Bar du football

[Malky]

Je préfère soutenir des enfants de nazis que du football féminin...

 

Trop gros, ça passera pas.

[Tremendo]

Je préfère soutenir des enfants de nazis que du football féminin...

Franchement l'attrait soudain et relatif des médias pour le foot feminin est assez pathétique. Juste parce que la Fraonce est capable de gagner un titre ( et encore).

Les reportages à cet effet me rappèlent le ridicule de France 98 où on expliquait que les femmes enfin s'intéressaient au football...

Et puis alors hier soir le reportage de France2 (qui ne parle même pas de la copa america qui est la vraie compet' qui se joue actuellement), ils n'étaient pas fichus de montrer une image ni même citer un nom d'une joueuse de l'équipe de France, par contre ils interviewaient les maris des footballeuses lool, c'te sexisme!

[Mathieu_D]

Celui qu'on ne doit pas nommer ferait une apoplexie en te lisant.

[Marlenus]

Franchement l'attrait soudain et relatif des médias pour le foot feminin est assez pathétique. Juste parce que la Fraonce est capable de gagner un titre ( et encore).

Bof pas plus pathétique que l'engouement pour des sports autre que le foot quand l'équipe de france devient bonne.

 

Tout le monde se foutait du hand jusqu'à ce que cela nous apporte des titres et tout le monde s'en fout encore sauf quand cela nous apporte des titres.

Pareil pour le Basket, la NBA faisait rêver, l'EDF non. Maintenant que l'on est une équipe de stature mondiale on s'intéresse à elle.

 

Et je ne parle pas des sports cycyliques comme ceux dont on entend parler qu'aux JO mais où on s'y intéresse si un français est bon (Combinée nordique, biathlon, etc).

 

Le jour où la france sera une des nations leaders du Curling, on s'y intéressera.

[Tremendo]

Celui qu'on ne doit pas nommer ferait une apoplexie en te lisant.

Celui qu'on ne doit pas nommer aimait le foot féminin parce que son équipe à l'époque était la meilleure, aussi simple que cela.

[Mathieu_D]

Ha ces nationalocoinistes du foot... ça fait penser au Barça.

[Astha]

Tu n'aimes pas le foot ?

[Loi]

Je crois que je vais m'inscrire dans un club de badminton l'année prochaine.

[Rincevent]

Et puis alors hier soir le reportage de France2 (qui ne parle même pas de la copa america qui est la vraie compet' qui se joue actuellement), ils n'étaient pas fichus de montrer une image ni même citer un nom d'une joueuse de l'équipe de France, par contre ils interviewaient les maris des footballeuses lool, c'te sexisme!

Les maris des joueuses ? Mais quels branques...

[PJE]

Je crois que je vais m'inscrire dans un club de badminton l'année prochaine.

 

 

Je l'ai déjà dit et je le répète, mais le foot féminin est appréciable

 

[Loi]

PJE si tu savais a quoi ressemble les demoiselles qui pratiquent ce sport!

Au delà du fait que le bad' est ultra exigeant et demande de la technique, de l'adresse, une vraie intelligence tactique (a haut niveau bien sur) ...

Pas un sport de fiote!

[Noob]

Je sais que tu es celui qui a l'avis le plus tranché sur la question sur ce forum. Ayant traîné avec pas mal d'Allemands, c'est impressionnant comment c'est bien mieux vu et plus suivi là-bas qu'en France.

Aussi, je ne pense pas que ce soit une question d'endurance et de longueur de matchs (elles font déjà moins de matchs en une saison), mais plutôt de dimension du terrain, leurs pointes de vitesse sont loin de celles des hommes et le jeu y est donc plus lent.

+1 le foot féminin devrait se pratiquer sur des terrains adaptés, je dirais environ 70-80 mètres de long au lieu des 105 mètres habituels, les pauvresses finissent leurs sprint complètement crevées et ne peuvent plus tirer au but ça rend le jeu très lent et plein d'erreurs comme on peut en voir chez les juniors.

[Cugieran]

+1 le foot féminin devrait se pratiquer sur des terrains adaptés, je dirais environ 70-80 mètres de long au lieu des 105 mètres habituels, les pauvresses finissent leurs sprint complètement crevées et ne peuvent plus tirer au but ça rend le jeu très lent et plein d'erreurs comme on peut en voir chez les juniors.

 

Je suis plus pour des matches + courts. J'ai pas l'impression qu'elles en chient sur la distance. En revanche, la baisse de rythme est criante à partir de l'heure de jeu.

2*30 minutes, ce serait cool et ça permettrait de jouer dans les stades habituels sans que les virages soient trop loin du jeu.

