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Je Raconte My Life 2Π-1 Résurrection


José

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Attends tu peux pas dire "bouledogue" c'est raciste. Il faut dire "chien".

Ou bien les races biologiques n'existent que pour les animaux ?

 

:lol:

 

 

 

 

J'te plonke

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Les individus ont le droit d'être racistes. L'état non. La position libérale s'arrête là.

Ah mais non, ça s'est parce que t'es pas raciste. Si t'es raciste l'état à le droit d'être raciste (reconnaître l'existence de races humaines) sans discriminer mais par contre les individus ont le droit de ne pas être raciste.

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Bon j'ai lu l'article.

 

Un merci sincère pour cet effort.

 

 

Quand au reste:

- complotisme largement partagé par des dizaines de milliers de français de souche (Soral & cie), c'est pas spécifiquement musulman.

 

Cette remarque est intéressante, car le coeur de cible de Soral, c'est justement les jeunes musulmans relativement bien intégrés dans la société française (qu'il oppose aux islamo-racailles des banlieues). 

 

- le mec qui peut taper sa femme dans le Coran, oui c'est écrit, et ? C'est pas pour ça qu'il est obligé de le faire. Chez les juifs aussi il me semble que t'as le droit de taper ta femme si elle te désobéït, et heureusement tous les juifs ne le font pas.

 

Couplé avec la croyance dans la vérité révélée du coran, ça peut contribuer en tout cas à affaiblir les barrières mentales qui nous protègent de ces extrémités. Après, vous pouvez me croire quand je vous dis que je  sais très bien que la croyance  X ou Y n'est absolument pas nécessaire pour finir par taper sa femme.

 

Ce passage montre qu'il ne comprends pas la définition de démocratie. Au passage, je rappellerait gentiment que la république n'est absolument pas sacrée, et que s'il considère Dieu plus important que l'allégeance au drapeau tricolore, c'est bien son droit. Après tout, on a bien des monarchistes et des anarchistes parmi nous.

 

Pour moi, ça montre que ce concept ne l'intéresse pas. Différence subtile, mais pas négligeable.

 

- La dîme: oui, un impôt spécifique pour les non-musulmans à l'époque, certaines restrictions légales, mais l'Empire Ottoman restait -et de loin- le pays le plus tolérant vis à vis de la diversité religieuse puisqu'on pouvait y pratiquer légalement un culte différent tant qu'on reconnaissait la souveraineté du sultan.

 

Je ne suis clairement pas spécialiste la dedans. Si tu as des sources pour ma culture G je suis preneur.

 

- Quant au délire sur le Coran, on a des liborgiens intimement persuadés que Jésus est vraiment ressuscité le troisième jour et que l'ostie se transforme en corps du christ. Est-ce tellement plus bizarre ?

 

Partir d'un axiome de base délirant, et tirer des conclusions logiquement délirantes, c'est une chose. Balancer des arguments circulaire et des pseudo-sciences comme des preuves irréfutables, s'en est une autre.

 

Bon, témoignage intéressant néanmoins, mais ça ne reste que ça, un témoignage.

 

Clairement. Et je confesse qu'à l'époque, j'étais moins liber-hallal qu'aujourd'hui.

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Si t'es raciste l'état à le droit d'être raciste (reconnaître l'existence de races humaines) sans discriminer

Qu'est-ce que ça peut foutre que l'état reconnaisse tel ou tel truc tant qu'il n'en fait rien ?
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Les races définies pour les chiens ne sont elles pas plus commerciales que scientifiques ? :-°

Autant l'un que l'autre.

 

Dire qu'un majestueux golden retriever c'est pareil qu'un immonde bouledogue français, c'est très insultant.

 

Le problème, c'est que "race" n'est jamais bien défini.

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urbandictionary.com

(Oui je sais, ce site est un repaire de gaucho bien-pensant américains.)

 

Ah bon ? Faut dire que je n'y vais quasiment que pour les expressions courantes US, rarement pour des trucs politiques.

 

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Ah bon ? Faut dire que je n'y vais quasiment que pour les expressions courantes US, rarement pour des trucs politiques.

 

Ca part d'une intention assez peu consensuelle : faire en sorte que n'importe qui puisse écrire n'importe quoi sur n'importe quel sujet.

