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Sarkozy, la défaite du ravioli francais


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Je parie rien qu'il gagne. Hollande ne rebondit plus jamais dans les enquêtes, pas même après les attentats. C'est très mauvais.

Non mais Sarkozy. Sarkozy.

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Je parie rien qu'il gagne. Hollande ne rebondit plus jamais dans les enquêtes, pas même après les attentats. C'est très mauvais.

Ça sent un peu le sapin pour Hollande mais je pense qu'il battrait Sarkozy au deuxième tour.

(je ne crois pas à un deuxième tour Sarkhollande)

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 On va avoir droit à un scénario à l'autrichienne. 

 

 Une extrême-droite super forte ( 30% environ au premier tour ), puis quatre candidats intermédiaires (Sarko, Bayrou, Hollande et Mélenchon entre 10 et 20% ) Voire pire si Montebourg se présente. 

 

 Et c'est pour ça que TOUT LE MONDE se présente. Tout comme des rats, il est possible de devenir président en passant par un trou de souris. 

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Ouais mais Sarkozy quoi. Le mec qui a braqué tous les gauchistes et trahi tous les droiteux.

Avec une com' raisonnablement agressive pour rapeler ses manquements c'est plié.

(Alors que n'importe quel UMP raisonnablement clean passera.)

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 On va avoir droit à un scénario à l'autrichienne. 

 

 Une extrême-droite super forte ( 30% environ au premier tour)

Je pense que le FN peut être au deuxième tour en 2017. Néanmoins je crois que les médias aiment bien se faire peur avec la montée "spectaculaire" du "parti de la guerre civile" (Valls). Le FN a fait 18% au premier tour en 2012, il ne fera jamais 30% en 2017. Plutôt autour de 22%, je pense.

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Je pose la question car c'est un élément aussi déterminant que le nombre ou le nom des candidats de droite et de gauche.

 

L'idée reçue selon laquelle l'abstention profite aux extrême n'est pas si évidente à démontrer chiffres à l'appui.

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L'idée reçue selon laquelle l'abstention profite aux extrême n'est pas si évidente à démontrer chiffres à l'appui.

J'ai même lu une étude qui disait qu'en forçant les types à voter, ils en profitent pour se venger en disant "Nique le système".

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Dans son livre-programme Tout pour la France (Plon), le candidat Nicolas Sarkozy propose de « suspendre » le regroupement familial.S’il avait dit : «Je veux faire baisser le chiffre du regroupement familial en y mettant des conditions plus draconiennes», il était crédible, car c’est possible. Il peut vouloir restreindre les critères d’application, les conditions de ressources ou de logement… Mais l’interdire, c’est contraire à la jurisprudence du Conseil d’État, du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des droits de l’homme. C’est comme avec la déchéance de nationalité, il se lance dans une sorte de bras de fer qui n’aboutira à rien. Mais même si on imaginait qu’il y arrive : il laisse entendre qu’il va arrêter la totalité de l’immigration familiale, au total 90 000 personnes. Mais, parmi elles, 50 000 conjoints de Français, la majorité des cartes de séjour données pour lien familial ! Il ne va quand même pas interdire aux Français de se marier avec un(e) étranger(e) !

 

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Nicolas Sarkozy trouve d’abord tout à fait à son goût une mesure passée à la trappe lors du débat sur la loi Travail : la limitation des indemnités prud’hommales. « Nous plafonnerons le montant des indemnités de licenciement en cas d’absence de cause réelle et sérieuse », écrit-il, ce qu’il appelle « sécuriser le licenciement pour favoriser la création d’emplois ». On aura compris que la « sécurisation » concerne avant tout l’employeur. Pour le reste, la philosophie de Sarkozy consiste à pousser les curseurs bien plus loin. Alors que la loi Travail s’est contentée d’élargir le périmètre du licenciement économique - ce qui a tout de même donné bien du fil à retordre au gouvernement -, l’ancien président veut carrément autoriser un employeur à licencier simplement en raison d’une restructuration, indépendamment des difficultés éventuelles de l’entreprise. « Le seul motif de la réorganisation devra donc constituer une raison suffisante au licenciement », écrit-il. Il veut aussi « permettre l’introduction dans le contrat de travail de clauses fixant les motifs incontestables de la rupture, par exemple la perte d’un marché ou la fin d’un projet ». Ou encore interdire à la justice de « juger de la pertinence d’un licenciement économique » et la cantonner à vérifier que l’élément déclencheur du licenciement - comme la restructuration ou la perte d’un contrat - a bien eu lieu.

L'inversion de la hiérarchie des normes puissance dix

Le principal point de crispation sur la loi El Khomri portait sur la fameuse inversion de la hiérarchie des normes : le texte prévoit que les accords d’entreprise priment sur les accords de branche, mais uniquement sur l’aménagement du temps de travail. Nicolas Sarkozy, lui, ne s’embarrasse pas de ce niveau de détail. Pour lui, l’inversion des normes doit prévaloir partout et sur tous les sujets. Il souhaite ainsi que « l’accord collectif puisse déroger à toute disposition du code du travail », à l’exception des « droits fondamentaux ». Une mesure qui permettrait par exemple à une entreprise de s’affranchir des 35 heures, durée légale que l’ancien président jure qu’il fera sauter - même s’il ne l’a pas fait lors de son quinquennat.

 Le référendum, oui, mais c'est le chef d'entreprise qui décide

Autre mesure de la loi El Khomri que Nicolas Sarkozy réchauffe à sa sauce : le référendum d’entreprise. La nouvelle loi autorise les syndicats à le demander en cas d’absence de majorité pour un accord d’entreprise. En grand fan du référendum - et beaucoup moins des syndicats - Nicolas Sarkozy reprend cette mesure à son compte, mais préfère en confier l’initiative au chef d’entreprise, et pas aux représentants du personnel…

 

Il va se faire traiter d'ultra libéral !

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 Si il y avait un second tour Sarko/Hollande, l'abstention serait terrible. 

 

 Mais avec MLP, je pense qu'on aura droit à nos 80% habituels. Sachant que je rêve d'un second tour MLP/sarko, pour voir toute la gauche appeler à voter Sarkozy. Ca sera magique !

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Ok José mais alors on commence par où pour couper dans les dépenses publiques et libéraliser ? Si on t'écoute y'a pas de bon bout pour commencer.. mais que des dilemmes

 

 

 

Tu crois sérieusement que pour couper les dépenses publique et liberaliser, cesser les menu alternatif dans les cantine des écoles publique serait une des premieres choses a faire????? Sérieusement?

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