Aller au contenu

Je suis libéral et j'ai besoin d'aide


Chitah

Messages recommandés

Je viens de remarquer qu'il n'y a pas de topic pour les petites annonces ponctuelles à caractère général visant à développer des actions libérales, de militantisme, de communication, etc.

Je commence, voici mon annonce :

Je cherche un développeur web (il peut développer en ce qu'il veut, PHP ce serait pas mal) pour réaliser la chose suivante :

- construire une base de données pas trop complexe

- produire les vues de cette base (tableaux avec tri par colonnes, petits graphiques simples, etc)

- permettre la modification de ladite base de donnée en mode crowdsourcing (ie : on peut créer son compte, on peut modifier, mais il existe deux niveaux, le niveau contributeur, et le niveau superadmin qui peut refuser ou accepter les modifs).

J'évalue la charge de travail à pas beaucoup, je dirais en tout et pour tout une dizaine de jours (pas à plein temps évidemment). J'ai besoin de ce développeur pendant les vacances d'été.

Pour postuler ou pour demander des infos complémentaires, me contacter par MP et par MP seulement, ne pas répondre ci-dessous à cette annonce sinon ce sera le bordel.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

J'ai une petite question:

Sur la masse monétaire de dollar aujourd'hui en circulation, qu'elle est la part qui fut créé par les seuls QE de la FED? Je cherche juste une fourchette par un pourcentage exacte. C'est pour avoir un ordre d'idée.

Merci.

Lien vers le commentaire
  • 4 weeks later...
  • 3 months later...

Je ne pense pas à cela. Je ne parle pas de la part de l'emploi public dans l'emploi en France.

Je parle des études qui démontrent qu'employer un fonctionnaire détruit un taux de salarié. Le rapport étant entre 1,33 et 1,5. Sur Google je n'arrive pas à trouver les références de ces études.

Lien vers le commentaire

Je ne pense pas à cela. Je ne parle pas de la part de l'emploi public dans l'emploi en France.

Je parle des études qui démontrent qu'employer un fonctionnaire détruit un taux de salarié. Le rapport étant entre 1,33 et 1,5. Sur Google je n'arrive pas à trouver les références de ces études.

 

 

Il y a Bernard Zimmern de l'Ifrap et son essai : "A tout fonctionnaire son chômeur".

 

http://www.ifrap.org/A-tout-fonctionnaire-son-chomeur,238.html

 

Il me semble qu'à une époque j'avais eu accès en ligne à une partie de la démonstration, qui de mémoire est assez éclairante.

Lien vers le commentaire

Ça y est j'ai trouvé une source:

Le nouveau président de la république Nicolas Sarkozy a fait du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite l’une des mesures emblématiques de la réforme de l’Etat. Autant d’embauches en moins, avec à la clé un impact forcément négatif sur les chiffres du chômage diront les défenseurs de l’emploi public. Ces derniers sont nombreux, à gauche comme à droite. En témoigne le volontarisme des gouvernements successifs dans les années de chômage élevé à multiplier les embauches publiques, rappelons nous des emplois jeunes, pour limiter la casse sur les si scrutées statistiques de l’emploi.

 

Pourtant, dans une perspective de long terme, la stratégie de préservation voire de création d’emplois publics tire à la hausse, et non à la baisse, les chiffres du chômage, ce qui signifie que la diminution du nombre de fonctionnaires promise par Nicolas Sarkozy devrait, à contrario, s’avérer favorable à l’emploi. Selon une étude réalisée sur la période 1960-2000 dans une petite vingtaine de pays industrialisés par les économistes Yan Algan, Pierr Cahuc et André Zylberberg, la création de 100 emplois publics a coûté en moyenne 150 emplois privés, et engendré au total 33 chômeurs supplémentaires. Lorsque le secteur public produit des biens concurrents ou substituables à ceux du secteur privé, une augmentation de l’emploi public diminue la rentabilité des emplois privés et freine donc leur création. En outre, la création d’emplois publics améliore les perspectives des chômeurs. Il en résulte une tendance à la hausse des salaires pouvant se traduire par la disparition de certains emplois privés. Enfin, en offrant des conditions attractives il incite des individus qui ne cherchaient pas d’emploi à priori à entrer sur le marché du travail. Individus qui prendront la place d’un chômeur ou qui n’auront pas de jobs et viendront donc gonfler les rangs des sans emplois. Evidemment, ces phénomènes jouent surtout dans les pays ou l’Etat exerce encore des activités concurrentielles et où les fonctionnaires bénéficient d’avantages sur les salariés du privé (retraites, sécurité de l’emploi, etc…), comme la France par exemple.

