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c'est une description integrale du comportement du male.

En gros il va se chercher la femelle, qui elle, reste tranquillement le cul pose a attendre qu'on vienne la cueillir.

Tu as écrit ceci à la suite me semble t il de mon interprétation des symboles mâle et femelle. Et c'est là que j'ai répondu n'imp. quoi. Mais ptêt que ta réponse ne m'était pas destinée auquel cas milescuses

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Cher.e ami.e,

Pour la 3e année consécutive, l'association "Les identités du baobab"

a le plaisir de vous annoncer que le festival Massimadi Bruxelles se tiendra du 7 au 9 mai prochain au Bronks à Bruxelles.

Massimadi ? C'est la contraction de Massissi = PD et Madivinez = Gouine en créole haïtien. Nous en avons fait un objet de fierté. Massimadi est donc le festival belge de films LGBT d'Afrique et de ses diasporas.

Pendant trois jours, nous ouvrons un espace où sont débattus, discutés les enjeux et les réalités diverses et variées des homosexualités en Afrique et dans ses diasporas africaines. Cette année encore, la programmation s'est enrichie de films et de documentaires anciens et récentes. Nous avons été voir comment s'organise l'activisme queer au Botswana, ce que disent les militant.es new-yorkais du Starlite, le premier et plus ancien bar LGBT afro-américain, nous avons testé la force du lien entre deux frères dans une banlieue. Bref, cette année encore,la programmation rencontre tous les genres !

En ouverture, le Jeudi 7 mai à 20h30, une avant-première en belge avec "We came to sweat" de Kate Kunath & Sasha Wortzel. Le festival Massimadi c'est également des rencontres : Karim Aïnouz, réalisateur du très beau film brésilien "Madame Sata", endredi 8 mai à 20h et Marine Romezin, pour les films sur le football lesbien en France et en Afrique du Sud : Foot For Love et Thokozani Football Club : Team spirit, le samedi à 18h.

Massimadi c'est toujours la même volonté : éclairer, montrer les manières dont se vivent les homosexualités féminines et masculines des africain.es et des noir.es quel que soit leur pays de résidence. Et bien entendu, les questions d'identités et d'intersection de l'origine, du genre, de la classe sociale et de l'orientation sexuelle sont au cœur de ce festival. C'est d'ailleurs aussi pour cela que Massimadi c'est des films, mais aussi des artistes, des activistes qui viennent avec leurs oeuvres titiller, déranger, faire sourire voire verser une petite larmes.

Nous portons une attention toute particulière à la qualité des moments passés sur le lieu du festival. C'est une volonté tenace : une programmation exigeante, des prix accessibles, de belles rencontres, le tout dans une ambiance décontractée et festive. Aussi, en plus de la restauration à petits prix et de l'accueil, tous les soirs, nous proposons un DJ set au Bar du Bronks.

Et cette année, nous nous sommes associé à trois pointures des nuits Bruxelloises : Rokia Bamba, DJ Jmax et DJ Xogn. Tous les soirs l'un d'eux sera derrière les platines et, nouveauté pour cette année, ils animeront ensemble la fête de clôture, Massimadi Party, qui aura lieu sur place dans la belle salle du Bronks !

Bienvenu.es chez nous, bon festival !

Contact presse : Joëlle Sambi Nzeba - joelle@massimadi-bxl.be - 0032

472 91 99 77

N'hésitez pas à nous contacter pour toutes demandes d'interviews. Nous pouvons également organiser une rencontre avec nos invité.es (réalisateurs, artistes, etc.)

 

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On a envie d'être sexiste !

On s'enfonce et le ridicule ne tue plus : il massacre.

Dernier exemple de ces péripéties dérisoires mais signifiantes qui montrent qu'une société s'abaisse quand elle croit s'élever.

Tous les carnets de santé remis aux parents dans les maternelles des Bouches-du-Rhône vont être réédités et cela va coûter 33000 euros alors qu'on ne cesse de vouloir raboter, réduire les dépenses publiques inutiles et qu'on a raison (Le Figaro)!

