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Le book-crossing


Sekonda

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Que pensez vous du book-crossing en temps que vecteur de diffusion des idées libérales ?

Pour rappel, le concept du book-crossing est de laisser un livre dans un lieu public avec un message invitant celui qui le trouvera à signaler sa découverte sur un site centralisé, à lire le livre et à le remettre ensuite en circulation.

Dans notre cas, la méthode pourrait être de choisir des livres courts, assez faciles à lire, pas forcément explicitement libéraux (dans le but de ne pas provoquer de rejet immédiat). Un prix faible peut être un critère pour privilégier la quantité et limiter l'effet d'anti-libéraux qui retireraient les livres de la circulation.

L'étiquette aurait un message tel que :

"Ce livre a été mis en circulation par des libéraux voulant répandre une vision non caricaturale des leurs idées. Si vous avez été intéressé par les idées défendues dans ce livre, n'hésitez à venir les approfondir sur wikiberal.org et en parler sur liberaux.org." (à améliorer)

L'identification par le BCID permet de mesurer assez efficacement les effets de la diffusion du livre.

Liens :

Sur Wikipedia : fr et en

Site "officiel"

Son miroir en français

Wiki en français

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Que pensez vous du book-crossing en temps que vecteur de diffusion des idées libérales ?

C’est une idée très très très intéressante. Cependant, par-delà le concept génial de book-crossing, si le but est clairement la diffusion des idées libérales, cela n’est pas sans poser quelques problèmes.

Tout d’abord, sans même que l’ouvrage soit étiqueté libéral, il y a toujours une probabilité assez importante de "perte" : le bouquin est "accaparé", retenu par quelqu’un, le bouquin est détruit, le bouquin est jeté, le bouquin n’est tout simplement jamais trouvé, vraiment perdu, abandonné… C’est la limite essentielle de ce système. Je veux croire à l’échange, surtout dans le monde des livres, mais j’ai récemment observé plusieurs fois la même chose : certains magasins offrent un rayonnage où sont posés des livres non à vendre mais à échanger. Quiconque y dépose un livre peut repartir avec un autre. En quelques semaines, le rayonnage a très vite évolué, les livres les plus intéressants disparaissant au profit d’ouvrages à la con de SF, heroic fantasy et polard à deux balles, et, depuis, stagne… Si le système n’est même pas encadré, on peut légitimement douter de l’injection suffisante d’ouvrages valables à un rythme régulier. Du coup, comment stimuler la circulation des ouvrages ? Dans ce système plus que dans tout autre le nombre de free-riders doit se révéler incroyablement élevé.

La visée libérale ajoute à la difficulté. Comme tu le suggères, il y a fort à parier que nombre d’anti-libéraux débiles n’hésiteraient pas à retirer les livres de la circulation, voire à les jeter directement. Les petits ouvrages que tu proposes sont intéressants, car ils ne sont pas strictement libéraux, mais offrent une pensée intermédiaire entre divers courants. A cela les éditions 1001 nuits sont aussi connues pour publier les textes d’Attac, ce qui leur confère peut-être un certain capital sympathie, augmentant les chances d’un meilleur accueil de leurs ouvrages en général. Par contre, un message tel que celui que tu proposes d’y inscrire me semble vraiment trop explicite, et pourrait susciter un rejet immédiat. Perso, j’aurais du mal à me plonger dans un bouquin donné comme un simple outil de propagande politique. Si le message renvoie à un forum ou un site internet, il est quand même probable que j’aille y jeter un œil. Néanmoins le message prétend défendre une vision non caricaturale du libéralisme : renvoyer vers liberaux.org n’est alors peut-être pas la meilleure option - que les membres de ce forum ne se sentent pas attaqués, mais la vision défendue ici peut sembler une caricature de la caricature.

Quoiqu'il en soit je ne veux pas faire une critique du book-crossing, je suis très intéressé et même enthousiasmé à l’idée de faire circuler librement des ouvrages invitant à un autre type de réflexion !

