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Les syndicats qui nous veulent du bien contre notre gré


Messages recommandés

Les gens sont obligés de se syndiquer.

 

Nope.

 

En Belgique, par exemple, la syndicalisation n'est pas obligatoire, mais élevée. Raisons historiques, plus le fait que les syndicats rendent de vrais services : paiement des allocs de chômage, protection juridique, etc. plus le fait que c'est un moyen de progression dans les grosses entreprises, les administrations, une voie royale pour la politique e tutti quanti...

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Personne ne veut se retrouver pris en otage par des gros bras de la CGT, dans une usine qui travaillera a minima et qui fera les gros titres lorsqu'après des années à lutter pour obtenir des rendements à peine suffisants, tout partira à la faillite ?

Franchement, c'est dommage, une telle pépite industrielle !

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Le pire c'est la différence avec l'autre usine d'Amiens qui a accepté les accords d'il y a quelques temps et qui survit. La CFDT est quand même, dans les grandes lignes, moins con que la CGT.

Les exemples ne manquent pas, même genre avec Richard Ducros. Réductions de postes, la CGT répond c'est tout ou rien, les patrons essaient d'expliquer gentiment qu'il n'y a plus une thune et que c'est pas le moment de la jouer grand soir syndical, ils veulent rien entendre. Fermeture complète de tous les sites et aucun emploi sauvé. Voilà voilà.

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Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :lol:

 

Bon sinon en parfait cadre avec le titre du topic :

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/11/27/97002-20141127FILWWW00369-aucun-repreneur-pour-l-usine-de-goodyear.php

 

Maurice leur envoie un dernier scud ainsi qu'aux lois françaises.

 

http://www.lefigaro.fr/societes/2014/11/28/20005-20141128ARTFIG00045-le-geant-titan-ne-reprendra-pas-l-usine-goodyear-d-amiens.php

 

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Tiens, le syndicat du livre ça faisait longtemps :

 

 

C’est une première dans l’histoire de la presse française. Michel Lucas, le patron du Crédit Mutuel, propriétaire du journal L’Alsace, a fait imprimer l’édition de mardi en Allemagne pour contourner une grève du syndicat du Livre. Les ouvriers sont sous le choc, les journalistes moins.

Devant les salariés de L’Alsace lundi, il a tenu une première assemblée générale à 16h au cours de laquelle il a discouru sur l’état, catastrophique, du journal. Une dette de 60 millions d’euros, des pertes de 6 millions d’euros par an, une diffusion (90 000 ex.) en baisse, etc. Et par conséquent a-t-il rappelé, c’est bien le Crédit Mutuel qui paie les charges de cette maison.

http://www.rue89strasbourg.com/index.php/2014/11/29/economie-2/pour-briser-greve-lalsace-de-mardi-ete-imprime-en-allemagne/

 

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  • 2 weeks later...

Révélations sur les "retraites casquette" de la CGT

 

 

On connaissait les "retraites chapeau" du CAC 40, on découvre les "retraites casquettes" de la CGT ! "Marianne" le révèle : la prime normande de 31 000 euros qu'a perçue Thierry Lepaon, relève en fait d'une discrète pratique militante du syndicat. Le but ? Compléter la retraite des militants du privé qui, après des combats, sont passés par la case chômage. Thierry Lepaon n'en est donc pas le seul bénéficiaire...

 

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C'est chiant et très syndical, cet affaire

 

Chiant parce que le type a procédé à un détournement de la loi sur la rupture conventionnelle, en touchant une prime pour ce qui est de facto une mutation dans une autre filiale du groupe. La RC ne doit pas devenir un moyen de négocier une prime exceptionnelle en douce avec une DRH.

 

Ce qui est problématique, c'est que ce type de jurisprudence affaiblit la rupture conventionnelle, que nous devrions, vu notre sociologie, défendre becs et ongle à la fois en tant que évolution vers une nature plus contractuelle du CDI, acquis social des cadres et sécurisation des parcours professionnels. La RC permet à un salarié poussé sur la touche d'être indemnisé pour ses pertes de perspectives de carrière.

 

Les employeurs ne s'y trompent pas, dans les RCs sont très demandées par les salariés "réemployables" en recherche de mobilité.

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  • 1 month later...

Reportage

 

 

Complément d'enquête : "CGT, Medef... Pour qui roulent les syndicats ?"

 

http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/complement-d-enquete/complement-d-enquete-du-jeudi-5-fevrier-2015_811137.html

 

 

La défiance envers les syndicats, comme la question de leur représentativité réelle, est au cœur des débats depuis quelques années. La France compte aujourd’hui moins de 2 millions de syndiqué(e)s, contre plus de 5 millions au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

Avec moins de 8 %, le taux de syndicalisation y est l'un des plus bas d'Europe (jusqu’à près de 70 % en Suède !). Moins d'un salarié sur dix adhère donc aujourd’hui à une organisation syndicale.

 

Un syndicat de salariés à la peine

Après les révélations sur le train de vie de Thierry Lepaon, secrétaire général démissionnaire de la CGT (primes diverses, travaux à la charge de la centrale à son domicile et à son bureau…), le lien avec la base semble plus que jamais distendu. 

Pour contrer cette image dégradée de la CGT, il affirmait il y a quelques mois que la centrale comptait, avec ses 700 000 adhérents, plus de membres que l’ensemble des partis politiques français. Et son successeur Philippe Martinez, élu mardi 3 février, ne devra pas chômer pour effacer la séquence Lepaon.

 

Le patron des patrons à l'attaque

Côté patronal, le malaise s'installe également, car le président du Medef, Pierre Gattaz, multiplie les provocations à l’endroit du gouvernement et des syndicats en lançant en permanence des ballons d’essai pour tester la réaction de ses futurs interlocuteurs autour de la table des négociations.

