

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/99210acc-8642-11e0-93a4-b97e05e40fd3/La_3D_sauvera-t-elle_lindustrie_du_X

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il y a aussi  du porn qui arrive 100% en image de synthese, photorealiste et fait avc les descendant du software Poser.C'etait amateur jusqu'a maintenant mais les asiatiques commencent a produire des truc serieux avec de l'animation de qualite et des sfx.Le  rendu est phenomenal, et tout est permis...

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