L'étiquette aurait un message tel que :

"Ce livre a été mis en circulation par des libéraux voulant répandre une vision non caricaturale des leurs idées. Si vous avez été intéressé par les idées défendues dans ce livre, n'hésitez à venir les approfondir sur wikiberal.org et en parler sur liberaux.org." (à améliorer)

L'identification par le BCID permet de mesurer assez efficacement les effets de la diffusion du livre.

Il y a quelque chose de trop direct. Il faudrait peut-être créer une sorte d’écran entre le forum et le livre. Plutôt renvoyer à un blog, par exemple, pourquoi pas même un blog créé spécialement à cet effet, qui propose des fiches de lecture et des discussions sur l’actualité culturelle, etc. Dans plusieurs messages, des références introduites ; dans la liste de liens, certains comme liberaux.org… Ainsi, ce serait par un certain cheminement, tantôt aléatoire, tantôt un peu guidé, qu’un lecteur possible pourrait se retrouver ici ou en lien avec une source libérale. Un problème est alors l’évaluation de l’impact de cette initiative. Dans ces conditions, le seul suivi par BCID permet-t-il un feedback vraiment efficace ? Si le but est la diffusion des idées libérales, se pose toujours la question d’en établir la mesure.

En tout cas, avant toute chose, une première question est : quels ouvrages sélectionner ? Toujours aux éditions 1001 nuits, dont les petits livres ont le mérite d’être très bon marché, et dans une perspective de cheminement transversal, je suggère des ouvrages de philosophie en général, comme par exemple Schopenhauer, Epictete, Epicure…

Il faut également chercher du côté des occasions, par exemple sur amazon, La généalogie de la morale à 1 euro 80 :

Ce serait intéressant de faire la tournée des bouquinistes, Gibert Joseph et autres précisément dans l’optique de se fournir en bouquins à "libérer". Ce serait même un excellent motif de retrouvaille entre libéraux, car il faudrait :

- trouver les bouquins ;

- réaliser des petites fiches, marques et messages et les leur accoler ;

- faire la tournée des lieux conviviaux, bars sympas et autres endroits pour les y abandonner…

En plus de laisser cette activité à l’initiative personnelle, un café liberté pourrait par exemple chapeauter ce type d’activité et organiser des sortes d’ateliers créatifs ! Qu’en pensez-vous ?

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Tout d’abord, sans même que l’ouvrage soit étiqueté libéral, il y a toujours une probabilité assez importante de "perte" : le bouquin est "accaparé", retenu par quelqu’un, le bouquin est détruit, le bouquin est jeté, le bouquin n’est tout simplement jamais trouvé, vraiment perdu, abandonné…

La visée libérale ajoute à la difficulté. Comme tu le suggères, il y a fort à parier que nombre d’anti-libéraux débiles n’hésiteraient pas à retirer les livres de la circulation, voire à les jeter directement. Les petits ouvrages que tu proposes sont intéressants, car ils ne sont pas strictement libéraux, mais offrent une pensée intermédiaire entre divers courants. A cela les éditions 1001 nuits sont aussi connues pour publier les textes d’Attac, ce qui leur confère peut-être un certain capital sympathie, augmentant les chances d’un meilleur accueil de leurs ouvrages en général.

C'est pour cela que je pense qu'il faut accepter qu'il y ait du "déchet" et privilégier la quantité de livres à la quantité de pages.

Par contre, un message tel que celui que tu proposes d’y inscrire me semble vraiment trop explicite, et pourrait susciter un rejet immédiat. Perso, j’aurais du mal à me plonger dans un bouquin donné comme un simple outil de propagande politique. Si le message renvoie à un forum ou un site internet, il est quand même probable que j’aille y jeter un œil. Néanmoins le message prétend défendre une vision non caricaturale du libéralisme : renvoyer vers liberaux.org n’est alors peut-être pas la meilleure option - que les membres de ce forum ne se sentent pas attaqués, mais la vision défendue ici peut sembler une caricature de la caricature.