C'est assez Internet-compatible et l'idée est plutôt cool.

 

Mais encore une fois, on assiste à ce qu'on appelle communément la "Dictature de la Majorité" (populisme, démagogie, etc...). C'est comme ça que côtoient des articles qui auraient pu être écris par JIM et d'autres qui sont carrément ordonnés par l'administration américaine, la bien-pensance et toutes ces conneries.

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Cette remarque est intéressante, car le coeur de cible de Soral, c'est justement les jeunes musulmans relativement bien intégrés dans la société française (qu'il oppose aux islamo-racailles des banlieues).

 

Ça c'est ce qu'il aimerait. Et même s'il a du succès chez les muzz, quand j'entends parler de lui c'est toujours par des FdS, des Lepenistes, bref, pas trop des maghrébins.

 

 

Couplé avec la croyance dans la vérité révélée du coran, ça peut contribuer en tout cas à affaiblir les barrières mentales qui nous protègent de ces extrémités. Après, vous pouvez me croire quand je vous dis que je  sais très bien que la croyance  X ou Y n'est absolument pas nécessaire pour finir par taper sa femme.

 

Comme le fait d'être alcoolique, déficient mental ou économiste proche du parti socialiste. Le gars qui veut trouver un prétexte pour taper sa femme n'a pas besoin du Coran, il trouvera toujours une justification.

Et je ne vois pas ce que la vérité révélée du Cran fait la dedans.

 

Pour moi, ça montre que ce concept ne l'intéresse pas. Différence subtile, mais pas négligeable.

 

Bah moi non plus, qu'elle soit directe ou pas d'ailleurs. Ça ne change pas grand chose.

 

 

Je ne suis clairement pas spécialiste la dedans. Si tu as des sources pour ma culture G je suis preneur.

 

Moi non plus, mais mon prof d'Histoire Moderne conseillait principalement Veinstein et Poumarède sur l'Empire ottoman.

 

 

Partir d'un axiome de base délirant, et tirer des conclusions logiquement délirantes, c'est une chose. Balancer des arguments circulaire et des pseudo-sciences comme des preuves irréfutables, s'en est une autre.

 

Le problème c'est qu'un catho bas du front t'aurais probablement sorti la même chose vis à vis de la Bible, et, soyons honnêtes, c'est ce qu'on font tous les socialistes lorsqu'ils nous expliquent que la mondialisation tuent les petits noirs. Le problème dans ce cas là, c'est pas la religion mais le bonhomme.

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Et je ne vois pas ce que la vérité révélée du Cran fait la dedans.

 

Si tu crois au concept de loi divine, j'imagine (c'est subjectif) que tu respectes/appliques les lois différemment que lorsque tu penses les lois en terme de droit positif issu du travail des hommes.

 

Bah moi non plus, qu'elle soit directe ou pas d'ailleurs. Ça ne change pas grand chose.

 

Eh bien, ça nous fait un sujet un plus sur lequel s'empoigner :D

 

Moi non plus, mais mon prof d'Histoire Moderne conseillait principalement Veinstein et Poumarède sur l'Empire ottoman.

 

thx

 

Le problème c'est qu'un catho bas du front t'aurais probablement sorti la même chose vis à vis de la Bible

 

Ben, des cathos, j'en ai fréquenté beaucoup, forcément en tant que blanc bec rural,  j'attends toujours d'en trouver un aussi bas du front. Même mon parrain curé est largement plus lucide que ça sur sa religion.

 

Mais bref. La preuve que ça ne m'a pas marqué plus que ça, c'est qu'il m'a fallu plus de 2 ans avant qu'un truc me fasse repenser à cet article et à ce trajet.

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:D

 

Un de ces quatre, j'évoquerai comment des cheikh de la brousse sénégalaise ont essayé de remettre dans le droit chemin un de mes potes musulman "culturel" (et familial) dont l’engagement religieux s'arrêtait au fait de ne pas manger de porc.

 

Mais là .. dodo. A plus ;)

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  mais l'Empire Ottoman restait -et de loin- le pays le plus tolérant vis à vis de la diversité religieuse puisqu'on pouvait y pratiquer légalement un culte différent tant qu'on reconnaissait la souveraineté du sultan.

