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Police, dérive, excès de zèle & toute-puissance étatique


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Oui oui, mais ces cam n'ont pas le comportement d'une dashcam (ni l'angle de vue, généralement >180°).

En gros, il faudrait que la caméra se mette à filmer non-stop, en conservant toujours les N dernières minutes (N préférablement >5 ou 10), s'arrête automatiquement quand 0 mouvement détecté pendant N' minutes (N'<<N, disons) et reprenne lorsque du mouvement est constaté... Je n'ai rien vu de tel sur le marché actuellement.

Ok.

Je ne savais pas ce qu'était une dashcam.

Le problème du modèle français est qu'il filme mais n'enregistre pas en continu. L'agent le déclenche quand il veut et l'enregistrement ne débute que 30' avant.

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J'ai vu des protos de caméras 180° à clipper, ça reste un peu lourd mais d'un autre côté ce ne sont que des protos. Ca devrait arriver dans le commerce spécialisé dans les mois qui viennent si c'est pas déjà le cas.

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@Neuron

Ce que tu proposes est pas mal, mais pas adapté au civil (qui, au contraire du flic, ne sait pas quand une crasse va lui arriver, et donc doit enregistrer par défaut). Et puis le pricing, ouch (25$/mois).

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Le problème du modèle français est qu'il filme mais n'enregistre pas en continu. L'agent le déclenche quand il veut et l'enregistrement ne débute que 30' avant.

 

 

Oui.

 

La police du Nord équipe ses agents de caméras GoPro

PUBLIÉ LE 20/04/2015

 

 

Souriez, vous êtes filmés ! Lors de contrôles ou interventions, les Nordistes ont peut-être vu la petite révolution technologique en cours au sein de la police. Les caméras individuelles GoPro ont fait leur apparition sur le torse de nombreux agents. Depuis peu, la DDSP (direction départementale de la sécurité publique), a distribué à grande échelle cet équipement. Environ 80 appareils ont été répartis parmi les unités de terrain les plus exposées (contrôles routiers, zones de sécurité prioritaires…) : la moitié dans la métropole lilloise, et le reste ailleurs dans le département. « On s’est rendu compte d’une forte demande de la part des fonctionnaires, explique Didier Perroudon, patron de la police du Nord. Certains s’étaient déjà équipés eux-mêmes. Il s’agissait de répondre à ce besoin et de l’encadrer. »

 

Des caméras similaires ont été testées ces dernières années dans des quartiers sensibles. Elles ont montré leur utilité, selon la police. « L’intérêt est double. Il y a beaucoup de violences contre les policiers. La présence d’une caméra fait baisser la tension : quand les gens se sentent filmés, ils surveillent mieux leur attitude. De plus, on a souvent des personnes se plaignant de la police lors de contrôles. Ça entraîne toujours une enquête, ce qui n’est pas agréable pour le fonctionnaire visé. Si on peut visualiser les circonstances du contrôle, ça permet de vite répondre à celui qui demande des comptes. » Et d’incriminer ou de disculper le policier. La caméra sert donc de preuve, dans des procédures administratives ou judiciaires.

 

Son utilisation est cadrée : « On s’en sert uniquement sur la voie publique. Elle est allumée par le policier dès qu’une tension monte. La consigne est d’informer la personne filmée. Les images sont enregistrées sur un serveur et détruites au bout de3 - 4 mois. Le public aura une possibilité d’accès. »

 

Le développement des caméras individuelles au sein de la police n’en est qu’à ses débuts. En plus de cette initiative départementale, un plan national est prévu par le ministère de l’Intérieur.

 

Pas-de-Calais: des caméras depuis 2013

 

Dans le Pas-de-Calais, la zone de sécurité prioritaire (ZSP) de Boulogne-sur-Mer a été dotée de caméras proches du système GoPro dès 2013 et celle de Lens, créée l’an dernier, a suivi. La direction départementale de la sécurité publique (DDSP) ne détaille pas le nombre de caméras à disposition des patrouilles. « L’usage a un intérêt double, note le commandant Cantraine : prouver une infraction le cas échéant et vérifier si le comportement de l’agent correspond à la déontologie. » Une autre dotation du ministère n’est pas d’actualité.

 

Contrôles d’identité houleux

 

À Boulogne-sur-Mer, le commissaire central Raphaël Juge souligne « un effet extrêmement positif » de ces caméras, portées grâce à un harnais poitrine. L’agent active la vidéo grâce à un simple bouton. « Tout repose sur le discernement du policier, quand une situation est un peu délicate ou qu’elle peut dégénérer, et uniquement sur la voie publique », indique le commissaire Juge, qui précise que la vidéo « reste une aide à l’enquête ».