Le message comme les titres n'était donné qu'à titre d'illustration de l'idée. Mon message était clairement trop direct. On peut renvoyer vers un site assez simple avec sa propre URL. Cet aspect mérite en effet d'être bien réfléchi avant de commencer.

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Un lieu de dépôt auquel on pense rarement : les laveries automatiques. Il y en une à côté de chez moi. Mais il faut éviter de le faire trop tardivement l'après-midi, surtout si la personne qui fait le ménage a trendance à faire du nettoyage par le vide.

sur la circulation des idées : à Amsterdam, il y a deux autocollants anti pub :

- Je ne veux pas de vos imprimés ni de vos journaux de maison à maison ;

- je ne veux pas de vos imprimés, mais je veux bien de vos journaux.

A l'entrée d'un foyer de personnes âgées où chacun a sa boîte à lettre, sur l'une d'elle j'ai vu une étiquette "des journaux S.V.P."

Aux Pays-Bas, toute les boîtes à lettre sont accessibles, certaines ont une fente côté rue et la porte de l'autre côté du digicode. On peut recevoir son courrier sans mettre son nom sur la porte, car chaque appartement a son numéro dans la rue?

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On peut demander un subvention au conseil général (voire à l'association)

A l’association liberaux.org ? C’est une idée, on peut profiter de l’AG prochaine pour soumettre un projet bien ficelé, avec un budget précis. Mais si liberaux.org accepte de soutenir financièrement une part de ce projet, je pense malgré tout qu’on ne peut y renvoyer directement les découvreurs des livres "libérés" - il faut une sorte "d’écran" entre les deux, comme un blog intermédiaire, voire une autre association ! Autre association qui, pour le coup, pourrait demander peut-être plus facilement des subventions à divers organismes publics. (En fait, j’aimerais même suggérer que ce projet a tout pour être l’un des premiers vraiment importants dans lequel pourrait s’engager le NJ…)

Pour reprendre les points et étapes essentiels du projet :

1 - Faire une sélection d’ouvrages à libérer. Les ouvrages doivent minimiser à la fois le coût pour le « libérateur », et le risque de rejet de la part du découvreur. Pour cela, un titre ambigu ou aux termes trop explicites peut être un mauvais choix, indépendamment du contenu (par exemple, « métaphysique de l’amour sexuel » proposé plus haut : il y a le mot sexe, susceptible de provoquer certaines réactions, donc peut-être pas bon finalement…). De même pour un nom d’auteur controversé (Nietzsche, etc.). Cependant certains ouvrages fortement marqués politiquement peuvent aussi trouver leur public tout en ayant leur intérêt dans notre perspective (ouvrages anarchistes, libertaires).

Par delà le choix des œuvres, combien de livres, quels qu’ils soient ? Ou combien d’exemplaires en fonction de chaque ouvrage ? (ou que des ouvrages différents, un seul exemplaire à chaque fois ?) Quelle répartition par quartier (pour Paris) ou par ville (à l’échelle de la France) ? A hauteur de 1,5 à 3 euros pour un petit bouquin 1001 nuits, on peut pour 100 euros en rassembler jusqu’à une cinquantaine environ, ce qui me semble déjà un volume intéressant pour lancer l’expérience : 20 à 30 pour Paris, 10 et 10 pour deux villes actives (dont Grenoble par exemple… :icon_up: ) ? Ceci n’est bien sûr qu’un exemple, tout est à discuter. Il pourrait même être possible de se référer à une étude de marché.

2 - Formuler un message d’invitation qui sera inscrit sur chaque ouvrage. Que dit ce message, mais surtout vers quoi renvoie-t-il ? Idée du blog-écran à creuser. Quelles associations partenaires ? Quelle mention de ces associations est-il fait - sur le blog par exemple, ou directement dans le message - ? Un logo ? Possibilité de faire imprimer le message sous forme de stickers autocollants pour pas trop cher, adaptés au format de la couverture des petits livres 1001 nuits bien sûr, à la fois pour simplifier le travail de marquages des ouvrages, mais également pour proposer des packs d’autocollants via le site ou blog pour qui voudrait œuvrer pour le projet dans son coin. Différents formats d’autocollants pourraient du coup être proposés (à la vente ?)

