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Venezuela : l'autre grande réussite du socialisme


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Ooooooooooooooh, quelle tristesse, le socialisme bolivarien tourne à la pénurie, aux émeutes et au bain de sang...

C'est trop surprenant, ça !

 

Avec un rapport de 1 à 10 entre le cours officiel et le marché noir pour les échanges bolivars/$, le salaire mensuel moyen est de 500$ au cours officiel, et 50$ au marché noir (beaucoup plus proche du cours réel).

 

Le wealth effect dans toute sa splendeur. Pauvres venezueliens, personne ne mérite une classe politique débile à ce point là. 50$ par mois dans un pays exportateur de pétrole...

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Avec un rapport de 1 à 10 entre le cours officiel et le marché noir pour les échanges bolivars/$, le salaire mensuel moyen est de 500$ au cours officiel, et 50$ au marché noir (beaucoup plus proche du cours réel).

 

Le wealth effect dans toute sa splendeur. Pauvres venezueliens, personne ne mérite une classe politique débile à ce point là. 50$ par mois dans un pays exportateur de pétrole...

 

ouiméyaeudézéléktioneuuu

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Soutien aux vénézuéliens qui se révoltent. Le problème de ce pays c'est que l'opposition politique est franchement très bof bof et plutôt sur le mode social-démocrate européen.

Dans tous les cas je chie d'avance sur tous les franchouilles qui vont encore soutenir la révolution bolivarienne.

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Ben voilà. C'est un complot des animaux préhistoriques partouzeurs de droite américains…
 

L'expulsion du Venezuela de trois agents américains, accusés de soutenir les protestataires qui agitent le pays depuis 15 jours, a provoqué l'indignation de Washington.

Les Etats-Unis ont rejeté lundi les accusations «sans fondement et fausses» du président vénézuélien Nicolas Maduro qui a annoncé l’expulsion de trois agents consulaires américains accusés de fournir une aide aux manifestants anti-gouvernementaux à Caracas.

 
http://www.liberation.fr/monde/2014/02/17/washington-et-caracas-s-echarpent-sur-fond-de-fronde-etudiante_980881

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La propagande d'extreme gauche est juste GE-NI-ALE :

 

 

Venezuela : une énième tentative de déstabilisation La routine. C’est en substance ce que pourraient se dire les observateurs réguliers du Venezuela. En quinze ans de Révolution Bolivarienne et malgré le fait d’avoir perdu 18 élections sur 19, l’opposition refuse encore et toujours d’admettre qu’elle n’a plus le droit de diriger le pays.
André Crespin (intal)

Les faits

Ce 12 février, une manifestation menée par des étudiants liés aux partis de droite et d’extrême droite a dégénéré. Des actes de vandalisme ont été commis et des affrontements violents ont eu lieu, tant à Caracas que dans plusieurs villes de province. Le bilan est lourd : 3 morts et une soixantaine de blessés. Des appels à la désobéissance civile venant des leaders de la droite ont été relayés en boucle par les chaînes privées. Leopoldo López, la figure montante de l’opposition et l’instigateur supposé de cette nouvelle vague de déstabilisation, est recherché par la police vénézuélienne.

Ce n’est pas une coïncidence si ces événements ont lieu maintenant. En effet, depuis quelques jours, des mesures drastiques sont prises par le gouvernement pour contrer la « guerre économique » qui fait rage dans le pays. Presque quotidiennement, des hangars entiers remplis de vivres sont découverts par les forces de l’ordre gouvernementales. Les propriétaires organisent les pénuries. D’autres revendent en contrebande les biens subventionnés par le gouvernement à la Colombie voisine. Outre l’enrichissement des fraudeurs par spéculation et/ou contrebande, le but recherché est bien celui d’aiguiser le ras-le-bol populaire. Pour freiner ce processus, l’État a augmenté sensiblement ses contrôles et a durci les sanctions prévues pour les responsables de tels actes de sabotage. Dans le même temps, des menaces d’expropriation sont adressées aux propriétaires des magasins qui pratiquent des taux de profit exorbitants.

Un sabotage piloté de l’extérieur ?

Depuis le dimanche 16 février, le torchon brûle entre Washington et Caracas. John Kerry, secrétaire d’État aux affaires étrangères des États-Unis, s’est fendu d’un avertissement péremptoire :  « L’arrestation de Leopoldo López pourrait entraîner plusieurs conséquences négatives. Je demande à ce que soient interrompues les mesures judiciaires à son encontre. »

L’ingérence étasunienne, le sabotage économique sans précédent et les violences concomitantes qui l’accompagnent rappellent ce qui s’est passé au Chili en 1973. A l’époque, divers services subversifs des États-Unis avaient soigneusement étudié la manière de déstabiliser le Chili du socialiste Salvador Allende afin de justifier le coup d’État de Pinochet. Une situation qui semble vouloir se répéter. C’est en tout cas ce qu’a dénoncé le président Maduro. Il a d’ailleurs expulsé ce dimanche trois fonctionnaires de l’ambassade des États-Unis accusés d’avoir tenu à plusieurs reprises des réunions conspiratrices, dans des universités privées, visant à organiser la déstabilisation du pays. 

