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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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Done !

Je vais essayer de me faire des articles courts… Etrangement, chaque fois que je veux reprendre les trads pour Contrepoints, ma chef me file du boulot *conspiration*

C'est pas mal si ta chef traîne sur Liborg.

@Domi, oui je fais quelques fautes. Puis-je t'envoyer mes traductions par MP afin que tu corriges les fautes que je fais? Te remerciant par avance de ta réponse.

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C'est pas mal si ta chef traîne sur Liborg.

@Domi, oui je fais quelques fautes. Puis-je t'envoyer mes traductions par MP afin que tu corriges les fautes que je fais? Te remerciant par avance de ta réponse.

Oui, je crois que tu peux améliorer ton orthographe mais moi aussi :icon_wink: . Je précise que je n'ai pas toujours utilisé la même technique pour signaler tes fautes. J'en ai corrigé certaines et signalé d'autres. Du coup, tu n'as pas compris que je signalais certaines fautes et ton article actuel en contient encore.

Voici une nouvelle correction avec mes précisions en rouge.

L’Espagne a annoncé ses plans pour le nettoyage de son secteur bancaire un peu plus tôt. Avec la régulation complète a peine publiée, nous sommes toujours en train de l’analyser, et nous vous informeront ( informerons !) des points les plus pertinents dès que nous aurons terminés (terminé). Mais il y avait également des développements intéressants à propos du prêteur en difficulté BFA-Bankia.

Le gouvernement espagnol a annoncé cette (cet, mot masculin) après-midi que la BFA-Bankia allait recevoir une “injection de capital immédiate” de la part du fonds de restructuration bancaire de l’Espagne (FROB). Cependant, l’Espagne a décidé de ne pas faire appel au fond de sauvetage des banques de 100 milliards d’euros. C’est ainsi malgré la mise de côté de 30 milliards d’euros pour traiter les urgences, comme l’Eurogroup l’a annoncé dans sa conférence de presse cet après-midi. Les fonds seront donc avancés par le FROB et seront éventuellement incorporés dans le plan de sauvetage des banques espagnoles quand ils seront complètement dépensés.

Cela soulève deux questions intéressantes. Premièrement, pourquoi l’Espagne est-elle tellement attachée à éviter d’utiliser les 30 milliards d’euros conservés en réserve ? L’argent est typiquement là pour ce genre de situation. En fait, il était relativement évident que ce genre de situation allait se présenter. De plus, l’argent sera tout de même dépensé dans le plan de sauvetage. Par conséquent, nous pouvons seulement imaginer que le gouvernement espagnol est enthousiaste pour éviter d’avoir des stigmates négatifs – bien que cela semble un peu étrange car le plan de sauvetage est déjà confirmé. Cela vaut le coup de se rappeler les contraintes du financement par le FEFS par rapport à celui du FMI (que nous avons détaillé ici), alors il est possible que l’Espagne et la zone euro aient décidé d’attendre que le MES soit complètement opérationnel avant d’utiliser les fonds.

En faisant une revue de presse, il est clair qu’il s’agit d’une restructuration de la BFA-Bankia, signifiant que la banque est considérée comme viable. C’est proprement scandaleux pour plusieurs raisons :

• les emprunts toxiques détenus par Bankia ont augmenté de 44% (de7.63% à 11%) dans les six derniers mois

• le groupe vient d’annoncer une perte de 4.5 milliards d’euros, à la place d’un très léger profit l’an passé.

• Dans les six derniers mois le groupe bancaire a perdu la somme stupéfiante de 37.6 milliards d’euros dans les dépôts bancaires de ses clients, une baisse énorme de 28%.

Il est clair pour la plupart que Bankia n’est plus viable depuis quelques temps. Les derniers plans du gouvernement pour traiter le secteur bancaire par une « résolution ordonnée » des banques insolvables est un modèle pour séparer les actifs et fermer les institutions en faillite. Il n’est pas très clair pourquoi ce n’est pas appliqué ici, à part protéger les particuliers ayant investi dans cette banque. À la fin, malgré tout, investir des fonds publics dans une institution défaillante fera plus de mal que de bien à chacun d’entre nous.

Ma lecture du forum est irrégulière et je ne veux pas m'engager au rythme plus régulier qu'implique la correction de tes articles. Désolé. :icon_frown:

Pour après-midi, en vérifiant, il n'y a pas de genre imposé.

