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On lit la presse pour vous


glandon

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Pour la France oui, pas pour le job de président.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !

Les aristocrates à la lanterne,

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !

Les aristocrates on les pendra !

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !

Les aristocrates à la lanterne.

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !

Les aristocrates on les pendra.

       

 

Pour faire plaisir à certains un autre couplet :  

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,

Le peuple armé toujours se gardera.

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Si les ricains n'étaient pas là
Vous seriez tous en Germany
A parler de je ne sais quoi
A saluer je ne sais qui

Bien sûr les années ont passé
Les fusils ont changé demain
Est-ce une raison pour oublier
Qu'un jour on en a eu besoin

Un gars venu de Géorgie
Qui se foutait pas mal de toi

Est v'nu mourir en Normandie

Un matin où tu n'y étais pas

Bien sûr les années ont passé
On est devenu des copains
A l'amicale du fusillé
On dit qu'ils sont tombés pour rien

Si les ricains n'étaient pas là
Vous seriez tous en Germany
A parler de je ne sais quoi
A saluer je ne sais qui

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Pour la France oui, pas pour le job de président.

Meme pour la France c'est très discutable, Mitterand à vraisemblablement évité pire et il à fait ce qu'il à pu pour dézinguer le communisme de façon durable en france, il à fait tout ce qu'il pouvait pour détruire le PS aussi, mais malheureusement on à la droite la plus conne du monde ce qui permet à Jurrasic Park de survivre...

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Et le salaire minimum, et les 39h, et la retraite à 60 ans... Clientélisme (exemption oeuvres d'art, suivez mon r'gard m'voyez), dépenses pour sa fille cachée.... non mais bon. Non mais bon quoi.

S'il a fait ce qu'il a pu, c'était quand même pas assez manifestement.

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Meme pour la France c'est très discutable, Mitterand à vraisemblablement évité pire et il à fait ce qu'il à pu pour dézinguer le communisme de façon durable en france, il à fait tout ce qu'il pouvait pour détruire le PS aussi, mais malheureusement on à la droite la plus conne du monde ce qui permet à Jurrasic Park de survivre...

Salut

 

Mitterrand n'a pas évité le pire, il a fait une politique très à gauche en 81 alors qu'il avait la majorité PS au parlement, politique qui a été une surprise même pour ses électeurs.

 

Il faut pas oublier que l'on était en pleine révolution libéral avec Tatcher en 1979 et donc complètement à contre courant.

 

La Russie était à genou (les dirigeants était des cadavres qu'on sortait pour les défilés militaires) , le PCF à genou et la collaboration PS-PC (alliance élection municipale) a permis au PC de perdurer.

 

C'était du grand n'importe quoi avec la cérémonie ridicule du Panthéon, et le ministère du temps libre.

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Il à été élu sur un programme de gauche hein, c'est pas Chirac ou Sarko qui ont fait du socialisme bien hardcore après avoir été élu sur un programme anti-socialiste, les débilités de 1981 sont "normales" étant donné le délire en place à l'époque, le passage de l'ombre à la lumière tout ça...

Il n'empeche que dans les faits ensuite, en tant que président, il à fait plus pour niquer la gauche française que quiquonque, il se trouve que l'opposition politique mainstream à la dite gauche est en France une bande de tocards de classe mondiale et franchement, sont bien plus responsables de la persistance des idées socialistes en France que les dinosaures du PS restés à 1981 (qui auraient du s'éteindre politiquement peu de temps après le "tournant de la rigeur") !

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Je te répond sur le fait que Mitterrand aurait dézingué le PCF, c'était déjà fait.

le PC en 1948 obtient 28.6% des voix son plus haut score.

En 1981 16.1% alors qu'il était tout seul sans les écolo ou LCR

 

Mitterrand a soutenu à bout de bras le PCF avec des alliances électorales en particulier aux élections municipales qui a permit au PCF de se maintenir la tête hors d'eau (pots de vin et compagnie) et de permettre au PCF d'avoir un nombre d'élu hors de proportion de son poids électorale réel.