 

Les travaux des économistes de la London School of economics confirment qu’au cours des trente dernières années, le contrôle par les Etats de grands secteurs industriels a contribué à augmenter le chômage et non à le réduire. Par quel mécanisme ? Quand un pays subit des chocs économiques, comme la crise pétrolière de 1974 ou 1980, la sécurité de l’emploi devient une priorité pour les salariés. Lorsque cohabitent dans un secteur d’activité des entreprises privées et publiques, ceux qui se retrouvent sans job préfèrent rester au chômage plus longtemps en espérant trouver un poste dans une entreprise nationalisée plutôt que d’accepter tout de suite un job non « protégé » dans une société privée. Ce n’est pas un hasard si les pays dans lesquels le chômage a le plus augmenté entre 1970 et 1990 ( Suède, Danemark, Finlande, France Espagne) sont également ceux dans lesquels la croissance de l’emploi public a été la plus rapide.

Plus globalement, une étude des économistes de l’université d’Helsinki fondée sur l’observation des liens entre les effectifs du secteur public et le dynamisme de la production des sociétés privées dans 22 pays de l’OCDE entre 1960 et 1996 confirme ce résultat: dès que la taille de l’Etat dépasse un certain seuil, celui-ci devient un frein à la croissance, l’effet « accélérateur » de l’action publique devenant plus faible que l’effet « frein » des prélèvements fiscaux. Trois pays seraient particulièrement pénalisés: l’Italie, le Japon, et une fois de plus la France.

Elle vient de m'être envoyée. C'est un article d'E. Lechypre.
Lien vers le commentaire

comm21.png?w=640

 

Croissance structurelle du PNB français (échelle de droite) Ratio des valeurs ajoutées en francs courants selon l’Insee    Source : GaveKal Research

 l’économie capitaliste et l’économie communiste (Etat)

Depuis 1978, comme chacun peut le voir, la part de l’économie «libre» par rapport à celle de l’économie commu-niste ne cesse de baisser. La deuxième information, celle que nous cherchons à expliquer, apparaît sur l’échelle de droite (en pointillé). Il s’agit du taux de croissance moyen des sept dernières années (2002-2009) et qui constitue une bonne approximation du taux de croissance structurel de l’économie française.

L’évidence est accablante: plus la part de l’État dans l’économie est forte (ie les fonctionnaires), plus la croissance est faible.Plus la croissance est faible, plus le taux de chômage monte. Plus le taux de chômage monte, plus les dépenses de l’État augmentent.

Et plus la croissance est faible… 

Lien vers le commentaire

Quant à l'étude de Cahuc & co, c'est du bricolage économétrique. Il faut des pouvoirs surnaturels pour prétendre affirmer qu'un emploi public détruit 1,5 emplois privés. Même si tous les éléments théoriques utilisés par les auteurs étaient corrects, il leur faudrait lire les pensées de tout le monde pour mesurer l'impact sur les offres et demande de travail. Je trouve quand même curieux qu'on s'excite sur les méthodes des climatologues quand leurs résultats sont "réchauffistes" et qu'on prenne pour argent comptant les travaux quantitatifs d'économistes qui avancent au doigt mouillé quand le résultat nourrit des conclusions favorables au libéralisme. Il est pourtant bien plus aisé de s'attaquer aux méthodes desdits économistes que des climatologues.

Lien vers le commentaire

Bon, en tout cas, une chose est sûre : sans secteur privé concurrentiel, il n'y aurait pas de création de richesse ; sans création de richesse, il n'y aurait rien à prélever pour financer la fonction publique (l'Etat ne peut pas ponctionner la fonction publique pour financer la fonction publique car ça se mord la queue...). L'Etat a donc besoin du secteur privé concurrentiel, et les sociaux-démocrates les plus radicaux - à moins d'être idiots - ne peuvent pas faire autrement que souhaiter et défendre son existence et son développement. Or cela implique des impôts simples, peu nombreux, proportionnels et à taux bas, pour éviter de scier la branche sur laquelle on est assis, donc une fonction publique forcément restreinte, surtout si le secteur privé concurrentiel se porte mal. Voilà, avec un simple raisonnement comptable basique, comment on devrait pouvoir convertir un soc-dem au libéralisme (au moins à une forme modérée et utilitaire de libéralisme).

