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Nick de Cusa

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Le 25/04/2018 à 11:29, Restless a dit :

5 raisons pour lesquelles nous avons besoin de principes et non de politiques

@F. mas

 

et celui-là ? il faut le relire aussi ? 

 

en le parcourant, je constate qu'au tout début l'auteur fait référence à un autre article, comme d'une première partie..... cette dernière a-t-elle été traduite ? est-elle dispensable ?

 

 

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Il y a 20 heures, F. mas a dit :

Oui, tu peux te lancer pour cet article aussi. Je regarderai à quel article précédent le papier fait allusion.

Bon, c'est fait. Ce fut laborieux :( 

Il y a une phrase que j'ai laissée en gras, je sèche, peut-être que l'inspiration me viendra. 

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j'ai pas mal reformulé comme tu pourras le constater, afin d'essayer de rendre la lecture plus fluide.

Révélation

Lors de la première partie de mon argumentation, j'ai analysé comment la méthodologie de la prise de décision politique, via une analyse en termes de bénéfice/coût, ne fonctionne pas à grande échelle. Les sociétés sont beaucoup trop complexes pour qu'il soit simple, voire même possible, d'appréhender les bénéfices et les coûts réels d'une nouvelle réglementation.

La régulation est le fruit des actions d'un petit nombre d'individus disposant d'informations limitées. Les politiques exigent des solutions vastes et complexes à des problèmes de même nature. La difficulté réside dans cette inadéquation.

Il existe une marge d'erreur importante en matière de politique, précisément parce qu'elle atteint, ou pas, un petit ensemble de données dans un temps circonscrit. Plus les recommandations politiques sont spécifiques, plus la situation est  susceptible de dégénérer.

Faire face au manque d'informations

Les principes pallient le problème de la connaissance nécessaire à l'élaboration de directives. Il s'agit de règles de conduite simples et concises visant à faire face à une grande variété de situations. Ils ne préconisent pas de réponses précises, mais suggèrent plutôt des modes d'actions spécifiques.

La problématique de la gestion du système de santé est un exemple fréquent de débat politique. De nombreuses personnes s'intéressent actuellement à la question de savoir comment les soins devraient être dispensés, et la majorité d'entre elles ont plutôt des opinions politiques tranchées.

La plupart, dans ce domaine, s'en remet sans hésiter aux prescriptions politiques établies à partir d'une recherche minimum, ou nulle, sur l'état des lieux de l'assurance médicale, de l'offre médicale et de l'industrie pharmaceutique. Ces travaux comportent généralement des centaines de pages de directives provenant de douzaines d'auteurs ou de lobbyistes. Cette démarche est fondée sur les mêmes présomptions erronées que j'ai critiquées dans la première partie.

Illustrons l'importance d'une décision basée sur un principe dans un environnement social complexe, à partir de quelques postulats de départ, et à la lumière du débat sur le système de santé.

Si vous accordez une valeur à la vie humaine en postulant qu'il est bon pour les humains d'être en bonne santé et en vie, vous défendez le principe qu'il ne convient pas de nuire à votre prochain pour obtenir ce que vous voulez.

Tout le monde ou presque, dans ce débat autour de la santé, partagerait cette opinion. Vous êtes probablement curieux de savoir comment les principes nous aident à progresser. Permettez-moi de détailler certaines des raisons pour lesquelles les principes l'emportent dans la résolution d'un problème, dès le départ, et en tant que points de repère, liés à la prestation de soins.

Les principes sont limpides

Ne pas nuire ou préserver la vie sont des principes assez simples. La meilleure façon de les mettre en œuvre n'est pas évidente (nous y reviendrons plus loin). Mais en tant que postulats objectifs de départ, ils sont difficiles à confondre avec quoi que ce soit d'autre. De toute évidence, dans notre exemple de soins médicaux, les rendre illégaux, plus difficiles ou dangereux à obtenir constituerait une violation de nos prémisses.

Les principes simplifient au lieu de complexifier

Il est généralement beaucoup plus facile de supprimer les projets néfastes que de trouver la bonne façon d'agir. Heureusement, les principes ne vous disent pas ce qui doit être fait, mais ce qui ne doit pas l'être.

Dans le cas que nous avons choisi : « ne pas faire de mal à un autre être humain pour obtenir ce que vous voulez » est une consigne assez claire de ce qu'il ne faut pas faire. Si nous éliminons les options de financement des soins de santé ou les dispositions impliquant violence ou destruction, nous réduisons considérablement le champ politique.