 

La caméra poitrine bénéficie d’une « mémoire tampon », qui enregistre des images trente secondes avant le déclenchement. Si celui-ci n’a pas lieu, les captures s’écrasent automatiquement.

 

« La présence de caméras bien visibles dérange certaines personnes un peu véhémentes, lors de contrôles d’identité houleux, ou quand il y a des missions de maintien de l’ordre pour des rassemblements publics », témoigne le patron du commissariat de Boulogne-sur-Mer. Depuis 2013, des images de ce dispositif ont été consultées pour des dégradations survenues en marge de manifestations.

 

http://www.lavoixdunord.fr/region/la-police-du-nord-equipe-ses-agents-de-cameras-gopro-ia0b0n2781363

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Dashcam

 

Une dashcam, contraction de l'anglais dashboard camera, est une caméra installée dans un véhicule pour enregistrer ce que le conducteur voit (extérieur et intérieur du véhicule). Ce genre de dispositif permet d'apporter une preuve vidéo devant un tribunal, en particulier en cas de délit de fuite1.

En France, ce sont près de 30 000 automobilistes qui ont opté pour ce dispositif.

 

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Un jeune bien sous tout rapport s'en allait au ski quand il fut sauvagement interpelé par la police.

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/en-pleine-interview-d-un-casseur-des-journalistes-de-france-2-molestes/4893719642001/5/

En fait, il lui manquait juste des skis et puis à Rennes, y-a pas de neige.

"Les flics, avec leurs équipements, ça leur fait rien."

J'appelle ça un petit enculé.

Et les journalistes "on nous a demandé nos papiers".

  • Yea 1
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Trop de laximse en Hollandie

Violences policières : l'ONU met la France à l'amende

http://www.lepoint.fr/societe/violences-policieres-l-onu-met-la-france-a-l-amende-15-05-2016-2039508_23.php

Un rapport du Comité contre la torture des Nations unies fustige l'usage "excessif" de la force employée par les représentants de l'ordre ces derniers mois.

Un rapport de l'ONU s'inquiète de "l'usage excessif de la force" employée par la police en France.

Dans un contexte tendu, entre manifestations sous haute tension contre la loi travail et état d'urgence, la France est aujourd'hui dans le viseur de l'ONU. Son Comité contre la torture a rendu, vendredi 13 mai 2016 à Genève, une série d'observations dans lesquelles sont passés au crible la multiplication des perquisitions, l'accueil des migrants ou encore des cas de décès liés aux violences policières.

Le rapport s'intéresse de près à la situation de l'Hexagone sous l'état d'urgence mis en place au lendemain des attentats de Paris et de Saint-Denis le 13 novembre. « Le Comité est préoccupé par les informations sur l'usage excessif de la force par les forces de police au cours de certaines perquisitions, ayant entraîné des séquelles psychologiques chez les personnes concernées. » Il recommande à l'État de donner la possibilité aux victimes de ces violences de porter plainte, « que les enquêtes soient menées, les poursuites éventuelles engagées et les sanctions prononcées contre les responsables ».

Inquiétudes après des décès liés aux violences policières

Le comité onusien appelle aussi la France à protéger les minorités, notamment les Roms, les musulmans, les juifs et les migrants, victimes « d'une augmentation de la violence et d'actes criminels en particulier depuis les dernières attaques terroristes ».

Sans l'écrire explicitement, les experts engagés contre la torture s'alarment aussi des débordements survenus durant diverses manifestations, prenant en compte des « allégations d'usage excessif de la force par la police et la gendarmerie ayant dans certains cas entraîné des blessures graves et des décès ». On peut notamment y voir une référence aux manifestations de ces derniers mois ou encore au décès de Rémi Fraisse en octobre 2014.

Surpopulation carcérale et soldats en Centrafrique

Le rapport s'inquiète aussi de la surpopulation carcérale en France « illustrée par un taux de remplissage de 116 % » et des conditions de détention en général, notamment le taux élevé de suicides en prison. Enfin, les experts onusiens évoquent les allégations d'abus sexuels sur des enfants commis par des soldats français en Centrafrique dans le cadre de l'opération Sangaris et demandent à l'État « qu'elles fassent l'objet d'une enquête prompte et efficace, que les auteurs soient traduits en justice et sanctionnés de peines proportionnelles à la gravité des faits ».

Composé de dix experts indépendants, le Comité contre la torture contrôle l'application de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, ratifiée par la France en 1986. Tous les quatre ans, chaque État signataire doit soumettre un rapport au Comité, qui lui fait suivre ensuite ses observations. La France a jusqu'au 13 mai 2017 pour faire savoir au comité les suites qu'elle donnera à ces recommandations.

