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Arrêter de travailler et toucher les aides en tous genres


Invité Berti

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Invité Berti

Certains ont fait ce choix :

http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-a…lus-travailler/

Si les aides étaient moindres, mieux contrôlées et donc que les salaires étaient plus élevés (aujourd'hui l'Etat prend la moitié du salaire de chaque français chaque mois), ils feraient sans doute un autre choix.

En attendant, ils font peut-être le bon choix (c'est eux qui savent).

Et si les gens qui font ce choix deviennent légions, le système va se casser la gueule.

La solution "libérale" pour sortir de là est pour moi la suivante :

1 - L'Etat arrête d'essayer d'aider tout le monde (ce qu'il ne pourra jamais faire. L'Etat pénalise tout le monde quand il veut aider tout le monde)

2 - L'Etat aide ceux qui n'arrivent pas à s'en sortir seuls (une minorité) avec une aide financière adaptée à chaque situation et il vérifie bien que ces gens là font le nécessaire pour s'en sortir seuls à moyen terme.

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La solution "libérale" pour sortir de là est pour moi la suivante :

1 - L'Etat arrête d'essayer d'aider tout le monde (ce qu'il ne pourra jamais faire. L'Etat pénalise tout le monde quand il veut aider tout le monde)

2 - L'Etat aide ceux qui n'arrivent pas à s'en sortir seuls (une minorité) avec une aide financière adaptée à chaque situation et il vérifie bien que ces gens là font le nécessaire pour s'en sortir seuls à moyen terme.

Dans l'esprit, je comprends, mais en réalité les deux points que tu traites sont des détails de l'immense problème à résoudre.

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Invité Berti
Dans l'esprit, je comprends, mais en réalité les deux points que tu traites sont des détails de l'immense problème à résoudre.

Je ne parle là que des réformes de la "solidarité publique" à mettre en oeuvre selon moi (pour faire en sorte qu'il soit plus intéressant de travailler que de toucher des aides).

Pour "l'immense problème", toutes les solutions (les miennes du moins) sont exposées là (le programme du site dont je m'occupe qui n'est certainement pas parfait, mais je fais ce que je peux):

http://lechamplibre.perso.neuf.fr/textes/t…ammeliberal.htm

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1 - L'Etat arrête d'essayer d'aider tout le monde (ce qu'il ne pourra jamais faire. L'Etat pénalise tout le monde quand il veut aider tout le monde)

2 - L'Etat aide ceux qui n'arrivent pas à s'en sortir seuls (une minorité) avec une aide financière adaptée à chaque situation et il vérifie bien que ces gens là font le nécessaire pour s'en sortir seuls à moyen terme.

Moui, je veux bien, mais en théorie l'intention c'est déjà ça.

Avec toutes les distorsions et la masse de graisse accumulées par les système bureaucratiques.

Concrètement, tu ferais ça comment ?

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Je ne parle là que des réformes de la "solidarité publique" à mettre en oeuvre selon moi (pour faire en sorte qu'il soit plus intéressant de travailler que de toucher des aides).

Pour "l'immense problème", toutes les solutions (les miennes du moins) sont exposées là (le programme du site dont je m'occupe qui n'est certainement pas parfait, mais je fais ce que je peux):

http://lechamplibre.perso.neuf.fr/textes/t…ammeliberal.htm

Je parlais bien de l'immense problème de la solidarité publique : tous les fonctionnaires, associations, etc. qui distribuent tous ces trucs, pilotent et exécutent les politiques sociales, il va bien falloir en faire quelquechose. Et ça, pour le coup, cela représente des dizaines de milliers de personnes, peut-être plus.

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Invité Berti
Concrètement, tu ferais ça comment ?

comme ça :

Une aide financière publique de solidarité unique

Il faut supprimer le maquis des aides sociales actuelles et le remplacer par une aide financière publique unique : aujourd’hui, les aides publiques sont un tel foutoir qu’on ne sait même plus qui aide et qui est aidé (Allocations familiales, ASSEDIC, HLM, RMI, CMU, prime pour l’emploi, prime de rentrée scolaire, prime de Noël, etc…). Il faut donc supprimer toutes les aides existantes et regrouper toutes les administrations versant ces aides en une administration unique. Cette administration unique de « solidarité publique » versera alors à ceux qui en font la demande une aide financière unique d’un montant adapté à leur situation et elle veillera scrupuleusement à ce qu’il n’y ait pas d’abus. On saura alors précisément qui aide, qui est aidé et de combien.

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Invité Berti
Je parlais bien de l'immense problème de la solidarité publique : tous les fonctionnaires, associations, etc. qui distribuent tous ces trucs, pilotent et exécutent les politiques sociales, il va bien falloir en faire quelquechose. Et ça, pour le coup, cela représente des dizaines de milliers de personnes, peut-être plus.