[Noob]

Même pas, quand tu regardes la force qui leur restent pour tirer après un gros sprint tu vois tout de suite qu'il y a un truc qui coince.

Dans ces cas là elles mettent des tout petits tirs ridicules alors que si elles avaient eu 20 mètres de moins dans les pattes ça pourrait être différent.

La référence en la matière :

[Cugieran]

Ouais pas faux.

[Johnnieboy]

Argentine-Angleterre en 1998... Le meilleur souvenir d'un match, pour ma part.

Les buts d'Owen et de Zanetti illustrent, et de la plus belle manière, le côté offensif du football : les buts sont le fruit du génie individuel ou d'une connexion mentale incroyable entre plusieurs joueurs.

[PJE]

Je sais que tu es celui qui a l'avis le plus tranché sur la question sur ce forum. Ayant traîné avec pas mal d'Allemands, c'est impressionnant comment c'est bien mieux vu et plus suivi là-bas qu'en France.

Aussi, je ne pense pas que ce soit une question d'endurance et de longueur de matchs (elles font déjà moins de matchs en une saison), mais plutôt de dimension du terrain, leurs pointes de vitesse sont loin de celles des hommes et le jeu y est donc plus lent.

 

Les Allemands fantasment peut-être.

 

 

L'homosexualité est-elle tabou dans le foot féminin ? Depuis le 6 juin, le Canada accueille la 7ème Coupe du Monde féminine. Sur les cinq-cents joueuses du Mondial, quatorze se présentent comme officiellement gays. Cependant, qu'en est-il des homosexuelles dans le football actuel ?

Ramona Bachmann est une pionnière, une vraie. Après un joli triplé contre l'Equateur, la Suissesse a rendu publique son homosexualité. À 24 ans, l'attaquante de FC Rosengård en Suède, a annoncé la nouvelle en toute décontraction pour le quotidien Sonntags-Blik. Avec ses mots, Ramona a fait le point sur une situation pas si facile : « Quand je me promène main dans la main avec Camille en Suisse, les gens se retournent. Ce qui n'est pas le cas en Suède, ou ici au Canada. » Malheureusement pour elle et de nombreuses autres sportives, le monde ne se limite pas à la Suède et au Canada. Pour beaucoup de ses confrères et consoeurs, le fait d'aimer une personne du même sexe constitue une tare, un handicap à la pratique du football. Et c'est peu dire que les femmes sont loin d'être épargnées. On le dit plus ouvert et moins machiste que celui des garçons, mais le football féminin s'afficherait aussi comme un monde fermé, sclérosé par des pelletées d'idées reçues.

« La gangrène du football féminin »

L'Afrique, représentée au Canada par le Nigéria, le Cameroun et la Côte D'Ivoire, apparaît comme le continent le plus ouvertement hostile à l'homosexualité des femmes en crampons. Ainsi, l'ancienne footballeuse des années 80, Peggy Lucie Auleley, aujourd'hui professeur de littérature et écrivain, avait dérapé il y a peu sans que cela n'émeuve grand monde. En janvier dernier, lors des journées de réflexion sur le football féminin à Libreville, elle avait notamment déclaré : « il faut assainir les mœurs dans le milieu et lutter contre l'homosexualité si nous voulons redorer le blason de notre sport, lequel s'est dévergondé. J'ai quitté le milieu du sport à cause des mauvaises pratiques qui entouraient nos activités, notamment le lesbianisme et la corruption. » Rappelons que ce fameux évènement dirigé par le ministère des Sports Gabonais s'intitulait « Développement du football féminin au Gabon : stratégies et plan d'actions prioritaires. » Ambiance.

Ce pays coincé entre la Guinée Equatoriale et le Congo n'a cependant pas le peu glorieux monopole de la lutte contre le lesbianisme. Le Nigeria avait également défrayé la chronique ces dernières années. Avec l'homophobie en guise de leitmotiv, la patronne de la Nigeria Women Football League et l'ex-coach des Super Eagles Eucharia Uche s'étaient relayées pour atteindre des sommets jamais atteints. En 2011, l'ancienne entraîneuse avait profité d'une défaite des siennes contre l'équipe de France pour causer d'amour dans le New York Times : « les lesbiennes dans notre équipe étaient vraiment un gros problème, mais depuis que je suis sélectionneur, le problème est réglé. Il n'y a plus de joueuses lesbiennes dans mon équipe. Elles sont beaucoup plus concentrées comme ça et savent que le football peut leur apporter la renommée, le bonheur et l'amusement. L'homosexualité détruit tous ces espoirs. » OK... Quelques années plus tard, c'était au tour de Dilichukwu Onyedinma, boss de la ligue féminine du pays, de reprendre le flambeau avec sa volonté d'interdire le football aux gays. Heureusement, la FIFA était passée par là, empêchant la liberticide manœuvre.