 

Quant au tocard de la droite, je n'ai rien à dire de plus, ils ont regardé Tatcher comme une extra terrestre. Chirac a tjs été considéré comme un comique même sous Giscard.

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  • 4 weeks later...

Les auteurs des guignols sont payés 35000 euros par mois.

Et ? Compte tenu de l'audience qu'ils font venir et du résultat en termes d'image pour la chaîne, ça ne me paraît pas déconnant.
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e qu'ils n'aient que 100.000 followers sur Twitter, contre plus de 500.000 pour l'émission de Barthès. Pour lui, c'est signe que le truc est ringard. Et comme ça coûte 25 millions d'euros, soit le prix d'une chaîne d'infos toute entière, il a vite trouvé une solution", explique un proche du "clan Bolloré" dans le dernier numéro du magazine Society

 

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3500 brut en France, tu es dans un quantile plus proche des Rotschild que du SMIC je crois :lecon: .

 

Et ? Compte tenu de l'audience qu'ils font venir et du résultat en termes d'image pour la chaîne, ça ne me paraît pas déconnant.

 

Bah vu qu'ils se sont fait virer, certains devaient commencer à penser que ça faisait trop.

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les marionettistes des guignols, je dis ca comme ca juste au radar mais ca doit etre une sacree clique.Genre le seul job de marionnettiste qui existe en france en ce moment et super bien paye compare aux autres :lol:

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Je ne savais pas où poster ca tellement c'est énorme. Le dernier paragraphe  :icon_ptdr:  :icon_ptdr:

 

 

Le futur que Google nous prépare

 

Hégémonique et tentaculaire, la firme californienne est une entreprise au pouvoir quasi souverain. Mais derrière le prédateur économique se cache aussi un projet de société ultra-individualiste, basé sur la méritocratie et la science, pour gouverner l’humanité de demain.

 

C’est devenu un réflexe. Derrière son écran d’ordinateur, à la moindre question, on clique sur Google. Une traduction ? Google. Le plan d’une ville ? Google. La dernière actualité ? Google. Chaque mois, le célèbre moteur de recherche répond à quelque 100 milliards de requêtes. Plus de 90 % des humains ayant accès à Internet utilisent aujourd’hui ses services : de la messagerie électronique aux vidéos Youtube… En l’espace d’une décennie, la firme californienne, fondée en 1998 dans un garage de la Silicon Valley par Larry Page et Sergueï Brin, a vampirisé l’univers numérique et organisé un empire tentaculaire. Mais l’entreprise à la rentabilité florissante ne veut pas se contenter de compter les milliards de dollars. Les dirigeants de Google nourrissent une autre ambition quasi messianique : changer le monde. Et il faut les prendre au sérieux. « On ne peut pas comprendre Google si on le considère uniquement par ses intérêts financiers, son ambition est politique, explique le sociologue Dominique Cardon, professeur à l’université Paris-Est. Penser que Google n’est motivé que par des raisons économiques, c’est le considérer comme une vieille structure capitaliste rentière européenne. Alors qu’ils ont un modèle de société, entrepreneurial, mais aussi scientifique, créatif et politique. »

 

 

Eric Schmidt, le PDG de Google, ne se présente pas comme dirigeant d’entreprise. Il ne parle pas business, mais révolution et vision du monde. Son avant-dernier livre, The New Digital Age, se conclut ainsi : « Notre ambition est de créer le meilleur des mondes. » Et Google ne se contente pas de paraphraser Aldous Huxley. Il se donne aussi les moyens de sa puissance. Avec, tout d’abord, une assise économique phénoménale. Un trésor de guerre de près de 60 milliards de dollars, placés bien au chaud aux Bermudes, et des ressources abyssales issues de son quasi-monopole de la publicité sur Internet avec ses régies Adword et Adsense. Mais ce n’est là qu’une partie de son activité. L’entreprise est perpétuellement dans une logique de création et de conquête. Grossir toujours. Alors Google crée et détruit à coups d’innovation technologique. Ces dernières années, l’entreprise a investi massivement dans la santé, la robotique, l’intelligence artificielle, la culture et même l’automobile…