Les principes sont pluriels

Les principes sont étendus. Ils peuvent permettre des interprétations différentes sans être en conflit entre eux.

"Il est bon pour les humains d'être en bonne santé et en vie" exige une véritable réflexion et un travail sur la façon de fournir de meilleurs soins de santé. Mais contrairement à une orientation politique, cela permet un nombre illimité de moyens d'atteindre cet objectif. Vous pensez qu'il est pertinent de lancer une chaine de pharmacies en libre service ? Super ! Foncez ! Vous pensez qu'il faut davantage de choix d'assurances, avec moins de monopoles dans le secteur ? Et pourquoi pas les deux ?

Les principes se transmettent  par la sagesse collective

Des principes tel que « ne pas commettre de violence », les expériences, les souvenirs et les savoirs se transmettent à des centaines de générations d'êtres humains. Ils sont simples parce qu'ils sont l'essence de tous ces souvenirs, expériences et idées. (Time and repeated use are very good at shaving off the bullshit from principles) Le temps et un usage répété sont de très bons moyens de se débarrasser du superflu ? Les nouvelles orientations politiques ne sont généralement pas issues de la sagesse collective.

Les principes sont constants

Soyez assurés de leur stabilité. Ils résultent d'observations très simples assimilées par l'homme sur le long terme. Ils décrivent la nature humaine, pas la situation présente, ni l'actualité, ni la lubie politique du moment.

Je comprends que ce raisonnement nécessite d'être approfondi. Mais je pense qu'il est évident qu'avant de dire tout et n'importe quoi à propos d'un monde aussi complexe que le nôtre, nous devons commencer par établir certains principes bien avant d'aborder la politique.

Avoir des principes ne nous donnera jamais de réponse définitive ou unique, comme les affectionnent les hommes politiques, mais nous aidera à éviter les simples erreurs d'arrogance, de pensée à court terme ou de règles contradictoires.

 

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Il y a 9 heures, Bisounours a dit :

j'ai pas mal reformulé comme tu pourras le constater, afin d'essayer de rendre la lecture plus fluide.

Les lecteurs t'en remercieront :D

J'en prends de la graine !

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La traduction de Wayto sur l'éducation à la maison a-t-elle été publiée ? Me souviens plus :(  cet article-là proposé par @Nick de Cusa

https://fee.org/articles/hard-won-homeschooling-freedoms-are-under-threat-and-must-be-defended/?utm_source=zapier&utm

 

Autrement je veux bien travailler dessus en relecture 

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il y a 53 minutes, Bisounours a dit :

La traduction de Wayto sur l'éducation à la maison a-t-elle été publiée ? Me souviens plus :(  cet article-là proposé par @Nick de Cusa

https://fee.org/articles/hard-won-homeschooling-freedoms-are-under-threat-and-must-be-defended/?utm_source=zapier&utm

 

Autrement je veux bien travailler dessus en relecture 

 

il y a 15 minutes, Bisounours a dit :

@Séverine B

ah..... j'ai l'impression que tu réponds à la question que j'ai posée juste au dessus, non ? tu es en train de travailler sur cette traduction ?

Il me semble que l'article n'a pas été publié (sauf erreur de ma part). Il sera probablement pour lundi, donc tu as un peu de temps.

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il y a 5 minutes, Séverine B a dit :

 

Il me semble que l'article n'a pas été publié (sauf erreur de ma part). Il sera probablement pour lundi, donc tu as un peu de temps.

Les libertés durement gagnées de l'école à la maison sont menacées et doivent être défendues

 

c'est cet article que tu viens de corriger.... :P qui a été traduit via deepL  par Wayto

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il y a 16 minutes, Bisounours a dit :

Les libertés durement gagnées de l'école à la maison sont menacées et doivent être défendues

 

c'est cet article que tu viens de corriger.... :P qui a été traduit via deepL  par Wayto

Pas encore corrigé, juste mis en relecture pour qu'il bénéficie de tes loyaux services (et bons par ailleurs ;) )

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il y a 53 minutes, Séverine B a dit :

Pas encore corrigé, juste mis en relecture pour qu'il bénéficie de tes loyaux services (et bons par ailleurs ;) )

ça y est, c'est fait.... et effectivement, bjr le copié collé....

faudrait une piqûre de rappel !

