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Valeurs et société


Messages recommandés

Croire qu'on développe une pensée géniale en se tenant à l'écart des connaissances constituées est tout simplement puéril. La première chose que doit savoir le sage, c'est qu'il ne sait pas. La certitude de la connaissance est signe de crétinité.

Sauf que cette formule n'est pas tout à fait opportune, parce qu'à mon sens, elle parachève plutôt la connaissance plutôt qu'elle ne l'initie.

Sinon, il me semble, comme d'autres l'ont dit, qu'il y a confusion chez Anthropo entre liberté philosophique et liberté politique.

Le projet du libéralisme concerne la liberté politique pas la liberté philosophique.

La liberté philosophique est une quête individuelle, métaphysique, spirituelle où les conditions difficiles et les contraintes les plus diverses sont parfois des avantages sur ce chemin escarpé.

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Nous voulons que le système change, pas la nature humaine. Nous ne sommes pas des socialistes.

La miss ne dit pas le contraire pour le coup.

Sauf que cette formule n'est pas tout à fait opportune, parce qu'à mon sens, elle parachève plutôt la connaissance plutôt qu'elle ne l'initie.

C'est pourquoi j'ai employé le mot sage, qui implique déjà un achèvement.

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:facepalm:

Cognez vous la tête si vous voulez, mais prenez le cas des phobies par exemple.

Isaac ASIMOV, pour ne citer que lui, était à la fois savant et conteur génial et pourtant atteint d'agoraphobie, à la fois ancré dans le réel et dans l'irréel.

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Sauf que cette formule n'est pas tout à fait opportune, parce qu'à mon sens, elle parachève plutôt la connaissance plutôt qu'elle ne l'initie.

Sinon, il me semble, comme d'autres l'ont dit, qu'il y a confusion chez Anthropo entre liberté philosophique et liberté politique.

Le projet du libéralisme concerne la liberté politique pas la liberté philosophique.

La liberté philosophique est une quête individuelle, métaphysique, spirituelle où les conditions difficiles et les contraintes les plus diverses sont parfois des avantages sur ce chemin escarpé.

Sans doute qu'il y a confusion quelque part, peut-être parce que je considère que l'un ne va pas sans l'autre….

Tu peux jamais t'arrêter de dire des sottises ?

Alors répète après moi : le cerveau n'invente pas d'informations. Jamais.

Démontre moi en quoi ce que je dis est sot STP

La miss ne dit pas le contraire pour le coup.

Merci Apollon

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Sans doute qu'il y a confusion quelque part, peut-être parce que je considère que l'un ne va pas sans l'autre….

Pourtant, la démarche est bien différente, la liberté philosophique est une conquête sur soi, une victoire sur ses propres penchants qui peut s'accomoder de n'importe quelle situation extérieure, voire même préférer les situations les plus difficiles qui obligent à évoluer, tandisque la liberté politique est une forme d'organisation de la société.

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Pourtant, la démarche est bien différente, la liberté philosophique est une conquête sur soi, une victoire sur ses propres penchants qui peut s'accomoder de n'importe quelle situation extérieure, voire même préférer les situations les plus difficiles qui obligent à évoluer, tandisque la liberté politique est une forme d'organisation de la société.

Pourquoi cloisonner deux démarches si de toute manière elles doivent se rejoindre ?

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Tu peux jamais t'arrêter de dire des sottises ?

Alors répète après moi : le cerveau n'invente pas d'informations. Jamais.

Voila qui mériterait un approfondissement.

J'imagine que c'est dans le terme "inventer" surtout que se cache les problèmes sémantiques.

Je vois au moins un cas : un neurone qui atteint un seuil d'exitation suffisant pour lancer un potentiel d'action simplement à cause des fluctuations du milieu. Tout seul, comme un grand. Un bit gratuit.

Ensuite faudra définir "information", parce qu'on peut légitimement dire qu'une hallucination est une information cognitive inventée par le cerveau.

En revanche je ne comprend pas non plus anthropo lorsqu'elle dit "est aussi capable d'inventer des informations qui n'existent pas dans le monde physique"…

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Pourquoi cloisonner deux démarches si de toute manière elles doivent se rejoindre ?