Lien vers le commentaire

Quant à l'étude de Cahuc & co, c'est du bricolage économétrique. Il faut des pouvoirs surnaturels pour prétendre affirmer qu'un emploi public détruit 1,5 emplois privés.

Je le prends plutôt comme une constatation historique, et si cela ne présage effectivement pas de l'avenir, l'information apportée n'en est pas nulle pour autant. Après, on peut toujours prendre la précaution oratoire "Toutes choses égales par ailleurs" pour dire qu'un emploi public détruit 1,5 emplois privés.

Lien vers le commentaire

C'est une banale regression Xara, qui ne presage pas du futur. Constatation d'un phenemone évident : plus de fonctionnaires = plus de taxes ou de deficit donc moins pour le prive et donc chute de celui-ci. Le privé etant plus efficace, la somme est negative. On est a mille lieues des modeles foireux a milliers d'hypotheses du giec.

Lien vers le commentaire

Même si on prend ces chiffres comme une constatation historique ne présageant pas de l'avenir, il reste encore deux difficultés :

 

1° Ils sont en général accompagnés par une explication fallacieuse de la façon dont une hausse de l'emploi public pourrait conduire à une augmentation du chômage. L'idée sous-jacente est en effet que l'embauche des fonctionnaires, en engendrant une hausse des dépenses publiques, générerait une baisse des profits qui limiterait directement l'embauche privée.

 

Or, en tant que telle, la baisse des profits (ou de la demande globale), n’a pas d’influence sur le nombre de personnes employées. Elle se traduit ‘seulement’, via la baisse de la productivité, par une diminution des salaires. En tant que telle, contrairement à ce que soutenait Keynes, elle ne crée pas de chômage.

 

Pour qu’elle génère du chômage, il faut un élément supplémentaire : (i) soit que la baisse de la productivité se heurte à un coût complet employeur minimum (à savoir : salaires minima légaux ou syndicaux + coûts d’embauche + coûts des licenciements potentiels + coûts liés à la représentation syndicale..), (ii) soit que, à ce niveau réduit de salaire, moins de gens soient incités à travailler.

 

2° Ils présentent implicitement la « création d’emplois » comme un objectif intrinsèque. En réalité, les emplois sont naturellement surabondants. Ils ne sont raréfiés que par l’intervention artificielle de l’Etat et des syndicats. L’élément rare, c’est la main-d’œuvre, pas l’emploi de main-d’œuvre. 

Lien vers le commentaire

C'est une banale regression Xara, qui ne presage pas du futur. Constatation d'un phenemone évident : plus de fonctionnaires = plus de taxes ou de deficit donc moins pour le prive et donc chute de celui-ci. Le privé etant plus efficace, la somme est negative. On est a mille lieues des modeles foireux a milliers d'hypotheses du giec.

 

Mais je n'ai pas parlé du futur ! On parle d'une photo à un moment ou période donné(e). La "banale régression" est un substitut à l'estimation par une créature omnisciente de l'impact quantitatif sur les demandes et offres de tout le monde. Il devrait être clair que ce n'est pas parce que son usage est banal que ça rend la démarche particulièrement solide. Et la régression et la conclusion des 1.5 ne reviennent pas à constater un phénomène évident. La seule chose "évidente" en la matière est que l'embauche par l'Etat prive le secteur privé de main d'oeuvre, non qu'il doit y avoir plus d'emplois détruits que créés. "Le privé étant plus efficace, la somme est négative" je ne sais pas ce que ça veut dire. De toute façon raisonner sur une quantité de travail en faisant abstraction des prix n'a pas de sens. A vrai dire, je ne vois pas pourquoi il y aurait du chômage involontaire permanent si ce n'est via la législation sur le salaire minimum. Par conséquent, l'embauche de fonctionnaires en soi n'y ferait rien. Aussi, pour que l'embauche de fonctionnaires ait un impact négatif sur l'emploi indirectement, il faudrait qu'elle affecte d'une manière ou d'une autre la demande de travail à la baisse et/ou l'offre à la hausse pour des taches dont le niveau de productivité marginale est autrement juste au dessus du salaire minimum. Ca n'a rien de trivial.