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https://danieljmitchell.wordpress.com/2018/04/28/in-a-display-of-moral-blindness-president-of-european-commission-celebrates-marxist-totalitarianism/

 

Ça donne ça :

 

Révélation

 

Quand Juncker commémore le totalitarisme marxiste

 

L'idéologie nocive qu’est le communisme a laissé un bilan d'une horreur inimaginable. Les experts estiment que 100 millions de personnes ont été tuées par les régimes marxistes.

 

Certains ont été assassinés. D'autres sont morts de faim à cause de l'échec économique du communisme.

 

Pourtant, il y a toujours des dupes et des apologistes pour fermer les yeux sur cette misère et ces morts.

 

Parmi eux, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission Européenne. Dans quelques jours, cet über-bureaucrate participera à la commémoration du 200e anniversaire de Karl Marx.

 

« Le président de la Commission européenne se rendra à Trèves, en Allemagne, où il prononcera un discours pour commémorer le 200e anniversaire de la naissance de Marx. [...] Le président de la Commission prononcera un discours lors de la cérémonie d'ouverture de l'exposition dédiée à Karl Marx dans la ville. [...] Le voyage du chef eurocrate a reçu des critiques, suggérant notamment que le sexagénaire oubliait comment l'"idéologie tordue" de Marx avait conduit à des millions de morts à travers le monde. L'eurodéputé et ancien leader de l’UKIP, Paul Nuttall, a déclaré : "Il est consternant que Jean-Claude Juncker estime nécessaire de commémorer un homme dont l'idéologie - marxisme/communisme - a fait plus de 100 millions de morts". [...] Le député conservateur Daniel Kawczynski [...], qui à l'âge de sept ans s'est enfui en Grande-Bretagne avec sa famille pour fuir le régime communiste de Pologne, a déclaré que M. Juncker se devrait de rejeter toute invitation à commémorer l'événement. Il pense que "c’est avec amertume que nous devons nous rappeler que le marxisme consistait essentiellement à retirer aux gens leur pouvoir et leurs moyens d’actions individuels et de les donner à l'État. Le marxisme a conduit à la mort de millions de personnes dans le monde, car il a permis à une petite bande de fanatiques de réprimer des peuples entiers. Nous devons en tirer les leçons et les transmettre à nos enfants." »

 

Ignoble.

 

Et n'oublions pas que le communisme continue de faire des victimes comme Cuba et en Corée du Nord.

 

Mais ce qui m’a le plus choqué est la déclaration d'une porte-parole de la commission défendant la visite de M. Juncker : "[…] Je pense que personne ne peut nier que Karl Marx est un personnage qui a façonné l'histoire d'une manière ou d'une autre."

 

Dans ce cas, pourquoi ne pas aussi commémorer l'anniversaire d'Hitler ?

 

Écrivant pour l'Atlas Society, Alan Charles Kors exprime sa consternation face à la différence de traitement entre le communisme et son idéologie sœur le national-socialisme.

 

« Jamais une cause, dans l'histoire de l'humanité, n'a produit autant de tyrans, d'innocents massacrés et d'orphelins que le socialisme. Pour ce qui est d'empiler les morts, il a surpassé tous les autres systèmes. Les corps sont partout. Et le problème est là : personne n'en parle. Personne ne les honore. Personne ne fait pénitence pour eux. Personne ne s'est suicidé pour avoir défendu ceux à l’origine de la mort de toutes ces personnes. [...] L'Occident accepte un double standard évident, monstrueux et impardonnable. Nous nous rappelons les crimes du nazisme presque tous les jours, nous les enseignons à nos enfants comme des leçons historiques et morales ultimes, et nous ne laissons aucune victime de côté. Mais, à quelques exceptions près, nous restons silencieux faces aux crimes du communisme, si bien que les corps, pourtant parmi nous, restent inaperçus. Nous avons mis en place la "dénazification" et nous dénonçons ceux qui voulaient l’édulcorer au nom de réalités politiques nouvelles ou émergentes. Il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais de "décommunisation" similaire, bien que le massacre d'innocents ait été significativement plus grand, et bien que ceux qui ont signé les ordres et dirigé les camps sont toujours en vie. Dans le cas du nazisme, nous chassons des hommes de quatre-vingt-dix ans parce que "les morts réclament la justice". Dans le cas du communisme, nous avons cherché à éviter la "chasse aux sorcières" […] L'holocauste communiste aurait dû susciter de vives réactions de l’Occident, des témoignages, de la sympathie. Il aurait dû faire couler un océan de larmes. Au lieu de cela, il a fait naître un glacier d'indifférence. Les enfants qui, dans les années 1960, avaient des portraits de Mao et du Che sur les murs de leur collège - l'équivalent moral d'avoir accroché des portraits d'Hitler, de Goebbels ou de Horst Wessel dans leur dortoir - enseignent maintenant à nos enfants la supériorité morale de leur génération politique. Tous les manuels historiques s'attardent sur les crimes du nazisme, recherchent leurs causes profondes et montrent une leçon qu'il convient d'apprendre. Tout le monde connaît le chiffre "six millions". En revanche, c'est toujours "les erreurs" du communisme ou du stalinisme (répétées, par erreur, encore et encore et encore). Demandez aux étudiants en première année d’université combien de gens sont morts sous le régime de Staline, et ils répondront, même maintenant, "Des milliers ? Des dizaines de milliers ?" »

