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Roh! C'est pas très gentil ça.

J'avoue que ça m'a laissé un peu sur ma faim, si même les activistes ne veulent pas remettre en cause medicare et medicaid, alors ce mouvement n'a jamais rien eu de libertarien.

Il s'agit des 18% d'Américains qui se déclarent supporters des tea parties. Selon le sondage, les activistes (c'est-à-dire les gens qui ont effectivement participé à ou financé au moins une tea party) ne sont que 4% de la population.

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Ben, ils ont parlé des noirs. C'est implicite. :icon_up:

:doigt: en meme temps, pour les americains, c'est vrai que c'est implicite, c'est triste, mais c'est comme ca, ils font vraiment un correlation entre le teint de la peau et le niveau d'education.

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http://www.contrepoints.org/2010/09/23/171…anche-du-peuple

Christine O’Donnell vient de remporter la primaire du Delaware à plus de 53 %, mettant à la retraite un candidat républicain centriste, social-démocrate ! En novembre, elle sera opposée au suppléant de Joe Biden, le vice-président américain qui brigue un 7e mandat de sénateur. C’est la revanche de la classe moyenne contre l’establishment. Primaire après primaire, le Tea Party est en train de gagner son pari, installant des candidats issus du peuple, exigeant des vieux politicards de Washington, républicains ou démocrates, qu’ils revoient leur copie, notamment sur la fiscalité.

Comme d’habitude les médias lui ont intenté un procès en sorcellerie : puritaine, bigote, créationniste… bref, fanatique. Certes, Christine O’Donell, d’origine irlandaise, a des opinions sociales catholiques plutôt traditionnelles. Dans les années 90, âgée de vingt-cinq ans, elle avait éprouvé le besoin militer publiquement, lors d’une campagne d’éducation, pour l’abstinence sexuelle avant le mariage, contre la masturbation et contre l’avortement. On apprécie ou pas… Mais aujourd’hui la presse essaie de faire croire qu’elle aurait mené campagne pour les primaires 2010 sur ces thèmes-là pour la discréditer et l’assimiler à Bush Jr.

Répondant aux attaques dont elle fait l’objet, elle a déclaré récemment que le comportement sexuel était une affaire personnelle, et que son action politique était fondée sur la Constitution, et non sur ses opinions personnelles. Elle a dit vouloir une Amérique qui respecte les croyances de chacun et qui n’essaie pas d’imposer, via l’école publique, une propagande d’Etat, qu’elle soit créationniste ou évolutionniste, pro-choice ou pro-life etc. Mais les médias n’en n’ont cure.

En réalité, elle a gagné son élection parce que les républicains dans le Delaware ont décidé qu’elle était la meilleure alternative aux démocrates, non pour des raisons morale ou religieuses, mais pour son analyse des questions économiques. Toute sa campagne était centrée sur les questions économiques : « small government », réduction des impôts, abrogation de la réforme de santé et de la nationalisation des prêts étudiants, création d’emplois. Et elle accuse les deux partis de l’establishment d’avoir appauvri la classe moyenne avec la politique de relance et l’augmentation faramineuse des dépenses publiques. On est bien loin d’une campagne à la Bush…

De fait, cette femme en sait plus sur l’économie réelle que la plupart des politicards séniles qui occupent le Congrès. Ceux qui ont une petite connaissance de l’anglais et de l’économie pourront apprécier l’interview qu’elle a donnée le 31 juillet dernier sur PJTV. Elle y explique très bien la nécessité de réduire la réglementation et les impôts : les entreprises doivent accumuler des capitaux privés si elles veulent se développer et donc embaucher. A l’inverse, l’« ObamaCare » et les plans de relance vont augmenter considérablement le coût du travail, obligeant les entreprises à licencier. Les électeurs le savent et ne s’y sont pas trompés.

Christine O’Donnell incarne une nouvelle génération d’américains, qui ne s’identifie ni à Bush, ni à McCain, hommes du passé, ni à Obama, gadget électoral et sans âme. D’où la complexité du Tea Party, ce mouvement de contestation, qui transcende les étiquettes politiques traditionnelles et tente de trouver sa place dans le débat. Quel que soit le résultat en novembre, le Tea Party est d’ores et déjà un succès populaire.