« Allez, regardez, on applaudit les lesbiennes !»

La France, quant à elle, n'est pas épargnée. Ici, peu importe le niveau, amateur ou pro, les questionnements sont légions. Les clichés ont la peau dure: dans l'Hexagone, le football féminin est vu comme un sport de garçon manqué et donc irrémédiablement lesbien. Dans la bouche de beaucoup, le mot revient souvent, comme s'il était impossible d'avoir sa préférence, peu importe son physique. Le cliché s'est installé jusqu'à gêner les footballeuses, plus à l'aise balle au pied qu'avec le mot « lesbienne » au bout des lèvres. Camille Abilly, milieu de l'équipe de France et de l'Olympique Lyonnais a ainsi flirté avec la limite dans les colonnes du site web Lyon Capitale : « Il faut être franc aussi, ça a existé. On ne peut pas le nier. Certaines faisaient du foot uniquement pour rencontrer d'autres femmes. Lorsque j'ai commencé le foot, à 14 ans, je ne sais pas comment mes parents ont accepté que j'y aille. C'était plus un club de rencontres qu'une équipe de foot. Maintenant, ce n'est plus le cas. » Preuve que si le débat se pose plus franchement que dans le foot masculin, le sujet reste encore tabou.

Si les idées reçues imprègnent le monde professionnel, elles règnent également en maître dans le monde amateur. À Paris, le 28 janvier dernier, c'est tout un effectif de footballeuses qui s'est fait alpaguer. À 19h30 sur un terrain du 20ème arrondissement, l'équipe des Dégommeuses s'est faite agressée verbalement par un éducateur pas très disposé à l'idée de filer sa pelouse à la petite troupe. Les filles qui se décrivent comme « une association composée de lesbiennes et d'amies de lesbiennes qui promeut l'égalité dans et par le sport », ont dû faire face à des salves d'insultes. Accompagné de ses ouailles, l'entraîneur mécontent avait alors donné dans le scabreux selon 20 Minutes : « je vais te faire bouffer mes couilles dans ta bouche. Allez, regardez, on applaudit les lesbiennes ! » D'après les Dégommeuses, ces actes et propos homophobes sont récurrents sur les terrains de sport. Pour le moment, les joueuses lesbiennes présentes à la Coupe du Monde au Canada ont été épargnées par ces dérives. Espérons que ça dure...

http://www.sofoot.com/l-homosexualite-est-elle-tabou-dans-le-foot-feminin-203634.html

[Tremendo]

PJE si tu savais a quoi ressemble les demoiselles qui pratiquent ce sport!

Au delà du fait que le bad' est ultra exigeant et demande de la technique, de l'adresse, une vraie intelligence tactique (a haut niveau bien sur) ...

Pas un sport de fiote!

j'en connais quelques-unes de footballeuses, y'en a un paquet de lesbiennes dans le foot féminin, et physiquement c'est pas celles qui font des trucs bi dans les films pornos.

Sinon le reste de ce que tu dis pardonne-moi mais non ça va pas. Le niveau du foot féminin n'est pas comparable au foot masculin, mais alors pas du tout. Le gap est supérieur à d'autres sports.

[Noob]

Marrant, les joueuses de foot hétéros que je connais sont toutes des bombes (j'en connais aussi quelque homos, mais elle sont plus communes  ), mais c'est pas du haut niveau, hein. De façon générale dès que ça commence à devenir trop exigeant physiquement le niveau de bombe diminue fortement. Le sport d'élite favorisant généralement les filles qui ont des petits seins, ça devient vite moins intéressant.

 

 

[Rusty]

Ce soir, il y a la finale d l'Euro de chamboule-tout basket féminin avec l'équipe de France.

Il y a 2 ans, j'avais regardé leur match au JO contre l'Espagne, c'était quelque chose.

[Marlenus]

Une polonaise devient la première joueuse occidentale pro de Shogi.

 

http://english.kyodonews.jp/photos/2015/06/360672.html

 

(Je les imaginais plus sexy les polonaises).

[Johnnieboy]

Bon, le débat peut enfin prendre fin et j'avais raison depuis le début : Thiago Silva n'est pas et n'a jamais été le meilleur défenseur du monde.

[Rusty]

Le fait qu'il fasse une boulette hier et qu'il ne soit plus au top depuis quelques mois (voire années...) ne signifie pas qu'il ne l'a jamais été. 

C'est un peu pareil pour Ronaldinho qui a été le meilleur avant de sombrer complètement.

