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[modéré]Hollande, le départ du comique français


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On se doutait que la gauche avait laissé tomber les foyers modestes aux mains du FN, mais je ne pensais pas qu'ils en étaient au point de vouloir les tabasser fiscalement.

 

C'est pas une question de "tabassage" (donc de montant), c'est une question de principe. Je suis de l'avis de PABerryer.

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 C'est pas une question de "tabassage" (donc de montant), c'est une question de principe. Je suis de l'avis de PABerryer.

 

Bof. C'est peut-être mon côté anar, mais ça ne me réjouit pas de voir des gens devoir payer une somme (aussi faible soit-elle) pour alimenter ce trou sans fond du budget de l'Etat.

 

J'ai déjà entendu l'argument que ça responsabiliserait ces gens au fait que les services publics ne sont pas gratos, mais ça ne me convainc pas trop.

 

Oui enfin il parle de 10€. Niveau tabassage fiscal, c'est moins que ce que préconiserait un libéral avec une flat tax.

 

Faut bien commencer à un seuil faible sinon ça va trop gueuler. Puis, tu peux l'augmenter progressivement chaque année.

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Bof. C'est peut-être mon côté anar, mais ça ne me réjouit pas de voir des gens devoir payer une somme (aussi faible soit-elle) pour alimenter ce trou sans fond du budget de l'Etat.

Pareil, surtout que percevoir l'impôt n'est pas gratuit, quel intérêt de gagner 10 euros sur un smic si ça en coûte 12 pour le percevoir ?

J'ai déjà entendu l'argument que ça responsabiliserait ces gens au fait que les services publics ne sont pas gratos, mais ça ne me convainc pas trop.

Ben pour le coût bof, la TVA à 20% les gens se rendent bien compte qu'ils la paient.

Faut bien commencer à un seuil faible sinon ça va trop gueuler. Puis, tu peux l'augmenter progressivement chaque année.

Non seulement ça, mais en plus il faut faire gaffe à ne pas créer de trappe à chômage/inciter les gens à bosser au noir.
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Je ne me réjouis jamais quand un individu se voit augmenter ses impôts. La flat tax c'est juste un second best. A la limite instaurer la flat tax pour tout ceux qui paient déjà l'impôt sur le revenu seulement me paraît plus intelligent

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La Ministre de la Culture est incapable de reconnaître les oeuvres qui ornent son ministère bien doté en argent public et son bureau. C'est surréaliste. L'art Fraônçais rayonne sur le monde, il est si prolifique que même la ministre peut ne rien y connaître. Tout va bien, elle se permet d'ailleurs de glousser lors du reportage qui fait montre de son incompétence crasse.

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La Ministre de la Culture est incapable de reconnaître les oeuvres qui ornent son ministère bien doté en argent public et son bureau. C'est surréaliste. L'art Fraônçais rayonne sur le monde, il est si prolifique que même la ministre peut ne rien y connaître. Tout va bien, elle se permet d'ailleurs de glousser lors du reportage qui fait montre de son incompétence crasse.

 

Regardez bien la vidéo, on a enfin un journaliste qui est allé voir les passeurs de clandos.

 

Sinon, Pellerin est bien une inculte inutile mais personne n'en doutait.

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Oui enfin Pellerin c'est celle qui a jamais lu notre prix nobel de littérature et trouve cela normal...

C'est dommage ; mais le pire c'est qu'elle ne fasse même pas illusion en citant ne serait-ce que deux livres de lui. Je veux dire, elle ne pouvait pas demander à un stagiaire à la con de lui faire une micro-antisèche en vingt minutes avant de se précipiter devant un gros micro mou ? C'était trop demander ?
  • Yea 1
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Oui enfin Pellerin c'est celle qui a jamais lu notre prix nobel de littérature et trouve cela normal...

 

Le plus drôle, c'est l'excuse qu'elle avait sortie à l'époque.

 

"Mais je suis très occupé au gouvernement!"

 

Alors que les principaux ouvrages de Modiano ne datent pas de l'élection de Grollande...

 

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A la limite instaurer la flat tax pour tout ceux qui paient déjà l'impôt sur le revenu seulement me paraît plus intelligent

 

Et installer des distributeurs d'elephants kaleidoscopiques sur Mars me parait plus realiste.

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Je me demande si les sociaux-démocrates comme Hollande ne sont pas en quelque sorte assis le cul entre deux chaises. Ce que je veux dire par là c'est qu'ils sont violemment attaqués des deux côtés.