 

 

J'ai des doutes.

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Les races, c'est seulement pour les chiens ?

En fait stricto sensu oui car biologiquement le mot "race" renvoie à l'élevage et personne n'a élevé des populations humaines pour sélectionner des attributs.

Ce qui n'empêche pas bien évidemment qu'il y ait des lignées, des ethnies, des types, etc., et qu'on peut poétiquement appeler ça des races, même si c'est mal vu.

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En fait stricto sensu oui car biologiquement le mot "race" renvoie à l'élevage et personne n'a élevé des populations humaines pour sélectionner des attributs.

Ce qui n'empêche pas bien évidemment qu'il y ait des lignées, des ethnies, des types, etc., et qu'on peut poétiquement appeler ça des races, même si c'est mal vu.

 

J'en reviens à ma question : les "races" pour les chiens (et les animaux d'élevage) ne sont elles pas plus commerciales que scientifiques ?

Car en biologie, le concept de "sous-espèce" est clairement défini. Alors, est ce que la "race" est la même chose que la "sous-espèce" mais appliquée aux animaux d'élevages / domestiques ? Avec la même rigueur scientifique ou bien avec une certaine acceptation commerciale ? Pour l'exemple des chiens, on parle de "pure race", de "bâtard"... N'est ce pas une preuve que la "race" n'a pas une définition claire et des limites assez floues ?

Et il me semble que le soucis avec l'espèce humaine, c'est que l'on n'arrive pas à définir de critères discriminants suffisamment pertinents pour établir des "races". Même chez les bretons ! :-°

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En fait stricto sensu oui car biologiquement le mot "race" renvoie à l'élevage et personne n'a élevé des populations humaines pour sélectionner des attributs.

Du coup j'ai parcouru l'article de Wikipédia en français : la race "est le pendant de la notion de sous-espèce chez les animaux sauvages". Ce texte est relié à l'article anglophone "Breed" et non pas "Race". Admettons.

Cela retire son sens au mot "racisme". Il faudrait alors utiliser le terme "sous-espèciste" à la place de "raciste". À moins que l'homme ne soit pas non plus un animal sauvage ? Les contorsions françaises sur les mots ne suppriment pas la notion.

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Car en biologie, le concept de "sous-espèce" est clairement défini.

Pas plus ni moins que celui de "race". Lorsque des individus de races différentes se reproduisent ensemble, l'enfant possède des caractéristiques des deux races/sous-espèces et la frontière entre les deux devient floue.

Le degré de "pureté" ou certains métissages sont utilisés à des fins commerciales, oui, bon.

 

Alors, est ce que la "race" est la même chose que la "sous-espèce" mais appliquée aux animaux d'élevages / domestiques ? Avec la même rigueur scientifique ou bien avec une certaine acceptation commerciale ? Pour l'exemple des chiens, on parle de "pure race", de "bâtard"... N'est ce pas une preuve que la "race" n'a pas une définition claire et des limites assez floues ?

Idem forcément pour les sous-espèces à partir du moment où elles peuvent se reproduire ensemble.

 

Et il me semble que le soucis avec l'espèce humaine, c'est que l'on n'arrive pas à définir de critères discriminants suffisamment pertinents pour établir des "races". Même chez les bretons ! :-°

À cause du passé esclavagiste et de la bien-pensance qui vient compenser. Sinon n'importe qui peut voir les races/sous-espèces humaines, c'est même intuitif.

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Pas plus ni moins que celui de "race". Lorsque des individus de races différentes se reproduisent ensemble, l'enfant possède des caractéristiques des deux races/sous-espèces et la frontière entre les deux devient floue.

 

Je persiste : en biologie, la "sous-espèce" possède une définition claire qui participe à la classification taxinomique. Lorsque des individus de deux sous-espèces différentes se rencontrent et se reproduisent, c'est déjà qu'elles échappent à leur isolement géographique et donc sortent du cadre défini de sous-espèce.

Si vous évoquez les "races" et les croisements, on parle de l'influence anthropique sur les animaux et les croisements volontaires ou non. L'objectif en établissant une race étant justement de tendre vers un isolement des individus sélectionnés pour préserver certains traits génétiques ou morphologiques.