 

Évidemment, certains de ces jeunes portent probablement des t-shirts célébrant le Che, montrant par là leur ignorance.

 

À moins qu'ils ne connaissent les antécédents du Che, auquel cas ce sont des voyous immoraux.

 

Quoi qu'il en soit, Jean-Claude Juncker devrait être mieux informé. On dirait qu'il veut que son nom soit ajouté au concours du Plus Grand Clown de Bruxelles.

 

P.S. Je suis gêné de reconnaître que certains économistes aient été des apologistes du communisme.

 

P.P.S. Il y a une très petite lueur d'espoir dans le sombre nuage du communisme. Vous pouvez cliquer ici, ici, ici et ici pour profiter d'un humour anticommuniste intelligent.

 

 

PS : il faut vraiment qu'un anglophone repasse sur la partie en rouge, je dois admettre que je comprends même pas comment interpréter la phrase originale...

 

EDIT - Une meilleure version (normalement), utilisez-la de préférence si ce n'est pas trop tard.

 

Révélation

Quand Juncker commémore le totalitarisme marxiste

 

L'idéologie nocive qu’est le communisme a laissé un bilan d'une horreur inconcevable. Les spécialistes estiment que 100 millions de personnes ont été tuées par les régimes marxistes.

 

Certaines ont été assassinées. D'autres sont mortes de faim à cause des échecs économiques répétés du communisme.

 

Et pourtant il y a toujours des naïfs et des apologistes pour fermer les yeux sur cette misère et ces morts.

 

Parmi eux, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission Européenne. Dans quelques jours, le super-bureaucrate participera à la commémoration du 200e anniversaire de Karl Marx.

 

« Le président de la Commission européenne se rendra à Trèves, en Allemagne, où il prononcera un discours pour commémorer le 200e anniversaire de la naissance de Marx. [...] Il prononcera un discours lors de la cérémonie d'ouverture de l'exposition dédiée à Karl Marx. [...] Le voyage du chef eurocrate a suscité des critiques, suggérant notamment qu’il oubliait comment l'"idéologie tordue" de Marx avait conduit à des millions de morts à travers le monde. "Il est consternant que Jean-Claude Juncker estime nécessaire de commémorer un homme dont l'idéologie (marxisme/communisme) a fait plus de 100 millions de morts", a déclaré l'eurodéputé et ancien leader de l’UKIP, Paul Nuttall. […] Le député conservateur Daniel Kawczynski [...], qui à l'âge de sept ans s'est enfui en Grande-Bretagne avec sa famille pour fuir le régime communiste de Pologne, a affirmé que M. Juncker se devrait de rejeter toute invitation à commémorer l'événement. Il pense que "c’est avec amertume que nous devons nous rappeler que le marxisme consistait essentiellement à retirer aux gens leur pouvoir et leurs moyens d’actions individuels et de les donner à l'État. Le marxisme a conduit à la mort de millions de personnes dans le monde, car il a permis à une petite bande de fanatiques de réprimer des peuples entiers. Nous devons en tirer les leçons et les transmettre à nos enfants." »

 

Ignoble.

 

Et n'oublions pas que le communisme continue de faire des victimes comme à Cuba et en Corée du Nord.

 

Mais ce qui m’a le plus choqué est la déclaration d'une porte-parole de la commission défendant la visite de M. Juncker : "[…] Je pense que personne ne peut nier que Karl Marx est un personnage qui a façonné l'histoire d'une manière ou d'une autre."

 

Dans ce cas, pourquoi ne pas aussi commémorer l'anniversaire d'Hitler, tant qu'à faire ?

 

Dans une tribune pour l'Atlas Society, Alan Charles Kors exprime sa consternation face à la différence de traitement entre le communisme et son idéologie sœur le national-socialisme.

