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Écologie, développement Duracell & topinambours


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Il dit que ça n'aurait pas du être publié mais pas qu'il faut interdire. En rajouter n'apporte rien, au contraire. Si vous souhaitez convaincre il faut laisser au camp adverse le soin d'exagérer. 

Parfaitement.

 

J'en profite pour rappeler que ce Petit Traité, qui déclenche des pulsions impures chez les militants communistes et autres collectivistes forcenés d'Economies d'Alternatives est disponible à un prix d’une modestie presque monacale qui permet d’en acheter plusieurs à la fois (allez-y, lâchez-vous !), et que c’est un cadeau au format particulièrement facile à glisser dans les petits souliers que vous pourrez commander directement sur le site de l’éditeur, ici ou, en désespoir de cause, auprès du grand Satan turbo-capitaliste habituel, Amazon.

 

Je dis ça, hein, je dis rien.

 

petit-trait%C3%A9.jpg

Je me uis bien régalé avec ce bouquin et au delà du fond, ton style d'écriture alambiqué est vraiment un plaisir pour moi.

 

j'ai cherche des commentaires outres sur le net, relatif a l'ouvrage de H16 mais je n'ai trouve que de la dithyrambe.Serait-il possible que le public se soit lasse de la moraline a toutes les sauces?

Faut pas rêver. C'est juste que malheureusement le bouquin n'a peut-être pas atteint les sphères des pastèques. Ils ont pqs regardé BFM business je pense :lol:

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http://www.liberaux.org/index.php/topic/51746-écologie-développement-duracell-topinambours/page-9#entry1092157

https://www.liberaux.org/index.php/topic/51795-le-négationniste-foucard-fait-des-siennes/

 

J'en profite pour rappeller (pour les lecteurs de passage) que votre humble serviteur a ouvert son insupportable caquet contesté le traitement liborgien de l'histoire du DDT, et que les fluffy pourraient très bien retourner certains des mauvais arguments utilisés contre les libéraux.

A vrai dire, si j'avais à reprendre un truc, ce serait ce passage, parce que j'y vais un peu à la grosse louche. Le fond (la description du mécanisme de vaporisation de peur et de catastrophisme sur un procédé industriel opérationnel pour conserver du pouvoir par les écolos) reste exact cependant.
  • Yea 1
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Loin de moi l'idée de relancer la discussion sur le DDT, mais auriez-vous des articles suffisamment complets (et neutres?) sur le sujet ? Je croyais qu'il s'agissait d'un produit qu'on pulvérisait sur les murs, pas sur les champs... :jesaispo:

 

On en a pulvérisé partout. En priorité sur des gens pendant la 2nde Guerre Mondiale. Le palu est un véritable fléau qui peut foutre en l'air toute une armée.

Et comme ça marche très bien, on en a arrosé partout, en lutte contre les ravageurs.

Puis on a commencé à arroser toutes les zones pouvant contenir des moustiques.

Si la toxicité pour les vertébrés est apparemment faible, des phénomènes de résistances sont rapidement apparus avec les épandages à grande échelle.

En même temps que le gros brouahaha des écolos. Qui ont failli obtenir un embargo international sur ce produit.

Ils n'ont pas réussi (grâce à une lettre ouverte assez connue), mais beaucoup de pays ont quand renoncé aux épandages massifs de DDT, faute de moyens, faute de prendre un risque médiatique, faute d'être certains d'atteindre un résultat durable dans les pays (sub)tropicaux.

La floride est un des seules zones subtropicales où la malaria a été éradiquée, en partie grâce au ddt, en partie grâce au reste du plan fédéral de lutte contre le palu.

 

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On en a pulvérisé partout. En priorité sur des gens pendant la 2nde Guerre Mondiale. Le palu est un véritable fléau qui peut foutre en l'air toute une armée.

Et comme ça marche très bien, on en a arrosé partout, en lutte contre les ravageurs.

Puis on a commencé à arroser toutes les zones pouvant contenir des moustiques.

Si la toxicité pour les vertébrés est apparemment faible, des phénomènes de résistances sont rapidement apparus avec les épandages à grande échelle.

En même temps que le gros brouahaha des écolos. Qui ont failli obtenir un embargo international sur ce produit.