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Voilà. Beaucoup de répétitions, mais c'est le texte original qui veut ça. Disons que c'est une marque de l'enthousiasme de l'auteur.

http://www.masterres...one/#more-21708

C’est parti ! La ruée de Shell sur l’Arctique (une nouvelle étape dans l’ère des hydrocarbures).

Par Robert Bradley Jr. 11 Septembre 2012.

« Je ne peux pas cacher mon enthousiasme, il s’agit de rien de moins qu’un nouveau chapitre qui s’ouvre aujourd’hui dans l’histoire de l’énergie en Alaska. »

- Pete Slaiby de Shell Alaska, cité par Jennifer A. Dlouhy dans « Shell Begins Drilling Well off Alaska, » San Francisco Chronicle, 9 septembre 2012.

L’entreprise orientée vers le profit et les consommateurs est par essence propre, nécessaire et héroïque. Les compagnies énergétiques évoluant dans un marché libre (pétrole, gaz et charbon) sont, à ce titre, très différentes de celles qui dépendent du gouvernement (éthanol, éolien, solaire). L’Enron de Ken Lay est (était) typique des secondes, tandis que Charles Koch des Koch Industries, écrivant hier dans le Wall Street Journal, incarnait les premières.

Shell abandonne donc ses investissements (peu rentables) dans les énergies renouvelables pour revenir à ses racines : le pétrole et le gaz. Ils ne communiquent plus sur d’hypothétiques énergies alternatives mais sur de l’énergie, ici et maintenant. C’EST PARTI ! Ils ont découvert à leurs dépens que les prétendus écologistes ne sont que des parasites ennemis de l’industrie quand il s’agit de produire de l’énergie pour tous les consommateurs de la planète.

Les obstacles rencontrés par l’ambitieux projet de Shell pour forer au large de l’Alaska auront été nombreux, mais ce chapitre est maintenant terminé. La route est ouverte, C’EST PARTI !

Une faible opposition.

L’argumentation contre le forage se fonde sur des hypothèses anecdotiques et frise le post-modernisme. D’après Greenpeace :

  • Quoi que Shell puisse faire dans le court intervalle avant que la mer de glace revienne, cela n’effacera pas les preuves claires accumulées ces deux derniers mois qui montrent qu’un forage sécurisé ne peut pas exister en Arctique. Cet été, nous avons assisté à un ratage complet en termes de communication, mais aussi de logistique. La seule chose qu’ils ont prouvé, c’est que les compagnies pétrolières ne sont pas aptes à gérer les défis spécifiques que représente l’Arctique.

Dieu merci, Greenpeace n’était pas là en 1859 à Titusville, Pennsylvanie, à l’origine des forages pétroliers commerciaux. S’ils avaient réussi à stopper l’industrie au berceau et à bloquer les importations, nous pataugerions encore tous les jours dans le crottin de cheval. Voilà le vrai visage du principe de précaution.

Robert Canvart écrit dans le Huffington Post :

  • On peut se poser beaucoup de questions sur l’ampleur de notre demande en hydrocarbures, qui nous pousse maintenant à aller en extraire dans des endroits présentant les pires conditions climatiques de la planète. Les compagnies pétrolières dépensent des milliards de dollars pour braver ces conditions, ceci pour deux raisons : d’abord, parce qu’elles le peuvent ; ensuite, parce que ça leur rapporte de l’argent.
  • La question n’est pas « peut-on le faire ? » mais plutôt « pourquoi ? ». C’est une question politique. Malheureusement, en l’absence de politique nationale claire établissant la priorité d’une production et d’une consommation durables, nous sommes bloqués dans ce cycle sans fin : trouver, brûler, trouver, brûler… Le problème, c’est que trouver devient de plus en plus difficile, de plus en plus cher et de plus en plus risqué pour l’environnement.

Et allons-y pour un Plan Energétique Quinquennal pondu par nos élites condescendantes…

L’Histoire en marche.

Enregistré sur YouTube : Un petit pas pour la foreuse, un bond de géant pour l’humanité.

  • « Shell prépare la foreuse pour la première fournée. » Ce week-end, l’équipage du Noble Discoverer a commencé à creuser au site « Burger » situé dans la mer des Tchouktches, en Alaska. Il s’agit de l’apogée de plus de six ans d’effort de la part de Shell visant à explorer la surface du plateau continental de l’Alaska. C’est la première fois qu’une foreuse touche la mer des Tchouktches depuis plus de vingt ans.