 

« Jamais une cause dans l'histoire de l'humanité n'a produit autant de tyrans à sang froid, d'innocents massacrés et d'orphelins que le socialisme. Pour empiler les morts, il a surpassé tous les autres systèmes. Les corps sont partout. Et le problème est là : personne n'en parle. Personne ne les honore. Personne ne fait pénitence pour eux. Personne ne s'est suicidé pour avoir défendu ceux à l’origine de la mort de toutes ces personnes. [...] L'Occident accepte un double standard évident, monstrueux et impardonnable. On se remémore les crimes nazis presque tous les jours, on les enseigne à nos enfants comme des leçons historiques et morales ultimes et on ne laisse aucune victime de côté. Mais, à quelques exceptions près, on reste silencieux faces aux crimes du communisme, si bien que les victimes, pourtant réelles, restent ignorées. On a mis en place la "dénazification" et dénoncé ceux qui ont voulu l’édulcorer au nom de réalités politiques nouvelles ou émergentes. Il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais de "décommunisation" similaire, bien que le massacre d'innocents ait été significativement plus grand, et bien que ceux qui ont signé les ordres et dirigé les camps sont toujours en vie. Dans le cas du nazisme, on poursuit des nonagénaires parce que "les morts réclament la justice". Dans le cas du communisme, on a voulu éviter la "chasse aux sorcières". […] L'holocauste communiste aurait dû susciter de vives réactions de l’Occident, des témoignages, de la sympathie. Il aurait dû faire couler un océan de larmes. Mais non, il n'a fait naître qu'un glacier d'indifférence. Les enfants qui, dans les années 1960, avaient des portraits de Mao et du Che sur les murs de leur collège - l'équivalent moral d'avoir accroché des portraits d'Hitler, de Goebbels ou de Horst Wessel dans leur dortoir - enseignent maintenant à nos enfants la supériorité morale de leur génération politique. Tous les manuels historiques s'attardent sur les crimes du nazisme, recherchent leurs causes profondes et en tirent les leçons qu'il convient d'apprendre. Tout le monde connaît le chiffre "six millions". En revanche, on entend toujours parler des "erreurs" du communisme ou du stalinisme (répétées, par erreur, encore et encore et encore). Demandez aux étudiants en première année d’université combien de gens sont morts sous le régime de Staline, et ils répondront, même aujourd’hui, "Des milliers ? Des dizaines de milliers ?" » 

 

À coup sûr, certains de ces jeunes sont du genre à porter des t-shirts célébrant le Che, montrant par là leur ignorance.

 

À moins qu'ils ne connaissent les antécédents du Che, auquel cas ce sont des voyous immoraux.

 

Quoi qu'il en soit, Jean-Claude Juncker devrait être mieux informé. On dirait qu'il veut que son nom soit ajouté au concours du Plus Grand Guignol de Bruxelles.

 

P.S. Je suis gêné de reconnaître que certains économistes aient été des apologistes du communisme.

 

P.P.S. Il y a une très petite lueur d'espoir dans le sombre nuage du communisme. Vous pouvez cliquer iciiciici et ici pour profiter d'un humour anticommuniste intelligent.

 

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2 hours ago, Tipiak said:

über-bureaucrate

Un super-bureaucrate

 

3 hours ago, Tipiak said:

Nous avons mis en place la "dénazification" et nous dénonçons ceux qui voulaient l’édulcorer au nom de réalités politiques nouvelles ou émergentes

J'imagine qu'il veut dire qu'il est socialement inaceptable d'être nazi, et que les révisionnistes sont tout autant rejeté par la société. 

 

Mais sinon la traduction me semble correcte 

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Bon je viens remettre les points sur les i, une troisième (et dernière) fois j'espère. J'ai essayé de le dire avec délicatesse plusieurs fois, et le message ne semble pas être passé.

 

L'outil DeepL est très bien... pour la compréhension générale d'un texte.

 

DEEPL NE PEUT PAS ETRE SUFFISANT POUR UNE TRADUCTION ÉLÉGANTE ET POUR LE NIVEAU D'EXIGENCE DE CONTREPOINTS.

 

Aujourd'hui DeepL est connu, si on se contente de recracher ce qu'a fait le robot, nous n'avons AUCUNE VALEUR AJOUTEE.

 

Je précise aussi que les secrétaires de rédaction + Bisounours sont supposés n'avoir qu'à relire et corriger quelques expressions. PAS REECRIRE INTEGRALEMENT UNE TRADUCTION SORTIE DIRECTEMENT DE DEEPL qui ne peut pas être publiée en l'état parce que visiblement à peine relue.