Ils n'ont pas réussi (grâce à une lettre ouverte assez connue), mais beaucoup de pays ont quand renoncé aux épandages massifs de DDT, faute de moyens, faute de prendre un risque médiatique, faute d'être certains d'atteindre un résultat durable dans les pays (sub)tropicaux.

La floride est un des seules zones subtropicales où la malaria a été éradiquée, en partie grâce au ddt, en partie grâce au reste du plan fédéral de lutte contre le palu.

 

C'est quoi la lettre ouverte en question ?

 

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On en a pulvérisé partout. En priorité sur des gens pendant la 2nde Guerre Mondiale. Le palu est un véritable fléau qui peut foutre en l'air toute une armée.

Et comme ça marche très bien, on en a arrosé partout, en lutte contre les ravageurs.

Puis on a commencé à arroser toutes les zones pouvant contenir des moustiques.

Si la toxicité pour les vertébrés est apparemment faible, des phénomènes de résistances sont rapidement apparus avec les épandages à grande échelle.

En même temps que le gros brouahaha des écolos. Qui ont failli obtenir un embargo international sur ce produit.

Ils n'ont pas réussi (grâce à une lettre ouverte assez connue), mais beaucoup de pays ont quand renoncé aux épandages massifs de DDT, faute de moyens, faute de prendre un risque médiatique, faute d'être certains d'atteindre un résultat durable dans les pays (sub)tropicaux.

La floride est un des seules zones subtropicales où la malaria a été éradiquée, en partie grâce au ddt, en partie grâce au reste du plan fédéral de lutte contre le palu.

 

D'accord. En Afrique on m'avait expliqué que le DDT se répandait dans les habitations (et sur les moustiquaires je crois) et que c'était très efficace, malgré le fait que lorsque les fonds d'aide s'épuisaient ou s'arrêtaient, le paludisme revenait systématiquement. Bon, il y avait aussi tout un discours sur les américains qui fabriquaient le DDT et qui profitaient de cette dépendance...

 

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 Bon, il y avait aussi tout un discours sur les américains qui fabriquaient le DDT et qui profitaient de cette dépendance...

L'altermondialisme c'est magique, on fait des pieds et des mains pour supprimer le DDT d'un côté, mais quand on en produit quand même, c'est à cause des intérêts privés.

Mais une fois que les subventions et différents programmes nationaux ayant recours aux DDT baissent because cépabien, ben c'est la faute aux américains.

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D'accord. En Afrique on m'avait expliqué que le DDT se répandait dans les habitations (et sur les moustiquaires je crois) et que c'était très efficace, malgré le fait que lorsque les fonds d'aide s'épuisaient ou s'arrêtaient, le paludisme revenait systématiquement. Bon, il y avait aussi tout un discours sur les américains qui fabriquaient le DDT et qui profitaient de cette dépendance...

 

Il faudra beaucoup d'efforts pour éradiquer les parasites du paludisme. Ce qui est certain, c'est qu'il faudra bien plus que des pulvérisation massives d'insecticide, a fortiori de DDT, pour y arriver.

Et a vrai dire, parmi les discours absurdes qui seront un frein à l'éradication du palu, le discours sur le profit des multinationales est un des moins nocifs qu'on puisse répertorier/imaginer. Cf les réactions lors de la dernière épidémie d'ébola en afrique de l'ouest

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Si la toxicité pour les vertébrés est apparemment faible, des phénomènes de résistances sont rapidement apparus avec les épandages à grande échelle.

Pour être précis, la résistance se fait par la résistance innée de certains individus. Ceux qui ne le sont pas meurent, seul les autres survivent et se reproduisent.

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D'accord. En Afrique on m'avait expliqué que le DDT se répandait dans les habitations (et sur les moustiquaires je crois) et que c'était très efficace, malgré le fait que lorsque les fonds d'aide s'épuisaient ou s'arrêtaient, le paludisme revenait systématiquement. Bon, il y avait aussi tout un discours sur les américains qui fabriquaient le DDT et qui profitaient de cette dépendance...

 

 

Je ne sais pas ce que les Chinois et les Nigérians mettent dans leur insecticides mais c'est costaud.