Dans un contexte tendu, entre manifestations sous haute tension contre la loi Travail et état d'urgence, la France est dans le viseur de l'ONU. Son Comité contre la torture a rendu, vendredi à Genève, une série d'observations dans lesquelles sont passés au crible la multiplication des perquisitions, l'accueil des migrants ou encore des cas de décès liés aux violences policières.

Le rapport s'intéresse de près à la situation de l'Hexagone sous l'état d'urgence mis en place au lendemain des attentats de Paris et de Saint-Denis le 13 novembre. « Le Comité est préoccupé par les informations sur l'usage excessif de la force par les forces de police au cours de certaines perquisitions, ayant entraîné des séquelles psychologiques chez les personnes concernées ».

Il recommande à l'État de donner la possibilité aux victimes de ces violences de porter plainte, « que les enquêtes soient menées, les poursuites éventuelles engagées et les sanctions prononcées contre les responsables ».

Inquiétudes après des décès liés aux violences policières

Le comité onusien appelle aussi la France à protéger les minorités, notamment les Roms, les musulmans, les juifs et les migrants, victimes « d'une augmentation de la violence et d'actes criminels en particulier depuis les dernières attaques terroristes ».

Sans l'écrire explicitement, les experts engagés contre la torture s'alarment aussi des débordements survenus durant diverses manifestations, prenant en compte des "allégations d'usage excessif de la force par la police et la gendarmerie ayant dans certains cas entraînés des blessures graves et des décès". On peut notamment y voir une référence aux manifestations de ces derniers mois ou encore au décès de Rémi Fraisse en octobre 2014.

Surpopulation carcérale et soldats en Centrafrique

Le rapport s'inquiète aussi de la surpopulation carcérale en France « illustrée par un taux de remplissage de 116% » et des conditions de détention en général, notamment le taux élevé de suicides en prison. Enfin, les experts onusiens évoquent les allégations d'abus sexuels sur des enfants commis par des soldats français en Centrafrique et demandent à l'État « qu'elles fassent l'objet d'une enquête prompte et efficace, que les auteurs soient traduits en justice et sanctionnés de peines proportionnelles à la gravité des faits ».

Composé de dix experts indépendants, le Comité contre la torture contrôle l'application de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, ratifiée par la France en 1986. Tous les quatre ans, chaque État signataire doit soumettre un rapport au Comité, qui lui fait suivre ensuite ses observations.La France a jusqu'au 13 mai 2017 pour faire savoir au comité les suites qu'elle donnera à ces recommandations.

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Si les morts c'est que Remi Fraisse, ca décrédibilise le rapport et ce qui est vrai dedans (notamment les perquisitions dont il n'y a pas grand chose à débattre). Enfin bon, les comités droit de l'homme de l'ONU en général...

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Ce qui m'intéresse, c'est le cas des incarcérations.

Ce n'est pas parce qu'il y a surpopulation qu'il y a application d'une politique pénale répressive. Or, parler de surpopulation signifie pour le lecteur lambda qu'il y a trop de condamnations.

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Amha Le problème de la "violence policière" en France c'est pas tant la violence physique qui reste mesurée même dans les coups de force (même si amha trop souvent pas proportionnée sur les bonnes personnes) que la tyrannie administrative (le fait d'être emmerdé pour rien couplé aux plaintes qui elles ne résultent sur rien) et le manque de professionnalisme dans les relations avec les civils (les deux vont un peu de pair).

Par contre le pourrissement de la situation en France - migrants bloqués, gauchistes, Jean du voyage parfois - va multiplier les cas de force disproportionnés sans qu'il y ait de durcissement dans les méthodes.

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Un jeune bien sous tout rapport s'en allait au ski quand il fut sauvagement interpelé par la police.

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/en-pleine-interview-d-un-casseur-des-journalistes-de-france-2-molestes/4893719642001/5/

En fait, il lui manquait juste des skis et puis à Rennes, y-a pas de neige.

"Les flics, avec leurs équipements, ça leur fait rien."

J'appelle ça un petit enculé.

Et les journalistes "on nous a demandé nos papiers".

La voix du mec  :icon_ptdr:

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Ce qui m'intéresse, c'est le cas des incarcérations.

Ce n'est pas parce qu'il y a surpopulation qu'il y a application d'une politique pénale répressive. Or, parler de surpopulation signifie pour le lecteur lambda qu'il y a trop de condamnations.

Effectivement, sinon selon cette définition l'URSS avec tous ses goulags était un havre de paix.

Ce qu'il faut regarder c'est la proportion d'incarcération par rapport à la population.