 

Si vous pensez bien faire en nous renvoyant des traductions rapidement, en fait cela complique et allonge notre travail : nous sommes obligés de TOUT REPRENDRE DEPUIS LE TEXTE D'ORIGINE, ligne par ligne. Cela peut nous prendre 2, 3 heures, parfois plus sur un texte très long. Autant que nous fassions la traduction depuis DeepL nous-mêmes, dans ce cas.

 

A partir d'aujourd'hui, les traductions directement sorties du robot seront refusées et il sera demandé de les rendre acceptables.

 

Donc je vous le demande sérieusement : si vous prenez une traduction, nous n'attendons pas qu'elle soit exécutée (dans tous les sens du terme !) rapidement. Nous préférons que vous preniez votre temps et que vous traduisiez à l'ancienne. C'est la personnalité d'un texte qui nous distingue du robot. 

 

Je ne voudrais pas décourager nos traducteurs, mais c'est notre petit "plus", notre nivellement par le haut qui se joue sur ce type de détails. Merci d'y contribuer par vos efforts.

 

 

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6 minutes ago, Wayto said:

Il semble que ce soit le miens donc mea culpa, je suis pourtant repassé par dessus mais il semble que ce ne soit pas suffisant, désolé, je ferais beaucoup plus attention à l'avenir.

 

Passe pas par deepl, même pas pour une première lecture. Ça crée des ancrages et on a du mal à s'en défaire. 

 

En tout cas je pense traduire mieux quand je suis en 100% jus de cerveau ^^

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il y a 16 minutes, Wayto a dit :

Il semble que ce soit le mien

Pas que, rassure-toi (ou pas).

 

il y a 7 minutes, Mister_Bretzel a dit :

Ça crée des ancrages et on a du mal à s'en défaire.

S'en passer signifie qu'on est parfaitement anglophone, ce qui est trrrès loin d'être mon cas, mais effectivement, c'est l'idéal.

Après, il faut pouvoir s'extraire de la traduction littérale du robot, et rendre la lecture fluide, donc s'éloigner un peu du texte de base (mais bon, on traduit pas James Ellroy, hein...)

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il y a une heure, Mister_Bretzel a dit :

 

Passe pas par deepl, même pas pour une première lecture. Ça crée des ancrages et on a du mal à s'en défaire. 

 

En tout cas je pense traduire mieux quand je suis en 100% jus de cerveau ^^

Je suis repassé avec wordreference derrière et mon jus de cerveau, mais j'essayerai sans en effet.

il y a une heure, Bisounours a dit :

Pas que, rassure-toi (ou pas).

 

S'en passer signifie qu'on est parfaitement anglophone, ce qui est trrrès loin d'être mon cas, mais effectivement, c'est l'idéal.

Après, il faut pouvoir s'extraire de la traduction littérale du robot, et rendre la lecture fluide, donc s'éloigner un peu du texte de base (mais bon, on traduit pas James Ellroy, hein...)

Après il est aussi fortement possible que ce soit mon niveau de français qui ne soit pas à la hauteur. Je vais comparer "ma" traduction à la version publiée et je verrai bien. Si c'est mon niveau de français, ce sera la première et la dernière traduction, parce qu'il risque pas de s'améliorer ahah.

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Il y a 4 heures, Séverine B a dit :

A partir d'aujourd'hui, les traductions directement sorties du robot seront refusées et il sera demandé de les rendre acceptables.

 

Il y a 2 heures, Bisounours a dit :

Pas que, rassure-toi (ou pas).

 

Salut, je comprends tout à fait. Est-ce que vous pourriez dire, sur les quelques dernières traductions, lesquelles étaient acceptables et lesquelles ne l'étaient pas svp ? Histoire d'avoir des références et aussi de ne pas tourner autour du pot quant à qui a fait quoi :)

 

J'imagine que la mienne était insuffisante vu que le message de @Séverine B est tombé juste après. Si personne ne s'est encore penché dessus je peux faire une nouvelle version pour ce soir en essayant de fluidifier le style au maximum.

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Pas besoin de "références" ni de pointer du doigt qui que ce soit. Cela est suffisamment clair : pas de recopiage intégral de la version fournie par DeepL. (on l'a signalé 3 fois donc on va dire que les textes concernés avaient été envoyés avant et  jusqu'à hier). Nous n'avons pas souhaité envoyer ce message à quelqu'un en particulier. C'est une remarque générale au vu du nombre de textes que nous avons dû retravailler.