La presse et Twitter se déchaînent

Pour alimenter le feu de la révolte et du mécontentement populaire, la créativité de la propagande mensongère n’a pas de limite. Twitter est inondé de photos violentes : ici, les policiers frappent les manifestants. Là-bas, le sang gicle, les blessés agonisent et les cadavres jonchent les rues désertes. Si l’on ne s’en tenait qu’à ces clichés déversés par milliers sur les réseaux sociaux, on pourrait croire que le pays est à feu et à sang et que les Vénézuéliens sont victimes d’un régime sanguinaire. Mais il n’en est rien. Les photos publiées sont issues de manifestations et émeutes qui ont eu lieu en Bulgarie, au Honduras, en Syrie, en Égypte... La machine de désinformation tourne à plein régime ! Tout est bon pour alimenter la haine contre Maduro et son gouvernement. Il faut à tout prix favoriser l’insurrection. Fort heureusement, le peuple vénézuélien n’est pas dupe. Sa capacité à garder son calme dans des circonstances difficiles continue d’en étonner plus d’un.

Pour la paix

« Nous marchons pour notre Révolution, pour la paix. Pour que le pays continue d’avancer, il doit être en paix », déclarait une manifestante ce samedi à Caracas lors d’un rassemblement de soutien à Maduro. La droite vient cependant de montrer une énième fois qu’elle n’a aucune intention de laisser le pays avancer dans la direction voulue par la majorité des Vénézuéliens. Coûte que coûte, elle tentera de faire tomber la Révolution pour récupérer l’entièreté de ses privilèges d’avant 1998 – quand Hugo Chávez a remporté les élections pour la première fois. Et, pour ce faire, elle pourra compter sur le soutien indéfectible de la presse internationale et des gouvernements occidentaux qui n’attendent qu’une chose : avoir la liberté de se jeter sur les ressources pétrolières vénézuéliennes.

La tâche de Maduro s’annonce dès lors périlleuse. Mais tant que le rapport de force populaire lui sera favorable, il pourra mener à bien les réformes économiques nécessaires pour progresser pas à pas dans la construction d’une société plus juste et plus sociale.

http://www.solidaire.org/index.php?id=1340&tx_ttnews[tt_news]=38113&cHash=e392e3d0a12e4cb10be45cbd66e00bcc

 

SAY LA FAUTE AU BOURJOY PROPRIETAYR

 

Je kiffe à donf.

 

Ces gens ne reculerons devant rien.

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Une nouvelle complotite aiguë de la part de nos gauchistes favoris ?

Qu'en pense Mélenchon ? Lui qui soutenait son ami et l'appelait devant les caméras pour le féliciter de sa réélection, a-t-il un avis sur le sujet ?

Ou alors lui aussi est vendu aux impérialistes ?

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La nuit a été chaude...

 

http://www.youtube.com/watch?v=Qehljae8Fbw

 

(Attention Hb)

 

 

(CNN) -- A Venezuelan student and beauty pageant winner who was shot during an anti-government protest in the northern state of Carabobo has died, a relative told CNN Wednesday. Genesis Carmona, Miss Turismo Carabobo 2013, is the fifth victim of clashes in Venezuela.

 

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À ton avis, fieu !?

 

 

Hé manneke, bien entendu certains droits et certaines libertés fondamentales forment un horizon quasi-indépassable mais si la majorité de la population, le gouvernement et une partie de l'armée sont contre ... au fait, est-ce vrai que le Maduro, c'est un chauffeur de bus syndicaliste à la base et qu'il n'a NADA d'autres dans son cv ?

https://scontent-b-cdg.xx.fbcdn.net/hphotos-ash3/t1/1653434_287654481388024_527299291_n.jpg

Sinon c'est impressionnant la pénurie : 

http://www.maduradas.com/en-fotos-el-que-no-quede-nada-en-los-anaqueles-de-nicolas-maduro-hecho-realidad/

 

 

Je comprends mieux la blague de Coluche et des technocrates capables de créer une pénurie de sable dans le désert.

Je suis né en 1989, je n'ai donc pas connu le Bloc de l'Est et ma mère m'a raconté qu'il n'y avait rien dans les magasins à l'époque d'Allende (el pueblo te defiende ?)

Je ne m'imaginais pas voir ça dans un pays en paix surtout avec les plus grosses réserves de pétrole au monde .... 

Je ne peux me passer de la reciter : "Les USA peuvent-ils devenir socialistes ? Non, à qui le Venezuela vendrait son pétrole".

 

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Mais puisqu'on vous dit que ce sont les bourgeois qui gardent leurs entrepôts remplis !

D'ailleurs, il y a plein de photos de ces entrepôts remplis, découverts qutodiennement, qui pullulent sur Twitt... ah non, tiens.
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...certains droits et certaines libertés fondamentales forment un horizon quasi-indépassable mais si la majorité de la population, le gouvernement et une partie de l'armée sont contre ... 

 

Parce que le droit et la justice, c'est une affaire de majorité maintenant ?

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