 

 

 

Écarter l’État et ses règles comme la solidarité et la justice…

 

Son influence est telle qu’elle en devient une force politique. En février 2013, Eric Schmidt est reçu à l’Élysée par François Hollande avec les honneurs d’un chef d’État. Lors de la conférence de presse, les deux hommes sont côte à côte, d’égal à égal. Pourtant son statut d’entreprise souveraine s’est organisé contre les États, considérés par les dirigeants de Google comme des structures du passé, nocives puisqu’elles freinent la créativité des individus. « L’État est une machine à protéger tandis que la technologie est fondamentalement perturbatrice », aime à expliquer Eric Schmidt. « Ce sont des libertariens, souligne Dominique Cardon. Ils sont persuadés qu’un individu peut changer le monde si on le laisse pleinement et librement exprimer ses capacités et sa créativité, et surtout en écartant l’État et ses règles comme la solidarité et la justice… Ils veulent transformer le monde en exacerbant l’égoïsme matérialiste. » 

 

Le projet politique de Google est centré sur la méritocratie, le culte absolu de l’excellence. « Une vision du monde, qui se retrouve dans leur manière d’organiser le travail », note Yann Le Pollotec, chargé de la révolution numérique au PCF. Dans le jargon de l’entreprise, il faut recruter les meilleurs, appelés « chevaliers » (knights), véritable puissance créatrice de Google, qui doivent avoir toute la liberté possible. Et il y a « les manants » (knaves), les médiocres, qui sont dans le ressentiment et qu’il faut écarter pour ne pas contrarier l’excellence des autres. Cela crée une structure où les employés sont tellement en compétition que l’on n’a plus besoin de management. Les patrons de Google l’ont écrit et théorisé dans leur livre How Google Works, aujourd’hui enseigné dans toutes les écoles de management, où ils expliquent que le plus important est le recrutement. 

 

« L’une des bibles des libertariens américains, explique Dominique Cardon, est l’ouvrage d’Ayn Rand Atlas Shrugged. Dans ce roman philosophique, les riches, qui sont fortunés parce qu’ils sont les plus scientifiques et les plus créatifs, jamais parce qu’ils sont héritiers, en ont assez de l’État et de la solidarité et font sécession. Ils partent créer une ville close, dans le désert, alors que la société, privée de ses brillants chefs d’entreprise, se décompose. Sortir des règles et des contraintes, de la solidarité et de la redistribution, de la justice, de l’État, pour laisser libre cours à la créativité de l’individu, voilà ce que veut Google. » Dans cette pensée libertarienne, on n’a pas le droit de ne pas être excellent, de ne pas vouloir changer le monde. 

 

Pourtant, chez les libertariens et chez Google en particulier, domine la croyance que l’humain est fondamentalement imparfait. Trop déterminés par les impulsions et les passions, les hommes ne sont pas objectifs. Il faut ainsi compter sur la science et la technologie pour les améliorer. Par le transhumanisme d’un côté (lire interview) et la volonté de combattre la mort, mais aussi en faisant mieux que l’humain, grâce à la technologie. « Quel que soit le problème rencontré, que ce soit un grand challenge pour l’humanité ou un problème très personnel, il y a une idée, une technologie qui attend d’être découverte pour le résoudre », assurait au Time Magazine Ray Kurzweil, l’ingénieur en chef de Google. Le principe de la Google Car, voiture automatisée qui circule déjà aux États-Unis, est, par exemple, de remplacer le principal facteur de risque d’accidents de voiture – le conducteur – par une machine, supposée bien plus fiable. Éric Schmidt le confirme : « Votre voiture doit se conduire toute seule, il est impensable de laisser des humains conduire. C’est un “bug” que les voitures aient été inventées avant les ordinateurs. »