Autrement dit, on créé la "sous-espèce" par un traitement particulier des animaux : l'élevage sélectif. C'est pour cela par exemple qu'en archéozoologie, au début du Néolithique il est difficile de distinguer un bovin sauvage (comme l'auroch) d'un bovin domestique, car l'élevage se met seulement en place. Ce n'est plus le cas pour l'Antiquité où les pratiques sont bien installées...

 

Sinon n'importe qui peut voir les races/sous-espèces humaines, c'est même intuitif.

Quels critères morphologiques / génétiques ? Quelle population a été isolée suffisamment longtemps pour se différencier du reste de l'espèce (il faut un certains nombre de génération pour que ces critères deviennent exclusifs / discriminants) ? A partir du moment où les limites sont floues, c'est bien que l'on ne peut plus définir de "races" ou de "sous-espèces" sans perdre toute validité scientifique. Si l'on s'intéresse à la couleur de peau, on constate rapidement que la diversité et la variabilité de ce critère empêche toute classification de l'espèce humaine. Quoi d'autre alors : la taille ? la forme des yeux ?

 

 

Cela retire son sens au mot "racisme". Il faudrait alors utiliser le terme "sous-espèciste" à la place de "raciste". Les contorsions françaises sur les mots ne suppriment pas la notion.

L'intérêt du terme "racisme" est qu'il renvoie justement à l'histoire de cette pratique...

 

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Je persiste : en biologie, la "sous-espèce" possède une définition claire qui participe à la classification taxinomique. Lorsque des individus de deux sous-espèces différentes se rencontrent et se reproduisent, c'est déjà qu'elles échappent à leur isolement géographique et donc sortent du cadre défini de sous-espèce.

D'accord il n'y a pas élevage et donc pas de volonté de différenciation. Au contraire, de nos jours il y a une lente fusion de toutes les (sous-espèces?) humaines.

Mais le processus est juste commencé et on croise toujours facilement des individus issus de lignées qui ne se sont pas croisé depuis des milliers ou des dizaines de milliers d'années : par exemple les amérindiens répondent facilement au critère d'éloignement géographique.

Chez les humains, la reproduction implique en temps normal une vie commune et donc de la communication. Les différences culturelles et dans les langues sont un témoin de l'éloignement géographique passé.

 

Quels critères morphologiques / génétiques ? Quelle population a été isolée suffisamment longtemps pour se différencier du reste de l'espèce (il faut un certains nombre de génération pour que ces critères deviennent exclusifs / discriminants) ? A partir du moment où les limites sont floues, c'est bien que l'on ne peut plus définir de "races" ou de "sous-espèces" sans perdre toute validité scientifique.

Je ne crois pas que les frontières puissent être plus nettes chez les autres animaux. Pourquoi le seraient-elles ?

 

Si l'on s'intéresse à la couleur de peau, on constate rapidement que la diversité et la variabilité de ce critère empêche toute classification de l'espèce humaine. Quoi d'autre alors : la taille ? la forme des yeux ?

Ainsi que les cheveux (formes et couleurs), les couleurs des yeux (les yeux bleus ne sont pas présents partout), la forme du visage et du nez. Et je ne suis pas spécialiste, si ça se trouve il existe des différences moins apparentes.

Et sur la couleur de la peau la situation n'est pas la même que, par exemple, chez les bouledogues de NoName. Si l'enfant de deux bouledogues blancs est lui-même blanc c'est une coïncidence (ou plus surement une plus grande probabilité) car deux bouledogues blancs peuvent en faire un noir. Avec les humains non. La couleur fait donc bien partie de la race différenciation. C'est complètement évident pour tout mon entourage mais il faut dire que je n'habite pas en France.

 

L'intérêt du terme "racisme" est qu'il renvoie justement à l'histoire de cette pratique...

Pour les races, en République Française une et indivisible seulement. Il faut croire qu'ailleurs on est moins scientifique.

Et cela ne donne toujours pas une définition claire au terme "racisme".

Un xénophile est-il raciste ?

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Ainsi que les cheveux (formes et couleurs), les couleurs des yeux (les yeux bleus ne sont pas présents partout), la forme du visage et du nez. Et je ne suis pas spécialiste, si ça se trouve il existe des différences moins apparentes.

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La phrénologie, Science d'avenir.

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