 

Tu respires par malheur quand tu pulvérises ta pièce et c'est comme si ta gorge était obstruée et douloureuse pendant 2h à 24h (24h c'est la première fois, après tu fais gaffes quand tu te rends compte, ouf, finalement, tu vas survivre à ce truc).

 

Lol hint : la bombe que j'ai en tête s'appelle "rambo spray".

 

 

Faut pas déconner.

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Salut

Le réservoir du palu est l'homme et l'anophèle n'est que le vecteur.

Toute lutte contre une épidémie cible aussi le réservoir et qu'en france les derniers cas autochtones étaient en corse en 1972.

Il existe en france des anopheles, il n'existe plus de réservoir.  (palu en morbihan avant guerre)

Le cas se pose pour le moustique tigre vecteur de la dengue et de la chikugunya, sa présence est avérée en PACA mais pas de réservoir.

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Les gorilles aussi sont un réservoir de P Falciparum.

 

Huumm..

Les primates ne sont pas des réservoirs actuels de contamination (semble-t-il), ce serait un passage primate-homme ancien.

 

 

 

À l’aide d’une technique de séquençage de l’ADN, un groupe international coordonné par Beatrice Hahn, de l’Université d’Alabama à Birmingham, aux États-Unis, vient de montrer que le parasite Plasmodium falciparum qui infecte le gorille est génétiquement identique à celui qui est responsable de la forme la plus grave de paludisme chez l’homme.
 
Ce serait le gorille, et non le chimpanzé ou le bonobo comme on le pensait, qui aurait transmis le parasite à l’espèce humaine. Il apparaît en effet, d’après l’analyse de quelque 3 000 échantillons fécaux de chimpanzés et gorilles sauvages, collectés en Afrique, que les gorilles d’Afrique de l’Ouest constituent de longue date un réservoir du Plasmodium. Toutes les souches humaines du parasite proviendraient d’une seule transmission passée, qui reste non datée. On ignore aussi, pour l’heure, si ces singes de forêt représentent, aujourd’hui encore, un foyer de contamination humaine.
 

 

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-le-gorille-reservoir-du-paludisme-25860.php

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Vous vous demandez ce que la science appelle un superprédateur ? Regardez-vous dans le miroir. Une étude publiée dans la revue Science, vendredi 21 août, démontre que l’énorme pression exercée par l’humain sur les populations animales, terrestres comme marines, en fait un prédateur unique, et à même de déséquilibrer totalement les écosystèmes et les chaînes alimentaires, ainsi que de provoquer des extinctions de masse.

L’idée d’une exploitation extrême de la faune sauvage est déjà largement documentée. Mais les travaux de l’équipe de Chris Darimont, de l’université Victoria au Canada, ont cherché à analyser ce tableau de chasse sous un autre prisme : en comparant l’impact de l’homme à celui d’autres prédateurs non humains. Pour cela, les scientifiques ont passé en revue plus de 300 études portant sur 2 125 cas de prédation sur des espèces sauvages (poissons et mammifères terrestres) de chaque continent et océan, à l’exception de l’Antarctique.

Les résultats sont édifiants : les humains exploitent les poissons à un taux 14 fois supérieur, en moyenne, à celui des autres prédateurs marins. Ils tuent aussi des grands carnivores – comme les ours, les loups ou les lions – à un rythme 9 fois supérieur à celui qui voit ces prédateurs s’entre-tuer dans la nature. Cela signifie, concrètement, que l’industrie de la pêche capture 78 % de la population adulte de saumons d’Alaska par an, contre 6 % prélevés par les grizzlys – les plus gros prédateurs de cette espèce. Ou encore que nous chassons chaque année 32 % des pumas américains, contre 1 % tués par leurs congénères.

L’originalité de l’étude est également de comparer les taux de prédation selon les niveaux trophiques des proies – c’est-à-dire, pour simplifier, la place qu’occupe un organisme dans la chaîne alimentaire, allant des planctons aux carnivores qui ne se nourrissent que de carnivores. De manière inattendue, les humains exercent, sur terre, une pression bien plus forte sur les grands carnivores que sur les herbivores, et ce, alors qu’ils ne les consomment pas. En mer, en revanche, l’impact de l’homme est élevé à tous les niveaux, qu’il s’agisse de la pêche aux anchois, aux harengs, ou à la chasse aux requins et aux thons. Les captures de poissons, en hausse malgré la surexploitation des espèces, excèdent aujourd’hui 100 millions de tonnes par an.

