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Hollande plus socialiste encore que Sarkozy


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Ça me rappelle les repas de famille chez mon ex. Ça allait du père gentiment social-démocrate à la mère chrétienne communiste, avec toute une ribambelle d'altermondialeux entre les deux.

La gueule qu'ils ont fait en découvrant au bout de trois ans que je votais Dupont-Aignan  :icon_mdr:

 

Rien que pour le délire, tu aurais du mentir et te faire passer pour un électeur du FN. La réaction de ces gens là est souvent à p***** de rire, et je pèse mes mots.

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Le pire c'est qu'ils étaient sympa, et intelligents. Pas des gens qui voulaient piquer le pognon des autres par méchanceté ou bêtise, mais juste des gens persuadés d'être dans le Camp du Bien.

L'Enfer est pavé de bonnes intentions.

 

De toute évidence, la plupart des socialistes n'ont simplement pas conscience qu'il existe une alternative logique et efficace à leur doctrine sans pour autant être inhumain et maléfique (les préjugés ont la vie longue). Et c'est triste, tragique même quand leur "Grand Soir" est arrivé et qu'il se passe exactement l'inverse de ce qu'ils voulaient... sans se remettre en question.

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Ras le bol du "ras-le-bol fiscal" !

LE MONDE | 20.09.2013

 Louis Maurin, Directeur de l'Observatoire des inégalités

 

L'arme utilisée par les détracteurs de l'impôt est le taux de prélèvements obligatoires rapporté à la richesse nationale, l'un des plus élevés au monde. Un chiffre sans valeur, car il compare des services qui n'ont rien à voir. Nos voisins britanniques savent qu'il n'est pas plus favorable de payer un service privé de garderie ou un fonds de pension pour sa retraite que des impôts.

 

Qui en a ras le bol ? A la question "voulez-vous payer moins d'impôts ?" dans un sondage, vous obtiendrez toujours une large majorité de oui. L'opération "ras-le-bol" est d'abord un mouvement des catégories aisées pour éviter de participer au redressement des finances du pays. L'ampleur de la récession et l'alternance politique les avaient mis en sourdine, elles reprennent de la voix.

 

Refuser cette démagogie n'empêche pas de chercher à comprendre ceux qui peuvent avoir le sentiment de ne pas en avoir pour leur argent. Notamment les jeunes célibataires, qui ont oublié leur scolarité quasi gratuite(...)

 

D'un côté, ces couches moyennes ont vu se développer les politiques sous conditions de ressources pour les catégories populaires, dont elles sont écartées. De l'autre, elles n'ont pas profité des cadeaux fiscaux effectués entre 2000 et 2010. Notre pays a besoin d'aller au rebours des logiques de "ciblage" actuelles sur les plus pauvres pour redonner de l'universalisme à l'action publique.

 

 

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Après la déconstruction du sentiment d'insécurité, le nouveau mot d'ordre des journaux de gouvernement est "déconstruire le sentiment de ras le bol fiscal."

 

Le "ras le bol fiscal" est-il une construction médiatique ?

28.09.2013

 

Le "ras le bol fiscal" est l'expression à la mode dans le monde politico-médiatique depuis un mois. Y a-t-il vraiment un ras le bol plus important depuis un an ? Est-ce un fait social avéré ? Ou une construction médiatique populiste à partir d'une communication politique confuse ? Ou bien la traduction d'une vieille histoire de relations complexes entre la presse et l'impôt ? Et les hausses d'impôts sont-elles aussi évidentes que ça ?

 

Pour en parler : 

- Patrick Roger, journaliste économique au service politique du journal Le Monde

- Luc Peillon, rédacteur en chef adjoint, journaliste au service économique de Libération

Olivier Lorthios, chef adjoint du service économique et social de TF1
Isabelle Veyrat-Masson, historienne et sociologue des médias

 

La construction du ras-le-bol fiscal

http://www.inegalites.fr/spip.php?page=analyse&id_article=1832&id_rubrique=64&id_mot=30&id_groupe=9

 

Vertiges de l'esprit critique degauche...

