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“La drogue est un plaisir exactement comme un autre”

 

C'est rare d'entendre ça en France. J'imagine que ce type de texte un peu provocateur ne peut convaincre que les convaincus mais c'est tout de même rafraichissant de lire ça.

 

Citation

Je suis en faveur de la légalisation de toutes les drogues. Déjà pour lutter contre les trafics, l’économie clandestine et les ravages humains causés par les cartels. Ensuite, car selon moi il est injustifiable d’interdire une consommation d’un produit qui ne vous fait du mal qu’à vous-même.

 

Amen

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Il y a 13 heures, Romy a dit :

“La drogue est un plaisir exactement comme un autre”

 

C'est rare d'entendre ça en France. J'imagine que ce type de texte un peu provocateur ne peut convaincre que les convaincus mais c'est tout de même rafraichissant de lire ça

Amen

 

Reste à définir des seuils au dessus desquels l'usage d'une voiture doit être interdite...ça appelle une multiplication des contrôles de la police. 

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Il y a 11 heures, Mister_Bretzel a dit :

 

Reste à définir des seuils au dessus desquels l'usage d'une voiture doit être interdite...ça appelle une multiplication des contrôles de la police. 

Et il n'y a pas que la violence routière...

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Ce que je vois surtout dans ce type d'articles ce n'est pas un appel à la consommation mais une remise en cause de la guerre contre la drogue et de la criminalisation des addictions. J'ai l'impression qu'on n'est pas près d'avoir un vrai débat là-dessus en France donc c'est intéressant d'entendre quelques voix discordantes qui posent les bonnes questions à défaut d'apporter des réponses concrètes.

Après, ça vient de la mouvance libertaire qui peut oublier le volet responsabilité, donc à prendre avec des pincettes (le parallèle amour/drogue dans l'article :blink:)

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il y a 54 minutes, Romy a dit :

(le parallèle amour/drogue dans l'article :blink:)

Le parallèle est trop poussé, le "tout comme" est de trop. Ceci étant, c'est un fait qu'on ne sort pas le même d'une vraie histoire d'amour (c'est même à ça qu'on reconnaît les vraies histoires des fausses aventures). Et qu'à côté on ne sort pas le même non plus d'une histoire de drogue (si j'en crois les témoignages recueillis par Philippe-le-Psy-du-blog). Ce qui diffère, c'est que ce n'est souvent pas la même partie de toi qui dans les deux cas ressort "pas la même".

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Le titre de l'article est un peu provocateur, soit, mais les avis de son auteur le sont beaucoup moins. La plus part des addictologues abonderait dans son sens général. Concernant la légalisation, si l'on prend le cannabis, les statistiques montrent que bien que la France possède la législation la plus sévère en Europe, c'est le pays où sa consommation, chez les jeunes (je ne me souviens plus de la fourchette d'âge) est la plus élevée; ça ne semble pas plaider pour une efficacité de la prohibition pour limiter la consommation. 

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
  • 4 weeks later...

Dans l'émission de la Villardiere, après une "expérience" que j'ai pas trop compris pour mesurer le THC dans les billets, ils annoncent 200k personnes qui bossent dans le trafic de cannabis en France.

 

Ça fait plus que de gens dans la boulangerie non ? :D

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  • 1 month later...
  • 2 weeks later...

Why Is Medical Cannabis a Racial Equity Priority?

 

Citation

 

The leaders of Oakland’s new Office of Race and Equity talk about why leveling the playing field in the cannabis industry is so important.

 

There’s a lot of discussion these days about how to correct the racial inequities caused and reinforced by government policies—especially in major cities, where the gaps are widest. In Oakland, California, an innovative new cannabis equity assistance program is showing one way to do it: The program privileges and prioritizes African Americans in the process for obtaining city medical marijuana businesses permits.


It’s not a vaguely defined “race relations” program that dances around racism by having “public discussions” and “considering meaningful input” from people of color. Instead, it centers the problem—the devastation caused by the war on drugs on black communities—and provides a tangible, financially rewarding, and proportional remedy for those victims. This was the first project out of Oakland’s newly minted Office of Race and Equity, run by Darlene Flynn, who previously helped develop the city of Seattle’s Race and Social Justice Initiative.

