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18 hours ago, Neomatix said:

Si tu considères que la procréation relève de la responsabilité des deux parents, alors le droit d'un des deux parents d'apposer son véto à une décision d'avortement est parfaitement cohérent.

Si tu considères que, malgré le brassage génétique, la procréation relève exclusivement de la femme puisque la gestation s'effectue dans son corps alors ce droit n'a pas lieu d'être. Mais alors les pensions alimentaires non plus (entre autres).

This

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Il y a 13 heures, Cthulhu a dit :

On a qu'à filer la garde aux pères plus souvent et le 3e point est réglé.

Ils font aussi plus souvent des métiers à risque (militaire, soudeur sous-marin...). Aussi, les deux premiers points sont très liés (ils sont aussi liés, plus faiblement, avec le troisième point et la garde des enfants).

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il y a une heure, poney a dit :

J'ai cherché, y a en effet 75% de femmes

Oui, ça c'est à la fois assez connu de ceux qui s'y intéressent, et méconnu du grand public. 

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Il y a 22 heures, Hayek's plosive a dit :

 

Et puis cet argument ...

Citation

Toutefois, pour assurer une égalité professionnelle effective entre les femmes et les hommes (…), le code du travail permet, dans le cadre d’un plan pour l’égalité professionnelle entre les sexes, que des mesures soient prises au seul bénéfice des femmes dans le but de remédier aux inégalités de fait qui affectent leurs chances. »

Il faudra m'expliquer en quoi la 1/2 journée de congé peut accroitre en quoi ce soit les chances de réussite professionnelle des femmes.

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il y a 24 minutes, FabriceM a dit :

une égalité professionnelle effective

C'est comme la "liberté effective" : dans la bouche des politiciens le mot "effectif" est un concept dévoyant totalement le mot auquel il est associé.

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Il y a 4 heures, PABerryer a dit :

Quand on sait que 80% des élèves de l'ENM sont des femmes et la moitié lesbiennes autant te dire qu'il n'est pas toujours bon d'être homme et justiciable. 

Ah le fantasme des lesbiennes haïssant les hommes.

Qui tient grosso modo 1/100 de seconde face à la réalité.

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il y a 9 minutes, Alchimi a dit :

Ah le fantasme des lesbiennes haïssant les hommes.

Qui tient grosso modo 1/100 de seconde face à la réalité.

 

C'est pas tant leurs moeurs que le fait que les femmes jugent différemment que les hommes et que l'ENM est sans doute un des pires repaires de gauchiste qui soit. Le tout cumulé...

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1 hour ago, Johnathan R. Razorback said:

Le terme allemand traduit par effectif (réel dans certaines traductions anciennes) revient fréquemment dans les textes théoriques de Marx ;)

Serait-ce un indice sur la source de la dévoyance ?

 

26 minutes ago, Alchimi said:

Ah le fantasme des lesbiennes haïssant les hommes.

Ça dépend desquelles disons : https://en.wikipedia.org/wiki/Political_lesbianism

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La seule politisation significative que j'ai vu chez les lesbiennes est la même que chez les homos, l'envie d'avoir le droit de coucher et se mettre en couple avec qui on veut, quel que soit le sexe de son partenaire.

Préoccupation d'ailleurs assez largement partagée au sein de l'humanité, si on va par là...

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Le concept du political lesbianism ce n'est pas d'adopter telle position parce qu'on est lesbienne, c'est de se forcer à devenir lesbienne parce qu'on est féministe radicale et donc par haine des hommes. L'histoire du féminisme est fascinante.

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Ça c'est pas être lesbienne, c'est de la connerie.

Et je peux te garantir que mes amies lesbiennes et bi sont entre l'hilarité et le ras-le-bol devant ce genre de connerie de merde.

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50% des divorces sont fait par consentement mutuel, et donc le juge ne dit rien sur la résidence de l'enfant vu que les parents doivent être d'accord sur ce sujet avant d'entériner le divorce.

Et dans les 50% autres, les parents sont d'accord 8 fois sur 10 sur le mode de garde de l'enfant.

 

Alors peut-être que les juges féministes lesbienne de gauche font du mal aux pères.

Mais ce qui leur fait le plus de mal, c'est quand même de ne pas essayer d'aller devant la justice.

 

Alors oui, sans doute qu'ils auront du mal si leur ex ne veut pas lâcher l'affaire, surtout si l'enfant a moins de 3ans. Les stats prouvent que la résidence alternée est le résultat le plus courant en cas de conflit après cet âge et que la mère gagne souvent avant.

 

Mais pour gagner, faut déjà se battre.

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9 minutes ago, Alchimi said:

Ça c'est pas être lesbienne, c'est de la connerie.

C'est un phénomène d'autant plus amusant a posteriori que le discours a complètement changé sur ces questions (on ne peut pas choisir ou reprogrammer sa sexualité).

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il y a 5 minutes, poney a dit :

T'as des amies lesbiennes ?

 

Féministe !

Je peux sortir avec elles en bar et dire d'une tierce nana qu'elle est quand même bonne, et elles de me répondre "ah ouais carrément ouais".

Je ne me plains pas.

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il y a 6 minutes, Lancelot a dit :

le discours a complètement changé sur ces questions (on ne peut pas choisir ou reprogrammer sa sexualité).

 

J'ai en effet noté que les militants LGBT insistent de nos jours sur l'idée qu'être homosexuel est une fatalité ("on naît homosexuel"), alors que la génération précédente revendiquaient la liberté sexuelle (l'homosexualité était donc un choix de vie, un comportement social). On est passé entre temps à une biologisation de l'homosexualité.

 

La science a-t-elle tranché ce débat ?

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1 minute ago, Johnathan R. Razorback said:

J'ai en effet noté que les militants LGBT insistent de nos jours sur l'idée qu'être homosexuel est une fatalité ("on naît homosexuel"), alors que la génération précédente revendiquaient la liberté sexuelle (l'homosexualité était donc un choix de vie, un comportement social). On est passé entre temps à une biologisation de l'homosexualité.

 

La science a-t-elle tranché ce débat ?

On a des éléments génétiques ou épigénétiques (pendant la gestation) je crois. Mais c'est encore une question où la science est très obscurcie par l'idéologie.

En ce qui concerne la position biologisante par exemple elle a pour but de lutter contre les phénomènes de type "centre de rééducation chrétien pour les gays".

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