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Après la déconstruction du sentiment d'insécurité, le nouveau mot d'ordre des journaux de gouvernement est "déconstruire le sentiment de ras le bol fiscal."

Je ne comprends pas ce qui est contradictoire : 

- les français sont de plus en plus nombreux à en avoir ras le bol des impots, on l'a vu à la conférence Contrepoints par exemple, des professions se révoltent

- simultanément, des acteurs construisent un storytelling autour de tout cela. Notamment Contrepoints d'une certaine manière avec cette conférence, construire un storytelling n'est pas mentir ni arranger la réalité, c'est construire une narration

- d'autres acteurs cherchent eux à construire un storytelling différent, expliquant que tout cela n'est qu'une illusion

 

En quoi ces trois choses sont-elles contradictoires? Elles coexistent simultanément dans la réalité non?

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Je parle de la dernière opération de communication du gouvernement par ses divers organes de presse, en l'occurrence les "décrypteurs" de Libé et autres "décodeurs" du Monde. La méthode du déni, ou le storytelling, ne change pas : après avoir expliqué aux gens qu'ils ont tort d'éprouver un sentiment d'insécurité, les mêmes journalistes expliquent que le ras-le-bol fiscal est une invention médiatique.

 

Il n'y a rien de contradictoire, c'est une extension.

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Ce que FJ pointe, je pense à raison, c'est que malgré la faible audience des médias, ils sont lus et commentés par "ceux qui comptent" (i.e. ceux qui croient faire l'opinion et ceux qui, in fine, orientent l'activité politique plus ou moins effervescente du pays).

Autrement dit, non seulement il y a déni, mais ils s'enferrent dedans et ceux qui "s'informeront" à ces sources ne comprendront pas ce qui va leur arriver.

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De mon côté je conteste l'importance de cette diffusion de l'idée de "sentiment" d'insécurité. Un ou deux gogols ont dit cela un jour, toute la Terre ne fait que le répéter depuis, alors qu'il ne se passe pas un jour sans qu'il y ait au moins 5 ou 10 chaines françaises qui parlent de faits divers, de meurtres, de cambriolages, etc.

 

Si tu veux, c'est un peu comme "chance pour la France" ou "jeunes déçus" ou "je vends du temps de cerveau disponible" ou "on ne peut pas accueilir toute la misère du monde". Cela a été écrit juste une seule fois dans un seul journal par un seul auteur, mais les esprits qui aiment la superficialité du storytelling sautent sur la phrase et la répètent jusqu'à l’écœurement. Alors qu'elles sont liées à une anecdote microscopique, ces phrases cristallisent une idée fausse, un biais cognitif naturel de l'homme (biais qui sont : on nous cache tout on nous dit rien, on nous manipule, ILS savent mais ILS ne disent rien, etc.)

 

Sur le fond, bien entendu, tout cela est du pipeau.

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De mon côté je conteste l'importance de cette diffusion de l'idée de "sentiment" d'insécurité. Un ou deux gogols ont dit cela un jour, toute la Terre ne fait que le répéter depuis, alors qu'il ne se passe pas un jour sans qu'il y ait au moins 5 ou 10 chaines françaises qui parlent de faits divers, de meurtres, de cambriolages, etc.

 

 

 

Ah je suis pas d'accord avec toi sur ce coup. Je pense vraiment qu'il s'agit d'un truc repris en boucle par tous les acteurs du débat public, et je peux même proposer une explication d'une telle diffusion : quand les politiques commencent à reprendre des concepts sociologiques, c'est en général pour les transformer en outils de communication publique (fracture sociale, vivre ensemble, que sais-je encore). 

 

Pourquoi un politicien s'engagerait pour lutter contre le sentiment d'insécurité plutôt que pour l'insécurité elle-même ?