Reste à voir si la colère des électeurs peut déboucher sur une véritable recomposition du paysage politique américain ou si elle restera un feu de paille. Sur un plan économique, les candidats soutenus par le Tea Party offrent incontestablement une alternative à tous les centristes qu’ils soient de droite ou de gauche. Par contre, sur un plan strictement politique, il y a un gros risque de défaite électorale des Républicains pour la majorité au Congrès. Contredire les dogmes keynésiens, est une hérésie que la classe politique et médiatique bien-pensante ne pardonne pas. Et c’est d’abord pour cette raison que les candidats du Tea Party sont diabolisés. Que cela affaiblisse le GOP (Grand Old Party) et fasse gagner les démocrates au Congrès, est fort possible. Si la droite est divisée, elle court à sa perte, en tout cas à court terme. Mais en même temps, un tel mouvement anti-système n’obligera-t-il pas le parti Républicain à faire sa révolution intellectuelle et à redéfinir sa ligne politique et économique ? Tel sera l’un des enjeux de ces prochaines élections.

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Dans "god is back-how the global rise of faith is changing the world" by micklethwait & woodridge je trouve la phrase suivante:<< sarah palin has the deepest roots in the Evangelical subculture…>>

Quelle subculture est plus à même à gouverner c'est une question qui se posera de plus en plus?

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  • 10 months later...

L'incitation à la haine politique, qui rappelons le a fait incomparablement plus de morts au XXème siècle que la haine raciale, c'est tout à fait acceptable, quand les gens à haïr sont les Tea Party.

Tout en finesse.

NYT's Maureen Dowd Excoriates 'Cannibal' 'Vampire' Tea Partiers By: Scott Whitlock August 04, 2011 15:02 ET

New York Times columnist Maureen Dowd on Wednesday continued to ramp up the newspaper's vitriolic attacks against Tea Party conservatives, bizarrely describing them as "cannibals" "zombies" and "vampires."

Connecting the debt ceiling deal to The Exorcist, Halloween and Alien (among other horror movies), Dowd offered these hyperbolic comparisons:

Tea Party budget-slashers didn’t sport the black capes with blood-red lining beloved by the campy Vincent Price or wield the tinglers deployed by William Castle. But in their feral attack on Washington, in their talent for raising goose bumps from Wall Street to Westminster, this strange, compelling and uncompromising new force epitomized “Invasion of the Body Snatchers” and evoked comparisons to our most mythic creatures of the night.

They were like cannibals, eating their own party and leaders alive. They were like vampires, draining the country’s reputation, credit rating and compassion. They were like zombies, relentlessly and mindlessly coming back again and again to assault their unnerved victims, Boehner and President Obama. They were like the metallic beasts in “Alien” flashing mouths of teeth inside other mouths of teeth, bursting out of Boehner’s stomach every time he came to a bouquet of microphones. (Conjuring that last image on Monday, Vladimir Putin described America as “a parasite.”)

The piece included other cartoonish assertions, such as:

The horror director Brian De Palma once described the simple essence of his genre: “There is just something about a woman and a knife.” But, in this case, it was the president — and the federal government — being chased through dim corridors by a maniacal gang with big knives held high. Like Dracula’s castle, the majestic Capitol suddenly seemed forbidding, befogged not with dry ice but with the stressed-out Speaker John Boehner’s smoking. Like all great horror movies, this one existed in that surreal zone between fantasy and reality, as the Tea Party zealots created their own reality in midnight meetings.

The liberal columnist summed up the resolution to the debt standoff by lamenting, "The gory, Gothic melodrama on the Potomac is a summer horror blockbuster — without the catharsis."

Dowd's "cannibal" comment come only one day after another Times columnist, Joe Nocera, spewed venom at the "terrorist" Tea Partiers who had strapped on a "suicide vest." On June 26, 2011, Thomas Friedman attacked these conservatives as the "Hezbollah faction" of the GOP.

http://www.mrc.org/timeswatch/articles/2011/20110804032256.aspx

Chie-haine de Maureen Dowd.

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