 

« Il y a un messianisme scientiste chez Google, poursuit Dominique Cardon. Ils sont scientistes, comme on l’était au XIXe siècle. » Pour eux, le monde est connaissable mathématiquement, dans chacun de ses atomes. Google espère progressivement découvrir les lois mathématiques qui régissent nos comportements, nos amours, nos joies, notre subjectivité… L’ambition de l’algorithme de Google est, d’approximation en approximation et grâce aux probabilités, de dépasser les humains, en faisant émerger du réel des lois mathématiques. « Et ce qui est étonnant pour un sociologue comme moi qui travaille sur les comportements en ligne, c’est que, souvent, statistiquement, cela fonctionne ! » ajoute Dominique Cardon.

 

 

 

Un algorithme au pouvoirtrès inquiétant

 

Cet algorithme du moteur de recherche de Google, nommé Page Rank, organise, filtre et hiérarchise notre accès au savoir et à l’information. Bien plus efficacement que ne le feraient des humains, Page Rank tend à indexer tout le savoir. La hiérarchie des résultats est purement méritocratique, si on excepte les résultats publicitaires. L’algorithme, selon de nombreux facteurs pas tous connus, choisit les meilleurs sites, puis, dans une proportion de 20 % environ, les personnalise selon le profil de la personne qui a fait la recherche. « L’hégémonie mondiale de Google tient avant tout à cette ressource très spécifique au Web, qui est le moteur de recherche, explique Dominique Cardon. C’est une utilité fondamentale du réseau, ordonnée, conduite par une entreprise privée. Son pouvoir est très inquiétant. »

 

L’algorithme est à la fois au service des utilisateurs, notamment parce qu’il est produit, amélioré et enrichi par les internautes, mais il reste aussi au service de la stratégie commerciale de Google. Il est très rare qu’un point de vue hétérodoxe soit mis en avant dans les résultats de recherche de Google. Les logiques dominantes gardent la main et participent au contrôle social. Eric Schmidt, lors d’une interview accordée au Wall Street Journal, a même avoué une ambition totalitaire : « Je pense que la plupart des gens ne veulent pas simplement que Google réponde à leurs questions. Ils veulent que Google leur dise quoi faire ensuite. »

 

Pour Pierre Mounier, chercheur en humanités numériques et auteur d’Homo Numericus, Google se nourrit de nos vies, de nos actions, des contenus que l’on produit pour les monétiser… En ce sens, Google nous appartient. Pour lui, il faudrait que l’on commence à considérer Google, et en particulier son moteur de recherche, comme un bien commun de l’humanité. Pierre Mounier propose que ce soit l’Unesco qui hérite de la gouvernance de ce moteur de recherche, principale source d’accès au savoir et à l’information. « Le patrimoine mondial est l’héritage du passé, dont nous profitons aujourd’hui et que nous transmettons aux générations à venir », explique l’Unesco dans sa convention de 1972. Ce patrimoine appartient à tous, et sa définition correspond parfaitement, selon Pierre Mounier, au moteur de Google et au cyberespace qu’il indexe. L’idée séduit Yann Le Pollotec : « Google marchandise une certaine forme de communisme, monétise du bien commun, en profitant du fait que le moteur de recherche en est la principale porte d’entrée. » Il serait peut-être temps de remettre la main sur cette porte d’entrée. 

 

 

Vous aurez reconnu le torchon par vous même : http://www.humanite.fr/le-futur-que-google-nous-prepare-580501

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Il est très bien pour les infos sans intérêt celui là:

 

https://fr.news.yahoo.com/levallois-perret-un-elu-les-republicains-retweete-un-dessin-polemique-152132839.html

 

Ce qui me fait rire, c'est que l'on inverserait les rôles dans le dessin, cela marcherait très bien aussi.

 

bon par contre le "J'ai des amis musulmans, mais ils sont pas comme les autres" j'avoue que cela fait gros con.

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