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Bastiat

Par Bastiat,
dans Lectures et culture

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Solomos

Solomos

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Pour tout le monde, en particulier sur ce fil : veillez-faire l'effort d'utiliser les balises Amazon. L'association touche une (petite) commission en cas d'achat en suivant le lien.

Est-ce vrai pour autre chose que les bouquins ?

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NoName

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non mais je veux des romans qui parlent d'amour et de relaiton amoureuses, pas des saloperies romantiques pour émos qui prétextent de parler d'amour pour parler de malheur et d'incompréhensitude-de-la-life-tuvoi.

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poney

poney

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non mais je veux des romans qui parlent d'amour et de relaiton amoureuses, pas des saloperies romantiques pour émos qui prétextent de parler d'amour pour parler de malheur et d'incompréhensitude-de-la-life-tuvoi.

 

L'amour dure trois ans.

Spoiler : a la fin il la sodomise

 

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Johnathan R. Razorback

Johnathan R. Razorback

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Je disais il y a quelque temps que les travaux d'histoire économique d'Adam Tooze (Le Salaire de la destruction), ne corroboraient en rien la thèse audacieuse de Benoît Malbranque (Le Socialisme en chemise brune), selon laquelle l'entrée en guerre du IIIème Reich était une nécessité afin de mener des guerres de pillage, lesquelles visaient à ralentir un effondrement économique interne engendré par le planisme.
 
Je constate maintenant qu'Aron démentait par avance cette interprétation au fond politiquement rassurante ("le planisme est voué à s'effondrer"), lorsqu'il analysait pour ainsi dire en direct les événements:

"Il ne faut pas croire que les difficultés financières soient telles qu'elles menacent les fondements du système. Rien n'est plus absurde que d'en attendre l'écroulement d'un régime économique, quel qu'il soit, en particulier du régime national-socialiste."
-Raymond Aron, Etats démocratiques et Etats totalitaires, communication présentée devant la Société française de philosophie, le 17 juin 1939 ; publiée dans le Bulletin de la Société française de philosophie, 40e année, n°2, avril-mai 1946. Repris dans Raymond Aron, Penser la liberté, penser la démocratie, Gallimard, coll. Quarto, 2005, 1815 pages, p.65.

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Neomatix

Neomatix

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non mais je veux des romans qui parlent d'amour et de relaiton amoureuses, pas des saloperies romantiques pour émos qui prétextent de parler d'amour pour parler de malheur et d'incompréhensitude-de-la-life-tuvoi.

The Fountainhead.

:mrgreen:

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Johnnieboy

Johnnieboy

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y'a quoi comme roman d'amour bien ?

À part tous les romans déjà cités, il y a Les Deux étendards de Lucien Rebatet. Anna Karénine de Tolstoï. Par contre, quelqu'un a cité Montherlant mais je n'ai encore vu de traces d'amour dans ses romans (mais je n'ai pas tout lu).

Je compte lire La Belle du seigneur, qu'en pensez-vous ?

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Soda

Soda

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À part tous les romans déjà cités, il y a Les Deux étendards de Lucien Rebatet. Anna Karénine de Tolstoï. Par contre, quelqu'un a cité Montherlant mais je n'ai encore vu de traces d'amour dans ses romans (mais je n'ai pas tout lu).

Je compte lire La Belle du seigneur, qu'en pensez-vous ?

 

Tu as lu "les jeunes filles" de Montherlant  ? belle du seigneur pas lu non plus mais ça à l'air pas mal.

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Johnnieboy

Johnnieboy

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Tu as lu "les jeunes filles" de Montherlant ? belle du seigneur pas lu non plus mais ça à l'air pas mal.

Oui. Aucune trace d'amour dans ce roman.

Sinon, j'ai commencé ce matin Tristes Tropiques. Ça commence plutôt bien puis après 60 pages, Lévi-Strauss commence à me les briser avec la psychanalyse et le marxisme...

Il va jusqu'à écrire qu'il ne résoud jamais un problème de sociologie ou d'ethnologie sans relire Marx.

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Soda

Soda

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Oui. Aucune trace d'amour dans ce roman.

 

 

Jen ne sais pas ce que tu appelle l'amour, car même si costal envoie chier ses groupie ça reste une histoire d'amour, certes pas réciproque. Sinon il y a "la joie de vivre de Zola" avec Pauline qui sacrifie tout par amour mais là encore c'est pas la seul chose que Zola a voulu montrer.

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Antoninov

Antoninov

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Ce que j'ai lu depuis janvier, dans l'ordre indiqué, un livre m'ayant naturellement conduit à l'autre:

(génial pour un fan de la première heure comme moi, et ça réveille pas mal de souvenirs)

 

(je n'avais que peu joué à PoP mais bien à d'autres jeux de la même époque, donc ça m'a réveillé pas mal de souvenirs...

 

 

Je les conseille tous en fait!

 

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Bisounours

Bisounours

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Romans autour de l'amour, au sens large : Henry Miller (la série des Tropiques, Le monde du sexe, mais tous ont l'amour de la vie, et le sexe comme thème central), Albert Cohen (le livre de ma mère), Djian (dans le genre branchouille mais cool à lire), Margaret Mitchell (Gone with the wind, aaaaah Rhett et cette cruchonne de Scarlett), Pagnol (là aussi, la série de l'eau des sources, ou de Marius, la femme du boulanger), Irving (Le monde selon Garp), Choderlos de Laclos (Les liaisons dangereuses, topissime), Stendhal bien sûr, et j'en oublie des tas et des tas ; tous les livres parlent d'amour, peu ou prou

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