Le communiqué de presse de Shell est, à juste titre, triomphant :

  • Shell a le plaisir d’annoncer qu’aujourd’hui, 9 septembre 2012, l’équipage du Noble Discoverer a commencé les forages dans le site « Burger » dans la mer des Tchouktches.
  • C’est un moment historique, la première fois qu’une foreuse touche le sol dans la mer des Tchouktches américaine depuis plus de vingt ans. Nous voyons aujourd’hui le résultat de plus de 6 ans d’exploration de la part de Shell à la recherche des réserves de pétrole et de gaz supposées se trouver à la surface du plateau continental de l’Alaska.
  • Dans les jours à venir, nous continuerons nos efforts dans la mer des Tchouktches, et un nouveau site est en préparation dans la mer de Beaufort.
  • Une période passionnante s’ouvre pour l’Alaska et pour Shell. Nous espérons de nombreux progrès dans les prochaines semaines afin d’ajouter un nouveau chapitre dans la longue histoire du pétrole et du gaz en Alaska. Nous sommes fiers d’être au large de l’Alaska, et nous sommes particulièrement fiers de nos préparatifs pour que tout se passe correctement.

Félicitations, Shell. Et des excuses au nom de certains d’entre nous dans la communauté politique pour ne pas avoir su défendre la cause d’une politique publique énergétique saine, en faveur de l’environnement et de la libre entreprise, ce qui aurait pu dissiper les délais bureaucratiques qui ont entravé un temps vos efforts.

Les consommateurs partout dans le monde devraient applaudir votre dévouement qui a rendu possible l’ouverture d’un nouveau chapitre dans l’histoire du forage en mer.

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Notre traducteur habituel pour Reason est temporairement indisponible, il m'a envoyé une liste de quelques articles qui tardent un peu et qu'on pourrait traduire en attendant son retour :

  1. "How Farmers Markets Dodged a Regulatory Bullet in Pennsylvania" sur la liberté alimentaire
  2. "Anders Breivik, Psycho Killer", sur la psychiatrie et la justice
  3. "America's War on Drugs Keeps It From Being the Freest Country on Earth", sur la guerre contre la drogue (ben oui, c'est Reason quand même)
  4. "Voters Don't Want Specifics", sur l'électorat à rationalité limitée
  5. "5 Stupid Government Interventions in Sports", qui peut amener un public masculin intéressé par le sport (un sujet qu'on traite peu)
  6. "5 Broken Democratic Promises from 2008", sur le bilan chiffré d'Obama
  7. "Denialist Democrats", sur ce qu'on entendait à la convention nationale démocrate
  8. "Democrats Lose Their Grip on Reality", sur un thème similaire
  9. "The Worst Welfare Benefits the Best-Off : Corporations", sur le socialisme pour les entreprises
  10. "Gas Prices and Political Mythology", sur la lutte entre la démagogie et le prix libre de l'essence
  11. "Romney Likes to Fire People, But Will He Fire Teachers", sur ce que les Républicains devraient dire sur l'éducation
  12. "California Lawmakers Refuse to Accept Any Limits on Their Power", sur l'exception étatique californienne
  13. "Iceland Shows Other Europeans How to Survive Bankruptcy", sur le mythe du nécessaire sauvetage des banques
  14. "The Insatiable Taxman", sur l'idée folle d'imposer les expatriés

Enfin, ça c'est pour commencer, bien entendu.

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mais alors pour savoir ce qui a été pris ou non il faut lire tout le fil?

Non, pour traduire quelque chose normalement tu vas là https://docs.google.com/spreadsheet/ccc?key=0AghBwvkIquj6dHVkM0VYYW9YNVBfNGdMUXYzMFVxTGc&hl=en_US#gid=0 (c'est le google docs dont parle Nick), les derniers articles à traduire sont tout en haut du tableau (tu as la date d'entrée dans la colonne de gauche).

Si un article n'a pas été publié (colonne 8), et si aucun nom n'apparaît dans la colonne "traducteur" (colonne 7), et si cela t'intéresse, tu peux mettre ton pseudo dans la colonne idoine, le traduire, et poster le résultat ici tout simplement.

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