Excuse moi de ne pas avoir lu correctement dans tes pensées.

Une partie de ces gens là seront employés à attribuer les aides, à en déterminer le montant, à contrôler que ceux qui en bénéficient font leur possible pour ne plus être une charge.

L'autre partie devra faire quelquechose d'utile. Bastiat l'a très très très bien dit. Je lui laisse la parole donc :

http://lechamplibre.perso.neuf.fr/livres/b…le_licenciement

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Une partie de ces gens là seront employés à attribuer les aides, à en déterminer le montant, à contrôler que ceux qui en bénéficient font leur possible pour ne plus être une charge.

Ah non mais justement si tu veux surveiller tout le monde de très près, ça va demander beaucoup plus de fonctionnaires que le système actuel.

Comprend-moi bien, je pense qu'une remise à plat serait une bonne chose, mais tu oublies les aspects négatifs :

- comme susdit, surveiller les gens demande énormément de travail. En fait, il en va des aides sociales comme de l'impôt ; on contrôle vraiment quelques personnes au hasard, on fait courir le bruit que presque personne ne fraude, et on espère que, par un processus d'imitation, peu de gens décideront effectivement de frauder.

- l'administration pléthorique que ce système requièrerait le rendrait incontrôlable et dépensier.

- impôt unique, impôt inique. Ça vaut aussi pour les aides : il est bien plus facile de frauder une administration que dix.

- enfin, l'aspect le plus dérangeant pour moi de ce programme est qu'il consiste à donner à ces fonctionnaires un pouvoir discrétionnaire sur qui touche du pez ou pas. Le paradis des petits chefs mégalos quoi. A la limite, je préfère le système actuel ou subsiste un certain flou des individus face à l'état plutôt qu'un ou chaque chômeur sera placé sous la coupe d'un fonctionnaire borné.

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1 - L'Etat arrête d'essayer d'aider tout le monde (ce qu'il ne pourra jamais faire. L'Etat pénalise tout le monde quand il veut aider tout le monde)

Si qu'il pourra le faire, un peu de patience ça prendra un peu de temps.

2 - L'Etat aide ceux qui n'arrivent pas à s'en sortir seuls (une minorité) avec une aide financière adaptée à chaque situation et il vérifie bien que ces gens là font le nécessaire pour s'en sortir seuls à moyen terme.

Usine à gaz detected. Fonctionnaires embauchés pour contrôle detected. Impôts pour financer toussa detected.

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L'autre partie devra faire quelquechose d'utile.

Je sais bien tout cela, je voulais modestement contribuer à ton fabuleux programme en te rappellant que déjà, en France, quand tu as une usine de 30 personnes qui ferme tu as des séquestrations, menaces de tout faire péter, etc. Imagine maintenant, si tu ne tiens pas compte des salariés du secteur social, le niveau de bordel que tu proposes de provoquer : en moyenne, plusieurs milliers de personnes par département, si ce n'est plus.

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Invité Berti

Je ne crois vraiment pas que cela coute plus cher de controler que de laisser tout le monde frauder.

Sinon, oui c'est une solution "libérale". Mais si vous pensez que vous arriverez à vendre : "L'Etat ne s'occupera plus de solidarité". Je crois que vous vous trompez.

Enfin, oui, un programme de réformes libérales implique de faire comprendre et accepter aux français que des fonctionnaires seront mutés, voire licenciés (mais retrouveront un travail dans le privé).

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Enfin, oui, un programme de réformes libérales implique de faire comprendre et accepter aux français que des fonctionnaires seront mutés, voire licenciés (mais retrouveront un travail dans le privé).

Ce n'est pas aux Français qu'il faut le faire comprendre et accepter. C'est aux fonctionnaires aux-mêmes. Alors vas-y, commence, et on te suivra peut-être. Bon courage.

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Invité Berti
Ce n'est pas aux Français qu'il faut le faire comprendre et accepter. C'est aux fonctionnaires aux-mêmes. Alors vas-y, commence, et on te suivra peut-être. Bon courage.

Non, c'est aux français. Il n'y a pas que les fonctionnaires qui votent.

Je ne t'ai pas attendu pour commencer.

Les gens comprennent en général assez bien qu'il n'y a aucune raison que les salariés du privé doivent s'adapter, mais pas les salariés du public.

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Non, c'est aux français. Il n'y a pas que les fonctionnaires qui votent.