Lien vers le commentaire

Bon, en tout cas, une chose est sûre : sans secteur privé concurrentiel, il n'y aurait pas de création de richesse ; sans création de richesse, il n'y aurait rien à prélever pour financer la fonction publique (l'Etat ne peut pas ponctionner la fonction publique pour financer la fonction publique car ça se mord la queue...). L'Etat a donc besoin du secteur privé concurrentiel, et les sociaux-démocrates les plus radicaux - à moins d'être idiots - ne peuvent pas faire autrement que souhaiter et défendre son existence et son développement. Or cela implique des impôts simples, peu nombreux, proportionnels et à taux bas, pour éviter de scier la branche sur laquelle on est assis, donc une fonction publique forcément restreinte, surtout si le secteur privé concurrentiel se porte mal. Voilà, avec un simple raisonnement comptable basique, comment on devrait pouvoir convertir un soc-dem au libéralisme (au moins à une forme modérée et utilitaire de libéralisme).

 

Exactement, et c'est pourquoi on devrait y réfléchir à deux fois avant de faire des tapes dans le dos à divers politiciens plus ou moins réformistes et à tomber dans leurs bras (quand on fait de la politique). Si un politicien authentiquement intéressé à se couper l'herbe sous le pied va être une anomalie, alors il faut interpréter les vélléités de politiciens à libéraliser/privatiser comme des techniques de gouvernement visant à pérenniser le pouvoir (pour ne pas qu'il s'écroule sous son propre poids). C'est là que les libéraux risquent de se faire récupérer en idiots utiles comme fournisseurs de rationalisations pour aider les princes à gérer leurs affaires au mieux.

Lien vers le commentaire

Si un politicien authentiquement intéressé à se couper l'herbe sous le pied va être une anomalie, alors il faut interpréter les vélléités de politiciens à libéraliser/privatiser comme des techniques de gouvernement visant à pérenniser le pouvoir (pour ne pas qu'il s'écroule sous son propre poids). C'est là que les libéraux risquent de se faire récupérer en idiots utiles comme fournisseurs de rationalisations pour aider les princes à gérer leurs affaires au mieux.

Faut-il pour autant prôner la grève ou se réjouir des mesures anti-libérales, puisqu'elles nous mèneraient plus rapidement dans le mur? Ou alors il ne faudrait se battre que pour un certain type de mesures libérales? Par exemple celle de la liberté d'éducation qui permet d'éviter la propagande de l'EdNat, ou la fin des subventions à la presse.

Lien vers le commentaire

Personne ne l'a dit.

Simplement si adopter des mesures libérales peut mener à pérenniser le pouvoir, alors, sous certaines conditions, prendre des mesures anti-libérales (nationalisation de pans entiers de l'économie par exemple) pourrait à l'inverse raccourcir le règne. Et par là une stratégie pourrait être de ne pas lutter contre ces mesures, et ainsi de ne pas jouer les "idiots utiles".

Lien vers le commentaire

Personne ne l'a dit.

Simplement si adopter des mesures libérales peut mener à pérenniser le pouvoir, alors, sous certaines conditions, prendre des mesures anti-libérales (nationalisation de pans entiers de l'économie par exemple) pourrait à l'inverse raccourcir le règne. Et par là une stratégie pourrait être de ne pas lutter contre ces mesures, et ainsi de ne pas jouer les "idiots utiles".

 

Il faut en tout cas faire très attention à ne pas prendre pour des mesures libérales des mesures de bonne gestion socialiste. (je pense en particulier aux dossiers comme les retraites, le contrôle des chômeurs, etc)

Lien vers le commentaire
  • 1 month later...

Qui peut me dire comment trouver l'historique des résultats qui apparaissaient pour une recherche Google sur un terme ? En l'occurence une entreprise qui a fait disparaitre les résultats compromettants de Google et pour laquelle j'aimerais pouvoir le prouver.

 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...