Je n'ai pas dit qu'il fallait nécessairement cloisonner, mais la liberté évoquée sur ce forum concerne avant tout l'aspect politique, c'est à dire le libéralisme, mais libre à toi de pratiquer les 2, de parler des 2 à condition de bien faire la distinction parce qu'il s'agit de concepts dont le sens est différent, les implications différentes…quant à savoir si les 2 se rejoignent, ce n'est pas certain.

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Voila qui mériterait un approfondissement.

J'imagine que c'est dans le terme "inventer" surtout que se cache les problèmes sémantiques.

Je vois au moins un cas : un neurone qui atteint un seuil d'exitation suffisant pour lancer un potentiel d'action simplement à cause des fluctuations du milieu. Tout seul, comme un grand. Un bit gratuit.

Ensuite faudra définir "information", parce qu'on peut légitimement dire qu'une hallucination est une information cognitive inventée par le cerveau.

En revanche je ne comprend pas non plus anthropo lorsqu'elle dit "est aussi capable d'inventer des informations qui n'existent pas dans le monde physique"…

Exemple, la métaphysique, qu'Aristote évoquait déjà bien avant les travaux de Charles RICHET, prix Nobel de médecine….

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Exemple, la métaphysique, qu'Aristote évoquait déjà bien avant les travaux de Charles RICHET, prix Nobel de médecine….

La métaquoi ?

Celle-là ? Partie fondamentale de la réflexion philosophique qui porte sur la recherche des causes, des premiers principes.

Ou celle là, que je vous conseille de lire avec attention : Abus de considérations abstraites, qui, au lieu d'éclairer la pensée, ne font que l'obscurcir

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Vous êtes cette part de vous qui vous rend propre, unique et indépendant de tout ça.

C'est amusant, tout ça m'évoque la réflexion philosophique sur la matière en soi. Si on prend un morceau de matière, disons un livre ou un chat, et qu'on lui enlève toutes ses propriétés phénoménologiques (ce que peut percevoir un observateur : couleur, texture, chaleur…), reste-t-il quelque-chose, et si oui quoi ?

Ce qui me paraît à peu près certain, c'est que ce qui subsisterait après un tel traitement n'aurait aucune qualité propre qui permettrait de le distinguer de quoi que ce soit d'autre.

Là, ce qui nous intéresse, c'est ce qui resterait d'un être humain si on le désincarnait totalement de tout ce qui le conditionne : son corps, son histoire, ses habitudes de pensée…

Eh bien, si on part du principe qu'il en restera quelque-chose, on peut raisonner de la même manière que pour la matière. Cette chose, loin de constituer quelque chose d'unique et propre à une personne, sera une "matière première psychique" informe, la même pour tout le monde.

Certes, mais le système que vous voulez meilleur, c'est le système des hommes […] et nécessairement ce changement devra passer par les hommes.

Par des hommes, en tout cas. J'ai la conviction, née de la manière dont je comprends la nature humaine (ça fait pompeux de le dire comme ça, mais c'est vrai), que l'immense majorité des gens se moquent bien de la politique (parce qu'ils sont passionnés et compétents dans d'autres domaines et que nos capacités sont limitées, d'où la division du travail) et continueront à vivre leur vie de manière sensiblement identique quel que soit le régime.

Charge à nous autres qui nous y intéressons de leur fournir un cadre où ils pourront vaquer à leurs occupations, rechercher leur bonheur le plus librement possible et sans trop d'accrocs. Le meilleur régime politique est celui qui sait se faire oublier. Après tout, il paraît que la santé c'est la vie dans le silence des organes.

Le parti pris du désaccord permanent n'est ni plus gai, ni moins stérile, parce que ne pas donner d'air et d'espace à la possibilité du "ou" c'est comme fermer la porte des possibles.

Je ne suis pas d'accord :mrgreen:

Isaac ASIMOV, pour ne citer que lui, était à la fois savant et conteur génial et pourtant atteint d'agoraphobie, à la fois ancré dans le réel et dans l'irréel.

Les phobies (et les maladies mentales en général) ne relèvent pas de l'irréel mais de la réaction inadaptée au réel et/ou de sa déformation (problèmes de perception).