On est dans des proportions qui n'ont jamais été aussi élevées depuis 45 en France. C'est une tendance générale en Occident ceci dit et pour cause la social-démocratie criminalise un peu tout et n'importe quoi, et pas seulement les agresseurs et les voleurs. Mais comme le nombre de places en prison ne suit pas, les peines effectives se raccourcissent.

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Je pense qu'on peut lier cette vidéo au sujet abordé quelques pages plus tôt sur la prétendu violence de nos flics.

 

Elle contrebalance avec celle du mioche qui se prend une pêche par le CRS (gendarme, certes).

 

 

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Je pense qu'on peut lier cette vidéo au sujet abordé quelques pages plus tôt sur la prétendu violence de nos flics.

 

Elle contrebalance avec celle du mioche qui se prend une pêche par le CRS (gendarme, certes).

et quand les flics mettent des pains dans la gueule à ceux qui soignent les manifestants, c'est de la légitime défense aussi ?

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Je pense qu'on peut lier cette vidéo au sujet abordé quelques pages plus tôt sur la prétendu violence de nos flics.

Elle contrebalance avec celle du mioche qui se prend une pêche par le CRS (gendarme, certes).

Ce n'est pas parce que des casseurs dépassent tout le monde au niveau de la saloperie qu'il faut oublier tous les liens et toutes les videos postées sur ce fil depuis sa création concernant certaines dérives policières. Ce sont deux choses distinctes.

Répétons-le une nouvelle fois, le gouvernement permet à la police et la justice d'être fortes avec les faibles et faibles avec les forts.

Ces images me révoltent

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Et quand un CRS se prend un pavé dans la tête?

 

 

On peut continuer longtemps.

 

 

Ma vidéo (celle postée à 20:46) est d'actualité, ce qui justifie sa présence ici.

 

 

Pour ce qui est de ton histoire, elle ne me dit rien.

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Je pense qu'on peut lier cette vidéo au sujet abordé quelques pages plus tôt sur la prétendu violence de nos flics.

Elle contrebalance avec celle du mioche qui se prend une pêche par le CRS (gendarme, certes).

Je ne comprends pas. Le fait que des gens commettent des délits - voire des crimes - autorise d'autres personnes à en commettre ? Le lycéen qui s'est probablement fait casser le nez par la police faisait-il parti du groupe qui a lancé un molotov sur la voiture ?

  • Yea 1
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Ce n'est pas parce que des casseurs dépassent tout le monde au niveau de la saloperie qu'il faut oublier tous les liens et toutes les videos postées sur ce fil depuis sa création concernant certaines dérives policières. Ce sont deux choses distinctes.

Répétons-le une nouvelle fois, le gouvernement permet à la police et la justice d'être fortes avec les faibles et faibles avec les forts.

Ces images me révoltent

 

 

Entièrement d'accord.

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Je ne comprends pas. Le fait que des gens commettent des délits - voire des crimes - autorise d'autres personnes à en commettre ? Le lycéen qui s'est probablement fait casser le nez par la police faisait-il parti du groupe qui a lancé un molotov sur la voiture ?

 

 

Cette vidéo permet d'illustrer deux choses, notre police ne remplit pas son rôle (je parle de l'institution en tant que telle, de ceux qui donnent les ordres et pensent son fonctionnement plus que de ceux qui les appliquent), et nos forces de l'ordre ne sont pas si violentes que ça.

 

Ce dont on peut douter en te lisant parfois, mon cher Tramp.

 

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Cette vidéo permet d'illustrer deux choses, notre police ne remplit pas son rôle (je parle de l'institution en tant que telle, de ceux qui donnent les ordres et pensent son fonctionnement plus que de ceux qui les appliquent), et que nos forces de l'ordre ne sont pas si violentes que ça.

Ce dont on peut douter en te lisant parfois, mon cher Tramp.

Y a pas longtemps j'ai dit ici que je pensais que le problème de la police en France n'était pas en général un excès de violence au jour le jour mais un manque de discernement pour se passer les nerfs dans les manifs et ce qui ressemble à du manque de courage ainsi que de la tyrannie administrative (verbaliser/arrêter pour rien et ne pas prendre les plaintes de l'autre côté).

Mais il reste un point dont on ne parle jamais quand on parle des consignes : je suis quasi-certain que les policiers ont le droit - et même l'obligation - de prendre l'initiative lorsqu'ils constatent des infractions, en particulier des atteintes aux personnes et aux biens. Si c'est le cas, le coup des consignes est aussi un moyen de se déresponsabiliser :

La police : c'est pas nous c'est le préfet.

Le préfet : c'est pas moi c'est le ministre.

Le ministre : c'est pas moi c'est le 1er ministre etc.

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