 

 

[Johnnieboy]

Thiago Silva est trop familier des bourdes quand le niveau s'élève. Parce qu'il n'est pas au niveau, justement.

[Loi]

Bon, le débat peut enfin prendre fin et j'avais raison depuis le début : Thiago Silva n'est pas et n'a jamais été le meilleur défenseur du monde.

 

Bah non, c'est juste une bourde.

[Johnnieboy]

Une bourde, c'est la pire erreur qu'un défenseur (ou qu'un gardien) puisse commettre. Quand Boateng se fait humilier par Messi, on ne peut pas lui en vouloir. Mais quand un défenseur saute avec sa main au-dessus de sa tête, c'est une faute professionnelle grave.

[Loi]

Si tu veux, mais tu ne peux réduire la carrière d'un joueur à une bourde.

[Johnnieboy]

Ce n'est pas ce que je fais. Je résume sa carrière à ses bourdes et son mental défaillant lors de grands matches. Le mec n'a jamais dépassé un 1/4 de finale d'une grande compétition. Et son palmarès est pas ouf'. Une Serie A en déclin et des Ligue 1 dans un PSG hégémonique.

[Nick de Cusa]

Mais arrêtez d'entretenir des discussions où JB a raison.

 

Ça casse tout.

 

Thiago Silva et les grands matchs, après Chelsea 2014 (A et R), la CM et maintenant ça, y a un blème.

[PJE]

Il y a des rumeurs d'assouplissement du FPF pour le PSG depuis 24h car le club aurait dépassé ses objectifs financiers ce qui aurait convaincu les experts indépendants nommés par l'UEFA pour étudier les comptes du club. C'est l'enflammade  chez Bein Sport sur le mercato.

 

 

Paris, un recrutement de feu ? Les sanctions de l'UEFA à l'égard du PSG pourraient très rapidement être levées, annonce L'Equipe. Une donnée de première importance pour le club parisien qui pourrait alors recruter en grand ! Petit tour d'horizon des transferts potentiellement intéressant pour Paris.

Le fair-play financier n’a pas encore officiellement desserré son étreinte. Mais l’assouplissement, ou plutôt même la levée des sanctions, semble en très bonne voie. Une perspective forcément alléchante pour des Parisiens qui avaient dépensé 59 millions la saison dernière contre 153 et 137 millions les deux saisons précédentes ! Et si le PSG peut de nouveau sortir le chéquier, sans présenter des comptes dans le rouge en fin de saison, il ne va pas se gêner.

Cela lui permettrait en effet de partir à l’assaut d’un Angel di Maria qui avait déjà dit oui à Paris la saison dernière. Le poste de milieu excentré gauche représente en effet un des vrais besoins de Laurent Blanc. Et si l’Argentin a répété qu’il ne voulait pas quitter MU cet été, cela pourrait rapidement évoluer en cas d’offre parisienne au club mancunien prêt à un gros effort pour ce qui représente sa priorité. Le cas de Pedro a également été cité et ce ne serait pas forcément un mauvais choix. A moins que ce ne soit Arda Turan en partance de l’Atletico.

Le PSG pourra également relancer la piste d'un Paul Pogba que le président Al Khelaïfi a déjà rencontré. Et la proximité avec Mino Raiola sera forcément un plus. Le Barça est au taquet sur le joueur mais seulement pour 2016 et le club blaugrana ne pourra pas agit avant le 19 juillet ce qui laisse du temps au PSG pour revenir dans la course. Par ailleurs, en milieu de terrain, on sait que Cabaye, Thiago Motta ou encore Rabiot sont plus ou moins proches de la porte de sortie. Il faudra donc recruter. Et cette fois, Blanc adorerait recruter Isco (Real Madrid) ou Reus (Borussia) et peut également songer à Lucas Biglia (Lazio) ou Koke (Atletico).

Les Franciliens ont également ciblé le poste de latéral droit. A ce poste Dani Alves n’est plus disponible puisqu’il a fini par prolonger avec le Barça. Il reste tout de même quelques options intéressantes comme Carvajal (Real Madrid) qui va souffrir de l’arrivée de Danilo, Lichsteiner (Juventus) ou encore Filipe Luis (Chelsea) représentent d’autres options qui apporteraient un vrai plus.

Des apports qualitatifs qui ne pourraient totalement assouvir la soif des dirigeants parisiens qui en fait rêvent de Messi, Cristiano Ronaldo ou Neymar. Mais à très court terme, même avec la levée des sanctions, cela paraît très compliqué.

http://www.beinsports.fr/news/title/paris-un-recrutement-de-feu/article/5mzg743c3zmq1cc9q7et9rg6k