Quelle est donc cette impérieuse nécessité qui contraint à un gaspillage de 33OO0 euros ? Sûrement un incident gravissime, une provocation au crime, une apologie de terrorisme, un éloge de la pédophilie, un outrage à la France ?

Vous n'y êtes pas.

Le visuel de la première page de ce carnet a été jugé "sexiste" parce qu'on y voyait une fille inquiète pour son tour de taille et un garçon heureux de se mesurer. L'un et l'autre, en dehors de cette différence psychologique, ne se trouvaient pas dans une posture de nature à blesser l'un ou l'autre. Juste ensemble et différents. Ce n'était pas bouleversant d'originalité !

Ainsi, le simple fait d'oser renvoyer à une caractéristique qui, pour n'être pas fondamentale, est réelle dans la quotidienneté, a suffi pour jeter au pilon un carnet de santé qui avait été validé par le précédent exécutif départemental.

On tombe sur la tête.

On aurait figuré un garçon fier d'avoir minci et une fille béate d'avoir grandi, tout aurait été donc parfait, conforme, exemplaire ?

Faut-il à tout coup "casser" des représentations qui en elles-mêmes ne portent pas atteinte à l'égalité des sexes mais s'ancrent dans une spécificité qui ne permet pas, certes, de définir le féminin ou le masculin dans sa globalité mais n'en est pas honteuse pour autant ?

J'entends bien que les images, les magazines, les publicités et les photographies ont de l'importance et qu'ils peuvent favoriser, structurellement, des stéréotypes mais d'une part il en est qui n'ont rien de blâmable et d'autre part cette manière de poser la grosse patte de l'Etat ou d'un antisexisme dilaté et militant sur tout et n'importe quoi interdit l'élaboration personnelle, intime, familiale des configurations qui nous regardent.

Au nom de quoi récuser le plaisir que vous offre une petite fille déjà attentive à sa taille et un petit garçon investi par l'envie de grandir ?

Conviendra-t-il bientôt de s'excuser parce qu'on prononcera homme ou femme, qu'on s'obstinera à identifier de belles différences entre eux et que, loin d'être attristé par ces singularités riches et fluctuantes, on les mettra au contraire au crédit de l'humanité ?

J'attends les prochaines salves délirantes de ceux à qui la nature répugne. Et qui prétendent nous imposer une condition, une vision, une éducation qui ne relèvent que de notre seule responsabilité.

Une résistance à ce mouvement faussement progressiste et vraiment totalitaire doit se manifester et un coup d'arrêt et de bon sens survenir.

Et d'urgence.

Parce que, sinon, par réaction, on aura tous envie de devenir sexistes.

Et 33000 euros dilapidés pour rien !

http://www.philippebilger.com/blog/2015/04/on-a-envie-d%C3%AAtre-sexiste-.html

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"Quelle est donc cette impérieuse nécessité qui contraint à un gaspillage de 33OO0 euros ? Sûrement un incident gravissime, une provocation au crime, une apologie de terrorisme, un éloge de la pédophilie, un outrage à la France ?"

 

 

Je lui déconseille de regarder les dépenses de l'état si il pense qu'à chaque fois que l'état dépense 30 000€ c'est justifié par des choses aussi graves :D

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Mais c'est complètement con en plus d'être hyper pénible !

 

C'est horrible.

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Je me surprends à double facepalmer devant cette vidéo.

Surtout les clients qui à la fin disent "ah bah oui c'est juste, payons 30% de plus". Sombres connards.

Bon en même temps il y a sûrement eu une sélection dans les vidéos, certains types ont du se lever et se tirer du restaurant dès le début ou dès qu'on leur a remis l'affiche.

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En faitje suis en train de comprendre que le gérant n'en a rien à faire du féminisme. C'est juste une operation de marketing psychologique assez geniale.