 

Là encore, il y a une explication simple (et qui me semble conforme à la fois à la médiocrité conformiste de l'ensemble du personnel politique de ces 30 dernières années) : il est plus facile d'engager des crédits pour lutter contre ce sentiment que contre l'insécurité elle-même, qui quand on y pense, est politiquement coûteux : soit d'un côté tu envoies vraiment le gign dans les cités, et c'est 2005 donc c'est la merde, soit tu ne fous rien parce que finalement le personnel politique n'a pas de marge de manoeuvre sur la question (cf notre discussion sur Mosco à propos des tondus) et tu passes pour un blaireau auprès de tes électeurs.

 

En d'autres termes, si tu choisis de lutter contre l'insécurité, tu envoies les flics l'armée et toutes ces sortes de choses avec comme risque à la clef la sanction électorale, si tu luttes contre le sentiment d'insécurité, tu achètes des salles de sports, tu subventionnes des assos, tu fais de la politique de la ville pour les pauvres et du lip service pour les CSP. Donc du point de vue du politicien, c'est quand même plus gratifiant. 

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Ah je suis pas d'accord avec toi sur ce coup. Je pense vraiment qu'il s'agit d'un truc repris en boucle par tous les acteurs du débat public, et je peux même proposer une explication d'une telle diffusion : quand les politiques commencent à reprendre des concepts sociologiques, c'est en général pour les transformer en outils de communication publique (fracture sociale, vivre ensemble, que sais-je encore). 

 

Pourquoi un politicien s'engagerait pour lutter contre le sentiment d'insécurité plutôt que pour l'insécurité elle-même ?

 

Là encore, il y a une explication simple (et qui me semble conforme à la fois à la médiocrité conformiste de l'ensemble du personnel politique de ces 30 dernières années) : il est plus facile d'engager des crédits pour lutter contre ce sentiment que contre l'insécurité elle-même, qui quand on y pense, est politiquement coûteux : soit d'un côté tu envoies vraiment le gign dans les cités, et c'est 2005 donc c'est la merde, soit tu ne fous rien parce que finalement le personnel politique n'a pas de marge de manoeuvre sur la question (cf notre discussion sur Mosco à propos des tondus) et tu passes pour un blaireau auprès de tes électeurs.

 

En d'autres termes, si tu choisis de lutter contre l'insécurité, tu envoies les flics l'armée et toutes ces sortes de choses avec comme risque à la clef la sanction électorale, si tu luttes contre le sentiment d'insécurité, tu achètes des salles de sports, tu subventionnes des assos, tu fais de la politique de la ville pour les pauvres et du lip service pour les CSP. Donc du point de vue du politicien, c'est quand même plus gratifiant. 

Je suis d'accord avec tout sauf ce qui est souligné : ici il s'agit moins d'envoyer le GIGN dans les cités que de s'interroger sur la raison qui fait que perdure dans certaines zones des activités illégales, à commencer par le voisinage immédiat de mon domicile (des gens roulent des joints dans la rue au vu et au su de tout le monde, et vendent du shit). Lois inadaptées? Mauvaise organisation de la police? Corruption? Oisiveté? Etc.

 

Il faut à mon sens cesser de colporter l'idée comme quoi il y aurait des places fortes imprenables. Tiens j'aurais une question (que évidemment aucun journaliste ne se pose) : lorsque les flics saisissent une arme, une de ses fameuses kalachnikov, est-elle examinée pour déterminer combien de délits ou crimes ont été commis avec elle? En d'autres termes, la question est : combien y-at-il d'armes réellement? Est-ce qu'il n'y a pas juste une ou deux kalach par cité, louée par les uns et les autres temporairement? Je crois que c'est plutôt ça qui est proche de la vérité.

 

Le RAID ou le GIGN, c'est pour des cas comme le gang de Roubaix, pas pour les petites frappes de cité.

 

Bref : ce bémol mis, je suis d'accord avec le reste.

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Je suis d'accord avec tout sauf ce qui est souligné : ici il s'agit moins d'envoyer le GIGN dans les cités que de s'interroger sur la raison qui fait que perdure dans certaines zones des activités illégales, à commencer par le voisinage immédiat de mon domicile (des gens roulent des joints dans la rue au vu et au su de tout le monde, et vendent du shit). Lois inadaptées? Mauvaise organisation de la police? Corruption? Oisiveté? Etc.