Je vois au moins un cas : un neurone qui atteint un seuil d'excitation suffisant pour lancer un potentiel d'action simplement à cause des fluctuations du milieu. Tout seul, comme un grand. Un bit gratuit.

Au pire, il fera aussi décharger ses voisins selon un schéma préexistant qui s'ajoutera au contexte d'activation actuel. Je ne suis pas un spécialiste mais je dirais que ça pourrait faire une association d'idée incongrue. Rien de bien folichon.

Ensuite faudra définir "information", parce qu'on peut légitimement dire qu'une hallucination est une information cognitive inventée par le cerveau.

Je ne sais pas si il est plus légitime de dire qu'elle est "inventée" d'une hallucination que d'une bête image mentale.

Je suis capable de me représenter un bisounours en kilt avec la tête de Sarkozy chevauchant un tricératops alors que je n'ai jamais rencontré cette image. La seule différence avec une hallucination c'est que je le fais volontairement.

Exemple, la métaphysique, qu'Aristote évoquait déjà bien avant les travaux de Charles RICHET, prix Nobel de médecine….

"Métaphysique" ça veut dire "au delà du domaine d'application de la science" (en gros), pas "irréel".

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Le cerveau n'est pas qu'une machine à extraire et maximiser des informations du monde physique. Il est aussi capable d'inventer des informations qui n'existent pas dans le monde physique, de transformer des informations, bref d'imaginer. Heureusement d'ailleurs, parce que sans l'imagination que serions-nous ?

A chaque instant, le cerveau peut se réorienter de plusieurs façons et cela de manière ultra variable.

Et puis le cerveau n'est pas isolé du corps ni de l'âme, il y a une interactivité permanente entre les 3 qui sont récepteurs et émetteurs tout à la fois.

J'ignore donc complétement dans quelle réalité exactement vous êtes ancré.

J'essaie juste de vous comprendre et de me faire comprendre.

Croyez-vous, aux vues de ce que vous écrivez, que l'homme sera petit à petit remplacé par des machines aux compétences programmées ?

&

Tu peux jamais t'arrêter de dire des sottises ?

Alors répète après moi : le cerveau n'invente pas d'informations. Jamais.

&

Voila qui mériterait un approfondissement.

J'imagine que c'est dans le terme "inventer" surtout que se cache les problèmes sémantiques.

Je vois au moins un cas : un neurone qui atteint un seuil d'exitation suffisant pour lancer un potentiel d'action simplement à cause des fluctuations du milieu. Tout seul, comme un grand. Un bit gratuit.

Ensuite faudra définir "information", parce qu'on peut légitimement dire qu'une hallucination est une information cognitive inventée par le cerveau.

En revanche je ne comprend pas non plus anthropo lorsqu'elle dit "est aussi capable d'inventer des informations qui n'existent pas dans le monde physique"…

Lucilio a raison (comme toujours, mais bon, il est belge…). Le cerveau "n'invente" rien. Il ne fait que réassembler constamment les souvenirs fournis pas les 5 sens. La créativité, c'est la somme de l'expérience humaine (qu'il a fallu se réapproprier et réexpérimenté), auquel on ajouter une recombinaison qui n'a encore jamais été tenté, ce petit plus qui fait crier au génie humain.

D'un point de vue terre à terre, les neurones s'excitent tous seuls tout le temps en permanence, et déchargent par voie chimique et électrique sans arrêt. Lorsque ce processus dépasse le seuil de "bruit ambient", le cerveau regarde la pattern qui émerge, et classe cela au plus proche de ce qu'il a déjà expérimenté. Si la pattern s'éloigne trop de ce qu'il a déjà ressenti, il corrige le sens qui est en train de lui amener l'information, pour qu'elle ressemble à quelque chose de connu (c'est pour ça que, par exemple, lorsque vous entendez une langue inconnue, inconsciemment le cerveau cherche où sont les ruptures entre les mots). Un fou, un drogué ou quelqu'un placé dans un caisson de privation sensorielle ne peut halluciner que ce qu'il a déjà expérimenté. Rincevent cite son exemple de bisounours en kit avec des bouts de Sarkozy dedans. Il n'a jamais rencontré cette image, mais il a déjà rencontré chacun de ses constituants. Si maintenant je vous parle du bisounours en kit avec un t-shirt Sarkozy qui utilise une hi-hat, vous ne pouvez pas imaginer le machin, parce que vous n'avez jamais rencontré d'hi-hat (ça vous est inconnu tant que vous ne l'avez pas déjà rencontré) (message pour les deux qui savent ce que c'est, chut, ça dessert mon exemple ;)).