Ok, tu n'as donc rien compris de ce que la politique est en réalité. La politique, c'est avant toute autre chose et en dernière analyse des rapports de force. Que les Français votent pour quelque chose (en admettant que c'est pour ce point précis du programme qu'ils votent, et non pour le point d'à côté) ne leur coûte pas grand chose. Inversement, rares seront les Français qui descendront dans la rue pour virer des fonctionnaires. En revanche, des fonctionnaires prêts à descendre dans la rue ou à faire de l'obstruction pour garder leur boulot, il y en a des millions. Répète après moi : des mil-li-ons. Le rapport de force est très clairement en faveur des fonctionnaires, dans cette affaire : en l'absence de dispositifs modifiant les conditions de ce rapport de force, la réforme capotera, et ce pour un tas de raisons : les députés de ton camp auront peur de perdre le soutien des fonctionnaires qui votent pour eux, ou bien les hauts fonctionnaires des ministères dévoieront la réforme, ou bien encore elle sera votée et non appliquée, dans une décontraction aussi feutrée qu'illégale. Dans tous les cas, tu es perdant dès le départ en raisonnant ainsi.

Si tu ne convaincs pas les fonctionnaires eux-mêmes, rien ne bougera. C'est aussi simple que dramatique.

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En revanche, des fonctionnaires prêts à descendre dans la rue ou à faire de l'obstruction pour garder leur boulot, il y en a des millions.

Seulement une partie de ces millions sont prêts à aller dans la rue/faire grève. Si ils font grève, ils perdent leur salaire et ne peuvent donc pas la faire longtemps. Si on les vire en leur proposant 1 ou 2 ans de salaire en échange, ça permettrait de calmer leurs ardeurs… Et si ils essayent quand même de bloquer le pays, par la violence et de manière illégale, ne peut-on pas envoyer la police faire son travail ?

C'est plutôt les dirigeants et les élites (philosophes, écrivains, économistes) qu'il faut réussir à gagner, c'est eux qui forment l'opinion publique et qui font les politiques économiques de demain. Et c'est aussi simple que dramatique.

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Invité Berti
Seulement une partie de ces millions sont prêts à aller dans la rue/faire grève. Si ils font grève, ils perdent leur salaire et ne peuvent donc pas la faire longtemps. Si on les vire en leur proposant 1 ou 2 ans de salaire en échange, ça permettrait de calmer leurs ardeurs… Et si ils essayent quand même de bloquer le pays, par la violence et de manière illégale, ne peut-on pas envoyer la police faire son travail ?

C'est plutôt les dirigeants et les élites (philosophes, écrivains, économistes) qu'il faut réussir à gagner, c'est eux qui forment l'opinion publique et qui font les politiques économiques de demain. Et c'est aussi simple que dramatique.

J'ajoute juste que quand il y aura plus de 50% de français qui voteront pour que le statut de la fonction publique soit abrogé etc… bref un programme libéral

Eh bien ce sera gagné.

La minorité pourra toujours manifester.

La démocratie, c'est la démocratie.

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Seulement une partie de ces millions sont prêts à aller dans la rue/faire grève. Si ils font grève, ils perdent leur salaire et ne peuvent donc pas la faire longtemps. Si on les vire en leur proposant 1 ou 2 ans de salaire en échange, ça permettrait de calmer leurs ardeurs… Et si ils essayent quand même de bloquer le pays, par la violence et de manière illégale, ne peut-on pas envoyer la police faire son travail ?

Et si ils décident de rester au bureau, en faisant leur boulot n'importe comment ? Grève du zèle, sabotage délibéré, beaucoup de choses sont imaginables.

Ceci dit, licencier ces gens avec des indemnités, qui seront sans doute au moins égales à celles qu'un employé du privé peut empocher me semble le début d'un processus de changement acceptable et accepté. Dans l'esprit de Berti, je suppose qu'il s'agissait juste de virer des gens du jour au lendemain. Par ailleurs, il va falloir les trouver, ces années de salaire de centaines de milliers de fonctionnaires virés, ça ne va pas être facile. Ca va se chiffrer en milliards.

La démocratie, c'est la démocratie.

Et le libéralisme, c'est le libéralisme. Ce qui me porte à dire que je doute de ton libéralisme.

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Ok, tu n'as donc rien compris de ce que la politique est en réalité. La politique, c'est avant toute autre chose et en dernière analyse des rapports de force. Que les Français votent pour quelque chose (en admettant que c'est pour ce point précis du programme qu'ils votent, et non pour le point d'à côté) ne leur coûte pas grand chose. Inversement, rares seront les Français qui descendront dans la rue pour virer des fonctionnaires. En revanche, des fonctionnaires prêts à descendre dans la rue ou à faire de l'obstruction pour garder leur boulot, il y en a des millions. Répète après moi : des mil-li-ons. Le rapport de force est très clairement en faveur des fonctionnaires, dans cette affaire : en l'absence de dispositifs modifiant les conditions de ce rapport de force, la réforme capotera, et ce pour un tas de raisons : les députés de ton camp auront peur de perdre le soutien des fonctionnaires qui votent pour eux, ou bien les hauts fonctionnaires des ministères dévoieront la réforme, ou bien encore elle sera votée et non appliquée, dans une décontraction aussi feutrée qu'illégale. Dans tous les cas, tu es perdant dès le départ en raisonnant ainsi.