D'un côté l'extrême gauche reprochent aux sociaux-démocrates d'être démocrates c'est à dire d'accepter le jeu des élections et de la démocratie parlementaire. Ils ont renoncés à toute prise du pouvoir par la révolution ou coup d'état. D'autres part ils reprochent aux sociaux-démocrates d'avoir renoncés à la lutte des classes. En effet même si les sociaux-démocrates au pouvoir réclament beaucoup de taxes et d'impôts pour mettre en place des services publics,la social-démocratie refuse de mettre fin à l'économie de marché et d’interdire les salaires et revenus extrêmes.L'extrême gauche lui reproche également de refuser toute planification de l'économie.

D'autre part la droite et les libéraux,reprochent aux socio-démocrates d'être trop étatistes,de géner et de décourager les entrepreneurs avec des impôts trop lourds, de mener des politiques de relance keynésiennes inflationnistes, de favoriser l'assistanat, de restreindre la liberté d'expression au nom de la bienpensance et du politiquement correct...

 

voilà qu'en pensez vous?

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ils le sont mais je ne pense pas que ca les gene: ils connaissent les formules a appliquer pour faire de la langue de bois,l'a-peu-pres  ideologique c'est un peu leur fond de commerce.Le truc c'est que les problemes economiques ne disparaissent pas magiquement, il y a forcement un moment ou la langue de bois ne parviens plus a apaiser les gens simples.

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voilà qu'en pensez vous?

 

Que ton analyse de l'extrême-gauche était beaucoup plus valable pendant la guerre froide qu'aujourd'hui. Aujourd'hui la gauche radicale se pose comme plus démocratique que tous les autres, elle attaque surtout les sociaux-démocrates "ultralibéraux" sur l'austérité, les inégalités, et de plus en plus les questions écologiques.

 

Ensuite la droite et les libéraux sont deux choses distinctes.

 

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La masse salariale de l’Etat est un enjeu majeur de maîtrise des finances publiques, puisque, en 2014, elle représente 120,8 milliards d’euros, soit près de 40 % du budget général. En y ajoutant les deux autres fonctions publiques – territoriale et hospitalière – ainsi que les agents des opérateurs de l’Etat, les dépenses de personnel atteignent 278 milliards d’euros, soit 22,7 % de la dépense publique et 13 % du produit intérieur brut (PIB).

« Mécaniquement », en dépit des mesures prises ces dernières années – stabilisation des effectifs, gel du point d’indice, réduction des mesures catégorielles – la progression de la masse salariale est d’environ 700 millions d’euros par an. La loi de programmation des finances publiques 2014-2019 prévoit de limiter cette progression à 250 millions. Cela implique d’identifier chaque année 450 millions d’euros d’économies supplémentaires.

« Des économies encore plus importantes sont nécessaires », conclut la Cour des comptes, qui estime « indispensable d’identifier de nouveaux leviers d’économies en matière de rémunérations, d’effectifs et de durée du travail ». Dans son rapport, elle met l’accent sur le « maquis des régimes indemnitaires », autrement dit les primes, qui atteignent 30 % de la rémunération principale en 2013 contre 25 % en 2006, 10 % au début des années 1980, dans la fonction publique d’Etat.

A l’issue de son enquête, la Cour a constaté qu’il n’existe pas moins de 1 500 éléments de paye distincts, dont les trois quarts ont un coût annuel inférieur à 1 million d’euros, excessivement complexes et même « irréguliers » pour certains d’entre eux puisque ne reposant sur aucun texte réglementaire. La Cour des comptes parle d’« informations lacunaires ». Le gouvernement a certes fait des propositions aux organisations syndicales pour relever les indices des grilles et convertir en points d’indices certaines primes. Mais, note la Cour, « la réforme des grilles pourrait avoir un coût annuel, net de l’intégration de primes dans la base indiciaire, de 2,5 à 3 milliards d’euros pour la fonction publique de l’Etat et de 4,5 à 5 milliards d’euros pour l’ensemble de la fonction publique ».

 

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Enfin, la Cour des comptes dresse un constat : le secteur public travaille en moyenne une centaine d’heures de moins par an que le secteur privé, avec, pour certaines administrations, des durées moyennes effectives inférieures à la durée légale. Il y a là, selon elle, des marges de manœuvre non négligeables. Cela suppose, poursuit-elle, de s’attaquer aux absences répétées non justifiées, de limiter le recours aux heures supplémentaires et de supprimer la surrémunération des temps partiels.

 

 

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Le très respecté Jean-Marie Delarue, l’actuel président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) jugé trop indépendant, a été écarté par le gouvernement de la présidence de la nouvelle Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement. Matignon a indiqué, lundi 14 septembre, dans un très bref communiqué, les noms des quatre magistrats – deux nommés par le Conseil d’Etat, deux autres par la Cour de cassation – qui siégeront à la commission ; le président doit nécessairement être désigné par le président de la République parmi ces quatre noms.

