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Quelques Images Sur Le Libéralisme Et Les Politiques....


Messages recommandés

C'est un personnage d'une série américaine (parks & recreation) qui a souvent des positions libertariennes.

 

Genre : "My idea of a perfect government is one guy who sits in a small room at a desk, and the only thing he’s allowed to decide is who to nuke"

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Sans en dire trop.... Le Tocqueville ci dessus a d'abord été dessiné dans le cadre d'un projet pour le collectif Antigone. Vous en saurez plus d'ici quelques jours   :icon_wink:

 

Cette nouvelle me ravi. Ton image avec le "meat" et la foule est tout à fait dans le style des images que j'adore.

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J'ai pris "Vinci" au hasard mais en se renseignant sur wikipédia, voilà ce que l'on trouve sur le PDG de Vinci Xavier Huillard


 

  Ancien élève de l’École Polytechnique et de l'École des Ponts et Chaussées, il a été nommé président directeur général de VINCI par l'Assemblée générale du Groupe en mai 2010.

Il a fait toute sa carrière dans le secteur de la construction après un bref passage dans l’administration, en DDE, puis à la Direction des Affaires Économiques Internationales du Ministère de l’Équipement. Entré dans le groupe SGE en 1996 comme Directeur International de SOGEA, Xavier Huillard en devient Président- Directeur général en 1998.

 

 

Dans le Top 5 des entreprises européennes de la construction, il y a 3 entreprises françaises.

C'est très bien mais c'est tout de même étonnant...

constr10.jpg

 

En France, nous avons de très puissantes GE qui sont souvent des leaders dans leur domaine mais au détriment d'un tissu d'ETI et grosses PME plus restreint.  

 

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En même temps, Eiffage, Bouygues et Vinci sont des champions toutes catégories de l'accaparement des marchés publics,et ,dans notre beau pays où les travaux publics (notamment les routes) sont une vraie compétition entre communes, c'est un peu le terreau parfait pour le capitalisme de connivence.

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Parce que le capitalisme ne se limite pas à sa vision libérale.

 

On pourrait dire "mercantilisme d'Etat" ?

 

C'est l'expression que j'utilise (mercantilisme) pour l'esclavage.

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Moi ça ne me dérange pas, je suis prêt à accepter l'idée qu'il existe plusieurs formes de capitalismes.

 

Par exemple, la grande peste de Marseille de 1720 est "l'oeuvre" de quelques grands marchands qui dirigeaient la ville et qui sont passé outre la quarantaine d'un bateau qu'on savait contaminé pour récupérer leurs étoffes. Un gros mélange de cupidité, de bêtise, de pouvoir. De l'humanité quoi. Je ne suis pas dérangé par l'idée que ces marchands étaient des capitalistes, bien que leur action fut catastrophique (100 000 morts, une ville quasi anéantie, toujours traumatisée 300 ans plus tard) et parfaitement condamnable. Il y avait commerce, propriété privée, ... bref, c'était du capitalisme. Alors, bien sur, des marchands qui dirigent la ville, c'est plus de la connivence à ce niveau là, c'est au-delà. Je pense malheureusement que ces dérives sont inévitables, le tout est de faire en sorte qu'elles arrivent le moins possible.

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Moi ça ne me dérange pas, je suis prêt à accepter l'idée qu'il existe plusieurs formes de capitalismes.

 

Par exemple, la grande peste de Marseille de 1720 est "l'oeuvre" de quelques grands marchands qui dirigeaient la ville et qui sont passé outre la quarantaine d'un bateau qu'on savait contaminé pour récupérer leurs étoffes. Un gros mélange de cupidité, de bêtise, de pouvoir. De l'humanité quoi. Je ne suis pas dérangé par l'idée que ces marchands étaient des capitalistes, bien que leur action fut catastrophique (100 000 morts, une ville quasi anéantie, toujours traumatisée 300 ans plus tard) et parfaitement condamnable. Il y avait commerce, propriété privée, ... bref, c'était du capitalisme. Alors, bien sur, des marchands qui dirigent la ville, c'est plus de la connivence à ce niveau là, c'est au-delà. Je pense malheureusement que ces dérives sont inévitables, le tout est de faire en sorte qu'elles arrivent le moins possible.

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Moi ça ne me dérange pas, je suis prêt à accepter l'idée qu'il existe plusieurs formes de capitalismes.