Métaphysique

Où tu veux.

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Lucilio a raison (comme toujours, mais bon, il est belge…). Le cerveau "n'invente" rien. Il ne fait que réassembler constamment les souvenirs fournis pas les 5 sens. La créativité, c'est la somme de l'expérience humaine (qu'il a fallu se réapproprier et réexpérimenté), auquel on ajouter une recombinaison qui n'a encore jamais été tenté, ce petit plus qui fait crier au génie humain.

D'un point de vue terre à terre, les neurones s'excitent tous seuls tout le temps en permanence, et déchargent par voie chimique et électrique sans arrêt. Lorsque ce processus dépasse le seuil de "bruit ambient", le cerveau regarde la pattern qui émerge, et classe cela au plus proche de ce qu'il a déjà expérimenté. Si la pattern s'éloigne trop de ce qu'il a déjà ressenti, il corrige le sens qui est en train de lui amener l'information, pour qu'elle ressemble à quelque chose de connu (c'est pour ça que, par exemple, lorsque vous entendez une langue inconnue, inconsciemment le cerveau cherche où sont les ruptures entre les mots). Un fou, un drogué ou quelqu'un placé dans un caisson de privation sensorielle ne peut halluciner que ce qu'il a déjà expérimenté. Rincevent cite son exemple de bisounours en kit avec des bouts de Sarkozy dedans. Il n'a jamais rencontré cette image, mais il a déjà rencontré chacun de ses constituants. Si maintenant je vous parle du bisounours en kit avec un t-shirt Sarkozy qui utilise une hi-hat, vous ne pouvez pas imaginer le machin, parce que vous n'avez jamais rencontré d'hi-hat (ça vous est inconnu tant que vous ne l'avez pas déjà rencontré) (message pour les deux qui savent ce que c'est, chut, ça dessert mon exemple ;)).

Irréel, inventer………….On se demande bien alors pourquoi on a inventé ces mots si tout est absolument réel et si on n'invente jamais rien ?

De même si l'imagination ne peut pas imaginer, on se demande bien ce qu'on est allé s'imaginer là de si idiot qu'une imagination qui n'existe pas puisque tout est enfermé dans une réalité.

Je me fais des idées………….Ah oui, idée………Chut, ça doit pas être non plus à employer trop par ici.

Bon c'est pas grave, de toute manière, tout ça ne change pas grand chose à notre quotidien, donc tout va bien.

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Irréel, inventer………….On se demande bien alors pourquoi on a inventé ces mots si tout est absolument réel et si on n'invente jamais rien ?

De même si l'imagination ne peut pas imaginer, on se demande bien ce qu'on est allé s'imaginer là de si idiot qu'une imagination qui n'existe pas puisque tout est enfermé dans une réalité.

Je me fais des idées………….Ah oui, idée………Chut, ça doit pas être non plus à employer trop par ici.

Bon c'est pas grave, de toute manière, tout ça ne change pas grand chose à notre quotidien, donc tout va bien.

Le cerveau ne crée jamais d'informations, il stocke simplement celles qu'il reçoit du monde extérieur, soit pour les analyser "bêtement", soit pour les assembler de façon originale.

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Une seule remarque : l'[wl]individualisme méthodologique[/wl], là est la Voie. ;)

Et puis le cerveau n'est pas isolé du corps ni de l'âme, il y a une interactivité permanente entre les 3 qui sont récepteurs et émetteurs tout à la fois.

Récepteurs et émetteurs de quoi, au juste ? C'est important de comprendre précisément ce qu'on pense, ça évite de se payer de mots (et se payer de mots, saymal).

Cognez vous la tête si vous voulez, mais prenez le cas des phobies par exemple.

Isaac ASIMOV, pour ne citer que lui, était à la fois savant et conteur génial et pourtant atteint d'agoraphobie, à la fois ancré dans le réel et dans l'irréel.