 

@Tipiak : je n'ai pas encore regardé ta traduction, mais je le fais dès que possible.

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@Séverine B J'ai pris note de tes remarques, tu me diras ce que tu en penses.

 

 

 

La menace dystopique des prestations universelles

 

Par Paul Cwik, le 30 Avril 2018

 

Les Services nationaux du gouvernement dit "universels" ne sont pas des cadeaux, mais bien des contrats.

 

 

C'est bientôt l'heure des cérémonies de diplômes, et bon nombre d'étudiants vont quitter leurs chères écoles pour rentrer dans le monde du travail. Prenons l'exemple d'un étudiant imaginaire qu'on appellera Johnny. Ses parents lui font une surprise suite à son diplôme. Ils ont décidé de prendre en charge les derniers paiements de sa voiture. Quel fantastique cadeau de fin d'études ! Johnny est fou de joie, et toute la famille est ravie.

 

Quelques mois plus tard, Johnny vit toujours à la maison de ses parents, mais à un travail. C'est pas extraordinaire, mais c'est un début. Un jour, sa mère lui fait remarquer que la voiture est sale et qu'elle a besoin d'être nettoyée. Hmm. Johnny acquiesce mais n'en tient pas trop rigueur. Plus tard, son père l'interroge sur la dernière fois que l'huile a été changé, et suggère qu'il serait temps d'y remédier.

 

Quelques semaines plus tard, le rideau tombe. Ses parents lui explique que « puisque nous payons pour cette voiture, tu pourrais quand même en prendre soin ». C'est alors que Johnny réalise que ce que ses parents lui ont offert lors de l'obtention de son diplôme n'était pas vraiment un cadeau. Mais qu'il s'agissait plutôt d'un contrat.

 

La différence ? Un cadeau autorise celui qui le reçoit d'en faire l'usage qu'il en veut. Si Johnny voulait se servir de sa voiture pour faire du Stock-car, ça ne tiendrait qu'à lui. Et personne n'aurait rien à redire. Un cadeau laisse le choix à celui qui le reçoit d'en faire l'usage qu'il en veut, car il est libre de tout engagement. Alors qu'un contrat, ça n'est pas la même chose. Un contrat implique chaque partie dans son engagement. Certains contrats sont plutôt strictes et contraignants. D'autres, comme celui de Johnny, peuvent être plus souples.

 

Au départ, voici le contrat de Johnny : « Nous, tes parents, prenons en charge le paiement de la voiture, et toi Johnny, tu en profites. ».La clause non mentionnée dans le contrat est que depuis que ses parents payent la voiture, ils prennent part dans la propriété de la voiture. Et cette propriété s'étend au lavage de la voiture, au changement d'huile et à tout ce qui permet de conserver la voiture en bon état de marche.

 

Quand nous jetons un coup d'œil dans le monde occidental, nous observons que certains pays opère le même processus, quoique de manière moins évidente. Je voudrais ici en mettre deux en avant : les soins de santé universels et le revenu universel (parfois appelé revenu de base).

 

 

Deux tragédies : Celles de Charlie Gard & d'Alfie Evans

 

Deux affaires ayant eu lieu au Royaume-Uni ont fait les gros titres internationaux. Ces affaires concernaient le meurtre de deux bébés par l’État. Ces deux jeunes enfants (Charlie mourut à 11 mois et 24 jours, alors que le deuxième anniversaire d'Alfie aurait été fêté le 9 Mai prochain) ont été amené à l’hôpital car quelque chose n'allait pas. L’État prit dans un premier temps en charge les soins des enfants, avant de renoncer et de mettre fin à leurs jours.

 

Les parents ont engagé des poursuites contre l'hôpital, représentant du système de Santé. La court trancha en défaveur des parents, leur ôtant le droit de décider pour leur propre enfant. L’État ayant une légitimité supérieure. Ces décisions ont été prises en dépit des faits suivants : (1) L'Italie a accordé la citoyenneté italienne à Alfie, (2) le Vatican a délivré des passeports, (3) le Pape a mis à disposition des moyens de transport et (4) l'Italie et le Vatican auraient assumé la responsabilité du traitement des enfants.

 

Des fonds ayant été recueillis, ces enfants ne pouvaient plus être considérés comme des fardeaux pour le système de santé britannique. Aucun de ces arguments n'avait d'importance. Le tribunal a non seulement statué que le maintien de leurs fonctions vitales devait être retiré, mais l'eau et la nourriture leurs ont également été refusées.