Cibler davantage les jeunes

« Ce travail d’analyse gigantesque montre avec précision que nous prélevons trop de proies pour que les espèces puissent renouveler leurs populations, juge Franck Courchamp, directeur de recherches en écologie au Centre national de la recherche scientifique. Contrairement aux autres prédateurs qui sont naturellement régulés par le nombre de proies, nous subsistons grâce à énormément d’espèces à la fois. Et comme nous sommes omnivores, ce qui implique que nous ne dépendons pas des proies pour notre survie, celles-ci diminuent sans que cela ne nous pousse à relâcher la pression. »

Mais au-delà de ces quantités colossales, ce qui différencie l’humain des autres prédateurs et en fait un superprédateur au comportement « insoutenable » selon l’étude, c’est qu’il cible des proies adultes et non pas des jeunes. « Les autres prédateurs tuent en général les jeunes et les faibles, c’est-à-dire ceux qui ne se reproduisent pas. A l’inverse, nous prélevons les plus gros animaux, notamment comme trophées de chasse, qui représentent les populations les plus matures et reproductrices, regrette Heather Bryan, chercheuse à l’institut Hakai de l’université de Victoria, et l’une des coauteures de l’étude. Cela a un double impact sur la population exploitée, du fait des prises directes et du déficit de reproduction pour le futur. »

Les scientifiques appellent alors à changer de techniques de chasse et de pêche, pour cibler davantage les jeunes – une idée qui va à l’encontre des recommandations actuelles. Surtout, la prédation humaine doit être considérablement réduite. « Les niveaux décrits par les scientifiques comme durables sont encore trop élevés, poursuit la biologiste. Nous devrions nous inspirer du comportement des prédateurs non humains, qui représentent des modèles de soutenabilité à long terme. »

http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/08/20/l-humain-un-insoutenable-superpredateur_4731892_1652692.html#jiuvXi5SDC6phDdM.99

 

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Imiter le comportement des prédateurs non humains ? Imitons le lion : on baise cinq fois par jour et on laisse Madame travailler et ramener la bouffe.

Quelle conne, cet auteur.

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Les scientifiques appellent alors à changer de techniques de chasse et de pêche, pour cibler davantage les jeunes – une idée qui va à l’encontre des recommandations actuelles.

Et pas qu'un peu.

 

J'apprécie le non sequitur total entre le contenu de l'étude, une mesure qui se veut objective de la pression de prélèvement imposée par les hommes et la conclusion, qui est qu'il faut prélever autrement alors que a priori rien dans l'étude ne justifie cela et qu'il s'agit juste d'une analogie avec les mains avec le comportement des prédateurs naturels. En oubliant en plus que les populations de prédateurs varient à la baisse quand il y a trop de pression sur une population de proies, alors que justement les hommes ne sont pas soumis à ce type de rétroaction.

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Et pas qu'un peu.

 

J'apprécie le non sequitur total entre le contenu de l'étude, une mesure qui se veut objective de la pression de prélèvement imposée par les hommes et la conclusion, qui est qu'il faut prélever autrement alors que a priori rien dans l'étude ne justifie cela et qu'il s'agit juste d'une analogie avec les mains avec le comportement des prédateurs naturels. En oubliant en plus que les populations de prédateurs varient à la baisse quand il y a trop de pression sur une population de proies, alors que justement les hommes ne sont pas soumis à ce type de rétroaction.

 

Les humains ne subissent pas les contraintes de ressources disponibles ? Ah bon ? Diable, c'est magique, ça.

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Les humains ne subissent pas les contraintes de ressources disponibles ? Ah bon ? Diable, c'est magique, ça.

 

La pêche au thon ou à la sardine n'a aujourd'hui quasiment aucun rapport avec les besoins nutritionnels des hommes qui les consomment. Contrairement à la situation d'un prédateur naturel. Je ne crois pas que tu me contrediras la dessus.