Flynn says she didn’t know that medical cannabis would be her first racial equity experiment when she first took over Oakland’s office in October last year. But once she dove into the city’s cannabis permitting policy, she began to understand why it was imperative that the racial equity work begin here. CityLab talked to Flynn and Greg Minor, who runs the Oakland office responsible for meting out city medical cannabis permits, about how the program works, and why when it comes to racial equity, there is much more to come.

 

[...]

 

 

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il y a 3 minutes, Bisounours a dit :

tu veux dire que, moralement, tu condamnes le fait de se camer ?

Oui, quand  c'est l'argent de la solidarité pour permettre l'achat de produits de première necessité

De la même façon que je condamne le parent d'élève qui utilise un bon d'achat de rentrée scolaire pour acheter une bouteille de whisky au supermarché du coin.

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il y a 6 minutes, coup_du_sombrero a dit :

Oui, quand car c'est l'argent de la solidarité pour permettre l'achat de produits de première necessité

 

Bref, t'es pour le flicage totalitaire d'une partie de la population sur base de préjugés (qui n'ont absolument rien de chrétien). Paie ton "libéralimse".

C'est quoi le step suivant ? Fliquer et supprimer les allocations familiales aux mères qui ont acheté le dernier smartphone à la mode ?

Quant à l'argent de la "solidarité" : ces mecs ont payé des impôts et des taxes auparavant ; les allocs, c'est pas une aumône de la communauté.

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il y a 2 minutes, coup_du_sombrero a dit :

Oui, quand  c'est l'argent de la solidarité pour permettre l'achat de produits de première necessité

je comprends ton argument, mais tu peux aussi l'appliquer à tous les domaines : alcool, tabac, dépenses trop élevées. Aussi au fait que les ménages achètent des dvd avec les allocs ; c'est sans fin. Puisque nous vivons tous plus ou moins de l'argent redistribué.

si le chômeur avait sa propre assurance, comme celle de sa voiture, tu t'en foutrais qu'il se came avec ses indemnités ? Je le suppose.

tu ne peux pas lui reprocher de cramer son pognon "solidaire", il n'y est pour rien, le gars, dans cette affaire ; autrement, tu mets tous les "assistés" sous tutelle, et un jour ça pourrait être toi

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Oui, quand  c'est l'argent de la solidarité pour permettre l'achat de produits de première necessité De la même façon que je condamne le parent d'élève qui utilise un bon d'achat de rentrée scolaire pour acheter une bouteille de whisky au supermarché du coin.

Plusieurs points :

- La "solidarité" coercitive n'a de solidaire que le nom. Bastiat écrivait à ce sujet : « Il m'est tout à fait impossible de séparer le mot fraternité du mot volontaire. Il m'est tout à fait impossible de concevoir la Fraternité légalement forcée, sans que la Liberté soit légalement détruite, et la Justice légalement foulée aux pieds. »

- La condamnation morale d'une action n'engendre pas nécessairement de condamnation légale. La consommation de drogue, par exemple, fait partie de ces sujets sur lesquels il n'y a pas de point de vue moral évident. Le libéralisme ne se prononce que sur la condamnabilité légale des actes. En cela ce n'est pas un code moral clés en main comme peut l'être la religion.

- Les allocations se confondent dans le revenu disponible d'un ménage, de sorte qu'il est impossible de relier une allocation à une dépense précise. Un pic de revenu concentrera naturellement plusieurs dépenses de types différents qui auraient probablement été réalisées sans ce pic, mais à un autre moment.

- À partir du moment où ce sont des fonds en euros qui sont alloués (comme dans le cadre de l'allocation de rentrée scolaire), l'État laisse délibérément toute latitude aux parents pour dépenser cet argent comme ils l'entendent. Juger de l'opportunité de chaque dépense dans la poursuite du but posé par l'allocation (ici, la réussite scolaire) est impossible faute d'informations complètes, donc ultimement arbitraire.

 

Donc non. Le libéralisme ne condamne qu'une seule chose ici : le racket et le recel d'argent du contribuable dans un domaine n'ayant rien de régalien.

 

 

 

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il y a 41 minutes, Bisounours a dit :

je comprends ton argument,

Tant mieux.