 

En acceptant le système de Santé universel, les britanniques n'ont pas accepté un cadeau mais un contrat. Dans un tel système, vous n'êtes pas garants de vous-même, vous êtes pupille de l’État. C'est un contrat, que certain appelle par ailleurs contrat social. En acceptant le système de Santé, vous acceptez le contrat. L’État a d'abord déclaré qu'il prenait en charge tous les paiements restants de la voiture, exception faite qu'il ne s'agit pas d'une voiture mais des paiements de soins de santé. Il en résulte que l’État a désormais une légitimité plus grande sur vos propres soins de santé, que vous même.

 

 

Le revenu minimum universel, moins flagrant mais non moins inquiétant

 

Dernièrement, la Finlande a annoncé faire marche arrière sur son expérimentation de revenu universel. Celui-ci se terminera à la fin de l'année. Pas déconcerté par le revers de la Finlande, la ville de Stockton en Californie a décidé d'essayer à son tour. De nombreuses personnes soutiennent l'idée d'un revenu minimum universel.

 

Évidemment, ils sont nombreux du côté de la Gauche, notamment dans la Silicon Valley (Elon Musk, entre autres), à la soutenir. Ces personnes la soutiennent notamment car il s'agirait d'un pas supplémentaire vers une société égalitaire. Je parle de la Silicon Valley car de nombreux techniciens y travaillant pensent que du fait du chômage de masse lié au remplacement progressif des travailleurs par l'intelligence artificielle, le remplacement des postes ne sera peu (voire pas) effectué et qu'il faudra mettre en place un système pour survivre à ce changement. Dès lors, l'idée de la mise en place d'un revenu minimum universel prend de plus en plus d'ampleur.

 

Plus étonnant, un certain nombre de libertariens, tel que Milton Friedman, Friedrich Hayek, ou encore Charles Murray, sont aussi en sa faveur. Plusieurs arguments, notamment économique, font sens, bien qu'ils passent à côté d'une vision plus approfondie. En effet, un revenu de base n'est pas un cadeau où le bénéficiaire est libre de tout engagement, et où il pourrait user de son cadeau comme bon lui semble.

 

De la même manière que le système de Santé, le revenu de base est un contrat. Les modalités du contrat ne sont pas importantes puisque ce qui compte réellement dans le fondement de ce contrat, c'est que l’État est propriétaire du receveur. De la même façon que les parents de Johnny revendiquent certaines choses vis-à-vis de la voiture parce qu'il payent pour elle, l’État paie pour vous, et de fait, vous possède.

 

 

A qui appartenez-vous ?

 

Il y a un danger dans ces programmes dit « universels ». Ils peuvent être efficace économiquement (personnellement, j'en doute, mais admettons.) Le point crucial est que sous contrat, vous offrez votre souveraineté. A qui appartenez-vous ? Êtes-vous maître de vous-mêmes ? Ou bien appartenez-vous à l’État ? Il est important de souligner la différence entre un cadeau et un contrat. Ces programmes gouvernementaux ne seront jamais des cadeaux ; Ils sont tous soumis à conditions. Et ce sont ces conditions qui nous lient et nous emprisonnent. Ainsi, est-ce qu'un jour Johnny vivra de son propre chef, ou bien restera-t-il a jamais une marionnette ? Car même Pinocchio réalisa l'importance de couper les liens pour devenir un vrai garçon.

 

Ce que l’État offre peut être une confortable prison, mais jamais vous ne pourrez échapper à l'inévitable réalité. Tout ceci me rappelle une ancienne série anglaise, le prisonnier, où l'acteur principal fut envoyé, après avoir été asphyxié, au village. Dans celui-ci, il avait tout le nécessaire basique à sa disposition : un logement, des habits, de la nourriture, et un service de santé, et en échange, il devait leur donner des renseignements.. Quand nous lèverons-nous pour clamer comme le clame le personnage principal : « Je ne veux pas conclure un quelconque marché avec vous. J'ai démissionné. Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistré, me faire classer, puis déclasser, ou numéroter. Ma vie m'appartient, vous ne me retiendrez pas. Je démissionne. » ?

 

Dans un monde où existe un système de santé universel ou un revenu de base, vous ne pouvez pas démissionner. Prenez du bon temps dans le village.  « A bientôt ! »

 

 

 

Article source : The Dystopian Threat of Universal "Benefits" (fee.org)

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