 

Il faut à mon sens cesser de colporter l'idée comme quoi il y aurait des places fortes imprenables. Tiens j'aurais une question (que évidemment aucun journaliste ne se pose) : lorsque les flics saisissent une arme, une de ses fameuses kalachnikov, est-elle examinée pour déterminer combien de délits ou crimes ont été commis avec elle? En d'autres termes, la question est : combien y-at-il d'armes réellement? Est-ce qu'il n'y a pas juste une ou deux kalach par cité, louée par les uns et les autres temporairement? Je crois que c'est plutôt ça qui est proche de la vérité.

 

Le RAID ou le GIGN, c'est pour des cas comme le gang de Roubaix, pas pour les petites frappes de cité.

 

Bref : ce bémol mis, je suis d'accord avec le reste.

 

Je dis gign ou gipn, mais j'aurais pu dire bac, ou flics du coin. Mon propos portait essentiellement sur le "sentiment d'insécurité", est pourquoi cette expression était assez répandue parmi les politiques. Je ne parle pas de "places fortes imprenables", mais de cités pourries par l'économie parallèle que les politiques n'ont aucun intérêt à embraser s'ils veulent être réélu.

Le petit personnel, flics compris, règle son pas sur les édiles, ce qui est ama logique et tout à fait rationnel : les élus achètent la paix civile, les flics sont donc priés de faire profil bas chez les pauvres et patrouiller en centre ville pour rassurer ceux qui votent, et bim. 

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De ce que j'en sais, lorsqu'une arme est saisie, sauf certains cas de meurtre, elle n'est qu'entreposée à moisir quelque part. Ça couterait trop cher de tout tester, je suppose. Et ainsi que je l'ai évoqué dans un autre thread, le trafic d'armes est conséquent, au moins chez moi. Et je persiste à affirmer qu'il y a des coins où ça chauffe sévèrement. Je croise souvent les débiles de Roubaix et apparentés qui vadrouillent en centre-ville à ennuyer les gens, à sans cesse demander des clopes et du fric en boucle et à se foutre de la gueule du monde et à chercher les ennuis.

Je ne sais pas si c'est exclusif aux grandes villes, mais que ce soit dans le métro ou en ville, je me méfie tout le temps.

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Les stocks d'armes a colombes sont plus importants que les armureries que je connais. Cela dit ce sont les munitions, j'en ai jamais vu le moindre carton. Sur la drogue, les flics arrivent, les dealers se barrent, les clients qui attendaient restent. Rien a voir. Deux heures plus tard les dealers reviennent. Quand un mec de la voirie veut creuser, il demande d'abord aux dealers si ca ne gene pas, au cas ou il tomberait par megarde sur une cache. D'ailleurs dans les cites, je sonde toujours discretement les bacs a sable pour enfant. Une paire de fois, la recolte fut epic. Bref pour faire disparaitre un ou deux ans ces reseaux il faut le soutien des habitants, et parler a la police, c'est un suicide social, la honte voir un danger de mort. Du coup les balances sont souvent des dealers concurrents, qui du coup, peuvent travailler avec la benediction de la police. Et politiquement parlant, pour conserver le peu d'ordre social qui reste, il FAUT que les mecs crament du shit. Le temps qu'ils passent a fumer, c'est du temps en moins pour se revolter contre l'etat. La paix sociale, c'est gta5 et du shit. Le pacte republicain ne va pas plus loin en vrai.

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Pour les munitions, en général, il y a des fournisseurs de bastos qui sont souvent différent de ceux qui filent les armes. Les trafiquants d'arme vendent en général les vieilles pétoires soviétiques avec un chargeur parfois plein, et rien de plus. Mais effectivement, je n'ai jamais rencontré de type qui les vendait.

 

Quant au reste concernant le pacte républicain, la messe est dite.