Je parie qu'il ne surfacture que les jeunes couples.

Fantastique : il est parvenu à augmenter ses recettes de 15 % sur cette clientèle juste en jouant sur la tafiolisation politiquement correcte de la société.

Génial. Je l'embauche.

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Il explique dans les commentaires que c'est volontairement exagéré et qu'il est très content que son gosse soit passionné.

Oui, mais la BD en tant qu'oeuvre de fiction mérite à peu près d'être ici pour illustrer le fil. (enfin presque, la tirade "mon fils est un vrai mec" ne désole pas tant le personnage du père parce que c'est anti-féministe que pour soupirer un peu sur la monomanie du fils.)

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C'est ce que je dis depuis le début, même si ça ne concerne que les aspects de liberté et de sécurité individuelle à faire respecter je ne vois pas comment la force publique pourrait être plus efficace.

Le cadre compte beaucoup aussi, j'ai des amies qui me racontaient (on avait 20 ans environ) qu'en vacances elles s'habillaient pour que les mecs les sifflent en se rendant en soirées. Un sifflet à Ibiza c'est pas la même chose qu'à La Défense.

 

Indeed. D'où le fait qu'il est difficile de comparer de la drague dans les métros à de la drague dans un bar. Même si dans les deux cas, ça peut être lourd, ou apprécié.

 

 

Bien sûr, mais là on tombe dans le "Que faire ?".

Hormis espérer que les trouducs qui se comportent comme ça ne se reproduiront pas, mystère.

 

Pas grand chose à mon avis. 

 

 

 

 

Je ne vois pas le rapport. On ne parle pas de féminisme dans ton post, on parle d'homosexualité o.O.

 

 

Sinon, pour relancer avec de l'intéressant et pas juste de la complainte continuelle sur le féminisme des FEMEN, je vous propose l'ambassadrice de bonne volonté pour le droit des femmes de l'ONU :

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ok mais le feminisme est un collectivisme.

C'est normal c'est la seule arme qui marche face a la frange mongolienne des conservateurs liberticides, tres actifs dans les pays primitifs et ceux qui boivent de la vodka.N'empeche.

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Indeed. D'où le fait qu'il est difficile de comparer de la drague dans les métros à de la drague dans un bar. Même si dans les deux cas, ça peut être lourd, ou apprécié.

Voilà, ensuite je sais pas à quel point la mode des PUA a influencé des milliers de mecs à se comporter comme des trouducs dans les lieux publiques pour "s'entraîner". Est-ce que ça a particulièrement augmenté ses dix dernières années ou pas, tel est la question.

Sinon, pour relancer avec de l'intéressant et pas juste de la complainte continuelle sur le féminisme des FEMEN, je vous propose l'ambassadrice de bonne volonté pour le droit des femmes de l'ONU :

The fact-fem a fait une vidéo à ce sujet d'ailleurs  :)

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Voilà, ensuite je sais pas à quel point la mode des PUA a influencé des milliers de mecs à se comporter comme des trouducs dans les lieux publiques pour "s'entraîner". Est-ce que ça a particulièrement augmenté ses dix dernières années ou pas, tel est la question.

 

 

Crazy Stupid Love ( :wub: ) ou Hitch and co ont bien popularisé et enjolivé le mouvement je pense. Mais c'est vrai aussi du côté des femmes avec les adoptesunmec et compagnie et la volonté permanente d'afficher sa "sexualité libérée" parce qu'on a des plans cul.

 

 

 

The fact-fem a fait une vidéo à ce sujet d'ailleurs   :)

 

C'était pas trop mal, encore que son ton me rappelle Julie Borowski que je déteste particulièrement dans sa tonalité.

Après, on peut dire ce qu'on veut, le féminisme libéral peut s'attaquer sous de nombreux angles. Emma Watson est encore jeune pour être une véritable ambassadrice et n'a pas forcément la maturité de prendre charge de toutes les problématiques de premier et de nième degré.

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