 

Les contraintes qui s'appliquent sur les hommes se situent désormais sur un autre plan, qui est celui de la concentration moyenne des hydrocarbures et des minéraux nécessaires à l'activité industrielle dans les filons les plus riches. L'invention des fertilisants et de l'agriculture moderne a fait de l'espèce humaine une espèce quasiment autotrophe. Ca pose d'autres problèmes. A plus long terme.

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La pêche au thon ou à la sardine n'a aujourd'hui quasiment aucun rapport avec les besoins nutritionnels des hommes qui les consomment. Contrairement à la situation d'un prédateur naturel. Je ne crois pas que tu me contrediras la dessus.

Ben voyons.

Si on pêche tout ce thon et ces sardines, c'est pour le fun, évidemment.

Ami lecteur, souligne le mot "quasiment" dans la prose de FabriceM et rigole un coup. L'homme est quasiment autotrophe. Il n'a quasiment pas de contraintes.

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Ce qu'il veut dire c'est que grâce à l'agriculture, on peut pêcher tout les poissons de l'océan et tuer tout le gibier de la terre, on pourra toujours se nourrir. Et donc, il n'y a pas d'effet rétroactif de l'extermination du gibier ou du poisson. Surtout avec l'aquaculture.

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Ce qu'il veut dire c'est que grâce à l'agriculture, on peut pêcher tout les poissons de l'océan et tuer tout le gibier de la terre, on pourra toujours se nourrir. Et donc, il n'y a pas d'effet rétroactif de l'extermination du gibier ou du poisson. Surtout avec l'aquaculture.

Bon, je passe sur la quasi-crédibilité de "pêcher tout le poisson" ou "chasser tout le gibier".

Et si on fait ça, je passe aussi sur l'absence d'effets rétroactifs, quasiment putative mais assénée avec quasiment de l'aplomb.

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Ben voyo en ns.

Si on pêche tout ce thon et ces sardines, c'est pour le fun, évidemment.

Ami lecteur, souligne le mot "quasiment" dans la prose de FabriceM et rigole un coup. L'homme est quasiment autotrophe. Il n'a quasiment pas de contraintes.

 

Quand la chair d'un thon rouge est achetée au prix de l'argent métalique, c'est évidemment parce que les types crèvent de faim.

Quand des dizaines de milliers de tonnes de poisson sont pêchées et gaspillées pour nourrir des saumons (et autres poissons d'élevage), c'est évidemment parce que les consommateurs ne peuvent se nourrir que de saumon pendant les fêtes.

Quand des bateaux subventionnés vont racler le fond des océans pour ramasser des espèces exotique dont personne ne veut, c'est évidemment parceque la survie des populations européennes en dépend.

Quand des millions de requins sont capturés pour n'en prélever que l'aileron, c'est évidemment parce que sans la soupe d'aileron, les asiatiques mourraient de faim.

 

Bref. La pêche mondiale, c'est 154 millions de tonnes. Et l'essentiel de ce tonnage, c'est de la flotte contenue dans la chair des poissons. En matière sèche, la france seule produit plus de tonnage de céréales que ça.

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Quand la chair d'un thon rouge est achetée au prix de l'argent métalique, c'est évidemment parce que les types crèvent de faim.

Tu t'es vu quand t'as bu ?

Le thon rouge, c'est en gros 20-30 € le kilo (source INSEE). Le prix de l'argent métallique, c'est 400-500 € le filo (source 24HGold).

Tu es gentil, mais tes exagérations de propagandiste te montent à la tête.

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FabriceM a raison sur toute la ligne.

Aucun humain ne meurt d'une raréfaction du gibier et les thons d'exeception se vendent plus cher que l'argent. (plus de 10 fois plus cher que l'argent, donc, si je google prix thon record.)

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FabriceM a raison sur toute la ligne.

Aucun humain ne meurt d'une raréfaction du gibier et les thons d'exeception se vendent plus cher que l'argent. (plus de 10 fois plus cher que l'argent, donc, si je google prix thon record.)

Bulle. Le prix est très volatile : un thon rouge exceptionnel de 180 kilos s'est vendu à moins de 200 € du kilo il y a quelques mois.
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