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De ce que j'en sais, lorsqu'une arme est saisie, sauf certains cas de meurtre, elle n'est qu'entreposée à moisir quelque part. Ça couterait trop cher de tout tester, je suppose. Et ainsi que je l'ai évoqué dans un autre thread, le trafic d'armes est conséquent, au moins chez moi. Et je persiste à affirmer qu'il y a des coins où ça chauffe sévèrement. Je croise souvent les débiles de Roubaix et apparentés qui vadrouillent en centre-ville à ennuyer les gens, à sans cesse demander des clopes et du fric en boucle et à se foutre de la gueule du monde et à chercher les ennuis.

Je ne sais pas si c'est exclusif aux grandes villes, mais que ce soit dans le métro ou en ville, je me méfie tout le temps.

On ne sait donc pas réellement combien il y a d'armes dans telle cité de banlieue ou telle grande ville de bord de mer?

 

Les stocks d'armes a colombes sont plus importants que les armureries que je connais. Cela dit ce sont les munitions, j'en ai jamais vu le moindre carton. Sur la drogue, les flics arrivent, les dealers se barrent, les clients qui attendaient restent. Rien a voir. Deux heures plus tard les dealers reviennent. Quand un mec de la voirie veut creuser, il demande d'abord aux dealers si ca ne gene pas, au cas ou il tomberait par megarde sur une cache. D'ailleurs dans les cites, je sonde toujours discretement les bacs a sable pour enfant. Une paire de fois, la recolte fut epic. Bref pour faire disparaitre un ou deux ans ces reseaux il faut le soutien des habitants, et parler a la police, c'est un suicide social, la honte voir un danger de mort. Du coup les balances sont souvent des dealers concurrents, qui du coup, peuvent travailler avec la benediction de la police. Et politiquement parlant, pour conserver le peu d'ordre social qui reste, il FAUT que les mecs crament du shit. Le temps qu'ils passent a fumer, c'est du temps en moins pour se revolter contre l'etat. La paix sociale, c'est gta5 et du shit. Le pacte republicain ne va pas plus loin en vrai.

C'est beau, c'est poétique, mais c'est du vent, il n'y a pas la moindre preuve, aucun mot clé type "donc" ou "par conséquent", il s'agit donc de blabla absolu.

Pour faire disparaître ces réseaux, il y a une méthode efficace, la légalisation du cannabis. Tout le reste (envoyer l'armée FUCK YEAH, autoriser la police à tirer dans le tas FUCK YEAH, etc.) est du blabla, du vent.

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On ne sait donc pas réellement combien il y a d'armes dans telle cité de banlieue ou telle grande ville de bord de mer?

 

Non, vraiment, on ne sait pas. Mais il y en a, ça c'est clair.

 

Et j'approuve ta solution, je me suis dit plusieurs fois que ça réglerait bien les choses. Et qui sait, si on leur retire ces sources de revenus, peut-être que les mecs qui zonent toute la journée iront en cours, ou au travail, ou ailleurs. Bref, qu'ils arrêteront de zoner.

Mais en attendant, que faire ? J'ai du mal à ne pas haïr les débiles qui veulent me voler mes affaires et qui me forcent, soit à me battre, soit à courir. Je veux dire par là qu'il y a un réel problème, ne serait-ce que dans les grandes villes. Et encore, quant à moi, ça passe parce que je fais gaffe et je sais où je vais, mais bordel, y'a vraiment des moments où je crains pour ma vie.

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C'est beau, c'est poétique, mais c'est du vent, il n'y a pas la moindre preuve, aucun mot clé type "donc" ou "par conséquent", il s'agit donc de blabla absolu.

C'est toi même qui faisait remarquer avec justesse que lors des émeutes de 2005, certaines cités (Nanterre par exemple) n'avaient pas brûlé. Or, ce sont les cités où le trafic de drogue est l'un des plus maillé et les plus florissant. Et c'est logique, du reste : les dealers n'aiment pas voir des opérations de police, des voitures qui crament et tout le bordel : pour les affaires, c'est pas top.

Donc ce que dit Sanksion est malheureusement à la limite du lieu commun.

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