Pour moi c'est confondre liberalisme et escroquerie si on admet qu'un bon d'achat de rentrée scolaire est utilisé par un parent pour acheter une bouteille de pastis car il y a détournement du but de l'aide.Ou alors supprimons carrément ce type d'aide.

Pour l'alloc chomage détournée en achat de stups, je pense que si l'Australie pays hautement plus libéral que la France , s'en préoccupe c'est que le but de cette alloc est que le bénéficiaire retrouve un travail .Mais son addiction aux drogues , va au contraire, augmenter le risque qu'il ne trouve pas de travail.

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il y a 18 minutes, coup_du_sombrero a dit :

Ou alors supprimons carrément ce type d'aide.

Pour l'alloc chomage détournée en achat de stups, je pense que si l'Australie pays hautement plus libéral que la France , s'en préoccupe c'est que le but de cette alloc est que le bénéficiaire retrouve un travail .Mais son addiction aux drogues , va au contraire, augmenter le risque qu'il ne trouve pas de travail.

 

Une pensée pour toutes ces portes ouvertes qui viennent de se faire défoncer. 

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il y a 48 minutes, coup_du_sombrero a dit :

si on admet qu'un bon d'achat de rentrée scolaire est utilisé par un parent pour acheter une bouteille de pastis car il y a détournement du but de l'aide

qu'appelles tu bon d'achat  ? si c'est un chèque d'aide extra légale sur lequel est inscrite une somme et les dépenses autorisées, c'est un détournement, oui. Et les tickets de caisse en retour sont examinés

si c'est du fric versé sur le compte de la personne, comment tu fais pour distinguer ce qui est dépensé avec l'allocation destinée aux enfants, et le salaire qui est supposé être utilisé pour ce que tu veux ? Le but étant que les enfants disposent du nécessaire, n'est ce pas ?

 

ensuite, le but de l'alloc c'est de compenser la perte de revenu, pas la recherche d'emploi qui, elle, dépend des démarches du chômeur et du service qu l'accompagne

 

la suppression des subventions (alloc entre autres) est effecivement une piste libérale, mais certainement pas la surveillance de l'usage de l'argent reçu. Ça c'est de la tutelle.

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il y a 41 minutes, coup_du_sombrero a dit :

supprimons carrément ce type d'aide.

 

Encore une fois, il ne s'agit pas d'aide, mais d'allocation perçue par un bénéficiaire qui a préalablement cotisé.

Quant au laïus sur le mieux-disant libéral de l'Australie, cela ne signifie en rien que la moindre mesure de flicage devient per se une mesure libérale.

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il y a 41 minutes, Bisounours a dit :

qu'appelles tu bon d'achat  ?

 

C'est un bon d'achat ( délivré par la mairie ou une autre entité)  que l'acheteur (censé acheter des fournitures scolaires) remet au commerçant au lieu de lui remettre de l'argent.

Ensuite le commerçant renvoie le bon (sans ticket de caisse correspondant) à celui qui l'a émis qui lui fait un versement du montant inscrit sur le bon.

Donc à la fois le bénéficiaire du bon et le commerçant sont complices de fraude.

 

Je ne vois pas pourquoi un contribuable se voit remettre par l'état un crédit d'impot en justifiant de dépenses d'isolation thermique UNIQUEMENT dans sa résidence principale ; c'est-à dire qu'il ne peut pas choisir d'utiliser cet argent de l'état pour  faire les mêmes dépenses dans une résidence secondaire

tandis que le bénéficiaire d'un revenu de solidarité (qui n'est plus indemnisé par l'assurance chomage) pourrait lui utiliser librement.l'argent.

Il y a flicage du contribuable,mais pas de l'autre  à ce compte là.

.

 

 

 

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il y a 3 minutes, coup_du_sombrero a dit :

tandis que le chomeur pourrait lui utiliser librement.l'argent.

 

 

On va le dire combien de fois : l'allocation de chômage n'est pas une aide de l'État, mais une indemnité perçue après avoir cotisé. L'allocation de chômage est un revenu de remplacement (que l'on utilise à sa guise) résultant d'un système d'assurance. Rien à voir avec un quelconque crédit d'impôt octoyé dans un but précis.

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