3 - Répertorier les lieux où il peut être pertinent d’abandonner les ouvrages. L’idée des laveries automatiques est excellente, ainsi que la précision sur l’importance des horaires.

Un lieu de dépôt auquel on pense rarement : les laveries automatiques. Il y en une à côté de chez moi. Mais il faut éviter de le faire trop tardivement l'après-midi, surtout si la personne qui fait le ménage a trendance à faire du nettoyage par le vide.

Il faut établir les types de lieux et leurs horaires privilégiés. Mais il faut également, en suivant, indiquer des adresses physiques de lieux existants. Quelles laveries ? Quels quartiers ? Adresse exacte ? De même pour les bars, B.U., bibliothèques, musées, jardins et bancs publics (pour citer des lieux a priori évidents…mais pas forcément pertinents !)

4 - Enfin, les activités pratiques : se procurer les ouvrages, y inscrire le message, et les déposer aux lieux convenus. En parallèle, monter le site ou le blog, le remplir et/ou l’animer.

Voici d’autres propositions d’ouvrages (qui me semblent donc préférables à ceux que j’ai indiqués précédemment par rapport aux critères énoncés en 1-) :

toujours dans une perspective d'invitation à la réflexion philosophique en général :

Un ouvrage qui n'a a priori rien à voir, mais qui a le mérite de pouvoir intéresser les curieux et qui invite en fait tout autant à la réflexion en interrogeant le sens des mots et des expressions, les erreurs communes, les préjugés et les lieux communs :

Bouquins de Thoreau, l'idéal me semble-t-il :

Alain :

Bouquins très marqués, à discuter :

Chercher d'autres petits livres dans le catalogue des éditions 1001 nuits :

> http://www.1001nuits.com/Site/1001nuits/liens/catalogue.pdf

Dans la collection Librio, par exemple :

(mais c'est pas terrible, les 1001 nuits me semblent vraiment meilleures…)

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Autre idée : trouver des lieux et ouvrages qui coïncident de façon amusante. Par exemple, laisser dans les toilettes d'un bar ou d'un resto qui le permettent… Lire au cabinet, de Henry Miller ! :icon_up:

En collection Folio2euros, donc correspondant exactement à la fourchette de prix envisagée - collection intéressante dans laquelle il faut aussi farfouiller.

On trouve par ailleurs, page 12 de ce petit bouquin, une définition et une invitation idéale au book-crossing! :

"Qu'est-ce qui rend un livre vivant ? Voilà une question qui se pose souvent ! La réponse me paraît toute simple. Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu'en fait un lecteur à un autre. rien ne peut étouffer cet instinct fondamental de l'homme. Quoi qu'en puissent dire les cyniques et les misanthropes, je suis convaincu que les hommes s'efforceront toujours de faire partager les expériences qui les touchent le plus profondément.

"Les livres sont une des rares choses que les hommes chérissent vraiment. Et les esprits les plus nobles sont ceux-là aussi qui se séparent le plus facilement de leurs plus chères possessions. Un livre qui traîne sur un rayon, c'est autant de munitions perdues. Prêtez et empruntez tant que vous pourrez, aussi bien livres qu'argent ! Mais surtout les livres, car ils représentent infiniment plus que l'argent. Un livre n'est pas seulement un ami, il vous aide à en acquérir de nouveaux. Quand vous vous êtes nourri l'esprit et l'âme d'un livre, vous vous êtes enrichi. Mais vous l'êtes trois fois plus quand vous le transmettez ensuite à autrui."

(…oui oui, c'est un cadeau que j'ai reçu du père noël :doigt: bonnes fêtes de fin d'année à tous !)