Le vice-président du Conseil d’Etat a nommé Francis Delon et Jacqueline de Guillenchmidt, conseillère d’Etat honoraire et ancienne membre du Conseil constitutionnel, la Cour de cassation a choisi Franck Terrier, président de la 3e chambre civile, et Christine Pénichon, avocate générale – la loi renseignement du 24 juillet impose une parité entre hommes et femmes. Deux députés et deux sénateurs devraient les rejoindre, ainsi qu’une « personnalité qualifiée pour sa connaissance en matière de communications électroniques », nommée sur proposition du président de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes.

Hostilité

Jean-Marie Delarue a donc été évincé. Le conseiller d’Etat, 70 ans, normalien et énarque, a été délégué interministériel à la ville (1991-1994), puis directeur des libertés publiques au ministère de l’intérieur. Il s’est surtout imposé en 2008 lors de sa nomination au poste épineux, qui venait d’être créé, de contrôleur général des lieux de privation de liberté. Il a, à la fin de son mandat, été nommé en juin 2014 à la tête de la CNCIS, qui contrôlait les écoutes administratives.

Le président Delarue, qui a une haute idée de sa mission et de son indépendance, s’est vite heurté aux responsables des services de renseignement, qui ne cachaient pas leur hostilité au contrôle redoublé de la commission. Les services du premier ministre se sont de leur côté agacés de l’indépendance et du franc-parler du magistrat. Lors de son ultime rapport annuel, le 22 juillet, M. Delarue avait jugé « préoccupant » que, dans les quatre premiers mois de 2015, « la part des avis défavorables qui n’ont pas été suivis par le premier ministre [se soit] accrue nettement plus substantiellement ». Le premier ministre était passé outre pour « plus du quart » des avis défavorables de la commission, deux recommandations de suppression immédiate d’écoutes litigieuses avaient été ignorées par Matignon, « cette manière de faire est inédite depuis 1991 », avait poliment dit la commission.

Ce sont évidemment les positions tranchées de M. Delarue sur la nouvelle loi renseignement qui lui ont coûté sa place. Il s’était vivement inquiété d’un « affaiblissement des contrôles » induit par la loi renseignement, « quoi qu’on ait réellement voulu et quoi qu’on ait pu affirmer sur ce point ». Manuel Valls ne supportait plus la liberté de ton du conseiller d’Etat, dont le sort était désormais scellé ; le discret soutien de Christiane Taubira, la garde des sceaux, aura été d’un mince secours.

 http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/09/15/jean-marie-delarue-ecarte-du-controle-du-renseignement-par-le-gouvernement_4757706_4408996.html#A60eABhAUqRYlsQf.99

 

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 la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) jugé trop indépendant, ....Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement. 

 

Toutes ces agences à la con...

 

 

 Il s’était vivement inquiété d’un « affaiblissement des contrôles » induit par la loi renseignement, 

 

omg_wtf_cat.jpg

 

Ce mec est un taré.

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Hohohoho tiens un gouvernement pro-entreprise qui reporte les baisses de charges du CICE de plusieurs mois.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/09/16/20002-20150916ARTFIG00402-l-executif-racle-les-fonds-de-tiroirs-pour-boucler-le-budget.php

En gros on a quoi?

 

 

Bercy prévoit aussi une baisse de la charge de la dette, en raison de la faiblesse des taux d'intérêt, 

Hein pourvu que ça dure...

 

 

 

L'équation est tellement délicate à résoudre que Bercy n'est pas sûr d'être en mesure de pouvoir annoncer un montant d'économies précis pour 2016.

C'est du sérieux vous dis-je.

 

 

 

Quoi qu'il en soit, Bercy annonce que le taux de dépenses publiques va continuer à diminuer, passant de 55,8 % en 2015 à 55,1 % en 2016

Si comme l'OCDE le pense, la croissance atteint 1.4% nous avons donc une hausse du montant des dépenses publiques.

55.8% de 100 font 55.8.

55.1% de 101.4 font 55.87.

 

Sans inflation. Maintenant, on sait que 1.4% on y sera pas et -0.7% de dépenses on n'y sera pas non plus donc who cares?

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"Descartes" a fait un billet sur la question: http://descartes.over-blog.fr/2015/09/migrants-nous-travailler-le-dimanche-pas-de-probleme.html

 

En gros, il pense que l'accueil des migrants est une idéologie/stratégie des classes moyennes pour faire pression à la baisse sur le coût salarial des ouvriers en augmentant la concurrence au sein des classes populaires.

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