  1. Asimov était un conférencier brillant et une étincelle d'extraversion dans son monde de geeks introvertis ; ça m'étonnerait qu'il ait été agoraphobe.
  2. En quoi une phobie serait-elle ancrée dans l'irréel ? Au contraire, elle s'ancre fermement dans la réalité ; son problème, c'est qu'elle interprète mal cette réalité.

Exemple, la métaphysique, qu'Aristote évoquait déjà bien avant les travaux de Charles RICHET, prix Nobel de médecine….

Tu veux bien m'expliquer le rapport entre un penseur immense, sur lequel presque toute la philosophie ultérieure repose ; et un chaud partisan de l'eugénisme ?

P.S. : tes messages comportent beaucoup de points de suspension. C'est souvent un indicateur d'une pensée floue et approximative. Mais bon, j'espère me tromper.

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Une seule remarque : l'[wl]individualisme méthodologique[/wl], là est la Voie. ;)

Récepteurs et émetteurs de quoi, au juste ? C'est important de comprendre précisément ce qu'on pense, ça évite de se payer de mots (et se payer de mots, saymal).

Récepteurs d'informations et émetteurs d'interprétations.

Maintenant oui pour la méthode ou les méthodes, mais attention elles peuvent aussi conduire vers des dérives. L'intuition peut s'avérer tout aussi importante que la méthode pour créer un équilibre.

  1. Asimov était un conférencier brillant et une étincelle d'extraversion dans son monde de geeks introvertis ; ça m'étonnerait qu'il ait été agoraphobe.
  2. En quoi une phobie serait-elle ancrée dans l'irréel ? Au contraire, elle s'ancre fermement dans la réalité ; son problème, c'est qu'elle interprète mal cette réalité.

Eh si Isaac ASIMOV était agoraphobe et il ne s'en cachait d'ailleurs pas et puis ce n'est pas une honte de toute manière.

http://www.mes-biographies.com/Ecrivain/biographie_Asimov.html

C'est mentionné à la fin et vous retrouverez cette info un peu partout. Du reste il en parle dans ses bouquins au travers de ses personnages.

Qu'est ce qui est vraiment réel et qu'est ce qui ne l'est pas ?

Nous tenons des vérités pour réelles, pour nous apercevoir quelques temps plus tard, nous être trompés.

Tu veux bien m'expliquer le rapport entre un penseur immense, sur lequel presque toute la philosophie ultérieure repose ; et un chaud partisan de l'eugénisme ?

P.S. : tes messages comportent beaucoup de points de suspension. C'est souvent un indicateur d'une pensée floue et approximative. Mais bon, j'espère me tromper.

Le rapport est que l'un comme l'autre ont pensé des tas de choses et pourtant ils l'ont traduit justement de manière si différente que cela n'en finit pas de me surprendre.

Comment par exemple l'esprit humain peut-il en arriver à l'eugénisme et tout ce qui en découle de si abject ?

PS : Pour les… C'est pour évoquer le devenir ou bien tout plein de choses que je ne comprends pas bien ou bien que j"ignore le plus souvent.

Donc tu ne te trompes pas nécessairement, ma pensée peut être floue et approximative, mais ça non plus ce n'est pas une honte ! C'est même plutôt assez chouette, parce que ça prouve que j'ai encore des tas de choses à apprendre et c'est tant mieux, parce que ça ne doit pas être très drôle de penser qu'on détient la vérité et qu'on n'a plus rien à apprendre. Encore que je n'en sache rien du tout, puisque ça ne m'est jamais arrivé, mais j'imagine ça pas drôle du tout ;)

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Certains appellent cela l'idiocratie.

En tout cas, c'est un réel plaisir de vous lire Anthropo. Vous soulevez d'excellentes questions.

Merci M. Def et pas question que je m'arrête de soulever des questions, même si ça ne me rend pas sage, ni très disciplinée, ni très obéissante :P

Rien de tout ça: c'est juste une image rigolote.

J'entends bien et derrière le rire ?

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Je ne comprend pas pourquoi il faut toujours chercher un truc derrière l'humour. Spécialement l'humour geek. C'est con et c'est zéro, souvent scato, et c'est ça qu'est drôle. On s'en fou du reste.

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