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En collection Folio2euros, donc correspondant exactement à la fourchette de prix envisagée - collection intéressante dans laquelle il faut aussi farfouiller.

Applaudissements.

On trouve par ailleurs, page 12 de ce petit bouquin, une définition et une invitation idéale au book-crossing! :

"Qu'est-ce qui rend un livre vivant ? Voilà une question qui se pose souvent ! La réponse me paraît toute simple. Un livre vit grâce à la recommandation passionnée qu'en fait un lecteur à un autre. rien ne peut étouffer cet instinct fondamental de l'homme. Quoi qu'en puissent dire les cyniques et les misanthropes, je suis convaincu que les hommes s'efforceront toujours de faire partager les expériences qui les touchent le plus profondément.

"Les livres sont une des rares choses que les hommes chérissent vraiment. Et les esprits les plus nobles sont ceux-là aussi qui se séparent le plus facilement de leurs plus chères possessions. Un livre qui traîne sur un rayon, c'est autant de munitions perdues. Prêtez et empruntez tant que vous pourrez, aussi bien livres qu'argent ! Mais surtout les livres, car ils représentent infiniment plus que l'argent. Un livre n'est pas seulement un ami, il vous aide à en acquérir de nouveaux. Quand vous vous êtes nourri l'esprit et l'âme d'un livre, vous vous êtes enrichi. Mais vous l'êtes trois fois plus quand vous le transmettez ensuite à autrui."

Je regrette d'avoir lu ça sur mon écran d'ordi (qui est au salon :icon_up: ) : ç'aurait pu être la première fois qu'en même temps que je me vidais les intestins de quelques inutiles possessions corporelles, j'eusse pu me remplir l'esprit de ces belles considérations. L'Histoire ne dit pas si en cas de pénurie de papier, il serait possible encore de toucher, par ces quelques lignes, un partenaire d'expérience profonde…

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  • 2 weeks later...
Invité jabial

Je m'opposerai farouchement à toute demande de subvention par l'association. Notre budget est petit, je refuse qu'on dépende de l'argent du l'occupant, même en considérant l'arnaquer. Je ne plaisante pas - c'est le genre de chose qui peut me faire quitter l'association purement et simplement.

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L'idée d'une association écran est à creuser, je suis partant là dedans, faisant déjà épisodiquement de la "libération" de livres.

Quant au message, sans se référer au libéralisme, parler de liberté peut être une première approche relativement consensuelle.

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Je m'opposerai farouchement à toute demande de subvention par l'association. Notre budget est petit, je refuse qu'on dépende de l'argent du l'occupant, même en considérant l'arnaquer. Je ne plaisante pas - c'est le genre de chose qui peut me faire quitter l'association purement et simplement.

Si c'est à mon message que tu réponds, je parlais d'une éventuelle subvention de l'association vers le projet .La référence au Conseil général était bien sûr une blague. Par ailleurs, j'ai la même position que toi mais ce n'est pas le sujet.

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Je m'opposerai farouchement à toute demande de subvention par l'association. Notre budget est petit, je refuse qu'on dépende de l'argent du l'occupant, même en considérant l'arnaquer. Je ne plaisante pas - c'est le genre de chose qui peut me faire quitter l'association purement et simplement.

> Tu es contre le fait que l'association liberaux.org demande une subvention au Conseil général, ou contre le fait que les porteurs du projet "book-crossing" demandent une aide à liberaux.org ?

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Invité jabial
> Tu es contre le fait que l'association liberaux.org demande une subvention au Conseil général, ou contre le fait que les porteurs du projet "book-crossing" demandent une aide à liberaux.org ?

Contre le fait que l'associaiton liborg demande une subvention à l'Etat.

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Contre le fait que l'associaiton liborg demande une subvention à l'Etat.

Ca me parait élémentaire.

Si on veut faire les choses bien et dépasser le stade des efforts individuels isolés, il faut à mon avis un véhicule, une association distincte typ 'livres en liberté', pour récupérer des livres et surtout des fonds

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