Si tu ne convaincs pas les fonctionnaires eux-mêmes, rien ne bougera. C'est aussi simple que dramatique.

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Les fonctionnaires qui bossent dans le social, ils vont trouver du taf où ça? Par miracle, d'une année sur l'autre, les entreprises privées vont se créer partout en France, et tous les bons à rien des préfectures vont se trouver une vocation de manager international de start-up? Allons, allons.

Par ailleurs, il va falloir les trouver, ces années de salaire de centaines de milliers de fonctionnaires virés, ça ne va pas être facile. Ca va se chiffrer en milliards.

Calcul que l'on peut faire : indemnité de 40 000€ par tête de pipe. 100 000 fonctionnaires dehors, c'est 40 milliards à trouver. Allez, paf, direct, comme ça.

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Les fonctionnaires qui bossent dans le social, ils vont trouver du taf où ça? Par miracle, d'une année sur l'autre, les entreprises privées vont se créer partout en France, et tous les bons à rien des préfectures vont se trouver une vocation de manager international de start-up? Allons, allons.

Tu fais d'ailleurs bien d'en parler : tant de personnes d'un coup sur le marché du travail, c'est ce qu'on appelle un sacré choc d'offre. Si le marché du travail reste très réglementé (ce qui est le plus probable), le résultat sera du chômage en-veux-tu-en-voilà, et une baisse des salaires du Français moyen. Il faut soit des mesures d'accompagnement, soit avoir préalablement déréglementé le marché du travail. Là encore, bon courage.

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Peut-être que tu gagnerais à écrire quelques chiffres Berti : combien de personnes bossent dans l'aide sociale, directement (fonctionnaires) ou indirectement (par exemple, la Ville de Paris subventionne ses centres sociaux, sous statut d'association loi 1901, à hauteur de 220 millions d'euros par an si ma mémoire est bonne, et cela à sert à tout je crois).

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J'ajoute juste que quand il y aura plus de 50% de français qui voteront pour que le statut de la fonction publique soit abrogé etc… bref un programme libéral

Eh bien ce sera gagné.

Ahbah alors c'est perdu : 70% des jeunes veulent devenir fonctionnaire.

Tu prends le truc par le mauvais bout. Mais on te l'a déjà dit, il me semble.

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Calcul que l'on peut faire : indemnité de 40 000€ par tête de pipe. 100 000 fonctionnaires dehors, c'est 40 milliards à trouver. Allez, paf, direct, comme ça.

Heu… 4 milliards. Et ce n'est pas très difficile à trouver, vu qu'on les trouve chaque année pour les payer. Simplement, une fois, ce sera la dernière année :icon_up:

Bon, je rêve, je sais bien qu'il faudrait une révolution pour le faire.

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Heu… 4 milliards. Et ce n'est pas très difficile à trouver, vu qu'on les trouve chaque année pour les payer. Simplement, une fois, ce sera la dernière année :icon_up:

D'une part, pas certain qu'une seule année de salaire suffise. D'autre part, il faudra les trouver d'avance, et non pas les emprunter au dernier moment. :doigt:

Bon, je rêve, je sais bien qu'il faudrait une révolution pour le faire.

Pas forcément. Une grande prospérité ou une crise immense peuvent aussi le permettre.

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Heu… 4 milliards. Et ce n'est pas très difficile à trouver, vu qu'on les trouve chaque année pour les payer. Simplement, une fois, ce sera la dernière année :doigt:

Bon, je rêve, je sais bien qu'il faudrait une révolution pour le faire.

Ah oui merci, petit problème de calcul mental.

Hé bien du coup ça fait pas tant que ça en fait…. :icon_up:

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D'une part, pas certain qu'une seule année de salaire suffise. D'autre part, il faudra les trouver d'avance, et non pas les emprunter au dernier moment. :icon_up:

On peut aussi continuer de les payer tous les mois. On les met au chômage à 1500€/mois, et on leur laisse 1 ou 2 ans pour trouver un vrai boulot.

Si on fait pas ça, ça créerait trop de désordres (CGT qui pose des bombes, et trop de chômeurs qui crèvent de faim du jour au lendemain)

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On peut aussi continuer de les payer tous les mois. On les met au chômage à 1500€/mois, et on leur laisse 1 ou 2 ans pour trouver un vrai boulot.

L'idée est excellente, mais je doute qu'elle s'inscrive dans le cadre juridique actuel, malheureusement. Ca sera retoqué par un juge administratif, ou les prud'hommes.

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