Le fils d’Yvon Gattaz, ancien président du CNPF (de 1981 à 1986), réclame ainsi la suppression de l’ISF, l’abrogation des 35 heures ou la généralisation du travail le dimanche… Au point de refroidir les ardeurs d’un pouvoir qui affirme pourtant aimer l’entreprise !

 

Au sommaire de Complément d'enquête :

 

Goûts de luxe à la CGT ?

Matthieu Fauroux et Julien Pelletier ont enquêté sur les pratiques de l'ancien dirigeant de la CGT, Thierry Lepaon, et sur une centrale en plein doute. Son successeur Philippe Martinez parviendra-t-il à rétablir un climat de confiance, à l’intérieur comme à l’extérieur ?

 

L'étrange M. Gattaz

Un portrait du patron des patrons, brossé par Zoé de Bussière et Florian Le Moal, à qui l'on reproche de bloquer des négociations, de mépriser les syndicats de salariés, ou même de tromper le gouvernement, quand lui affirme défendre les intérêts de la France qui travaille.

 

Goodyear Dunlop : la lutte finale

D’un côté, une usine de pneus à l’arrêt (les syndicats rejettent les propositions de la direction) et de l’autre, une usine de pneus du même groupe au travail (les syndicats ont transigé au nom de l’emploi). Nathalie Sapena et Raphaëlle Duroselle ont rencontré les deux camps opposés.

 

http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/complement-d-enquete/complement-d-enquete-du-jeudi-5-fevrier-2015_811137.html

 

On apprend, qu'en plus de 32h, le nouveau boss de la CGT, veut un SMIC à 1700€

 

Intéressant aussi la petite phrase d'un syndicaliste américain de Titan : "Le patron se démène pour que son entreprise gagne de l'argent, et moi je suis sur d'une chose, c'est que s'il ne gagne plus d'argent, n'aurons plus de travail"

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La baisse du temps de travail, obsession de la CGT

INFOGRAPHIES - La CGT souhaite passer de 35 heures à 32 heures de travail hebdomadaires. Un projet qui ne résiste pas à l'épreuve des statistiques.

 

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/06/20002-20150206ARTFIG00145-la-baisse-du-temps-de-travail-obsession-de-la-cgt.php

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Dans les articles conseillés sur le même sujet: Quelles astuces pour «glander» discrètement au bureau ?

Pas de doute, on est bien en France.

Ça me rappelle un épisode des Simpson où Homer refuse de faire grève mais en fait le moins possible au travail.

Enfin je crois que c'était les Simpson.

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

 La «vraie réforme» pour la CGT : les 32 heures

Le secrétaire général du «syndicat des travailleurs», Philippe Martinez, veut renégocier le temps hebdomadaire de travail. Une position qui pourrait compromettre les prochaines discussions avec le Medef et le gouvernement.

 

[...]

 

Il veut tout simplement réduire le temps hebdomadaire de travail, à 32 heures cette fois-ci. «La répartition des richesses est déséquilibrée, analyse le secrétaire général de la CGT. Il y a potentiellement du travail pour tout le monde en France. Travailler tous est possible, à condition de partager le travail.»

 

 

 

 

 

 

http://www.lefigaro.fr/social/2015/03/22/09010-20150322ARTFIG00064-la-vraie-reforme-pour-la-cgt-les-32heures.php

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  • 1 month later...

 

EDF propose 10.000 euros à ses cadres pour travailler plus

(Boursier.com) — Depuis plusieurs mois, EDF tente de convaincre ses quelque 30.000 cadres de passer au "forfait-jours", un système qui permet de décompter le temps de travail en nombre de jours travaillés. Ce concept, déjà en vigueur dans de nombreux grands groupes français, permettrait de faire passer le nombre de jours travaillés par les cadres d'EDF de 196 par an actuellement, à 212...

Pour convaincre ses salariés, l'électricien public a proposé de verser une prime de 10.000 euros brut à chaque cadre acceptant cette évolution de son contrat de travail, révèlent 'Les Echos' du jour, citant des responsables syndicaux. En outre, la direction envisage une augmentation de salaire automatique de 2 "NR" (niveau de rémunération), chaque "NR" correspondant à 2 à 3% d'augmentation : un cadre pourrait donc obtenir de 4 à 6% de hausse de salaire immédiate en acceptant de passer au "forfait cadre autonome" à 212 jours de travail par an...

Les syndicats peu convaincus par les propositions de la direction

Ces arguments peinent pour l'instant à convaincre les syndicats de l'électricien public, qui estiment que le compte n'y est pas. Pour la CFDT, un cadre du groupe, "âgé de 40 ans en moyenne, gagne environ 4.000 euros par mois (tous revenus confondus). En payant 10.000 euros, la direction propose de lui acheter 50 jours de travail supplémentaires". Or, entre 40 et 65 ans, ce cadre devrait en contrepartie travailler "400 jours de plus" dans le système du forfait-jours. Ce serait donc "une prime de 80.000 euros que devrait proposer la direction au cadre "moyen" pour que le marché soit juste", estime la CFDT.

Les négociations vont se poursuivre dans les prochaines semaines. Après une séance plénière qui s'est tenue ce mercredi entre la direction et les syndicats, une nouvelle séance est prévue le 3 juin. La direction, soutenue par l'Etat-actionnaire sur ce projet de modernisation de sa politique de gestion des ressources humaines, maintient son objectif de boucler la négociation avant l'été. Elle indique cependant que le forfait-jours est "d'abord une démarche qui repose sur le volontariat"...

http://www.boursier.com/actualites/economie/edf-propose-10-000-euros-a-ses-cadres-pour-travailler-plus-28022.html

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