 

Par exemple, la grande peste de Marseille de 1720 est "l'oeuvre" de quelques grands marchands qui dirigeaient la ville et qui sont passé outre la quarantaine d'un bateau qu'on savait contaminé pour récupérer leurs étoffes. Un gros mélange de cupidité, de bêtise, de pouvoir. De l'humanité quoi. Je ne suis pas dérangé par l'idée que ces marchands étaient des capitalistes, bien que leur action fut catastrophique (100 000 morts, une ville quasi anéantie, toujours traumatisée 300 ans plus tard) et parfaitement condamnable. Il y avait commerce, propriété privée, ... bref, c'était du capitalisme. Alors, bien sur, des marchands qui dirigent la ville, c'est plus de la connivence à ce niveau là, c'est au-delà. Je pense malheureusement que ces dérives sont inévitables, le tout est de faire en sorte qu'elles arrivent le moins possible.

Mitou, je pense pareil.

 

Amartya Sen, sort de ce corps.

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Moi ça ne me dérange pas, je suis prêt à accepter l'idée qu'il existe plusieurs formes de capitalismes.

Par exemple, la grande peste de Marseille de 1720 est "l'oeuvre" de quelques grands marchands qui dirigeaient la ville et qui sont passé outre la quarantaine d'un bateau qu'on savait contaminé pour récupérer leurs étoffes. Un gros mélange de cupidité, de bêtise, de pouvoir. De l'humanité quoi. Je ne suis pas dérangé par l'idée que ces marchands étaient des capitalistes, bien que leur action fut catastrophique (100 000 morts, une ville quasi anéantie, toujours traumatisée 300 ans plus tard) et parfaitement condamnable. Il y avait commerce, propriété privée, ... bref, c'était du capitalisme. Alors, bien sur, des marchands qui dirigent la ville, c'est plus de la connivence à ce niveau là, c'est au-delà. Je pense malheureusement que ces dérives sont inévitables, le tout est de faire en sorte qu'elles arrivent le moins possible.

Déjà, c'est quoi le capitalisme ? C'est là le premier problème. On commence par appeler le mercantilisme capitalisme de connivence et on finit par appeler le communisme réel du capitalisme d'Etat. C'est cette rhétorique là que je crains. On insiste sur le capitalisme pour cacher que le gros du problème vient de l'autre partie de la proposition et non de la première.

Dans ton exemple, si les marchands dirigent la ville, alors c'est le gouvernement. Je trouve toujours problèmatique de donner le nom de capitalisme aux actions du gouvernement.

Après, si on appelle capitalisme tout ce qui a rapport à l'économie : échange, propriété, production etc... comme ces choses existeront toujours, on peut appeler n'importe quel économie plus ou moins libre "capitalisme de quelque chose." D'un point de vue intellectuel, ça ne me semble pas gênant mais d'un point de vue idéologique ça pue la défaite quand on appelle capitalisme les dérives naturelles et même revendiquées de la social-démocratie.

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Déjà, c'est quoi le capitalisme ? C'est là le premier problème. 

Le capitalisme, c'est l'ensemble des comportements qui déplaît aux étatistes de gauche. Guerres, racisme, génocides, destructions, etc. Voici une photo que j'ai prise dans une manif de sanpapiés.

 

post-4-0-21678000-1374601219_thumb.jpg

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Alors que dans le capitalisme libéral l'Etat n'interfère pas avec l'économie (sauf pour ce qui relève de ses fonctions régaliennes), dans le capitalisme de connivence (crony capitalism ou corporatism en anglais) l'Etat soutient certaines entreprises, soit qu'il cède à leur pression par corruption, soit que ce soit de sa part une volonté délibérée à des fins politiques. Certains contestent l'emploi du terme de "capitalisme" pour désigner ce cas de figure, puisque le droit de propriété individuelle, sur lequel repose le capitalisme, est violé par l'interventionnisme étatique. Charles Gave préfère employer le terme de "social-clientélisme", qui pour lui est une "maladie de la démocratie". On parle également de "capitalisme de copinage" (crony = copain).  

http://www.wikiberal.org/wiki/Capitalisme_de_connivence

 

Et voici ma dernière fournée... je devrais changer de style pour la prochaine (plus moderne)

 

ron-sw12.jpg

point-12.jpg

 

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Le capitalisme, c'est l'ensemble des comportements qui déplaît aux étatistes de gauche. Guerres, racisme, génocides, destructions, etc. Voici une photo que j'ai prise dans une manif de sanpapiés.

Photo 010.jpg

Oui c'est aussi ce que je pense. C'est pour cela que je parle de défaite idéologique en reprenant le vocabulaire anti-capitaliste alors que donner des monopoles, distribuer du pognon, mener des politiques monétaires et multiplier les marchés public c'est ni plus ni moins que le programme social-démocrate revendiqué. Ils l'appellent capitalisme de connivence depuis qu'ils ont vu la multiplication des dérives et je pense que reprendre ce terme c'est leur donner raison.

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